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D'autres images de ce à quoi devrait ressembler le futur musée des Beaux-arts :
Source
Source : L'Union
Et pour ceux qui veulent de la lecture : dossier de presse
Dernière modification par Durocorter (25-07-2019 11:11:36)
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L'extension en béton brut me fait vraiment peur ! Déjà parce que je déteste le béton brut, mais également car le musée actuellement est déjà tout noir, tout gris, tout crade quoi, donc imaginez le rénover en y ajoutant un bâtiment en béton brut, un matériaux pas connu pour rester propre et resplendissant, c'est pour moi une grossière erreur. Surtout à quelques pas de notre magnifique cathédrale !
D'ailleurs pour constater comment vieillit le béton brut, il suffit de regarder l'état de La Comédie de Reims ! Et encore, elle n'est pas entièrement en béton et surtout, elle n'est pas à quelques pas d'un monument exceptionnel !
Je pense finalement que ce projet est, comme les projets de logements dans le même cas, choisit car étant moins cher...
Façade Béton < Façade Pierres
Dernière modification par shacko51 (25-07-2019 13:40:35)
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Plus je regarde les images, plus j'ai l'impression que le béton sera teinté pour être de la même couleur que la pierre du bâtiment historique.
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C'est ce qu'on peut voir, mais les images sont non contractuelles...
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La salle de cinéma en 4DX ouvre mercredi au Gaumont de Thillois
Une salle d’un nouveau genre, et unique dans la région, s’apprête à ouvrir au cinéma Gaumont du parc Millésime de Thillois. Le public va pouvoir tester la technologie 4DX avec… un film d’horreur.
[...] « Les spectateurs ressentent physiquement ce qui se passe à l’écran, dévoile Philippe Gasmi, directeur du cinéma du parc Millésime. Déjà, les fauteuils vibrent, mais en plus, ils pourront éprouver des effets sensoriels spécifiques tels que le vent, la pluie, l’orage, le brouillard, la neige, la fumée, les odeurs et la lumière. » Prenez une scène d’orage par exemple, ils sentiront les vibrations de la foudre, seront éblouis par l’éclair et ébranlés par le tonnerre. Ils risquent également de sentir la pluie, même s’il s’agira d’une « pulvérisation très légère », assure le directeur qui tient à rassurer le public : « Nous fournirons des protections à ceux qui le demanderont et il sera possible de désactiver le “mode pluie” individuellement. »
Pour mettre en place la 4DX à Thillois, une ancienne salle a été entièrement réaménagée et rééquipée : « On est passé de 160 sièges classiques à 80 fauteuils spéciaux, montés sur vérins. Il a également fallu installer et cacher une énorme infrastructure électronique. »
La première projection 4DX est prévue ce mercredi 30 octobre au Gaumont Parc Millésime. Il s’agira de « Retour à Zombieland ». Sensations fortes garanties.
Ça va secouer!
Montés sur vérins hydrauliques, les fauteuils mobiles peuvent se soulever, osciller ou basculer et ainsi, épouser les mouvements de la caméra ou réagir en fonction de ce qui se passe à l’écran. Une course poursuite en voiture, un hélicoptère qui s’écrase au sol, une fusée qui décolle... les spectateurs doivent s’attendre à être chahutés, à moins qu’ils ne sentent des chatouilles, comme si un chat passait près de leurs jambes... Pour cette nouvelle expérience cinématographique , comptez environ « 6 € de supplément », selon le directeur du cinéma.
Source : L'Union
Dernière modification par Durocorter (28-10-2019 09:50:25)
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Un très bon départ pour le nouveau multiplexe Opéraims
Les entrées ont d’ores et déjà dépassé les chiffres de l’an passé sur la même période. Alors que l’Opéra comptabilisait 160 000 entrées à l’année (depuis la fermeture du Gaumont), l’objectif annoncé est de 450 000 entrées par an pour l’Opéraims.
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Visiblement Reims serait candidate pour la capitale européenne de la culture 2028 :
https://www.lunion.fr/id126082/article/ … finalement
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Reims en lice pour devenir capitale européenne de la culture en 2028
[...] Reims a un peu plus d’un an pour préparer et peaufiner son plan. Car le dossier de candidature doit être déposé à la Commission européenne en septembre 2022. Il se présentera « comme un récit du territoire qui conte l’identité de Reims, son authenticité, ses valeurs mais également ses ambitions futures et son ouverture sur l’Europe ».
