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Construit
≈19,00 m
Cette maison a conservé son pignon sur rue d'allure médiévale et, au dernier étage, des demi-croisées (qui ne disparaîtront qu'au début du XVIIe siècle)1. La discrète inclinaison du mur de gauche n'est pas due à un tassement mais à une volonté des constructeurs de l'époque de contrebalancer la poussée exercée par les planchers sur les murs2.
Voir aussi le 3, rue de Bailleul (Paris 1er), le 174, rue Saint-Denis (Paris 2e), les 31, 33 et 39, rue Galande (Paris 5e) et les 11 et 13, rue François Miron (Paris 4e).
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