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En fait ce genre d'analyse ne prend pas en compte de façon directe les travaux effectués dans une ville. Mais de façon indirecte, on imagine bien qu'une ville rénovée, une ville modernisée, une ville dont les équipements structurels s'améliorent, une ville plus agréable à vivre etc. etc. attirera plus d'étudiants, offrira un meilleur contexte à la recherche, favorisera la tenue de congrès et de salons, deviendra plus accessible, favorisera l'implantation de nouveaux habitants tout en conservant les siens, favorisera le tourisme etc. etc.
Donc oui, tout porte à croire que Marseille a progressé depuis 2003 sur ces 15 critères
Parmi les améliorations que je citais plus haut, j'ai oublié le nombre de foire et salons qui est plus important aujourd'hui qu'en 2003.
En fait, tous ces critères mesurent le rayonnement des villes. Et aujourd'hui, sans contestation possible, Marseille rayonne plus qu'en 2003 et devient une petite agglomération européenne qui commence à compter.
Maintenant, certains pourront rétorquer que si l'on traitait de la qualité de vie dans chacune de ces agglomérations, ce serait autre chose.
Marseille marquerait énormément de points sur certains critères mais n'en aurait aucun dans d'autres comme un probable critère "niveau de service de transports en commun dans la ville et l'agglomération".
Ce sont en fait 2 sujets différents, le rayonnement et la qualité de vie. Mais une agglomération pas agréable à vivre n'attire plus d'habitants, plus d'étudiants etc. comme vu plus haut, donc au final, ces critères restant juges de paix. Il n'y a pas de mystère. Si une agglomération progresse sur ces critères, c'est que dans le fond, dans ce qu'elle à à offrir à ses habitants et ses visiteurs, elle s'améliore.
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Pour ceux que ça intéresse, voici une étude mandatée par la région urbaine de Lyon, qui aurait pu l'être par la notre, et qui compare 10 métropoles européennes dont Marseille.
Donc on est parfaitement dans le sujet, et en plus elle est plus récente que celle que j'ai publiée dans la semaine. Elle, elle date de 2010.
Les "villes" comparées :
Manchester
Lille
Genève
Munich
Prague
Milan
Turin
Marseille
Barcelone
Valence
La région urbaine de Lyon dans l'Europe des métropoles
Bonne lecture !
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Le problème de ces classements c'est qu'ils prennent des données daté, pour d'autres villes ça va mais à Marseille tout a changé en 3/4 ans, voir complètement métamorphosé dans certains domaines (congrès), donc bon on peut pas trop s'y fier à part pour voir où on en était et essayait d'imaginer où on en est aujourd'hui.
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AkarSarren a écrit:
Le problème de ces classements c'est qu'ils prennent des données daté, pour d'autres villes ça va mais à Marseille tout a changé en 3/4 ans, voir complètement métamorphosé dans certains domaines (congrès), donc bon on peut pas trop s'y fier à part pour voir où on en était et essayait d'imaginer où on en est aujourd'hui.
Exactement. C'est quand même intéressant parce que ça permet de voir sur quels critères les métropoles sont comparées. Et comme je disais pour l'autre étude, on peut imaginer que Marseille se porterait bien mieux si ces mêmes études étaient faites aujourd'hui.
Donc c'est plutôt positif. on voit que Marseille n'est pas ridicule dans pas mal d'aspects. Donc aujourd'hui tout laisse à penser que la ville commence clairement à compter.
Je ne parle pas de tout ce qui nous désespère au quotidien, mais du rayonnement de Marseille à l'échelle de l'Europe (et on pourrait ajouter de la Méditerranée).
Mais pour que Marseille progresse plus comme métropole européenne qui compte, il faudrait que la ville s'améliore dans tous les sujets qui font parler voire fuir les habitants : propreté, sécurité, transports en commun, offres commerciales, hyper centre totalement restauré et requalifié etc. Une ville porte drapeau d'une métropole qui ne saurait attirer de nouveaux habitants ou pire qui les feraient fuir ne peut clairement pas jouer dans la cours des grandes. D'ailleurs ces critères sont étudiés dans ces analyses, ça n'est pas pour rien.