Dès le mois prochain, une équipe d’« ambassadeurs » sera désignée par la Ville pour préparer ce dossier de candidature, au sein d’une association spécialement créée : l’association « Reims 2028 Capitale européenne de la Culture ». Si aucun nom n’est encore avancé, plusieurs personnalités auraient déjà appelé le maire pour se mettre sur les rangs et proposer leur aide. [...]
Pour préparer 2028, le maire compte augmenter le budget de la culture, qui représente aujourd’hui 14 % du budget total de la Ville, et lancer un appel à mécénat. Il rappelle par ailleurs que la Capitale européenne de la culture s’intéressera à « la culture au sens large » puisque le sport, l’urbanisme, l’architecture et le patrimoine ne seront pas oubliés.
Si Reims décroche le label Capitale européenne de la culture, elle organisera en 2028 plus de 500 manifestations. « Nous associerons nos villes voisines que sont Châlons, Chaleville et Troyes », promet Arnaud Robinet.
Source : l'Union
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Je trouve que Reims a pas mal d'atouts, proximité de Paris, Gare TGV, patrimoine connu, et une histoire de la ville très riche (cathédrale, ville du sacre des rois de France, etc....)
L'idée de le faire avec d'autres villes de l'ex Champagne Ardenne est une très bonne chose, ça va dynamiser la culture dans cette ex-region, des Ardennes à l'Aube voire la haute Marne, et donc générer une activité économique, et un développement culturel plus riche à terme
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Un futur royal pour l'axe Chanzy-Gambetta
La ville de Reims a pour projet de créer une « Voie des sacres », calquée sur l'itinéraire emprunté jadis par les rois de France lors de leur couronnement. Un cheminement qui s'étire sur 1,6 km, de la cathédrale à la basilique Saint-Remi.
La cathédrale et le champagne sont les maîtres-mots de l'attractivité touristique rémoise. Il y en a pourtant un troisième, encore sous-exploité, mais qui présente un grand potentiel : le sacre ou plutôt les sacres. En l'occurrence, ceux des rois de France, au nombre de 33 à être venus à Reims pour y être couronnés [...]
« Nous devons potentialiser notre histoire étroitement liée à celle de France, a ainsi déclaré le maire de Reims. Cela passe par l'aménagement de la Voie des sacres, un axe qui mérite d'être magnifié ».
UN ENJEU ÉCONOMIQUE ET TOURISTIQUE
Si aucune précision sur la matérialisation de ce projet n'a été dévoilée, il n'a rien de nouveau. Il trouve son origine en 2016, [...] Son objet est alors clair : faire la promotion de l'histoire des sacres à Reims aux niveaux culturel, touristique et éducatif. Une nouvelle muséographie consacrée aux sacres au palais du Tau et l'aménagement d'une voie des sacres sont évoqués parmi d'autres idées. « Le constat, c'est que seulement 10 % des visiteurs de la cathédrale se rendent jusqu'à la basilique Saint-Remi, explique Patrick Demouy. Il est donc logique de vouloir créer du lien par le traitement de l'urbanisme en réalisant des jalons entre les deux monuments, avec un double objectif : économique et touristique. » Si cette Voie des sacres « n'est pas une appellation d'origine contrôlée », dixit le spécialiste de l'histoire médiévale rémoise, elle repose cependant sur une cohérence historique. « Lors de chaque sacre, les moines de Saint-Remi, gardiens de la Sainte Ampoule, venaient en procession et sous bonne escorte jusqu'à la cathédrale. Le lendemain de la cérémonie, le roi se rendait à son tour à la basilique pour observer les reliques de l'évêque qui a baptisé Clovis. Cela se faisait le long de l'axe Chanzy-Gambetta. »
UN PARCOURS S'APPUYANT SUR 33 SACRES
L'histoire est donc là et ne demande qu'à être racontée. Consulté par la municipalité sur le projet, Patrick Demouy estime que la création de la Voie des sacres doit reposer en priorité par un travail d'amélioration du parcours entre les deux monuments inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco. « Cela passera évidemment par le traitement des luminaires et de la voirie, mais aussi par l'utilisation de relais naturels ». Le parvis du collège Université, le conservatoire, l'enceinte de la Maison Saint-Sixte ou encore la place Saint-Maurice sont autant d'éléments patrimoniaux qui pourraient servir de points étapes rythmant le parcours. « L'enjeu c'est de remplir l'espace entre la cathédrale et la basilique, insiste le professeur des universités. Nous avons 33 rois sacrés à Reims, ce qui permet un jalonnement. On peut imaginer un circuit historique, comme les cailloux du Petit Poucet qui guideraient les visiteurs d'un endroit à l'autre. » Habillage des murs aveugles, installation de bornes le long du parcours, sous la forme de bustes des rois ou de panneaux musicaux, il y a la matière à offrir aux visiteurs un lien entre les deux sites Unesco.
