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Le projet "Grand Centre Ville" de la municipalité est-il adapté ?
OUI | --- | --- |
NON | --- | --- |
Geronimo a écrit:
C'est "marrant" parce que depuis toujours, quand un chantier traîne, "ils" nous répondent "ah mais vous comprenez, avec les procédures administratives ça prend énormément de temps, on n'y peut rien c'est la loi".
En parlant de procédures, la Ville est sérieusement en conflit avec les services de l'Etat pour le choix pertinent des implantations de sanisettes. Monique Cordier précise en interne qu'elle respectera ses engagements et installera les 20 premières unités avant la fin de cette année... à suivre.
Dernière modification par ju2mars (10-10-2018 14:56:35)
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L'ABF n'a validé que peu d'emplacements ? J'espère tout de même qu'ils seront judicieux et qu'ils n'obstruent aucune perspective ou façade d'intérêt.
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Presque 2/3 des installation sont refusées.
En effet, les perspectives sont souvent mises en cause. Prenons l'exemple de la rue Marchetti, haut lieu de soulagement, où l'avis conforme de l'ABF précise que l’implantation est trop proche du monument historique et la perspective depuis Robert Schuman n'est pas respectée.
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Pareil sur la Canebière où ils n'ont pas voulu...
Du coup la Mairie a les toilettes mais arrive pas à les placer
Dernière modification par AkarSarren (10-10-2018 15:46:29)
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Une solution serait de les faire complétement transparentes pour ne pas bloquer la perspective.
Je sais, je sais, je suis déjà sorti...
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ju2mars a écrit:
Presque 2/3 des installation sont refusées.
En effet, les perspectives sont souvent mises en cause. Prenons l'exemple de la rue Marchetti, haut lieu de soulagement, où l'avis conforme de l'ABF précise que l’implantation est trop proche du monument historique et la perspective depuis Robert Schuman n'est pas respectée.
Le problème est complexe, une mauvaise implantation peut n'avoir aucun effet sur les pratiques déjà ancrées et la présence des escaliers de l'esplanade de la Major impose qu'aucun élément massif ne vienne gêner la vue, aussi bien depuis la rue Mazenod que depuis les escaliers de Schuman où l'on voit l'alignement des voûtes.
La seule solution pourrait être de supprimer 2 stationnements au pied du 2 rue Mazenod, en considérant également l'accès PMR à l'immeuble, mais là encore ça peut prêter à polémiques.
En tout cas bon courage aux équipes, le problème est épineux et il n'y a pas de solution miracle.
Dernière modification par Abomey (10-10-2018 15:55:18)
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Sur Mazenod, la perspective également doit être respectée. Aucun aménagement en dur ne sera validé sur cet axe.
Dernière modification par ju2mars (10-10-2018 16:42:57)
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A un moment donné on ne peut pas faire preuve d'un peu de bon sens et trouver des solutions équilibrées pour tout le monde et principalement pour l'hygiène de cette ville? L'ABF préfère que les gens pissent dans les escaliers de la Major, avec une vue dégagée?
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Je croyais que de petits espaces avait été intégrés dans les voutes pour y placer des toilettes. Par exemple, il y a une petite porte à coté des escaliers de la rue Mazenod et une autre proche de l'escalier près de la fontaine. Ce ne serait donc que des locaux techniques pour y placer des transformateurs ou autres éléments techniques ?
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PNLL a écrit:
Je croyais que de petits espaces avait été intégrés dans les voutes pour y placer des toilettes. Par exemple, il y a une petite porte à coté des escaliers de la rue Mazenod et une autre proche de l'escalier près de la fontaine. Ce ne serait donc que des locaux techniques pour y placer des transformateurs ou autres éléments techniques ?
C'est des locaux techniques et de maintenance pour les Voûtes, la Place au dessus, , fontaine, éclairage etc...
Dernière modification par AkarSarren (10-10-2018 18:23:46)
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Il y a un patrimoine architectural plus riche dans des villes comme Paris et Lyon mais ça ne leur pose aucun problème pour installer des sanisettes. A croire qu'on est plus con ici..
Dernière modification par osin13 (10-10-2018 21:12:42)
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A Paris et Lyon elles ont été installé il y a des millions d'années sans que personne ne s'en soucis, aujourd'hui dès qu'on fait un truc y a 1000 accords à avoir. Si on l'avait fait comme tous le monde il y a longtemps ça poserait moins de soucis. :p
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Les sanisettes JC Decaux installées dans les autres villes ne datent pas de la préhistoire, nos élus par contre...
