Nantes/Saint-Nazaire - Économie

La renaissance des cycles Petit-Breton

La célèbre marque de vélos nantaise, disparue en 1970, renaît grâce à Robin Cojean, un jeune ingénieur passionné de cyclisme et d’innovation technique et industrielle...
 

photo: Paul Foulonneau

https://metropole.nantes.fr/actualites/ … tit-breton

À Nantes, la Société générale supprime 60 postes
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La banque au logo rouge et noir prévoit de supprimer, d’ici 2023, 640 postes en France. Dont 60 à Nantes, où l’annonce soulève beaucoup d’incompréhension.

Le plan social touche les directions générales et la Société générale securities service, qui emploie 1 000 salariés, dans le quartier de la Beaujoire, à Nantes. | REUTERS
Ouest-France Marylise COURAUD. Publié le 10/11/2020 à 17h30

Ce n’est pas le premier, et ce ne sera peut-être pas le dernier. La Société générale a lancé plusieurs plans sociaux ces dernières années. Celui annoncé, ce lundi 9 novembre par la direction prévoit la suppression de 640 postes en France (sur 40 000), d’ici à 2023, dont 60 à Nantes. « C’est l’incompréhension la plus totale », lâche Nathalie Couchellou, déléguée syndicale CFDT, depuis trente-sept ans à la Société générale. « Les gens se sont beaucoup donnés depuis mars, contraints de travailler à la maison, avec une charge de travail importante et maintenant on nous dit qu’on va encore réduire les effectifs. »...
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Près de Nantes. Ce collectif veut avoir Amazon à Montbert

Un collectif en faveur de l’implantation d’Amazon s’est créé il y a une semaine. Appelé « Oui à Amazon pour Montbert », le groupe compte déjà plus de 400 membres.

Par Hervé Pavageau Publié le 4 Déc 20 à 16:44 

On entendait les anti. Il va falloir aussi compter sur les pour.
Un collectif en faveur du projet d’implantation d’une méga plateforme Amazon à Montbert, au sud de Nantes, vient de se créer.
Son nom n’a aucune ambiguïté. Il s’appelle « Oui à Amazon pour Montbert ».
Lancé la semaine dernière sur Facebook, le groupe compte plus de 400 membres, dont une importante majorité réside « dans le territoire », selon l’administrateur qui a demandé à garder l’anonymat.

Domicilié à Montbert depuis 16 ans, l’habitant, bras droit dans une entreprise à Aigrefeuille-sur-Maine, est à l’origine de la création du groupe.  Le lancement s’est fait en quelques clics.
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Reste l’optimisation fiscale que pratique le géant américain qui capte 20 % des bénéfices du marché du e-commerce.

    « Oui, en tant qu’entrepreneur, cela m’embête. Mais je préfère avoir un groupe qui amène 1 000 emplois que rien et avoir plus de chômeurs. D’ailleurs, au sujet de l’évasion fiscale, on ne peut rien faire localement. C’est à l’Etat et à l’Europe d’agir. Ce sont eux qui ont permis que ces lois donnent la possibilité à ces grands groupes de faire de l'évasion fiscale. »
    Collectif Oui à Amazon pour Montbert
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Ça sent un peu comme NDDL   

« Oui, en tant qu’entrepreneur, cela m’embête. Mais je préfère avoir un groupe qui amène 1 000 emplois que rien et avoir plus de chômeurs. D’ailleurs, au sujet de l’évasion fiscale, on ne peut rien faire localement. C’est à l’Etat et à l’Europe d’agir. Ce sont eux qui ont permis que ces lois donnent la possibilité à ces grands groupes de faire de l'évasion fiscale. »
    Collectif Oui à Amazon pour Montbert

Cette histoire d'évasion fiscale est curieuse car il est tout à fait possible d'imposer ces sociétés au taux normal sans changer la loi : en effet, les bénéfices réalisés par l'activité en France sont ARTIFICIELLEMENT réduits à cause des PRIX DE CESSION entre filiales d'un même groupe, les filiales logées dans des "paradis" fiscaux surfacturant des services à la filiale française pour pomper ses bénéfices. Or le fisc a le droit de REQUALIFIER le montant de ces facturations internes s'il estime qu'elles sont excessives (en comparant notamment avec les coûts des mêmes prestations, notamment de conseil, sur le marché). Il suffit d'en avoir la VOLONTÉ POLITIQUE.