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L'objectif doit être d'atteindre le million d'habitants symbolique dans "l'intra-muros" marseillais (j'y inclus Plan-de-Cuques et Allauch, en raison de la continuité du bâti) au sein d'une métropole en comptant le double. Accueillir cent mille habitants supplémentaires est réaliste : trente mille sont attendus dans l'extension d'Euroméditerranée, l'opération urbaine Marseille Grand Est (quartiers du Rouet, Menpenti et la Capelette) aurait pu en recevoir une quantité similaire si elle avait été menée à terme, un comblement des dents creuses dans l'hypercentre permettrait certainement d'en attirer quinze à vingt mille, il resterait à densifier d'autres quartiers bien desservis par les transports en commun (Sainte-Marguerite, par exemple). Marseille dispose de suffisamment d'espace pour se densifier, sans avoir à sacrifier des espaces naturels à de nouvelles constructions. Ces opérations urbaines devraient bien entendu s'accompagner d'une densification de l'offre de transports en commun, les axes routiers marseillais étant déjà saturés, et des infrastructures publiques (écoles, hôpitaux, équipements culturels et sportifs).
Marseille serait indiscutablement la deuxième ville de France. L'afflux de nouveaux habitants dans le centre stimulerait l'activité commerciale en centre-ville et permettrait d'accroître les recettes fiscales de la collectivité. Les migrations interrégionales sont favorables aux régions du Sud et de l'Ouest de la France : Marseille ne peut pas rester à l'écart alors qu'elle est au bord de la mer et bénéficie d'un climat particulièrement favorable. Contrairement à Nice (ou à Aix-en-Provence - désormais plus chère que Nice), elle ne souffre pas de prix de l'immobilier élevés, qui justifieraient un solde migratoire négatif. Hélas, la mauvaise gestion municipale rend le territoire inattractif (taux de chômage et taux de pauvreté plus élevés que la moyenne nationale, criminalité, pollution, etc.). C'est regrettable car, sur le papier, Marseille ne manque pas d'atouts. Mais elle ne pourra pas s'imposer pleinement comme une métropole d'envergure européenne sans une démographie ni une économie dynamiques.
La ville progresse (et a progressé au cours des dix dernières années) mais sa plus grande faiblesse demeure son manque d'emplois qualifiés, en comparaison d'autres métropoles régionales. Le déclassement de Marseille depuis les années 1970 est réel et les améliorations des quatre dernières années ne sont pas suffisantes pour rattraper l'écart. Économiquement (et bientôt démographiquement), la ville est distanciée par Lyon. Toulouse et Bordeaux décollent, portés par une démographie en hausse. Marseille pourrait être dans le même cas, si elle était gérée correctement. D'après les projections démographiques, la croissance de la région parisienne sera inférieure à la moyenne nationale au cours des vingt-cinq prochaines années. Une ville de l'envergure de Barcelone (ou s'en rapprochant) pourrait donc émerger. Malheureusement, à l'heure actuelle cela ne pourrait être Marseille.
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La question est, quel type de population peut venir grossir les rangs existants en y apportant de la valeur ajoutée? Pour quels emplois? Pour quelle qualité de vie? Pour quels aménagements urbains de qualité? Pour quels réseaux de TC performants? Marseille reste une ville "tiers-mondiste" dans sa structure et son fonctionnement, sans structure publique forte et compétente.
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Si espérons que ce soit Marseille Même si Lyon semble mieux gérée et que traditionnellement sa population est dynamique, Marseille ne manque pas d'atouts comme tu dis.
Concernant les emplois qualifiés, je suis complètement d'accord avec toi. Il y en a tout de même plus qu'avant. Mais la modification de la structure des emplois à Marseille ne se fera pas sans douleur. En effet, une grande partie de la population manque cruellement de qualification justement. Donc ces emplois seront occupés par des nouveaux arrivants ou par des marseillais de retour dans leur ville après souvent une longue période passée à Paris ou à l'étranger la plupart du temps. Donc cela est bon pour la dynamique démographique, c'est bon pour le pouvoir d'achat, pour l'hyper-centre etc.
Mais alors, pour rester dans un cercle vertueux, la clé sera de ne pas laisser de côté les moins qualifiés qui sont nombreux et qui doivent aussi travailler. Il faut mettre l'accent sur la formation, l'éducation etc. C'est une des clé pour la réussite de Marseille.