Dernière modification par osin13 (10-10-2018 20:47:17)
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osin13 a écrit:
Les sanisettes JC Decaux installées dans les autres villes ne datent pas de la préhistoire, nos élus par contre...
Oui ils datent du pré-decaubrien...
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ll n'y a pas d'autres solutions que la rue Mazenod dans le secteur ? La place Joliette ? Quai de la Joliette ? Schuman ? Dunkerque ? Les débiles pisseront toujours à Mazenod, sanisette ou pas dans cette rue, les autres feront 200mètres et iront là où est la sanisette.
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Les villes de Paris et Lyon sont soumises aux mêmes contraintes en terme d'aménagement, les avis des ABF sont en outre plus souvent respectés qu'ici où l'on a fait n'importe quoi depuis trop longtemps. Certes, l'urbanisme et l'histoire récente de ces villes sont bien différents, mais à Marseille le non respect de règles élémentaires (qui relevaient simplement du bon sens avant qu'un législation encadre tout ça) a considérablement détruit le patrimoine bâti. Des perspectives, des rues, des immeubles auparavant remarquables sont devenus insignifiants voir hideux. Les devantures de commerces, les usages, les ravalements ou restaurations de mauvaise qualité sont bien entendu plus en cause que les mauvais aménagements. Ne serait-ce que sur la Canebière on pourrait trouver presque une centaine d'exemples.
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Plusieurs appels d'offre viennent de faire leur apparition et qui comprend comme thème "requalification des espaces publics du centre-ville de Marseille", ça va de la voirie jusqu'aux feux rouge, espaces verts, arrosages etc...
Y a aussi la rénovation des ascenseurs dans les bâtiments de la mairie et qui permettent d’accéder à des espaces publics.
Et le SGAP de la Police a lancé également pour rendre accessible la totalité des bâtiments de police pour les personnes handicapés.
Dernière modification par AkarSarren (11-10-2018 11:46:51)
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Ça fait un moment que ces appels d'offres circulent.
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Ils sont bientôt finis, fin du mois, du coup c'est bon pour des travaux l'année prochaine.
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L'OS de démarrage est notifié combien de temps après l'attribution du marché?
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Ça fait vachement plaisir de voir toutes ces façades rénovées sur la rue de Rome. Dommage que le commerce se casse la gueule en parallèle. Pour la tram, ce serait bien qu'ils déplacent la station de Castellane sur Cantini à l'occasion des travaux d'extension. Elle bouffe tout le trottoir actuellement.
Dernière modification par osin13 (11-10-2018 18:50:32)
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Un projet que j'aurais aimé voir dans la bâtiment de la Poste Colbert.
http://www.lamarseillaise.fr/var/societ … e-jeunesse
Toulon continue sa mue. Espérons que Marseille suive la même trajectoire avec tous les projets annoncés.
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esct que la rue d'Italie et la rue de la palud sont également en cours de ravalement ? ou c'est seulement la rue de Rome?
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osin13 a écrit:
Un projet que j'aurais aimé voir dans la bâtiment de la Poste Colbert.
http://www.lamarseillaise.fr/var/societ … e-jeunesse
Toulon continue sa mue. Espérons que Marseille suive la même trajectoire avec tous les projets annoncés.
Oui magnifique projet, audacieux somme toute, compte tenu d'un quartier aujourd'hui en difficulté et d'un centre historique qui n'a pas encore retrouvé totalement l'attrait des consommateurs malgré les investissements. On a là l'exemple d'une action municipale volontariste qui accompagne voire précède les projets privés puisque parallèlement à la Halle, un immeuble va être détruit pour ouvrir les espaces, créer une place. Des commerces ont été préemptés pour rénovation et être proposés à des activités et commerces. Bien sûr c'est à la dimension d'une ville comme Toulon mais quelle différence de vision et de volonté pour sortir un centre historique du marasme.
Dernière modification par Xanaska (15-10-2018 15:12:38)
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[Commerces] Piétonnisation, embellissement, animation : Sabine Bernasconi mobilisée pour relancer le centre-ville
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La maire des 1er et 7e arrondissements de Marseille Sabine Bernasconi organisait le troisième « déjeuner avec le maire » le 11 octobre dans ses locaux. Ces réunions ont pour but de recueillir les remarques des commerces du secteur et mener à bien la redynamisation du centre-ville.