À Nantes, grandes manœuvres autour de l’avenir de Woodbrass

Le dépôt de bilan de Woodbrass, gros vendeur d’instruments de musique en ligne, provoque la bagarre entre concurrents. Chacun fourbit ses armes, dont Sodero et le groupe CSI, du Mans, connu pour ses luminaires.

Le fournisseur d’instruments de musique en ligne promet de présenter un plan de redressement solide au printemps 2021. | ARCHIVES
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Ouest-France Marylise COURAUD. Publié le 22/01/2021 à 17h13

Ce n’est pas une histoire comme une autre. Là où règne habituellement la plus grande discrétion, l’agitation a pris place. Woodbrass, l’un des leaders de la vente en ligne d’instruments de musique et de matériels sonos, a déposé le bilan. Les caisses vides, les dettes gonflées, l’entreprise de Saint-Herblain, près de Nantes, a été placée en redressement judiciaire en octobre avec ses cent salariés.Au printemps 2021, le tribunal tranchera l’avenir de la société, qui continue son activité. Son patron, Christophe Chauvin, a présenté un plan d’économies, fermé des magasins à Paris et licencié huit personnes. Woodbrass se débat dans un univers très porteur mais vivement concurrentiel et dominé par des groupes européens.

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Divulgâchage partiel (d'un sujet qui concerne plusieurs acteurs de la région, et même de la métropole dans une course frénétique à la concentration... d’après cet article)   

Pour le créateur, éviter d’être évincé
Le chiffre d'affaire de Woodbrass de 50 millions n'as pas beaucoup évolué....Il est même très éloigné de l'objectif affiché en 2016 (70 millions) lorsque Sodero (un fond de la caisse d'épargne) est devenu majoritaire en injectant 5,2 millions dans l'entreprise... Ils n'ont guère envie de perdre encore plus d'argent.

En face Christophe C ...qui a créé son entreprise en 1999, se bat pour redresser la barre et éviter d’être évincé. Alors chacun prépare ses armes. Aux cotés de Sodero, il y a le groupe CSI (64 millions de chiffre d'affaires), basé au Mans, connu pour ses luminaires via la société Leblanc Illuminations, mais qui est aussi un fournisseur de Woodbrass.
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Arnaud Leschemelle en est le messager. Lui qui compte à son actif le rachat de bon nombre de sociétés, promet de sauver tous les emplois, "contrairement aux rumeurs qui sont revenues à nos oreilles ", de payer les dettes et de développer les affaires de Woodbrass, avec le soutien financier d'un autre acteur, Sonovente, situé en région parisienne et concurrent du nantais. Dans ce scénario, il est peu probable que Christophe C fasse long feu.

"Les salariés sont vent debout" 
Le dirigeant (Christophe C) monte, lui, un autre plan avec un acteur de la métropole, nantaise Algam, installé à Thouaré, Fabricant et distributeur lui aussi de matériel de musique. Lequel a fait des propositions à Sodero. " C'est ce projet que défendent les salariés, ils sont vent debout cotre l'autre ", assure Maitre Jean-Pierre Versini-Campinchi...

Parmi ces salariés, il y a bien sûr le représentant syndical, Olivier T... " Même si je suis de la CGT, je défends mon patron. Avec CSI, on sera vendu à des concurrents, on redoute de perdre beaucoup d'emplois. " La bataille n'est pas finie.

Une source locale proche du secteur d'activité explique que :

- Une offre de formation ou reconversion très difficilement refusable sera certainement proposée au représentant syndical... et ses disciples, en cas de reprise par la société Algam peu tolérante avec ce type d'engagement... (Elle a déjà maitrisé le sujet sur de multiples reprises dont Gaffarel, SML...)

- "CSI, SEDIA Développement..." à déjà repris Arbiter France  25, rue Jacques Daguerre - ZI Brais-Pédras. St. Nazaire en 2017.