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Marseille : 10 ministres des affaires étrangères se réunissent pour parler sécurité
La sécurité et la coopération en matière de lutte contre le terrorisme seront au menu de cette 13e édition. Elle réunit les ministres du cercle "Dialogue 5+5" à la Villa Méditerranée. Le Dialogue 5+5 regroupe l'Espagne, la France, l'Italie, Malte, le Portugal ainsi que l'Algérie, la Libye, le Maroc, la Mauritanie et la Tunisie.
(...)
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L’Assemblée parlementaire de la Méditerranée pourrait s'installer à Marseille
BOUCHES-DU-RHÔNE. Coup de théâtre à Marseille. Dans un communiqué de presse publié mercredi 11 janvier 2017, Michel Vauzelle, ancien président de la région PACA, vice-président de l’Assemblée parlementaire de la Méditerranée (APM), annonce la décision du « bureau de cette même assemblée de transférer son siège de Malte à Marseille. Marseille est la capitale française de la Méditerranée. Elle est par son histoire et sa population un symbole pour l’ensemble des pays riverains. La Villa Méditerranée qui s’y trouve a été conçue comme le lieu du dialogue politique et culturel entre élus, société civile et jeunesse. La présence de l’APM dans ce lieu hautement symbolique est un geste très fort de confiance des partenaires de la France à l’égard de notre pays. En effet, le Bureau de l’APM a voté ce choix à l’unanimité avec Israël, la Palestine, la Jordanie, le Maroc, l’Algérie, le Portugal, l’Italie et la France. En s’installant à Marseille, l’APM prend un nouveau départ, dix ans après sa création, face à une crise sans précédent ».
(...)
L’APM est une organisation interétatique régionale, bénéficiant du statut d’observateur auprès de l’Assemblée générale des Nations unies et ayant sa propre personnalité et capacité juridique internationale. Cette enceinte interparlementaire internationale de nature consultative, indépendante de tout processus intergouvernemental, comprend actuellement vingt-cinq membres riverains de la Méditerranée.
Elle se réunit en session plénière ordinaire au moins une fois par an, chaque membre étant représenté par une délégation nationale comprenant au plus cinq parlementaires.
Lire la suite http://www.econostrum.info/L-Assemblee- … z4VXQ47e00
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L'avantage de Marseille face à La Valette est une meilleure desserte aérienne des capitales méditerranéennes. Néanmoins, lorsque l'on consulte la liste des États membres de l'Assemblée parlementaire méditerranéenne, on constate l'absence de vols directs vers les pays balkaniques et le Moyen-Orient (en dehors d'Israël). Marseille est, de nos jours, davantage une métropole euro-maghrébine qu'euro-méditerranéenne, n'en déplaise aux plus ambitieux. Il sera difficile d'imposer la ville en tant que métropole méditerranéenne d'envergure sans renforcement des liens - économiques, notamment - avec les Balkans et le Machrek.
J'observe également que les élus français soulignent souvent l'importance du port de Marseille, et non l'influence propre que la ville pourrait exercer dans la région méditerranéenne, tant au niveau économique (qui ne se réduit pas à l'activité portuaire) que politique et culturel. Il leur est difficile d'imaginer que Marseille pourrait devenir le fer de lance de la politique méditerranéenne de la France. Dans ces conditions, et en l'absence d'une politique municipale ou régionale volontariste, il sera difficile pour la ville d'émerger en tant que métropole méditerranéenne. La lecture du dossier (en quatre articles) sur l'abandon de cette vocation méditerranéenne me conforte en ce sens. Marseille manque, à l'heure actuelle, de stature : ne lui fantasmons pas excessivement un rôle de premier plan en Méditerranée.
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Pour pouvoir obtenir ce rayonnement, l'implication et les initiatives des collectivités locales sont évidemment cruciales, mais tu ne peux pas éluder le rôle de l'Etat; et, malheureusement, le jacobinisme persistant en France ne va pas dans ce sens: il n'y a aujourd'hui aucune place pour une autre ville à rayonnement international qui puisse n'arriver qu'à la moitié de celui de Paris.
Les élus manquent certes d'idées, d'initiative, et, plus grave, de vision. Mais le gouvernement central est peut-être aussi fautif qu'eux.