UN CALENDRIER CALQUÉ SUR CELUI DES LIGNES DE BHNS ?
Cependant, le projet de la Voie des sacres est lourd financièrement. Aujourd'hui, quand une rue est requalifiée, cela concerne en effet aussi ses sous-sols et les réseaux qui y circulent. De plus, l'axe Chanzy-Gambetta, très emprunté par les transports en commun, devrait être concerné par un autre gros dossier, celui visant à créer deux lignes de bus à haute intensité de service (BHNS). Logiquement, les deux devraient être réalisées simultanément. L'annonce récente par le ministère de la Transition écologique de l'attribution d'une subvention de 14,6 millions d'€ à ce projet donne même quelques éclaircissements concernant le calendrier. En effet, la dotation de l'Etat en faveur des transports en commun rémois est soumise à une condition, que les travaux débutent avant fin 2025.
Source : l'hebdo du vendredi
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Pour conquérir l’Europe, Reims cherche l’inspiration dans le nord
La ville du champagne veut aussi devenir celle de la culture. Pour préparer au mieux sa candidature au titre de capitale européenne, elle cherche à s’inspirer de ce qui a marché ailleurs. En particulier à Lille, où une délégation s’est rendue cette semaine.
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Le Palais du Tau à Reims se refait une beauté pour devenir le musée des sacres
Majestueux mais vieillot, le Palais du Tau, qui jouxte la cathédrale de Reims, s'engage dans un vaste chantier de plus de 16 millions d'euros. Rénovation du bâtiment, restauration des œuvres et parcours immersif centré sur les sacres de rois de France, c'est un tout nouveau musée qui se profile à l'horizon 2024...
[...] Concrètement, les sculptures, les objets du sacre de Charles X et certains objets du « trésor » seront séparés pour être répartis le long d’un parcours chrono-thématique, qui comptera une quinzaine de salles sur 2000 m². On trouvera par exemple la magnifique tapisserie du Couronnement de Clovis et le calice de saint Remi dans une salle dédiée à Clovis, la Sainte Ampoule dans une section sur le thème de l’onction royale, le fac-similé de la couronne du sacre de Louis XV dans une salle sur les instruments rituels, etc. Le point d’orgue de la visite sera l’installation vidéo immersive consacrée à la cérémonie du sacre elle-même. Ca et là apparaîtront des œuvres contemporaines spécialement commandées pour la nouvelle scénographie, qui contribueront à créer différentes atmosphères. Notamment dans la chapelle, où sera évoqué le toucher des écrouelles. Mais ce qui ne changera pas, et l’on s’en félicite, car le lieu est magique avec son ambiance à la Viollet-le-Duc, c’est la Chapelle basse accueillant la collection lapidaire de la cathédrale, qui bénéficiera seulement d’un nouvel éclairage. [...]
Source : connaissancedesarts.com
En attendant de découvrir les lauréats, voici une image d'une candidature non retenue pour le concours de Maîtrise d'oeuvre pour les aménagements intérieurs et la scénographie du parcours de visite du Palais du Tau : page instagram de Planda architectes
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Plusieurs blagues de poisson d’avril imaginées autour de la ville
Plusieurs rues de la ville ont été rebaptisées sur des plaques traditionnelles. Ainsi sont apparues : « Rue Chabaud thé », « Rue Eugène Desteuque Haché », ou « Rue de Cernay qu’un au revoir »
https://www.20minutes.fr/societe/326416 … e-la-ville
https://www.lunion.fr/id356961/article/ … sees-reims
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La ville se porte acquéreur du local au 55 rue Chanzy, anciennement l'école Blot, pour l'affecter à un projet culturel.
Le maire a proposé d'y installer les bureaux de l'association Reims 2028 (candidature à la capitale européenne de la culture) et un espace d'exposition pour les arts plastiques notamment.
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La modernisation du conservatoire de Reims est lancée
Haut lieu d'enseignements artistiques, le conservatoire à rayonnement régional de Reims va faire l'objet d'une extension et d'une restructuration.