SEDIA Développement (Freevox) acquiert Arbiter France
Le groupe SEDIA Développement, société holding présidé par Arnaud Leschemelle, annonce l’acquisition de la société (de distribution) Arbiter France.
 A ce jour, le groupe SEDIA Développement réalise un chiffre d’affaires de 54 millions d’euros, emploie 203 personnes et est constitué de 2 pôles majeurs :
l’illumination avec Leblanc Illuminations et ses filiales à l’étranger et l’audiovisuel avec Freevox (CSI / SCV Audio & SCV Hitech).
 Avec cette acquisition, Sedia Développement s’ouvre au marché de la musique.


www.soundlightup.com

Protagonistes
Sodero : La banque    
CSI, SEDIA Développement...:   203 salariés,  64 millions € de CA Le Mans (Arnaud L, 53 ans  )
Algam : 250 salariés,  115 283 200 € de CA. Nantes Thouaré sur Loire (Gérard G, 73 ans  )
Sonovente (MEGA SOUND CONCEPT) : 46 salariés,  35 577 700 € de CA.  PALAISEAU (Nicolas B, 43 ans  )

La cible :
Woodbrass : 100 salariés, 50 millions € de CA. Nantes Saint Herblain (Christophe C, 53 ans  )

Edit :

« La crise liée au Covid-19 a désinhibé les patrons » : putschs et coups fourrés, le capitalisme français sent la poudre
Scor-Covéa, Unibail, Suez-Veolia, Lagardère… Les groupes français sont le théâtre d’âpres batailles, où intimidations et guerres judiciaires prospèrent. L’Etat paraît impuissant à pacifier les belligérants.

Par Isabelle Chaperon
Publié le 22 janvier 2021 à 12h00, mis à jour hier à 03h48
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« La crise a désinhibé les patrons », concède un pilier des milieux d’affaires parisiens. « “Tout est permis” est devenu le pendant dans le monde des affaires du “quoi qu’il en coûte” d’Emmanuel Macron », souligne Julien Vaulpré, directeur général du cabinet de conseil Taddeo, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy : « Certains dirigeants d’entreprise empruntent leurs codes aux hommes politiques, avec une polarisation des positions qui engendre dénigrement, mensonges et mauvaise foi. »
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www.lemonde.fr

Dernière modification par Vincent GACHE (24-01-2021 22:18:33)

Loire-Atlantique. Une reprise plus forte que prévu, 120 intérimaires recrutés chez Manitou

Le groupe Manitou, spécialisé dans la manutention tout-terrain et basé à Ancenis-Saint-Géréon, a fini 2020 avec un résultat meilleur que prévu (1, 58 milliards d’euros de chiffre d’affaires). En net recul, certes, par rapport à 2019 (-24 %), mais c’est mieux que ce qui avait été anticipé en cette fin d’année marquée par la crise sanitaire. Michel Denis, directeur général, évoque même « une record historique de prise de commandes sur le dernier trimestre 2020 ».

Dans ce contexte favorable, le groupe va recruter 80 personnes en intérim d’ici mars et 40 autres d’ici juin. L’entreprise recherche, entre autres, des soudeurs, monteurs, peintres industriels, agents de magasin, caristes, etc. Un signe « plutôt positif d’une reprise en 2021, sous réserve de l’évolution du contexte sanitaire et des annonces gouvernementales et à l’international ».

OUEST FRANCE

E-commerce : Lengow rachetée par un fonds d'investissement américain
Adrien Lelievre Le 16/02/2021 à 09:00

Marlin Equity Partners, le fonds américain de private equity, a pris une participation majoritaire dans la pépite nantaise du e-commerce Lengow qui aide les clients à optimiser la visibilité de leurs produits en ligne.

Marlin Equity Partners poursuit ses emplettes dans l'Hexagone. Après avoir pris une participation minoritaire au capital de la société orléanaise Pentalog , le fonds américain de private equity a fait l'acquisition de Lengow, l'éditeur nantais de logiciel SaaS pour les e-commerçants. Le montant de l'opération n'a pas été communiqué.

Cofondée en 2009 par Mickael Froger et Jérémie Peiro , Lengow permet à ses clients d'optimiser la visibilité de leurs produits - et donc leurs performances de vente - sur une grande variété de canaux de distribution (les places de marché, les comparateurs de prix, les plateformes d'affiliation ou de display, les réseaux sociaux, etc).
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lesechos.fr

A vendre depuis 2018...