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Un député LREM propose de délocaliser l'Assemblée nationale à Marseille
Lundi 13/11/2017 à 18H35
Pourquoi ne pas imaginer siéger une fois par mois loin de Paris ? Pourquoi ne pas faire de Marseille la nouvelle capitale législative ?". Cette proposition est signée d'Adrien Taquet, un député La République en marche, qui souhaiterait que l'Assemblée nationale se délocalise hors de Paris. "Faut-il raser le Palais Bourbon ?", questionne l'élu des Hauts-de-Seine dans une note publiée par la Fondation Jean-Jaurès. Il y mentionne notamment le Serment du jeu de Paume de 1789, selon lequel "partout où ses membres sont réunis, là est l'Assemblée nationale".
"Dans un pays centralisé comme le nôtre, où le fossé semble irrémédiablement se creuser entre les citoyens et leurs représentants, (...) la question du lieu de résidence de l'Assemblée nationale mérite d'être posée", dit ce patron d'agence de publicité, dans ce qui est présenté comme une contribution aux chantiers de réforme de l'Assemblée lancés par son président François de Rugy.
(...)
On peut d'ailleurs se demander comment nos sénateurs, dignes représentants des collectivités locales, n'y ont jamais pensé pour eux", dit ce proche d'Emmanuel Macron.
La Provence
Intéressant que ça vienne d'un LREM et d'un pur parisien, né à Paris et député du 92. Si la proposition était faite par un Insoumis ou FN marseillais, ça serait assimilé à de l'anti parisianisme ou à une simple volonté de buzzer pour s'opposer au parti majoitaire.
Macron y serait favorable à condition que l'Elysée soit délocalisé à la Commanderie
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Mouai, j'y crois pas trop...
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La Méditerranée du futur se dessine à Marseille
a région PACA se mobilise pour l'environnement. Elle organise une série de conférences et d'ateliers afin de collecter et partager les initiatives locales pour protéger le climat, et ainsi mettre en application les accords pour le climat.
Plus de 400 personnes sont attendues : ministres et responsables d'autorités locales du pourtour méditerranéen, experts et chercheurs, représentants de la société civile et des ONG.
(...)
La région PACA se veut "acteur incontournable" du partenariat méditerranéen. Elle souhaite jouer le rôle de "vitrine" de la protection du climat en France, inspirée par le rôle de la Californie aux Etats-Unis comme moteur pour l'environnement.
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Une excellente nouvelle!!
Renaud Muselier salue la reconnaissance du corridor européen Marseille-Gênes
« Après quatre années de combat et de lobbying auprès de Bruxelles, en tant que Député européen puis Président de Région, je suis fier d’annoncer que le tronçon Marseille-Gênes a été officiellement reconnu « corridor européen » par la Commission européenne.
(...)C’est un changement de dimension incroyable, qui nous rend éligibles aux plusieurs milliards d’euros européens déployés dans les 10 prochaines années. »
Il ajoute que les financements peuvent concerner à la fois « des aménagements ferroviaires indispensables à la ligne Marseille-Vintimille-Gênes, colonne vertébrale de notre littoral, le développement portuaire, à commencer par celui du Grand Port Maritime de Marseille et tout ce qui contribue à favoriser la multimodalité et donc le désengorgement des routes de notre Région avec des conséquences positives pour la santé des habitants (pollution atmosphérique, qualité de l’air). » C’est aussi une bonne nouvelle à l’heure où la métropole Aix Marseille Provence tente de se positionner sur la nouvelle route de la soie chinoise.
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Donc de l'argent européen pour le projet LNPCA
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Metro et tram ?
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AkarSarren a écrit:
Metro et tram ?
Çà va être l'explosion de nouvelles lignes...
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Moi ce que je comprend c'est que la Mairie en elle même ne fou rien pour allé réclamer ces aides européennes.
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Quelque uns ici disaient que Muselier était un comique......Pas tout à fait.
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Il a en tout cas beaucoup plus de volonté que ses collègues de sa classe politique.
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Effectivement mais ce n'est pas un homme de terrain.
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AkarSarren a écrit:
Moi ce que je comprend c'est que la Mairie en elle même ne fou rien pour allé réclamer ces aides européennes.
Je crois qu'avait été confirmé le fait que Marseille avait "raté" des fonds structurels européens par absence de projets proposés. Incompétents...et paresseux.
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Pescadou a écrit:
Il a en tout cas beaucoup plus de volonté que ses collègues de sa classe politique.
Euh. Il a fait quoi de cette volonté depuis 1995 qu'il fait partie des élus de premier plan à Marseille ?...
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