Après avoir très longtemps œuvré dans les locaux de l'ancienne banque Chapuis, situés rue Carnot aujourd'hui occupés par la Caisse d'Epargne, le conservatoire de Reims est installé depuis 1994 rue Gambetta, dans un vaisseau de béton imaginé spécialement par les architectes Jean-Loup Roubert, Henri Dumont et Jacques Bléhaut. Depuis, les pratiques ont grandement évolué si bien que le bâtiment ne répond plus tout à fait aux attentes pédagogiques du classement « à rayonnement régional » délivré par le ministère de la Culture. Il est ainsi nécessaire de repenser un certain nombre d’espaces et plus particulièrement les secteurs Danse et Théâtre qui n’ont pas été suffisamment structurés à l’époque. [...] Plus globalement, l'établissement d'enseignements artistiques rémois a besoin d'être modernisé. Estimé à 5 M€, le projet est sur les rails, validé en conseil municipal le 4 mai dernier, avec en premier lieu le lancement du concours de maîtrise d’œuvres, prévu dès cette année.
Source : l'hebdo du vendredi
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Le chantier du nouveau musée de Reims enfin lancé
La première pierre de la restauration-extension du musée des Beaux-arts de Reims a enfin été posée. Il faudra encore patienter au moins trois ans pour découvrir le monument réinventé par l'architecte Francisco Aires Mateus.
[...]
Estimé à 45,3 M€ en 2019, le coût de la restauration-extension du musée des Beaux-arts de Reims est désormais évalué à 65 M€ (54 M€ HT). Ce budget est principalement financé par la ville de Reims, avec le soutien de la région Grand Est et de l'Etat, qui contribue respectivement à hauteur de 11,25 M€ et de 6,2 M€. La livraison du chantier est prévue fin 2025, avant une ouverture au public espérée courant 2026.
Voilà à quoi devrait ressembler une salle d'exposition du musée rémois. (© Aires Mateus Architectes)
Nouveauté, l'établissement disposera d'un café s'ouvrant sur le jardin. (© Aires Mateus Architectes)
Le futur musée des Beaux-arts offrira une salle à l'oeuvre de Foujita. (© Aires Mateus Architectes)
Une salle dédiée à Foujita
L'un des points forts du futur musée sera la salle dédiée à Léonard Tsuguharu Foujita (1886-1968), un artiste intimement lié à Reims. Elle présentera une collection de référence, issue notamment d'une donation faite à sa ville de cœur en 2013 par ses héritiers, riche de 663 de ses œuvres et d'autres objets lui ayant appartenu. La salle accueillera également un module immersif reprenant la forme de la chapelle Notre-Dame de la Paix, dessinée et décorée par l’artiste dans la cité des sacres. A l’intérieur, une projection vidéo évoquera l’univers des formes si particulières de Foujita, tandis que seront présentés par roulement de nombreux dessins préparatoires du maître pour la réalisation de la chapelle, dont les derniers ont été acquis en 2021 auprès des héritiers de l’architecte Maurice Clauzier. Ce faisant, la ville de Reims respectera ainsi les souhaits du maître japonais. En effet, dans son journal, on peut lire : « Si cela est possible, je veux créer un musée avant de mourir. Je veux que mes peintures soient rassemblées. C'est ma volonté en tant qu'artiste de voir mes œuvres perdurer ».
Source : l'Hebdo du Vendredi
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Les travaux du musée des Beaux-Arts ont enfin commencé :
- Les fenêtres de l'aile qui deviendra l'espace d'accueil ont été étayées (tout comme celles donnant rue Chanzy (pas sur la photo)) ;
© Durocorter
- L'aile qui longe la rue Jadart a été amputée d'un tiers, ce qui laisse apparaitre la façade des Galeries Lafayette (au premier plan l'ancien jardin) ;
© Durocorter
- Vues de cette aile depuis la rue Henri Menu.
© Durocorter
© Durocorter
© Durocorter
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A noter que la partie de l'aile "Jadart" détruite sera reconstruite à l'identique, (je suppose que tu le sais ?) pour y accueillir notamment un monte charge.
J'espère, même si on en a pas entendu parler et que la fin du chantier est encore loin, que les murs aveugles rue Jadart seront mis en valeur ! Pourquoi pas par du street art ? Ou un écran qui pourrait afficher des infos sur le musée, des œuvres, ou même des spot publicitaire sur le musée qui pourrait être crée en partenariat avec des étudiants (en communication, en art ou les deux). Enfin bref, quelque chose d'original, pas des grands murs vides en enduit pas beau.
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