[PRW18] Lengow est à vendre (et autres indiscrets glanés sur Paris Retail Week)
Flore Fauconnier |
LSA Commerce connecté, E-commerce, Paris Retail Week
Publié le 14/09/2018
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Le salon E-Commerce est aussi le lieu où s'échangent de nombreuses informations encore non officielles sur les acteurs et les professionnels du secteur. En voici quelques-unes que nous avons glanées… et vérifiées.

Contrairement à une rumeur qui circulait dans les allées, le gestionnaire de flux, fondé en 2009 à Nantes par Mickaël Froger et Jérémie Peiro, n'a pas (déjà) été racheté par un acteur chinois. En revanche, Lengow a bel et bien confié un mandat de vente à Rothschild avant l'été. Le montant de 70 millions d'euros est évoqué comme haut de la fourchette demandée à la banque d'affaires. Côté Lengow, on répond simplement que toutes les options sont à l'étude comme c'est le cas pour la plupart des acteurs du secteur… mais qu'il n'y a rien de particulier à déclarer.

www.lsa-conso.fr

Au sud de Nantes, le projet Amazon a du plomb dans l’aile
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Le géant américain, qui a déposé un permis pour créer une plateforme logistique XXL à Montbert, au sud de Nantes, n’a pas transmis les documents exigés par l’État pour lancer l’enquête publique indispensable au projet.

Presse Océan Yan Gauchard Publié le 04/03/2021 à 22h40

"En l’état, il n’y a plus de projet Amazon à Montbert." ​La sentence émane d’un haut fonctionnaire qui suit le dossier porté par la société « Ory4fulfillment SAS ». Cette filiale d’Amazon a déposé en avril 2020 un permis de construire en vue d’implanter une vaste plate-forme logistique à Montbert, commune de 3 100 habitants située à 25 kilomètres au sud de Nantes.

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Au sud de Nantes, le projet Amazon a du plomb dans l’aile

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Presse Océan

Divulgâchage

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« Le sentiment qu’Amazon s’est servi du site de Montbert comme d’un leurre »

Sur le papier, le géant américain vise la création d’un entrepôt régional affichant une surface de
plancher de 185 000 m2. Mais le dossier, contesté aussi bien par des collectifs que par des figures
politiques de Loire-Atlantique*, a du plomb dans l’aile. Selon nos informations, l’État exigeait
qu’Amazon transmette à ses services, avant le début du mois de février au plus tard, des
documents nécessaires au lancement de l’enquête ICPE (Installation classée pour la protection de
l’environnement), enquête publique indispensable pour obtenir un possible feu vert pour
l’opération. « Les représentants d’Amazon n’ont pas bougé et n’ont pas mené les démarches en
temps et en heure, énonce un proche du dossier. Ce qui fait qu’avec la période de réserve liée aux
élections départementales et régionales à venir, puis les vacances, il est désormais impensable
d’imaginer boucler une enquête publique avant 2022.
Selon cette même source, Amazon a également annulé en début d’année une réunion avec les
élus du territoire. Depuis, c’est signal zéro.
Un autre observateur décoche : J’ai le sentiment qu’Amazon s’est servi de Montbert comme d’un
leurre, focalisant l’attention et la contestation sur ce site, pour avancer ses pions ailleurs, en
Nouvelle-Aquitaine par exemple.
Favorable au projet synonyme de recettes fiscales (un million d’euros/an pour la commune de
Montbert) et de création d’emplois (1500 au bas mot), Jean-Jacques Mirallié, maire de Montbert,
veut croire que le projet reste possible. Mais il ne cache pas sa perplexité. Le dossier est bloqué.
Forcément, ça interroge, d’autant que les documents demandés par l’État sont très simples. Cela
ne demandait aucun travail particulier. Je ne comprends pas non plus pourquoi l’entreprise ne
communique pas sur son projet. Il va falloir qu’Amazon indique quelle est sa réelle volonté sur le
site.
Station d’épuration sous-calibrée
Un responsable du dossier, à l’échelon territorial, met également en doute le désir d’Amazon de
s’implanter à Montbert. En l’état, note-t-il, la station d’épuration du parc d’activités ciblé est sousdimensionnée
pour accueillir un projet de la taille d’Amazon. Les élus, à l’entendre, ont
manifestement fait une croix sur la venue de l’entreprise américaine car ils n’envisagent plus
d’inscrire au programme les travaux permettant de recalibrer l’ouvrage. ...