Sabine Bernasconi, maire (LR) des 1er et 7e arrondissements de Marseille a reçu quelques commerçants récemment installés dans le premier secteur jeudi 11 octobre 2018, à l’occasion du troisième « Déjeuner avec le maire » organisé avec la fédération de commerces Marseille Centre. Le but de ce rendez-vous, donner la parole aux commerces des alentours afin de les aider à se développer, dans le cadre de la requalification du centre-ville. Devant les fondateurs des projets For Atao (7e), Intuitive déco (1er), Aglae et Sidonie (1er) et Tarimera (6e), Sabine Bernasconi a rappelé son ambition de donner un nouveau souffle au cœur de la ville.
« On invite à se différencier des centres commerciaux »
Le premier point d’action : évoluer face aux centre commerciaux. « Je pense qu’aujourd’hui Marseille a atteint son maximum de possibilité d’accueil pour les centres commerciaux », clame Sabine Bernasconi. L’enjeu est alors de développer un service différent de celui que proposent les galeries marchandes. « On invite à consommer local, à valoriser des produits de niches pour se différencier des centres commerciaux », précise Marianne Tiberghien, chargée de mission à Marseille Centre qui a déjà fait aboutir une vingtaine de projets ces trois dernières années. La maire des 1/7 favorise l’émergence de lieux innovants – à l’image des commerces présents – et parle de balade plutôt que de shopping, qu’elle cantonne plutôt à la rue St Ferréol « en souffrance » selon elle. « Tout centre-ville qui se respecte doit évidemment avoir ses trois Zara, ses quatre H&M, ses dix Uniqlo… », tempère toutefois Sabine Bernasconi en glissant à ce sujet « Pas mal de choses vont arriver » sans ajouter de précisions. Toutefois, le groupe Hammerson, propriétaire des Terrasses du Port, participe à l’accompagnement des commerces du centre-ville. « On a signé une charte avant la construction des Terrasses du Port avec la Chambre des métiers, la Chambre de commerce, la Ville de Marseille et l’association des commerçants du centre-ville pour que l’arrivée des galeries n’impactent pas de manière négative la fréquentation du centre », ajoute Camille Munoz responsable du service commerce à la Ville de Marseille.
Opéra piétonnisé : mieux s’approprier le centre
Le plan de requalification du centre-ville de Marseille constitue également une partie majeure dans la quête de renouveau des quartiers concernés. « L’Opéra sera un îlot piétonnisé en 2019 », annonce Sabine Bernasconi de manière officieuse. « Cela va ressembler à la rue Paradis : on éclaircit les rues, on pose des pavés, et des demandes ont été formulées pour végétaliser ». A cela s’ajoute des travaux à Noailles pour 2019 et une idée de piétonnisation un samedi par mois énoncée par Marseille Centre. « Il ne faut toutefois pas enclaver le centre-ville et travailler à ce que les accès soient facilités », met en garde la maire de secteur.
Piétonniser plusieurs parties du centre-ville est une ambition qui tient à cœur à Sabine Bernasconi et que l’on retrouve dans le principe des Dimanches de la Canebière dont elle est à l’origine. La manifestation a d’ailleurs, selon elle, participé à changer les esprits en donnant un nouveau souffle aux projets d’aménagements et de piétonnisation. Pour les prochaines programmations, la municipalité prévoit d’agrandir et d’englober le quartier de l’Opéra. « Mais il faut accepter que des espaces ne soient pas piétonnisés » en raison des contraintes liées à la sécurité, note la maire.
Sabine Bernasconi a d’autre part marqué une autre priorité concernant la réfection des enseignes des commerces. « Il faut arrêter de laisser faire n’importe quoi sur les devantures des commerces ! », s’exclame la maire qui propose de réfléchir à une charte esthétique. « Des subventions sont accordées à des porteurs de projet ou des commerçants déjà en place pour rénover leur devanture à hauteur de 80% la plupart du temps et sur un périmètre réduit : rue Grignan/Canebière/rue d’Aubagne/rue Breteuil », poursuit Camille Munoz. « Aujourd’hui on a validé une dizaine de dossiers pour un montant de près de 70 000€ ».
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