Un projet, ici ou ailleurs, ça prend des années, élude le service de communication d’Amazon,
contacté hier soir. ...

Loire-Atlantique. Le fulgurant succès de Gong, spécialiste des sports de glisse

Inventée en 2009 par un ancien pro à La Baule, la marque Gong s’est invitée, partout dans le monde, chez les pratiquants de sports de glisse. « Notre métier, c’est d’aller dans l’eau, d’inventer des produits, de les tester et les vendre en ligne, explique Patrice Guénolé, le dirigeant fondateur. Notre chiffre d’affaires double tous les ans. On était 12 salariés en 2018, 50 aujourd’hui, 100 en juin 2021 et a priori 500 dans cinq ans. »

Le long de la route Nantes-La Baule, la structure de cette nouvelle vitrine Gong est déjà visible. « La construction ne va malheureusement pas assez vite, observe la quadra, qui va sur l’eau tous les jours. Le chiffre d’affaires estimé en 2025 pour ce projet est déjà atteint depuis novembre. » Il manque déjà 5 000 m² d’extension.

Le magasin virtuel étant ouvert 24 heures sur 24, les commandes viennent de toute la planète. « Nous vendons en deux jours certains produits qui partiraient en trois mois en boutique. »

Avec une telle trajectoire, Patrice Guénolé anticipe « un chiffre d’affaires de 200 millions d’euros dans quelques années ». Dix fois plus qu’aujourd’hui. Cinquante postes sont à pourvoir immédiatement.

OUEST FRANCE

Hum le second article date de 2018 

Amazon à Montbert. À défaut du géant américain, d’autres demandes d’entreprises étudiées

Ouest-France Stéphanie LAMBERT. Publié le 30/03/2021 à 21h45

Ce mardi 30 septembre, le dossier Amazon s’est invité au conseil communautaire de Grand Lieu. Un débat a eu lieu en toute fin de séance, pendant une trentaine de minutes. Le président de Grand Lieu communauté Johann Boblin a indiqué aux élus avoir été recontacté dans l’après-midi par le géant américain, pour la première fois depuis mi-décembre. Le dirigeant Amazon France lui a renouvelé son intérêt de « s’implanter dans le grand Ouest » . De nouveaux temps d’échanges viendront dans les prochaines semaines, a indiqué l’élu.

Pour autant, « j’ai besoin que l’entreprise clarifie ses intentions », insiste Johann Boblin. D’autant qu’il reste de nombreuses étapes. « Le préfet n’engagera pas l’enquête publique tout le temps du recours », informe-t-il. En effet, des riverains opposés au projet de plateforme régionale ont lancé une procédure contre le permis d’aménager modificatif délivré par la mairie de Montbert.

Autant dire que dans le meilleur des cas, « l’implantation ne se fera pas avant 2028 », poursuit le maire de Montbert, Jean-Jacques Mirallié.

... « On ne va pas laisser le site immobilisé dix ans à rien faire, renchérit le maire de Montbert. On va voir si d’autres entreprises peuvent venir plus tôt. »

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www.ouest-france.fr

INFO OUEST-FRANCE. Amazon à Montbert : le géant du e-commerce a déposé le dossier en préfecture

Le n° 1 du commerce en ligne convoite depuis plus d’un an une parcelle au sud de Nantes, pour y installer une plateforme géante de distribution de colis. L’instruction est en cours en vue de l’enquête publique.

Le projet de plateforme logistique de 185 000 m² d’Amazon, à Montbert, avance.  | DR
Ouest-France Stéphanie LAMBERT. Publié le 29/04/2021 à 15h43

Amazon vient de déposer un dossier à la préfecture, en vue du lancement d’une enquête publique. Le géant du e-commerce prévoit de construire une plateforme régionale de 185 000 m² de distribution des colis à Montbert, au sud de Nantes.
Lève des ambiguïtés sur les intentions du groupe américain

Ce dépôt de dossier est une étape importante et obligatoire vers la concrétisation du projet. Cela lève des ambiguïtés sur les intentions du groupe américain, jusqu’ici très discret sur le sujet.

Les documents sont en cours d’instruction par les services de l’État qui communiquera dans les prochaines semaines les modalités, ainsi que le calendrier de réalisation de cette enquête publique.
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Ouest France