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le renard a écrit:
Le pdf est incomplet apparemment, il s'arrête subitement à la page 57.
Pour moi il s'affiche jusqu'à la fin (p.71). Mais mieux vaut l'enregistrer avant de l'ouvrir, sinon il y a des erreurs...
Tous les grands projets à Nice + le suivi des permis de construire : nice2030.free.fr
Je préfère l'article et la carte d'urbanews qui est plus claire que celle du moniteur. Mais qui reprend les données des échos.
Y a t'il un moyen de connaitre l'évolution de cette tendance sur les 20-30 dernières années?
Savoir qu'elles villes sont passées d'une catégorie à l'autre.
Oui, je signe "One City" pour que le Parlement européen s'installe à plein temps à Strasbourg! http://www.one-city.eu/fr/signature
Let Europe's heart beat in Strasbourg : sign One City ! http://www.one-city.eu/en/index
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Ce genre d'études me laisse vraiment dubitatif.
Je ne connais réellement que Lille dont la situation semble ici très mauvaise. Or, j'en ai fait l'expèrience il n'y a pas si longtemps, il n'est vraiment pas évident de trouver un logement à un prix raisonnable (évidemment, rien à voir avec les prix parisiens), on est souvent très nombreux à "postuler" pour les locations d'appartement. D'autre part, il se construit dans tous les quartiers de toutes les communes de nombreux immeuble résidentiels. Les promoteurs sont-ils suicidaires?
Born and raised in the blue banana.
Je voulais juste revenir sur cette partie du document:
En Rhône-Alpes, Grenoble, Saint-Chamond et Saint-Etienne ont aussi un bilan déficitaire, mais se situent plus bas dans le classement (respectivement en 6e, 7e et 8e classe). Parmi elles, le cas de Grenoble offre un contraste saisissant avec la réputation de compétitivité acquise aux plans notamment scientifique et technologique.
Ils oublient de dire que Grenoble (et son agglomération) était une ancienne ville industrielle et que beaucoup de ces usines ont fermées. C'est un fait, tout comme St Etienne et St Chamond, l'agglomération grenobloise n'attirent donc plus une population ouvrière ni de retraités. Les retraités qui s'en vont sont venus dans la région à l'époque du boom économique des années 50/60 (industrie mécanique, électrique). De plus les nouvelles grandes zones industrielles ne se situent pas dans l'agglomération mais au sein de l'aire urbaine ou à ses franges (Moirans, Crolles). Par contre le nombre d'ingénieurs et cadres est toujours en augmentation (même si ce n'est pas propre à Grenoble). Par exemple, entre 1999 et 2007 et pour la seule ville de Grenoble, le nombre d'ouvriers a diminué de 700 personnes (passant de 9,2% à 8,5%), celui d'employé est resté stable (à 14,5%), celui des professions intermédiaires a augmenté de 3000 personnes (de 13,3% à 15,2%) et celui de cadres a augmenté de 5400 personnes (passant de 11% à 14,6%) ! Et pourtant ce n'est pas à Grenoble que se concentre les habitants aux catégories socioprofessionnelles supérieures.
Parmi mes collègues ingénieurs, très peu sont originaires de la région, beaucoup viennent de la région parisienne...
Tout cela pour dire que ce n'est pas parce qu'une ville n'attire pas de retraités ou plus d'ouvriers qu'elle ne peut avoir une "réputation de compétitivité acquise aux plans notamment scientifique et technologique". Ce sont deux choses qui n'ont pas vraiment de rapport entre elles...
Trouvé dans le journal de la CCI de Grenoble de juillet (bon ok, ils ne sont pas toujours très objectifs ):
Attractivité du territoire - Un territoire à pôles d’attraction multiples
L’attractivité du territoire grenoblois repose sur des facteurs enviés : une identité orientée R & D et innovation, des technologies de pointe, des compétences clés et des projets d’aménagement à large spectre, malgré un environnement contraint.
Une constellation de zones d’activités parfaitement complémentaires et soudées par un même esprit d’innovation : tel apparaît le paysage économique global de la région grenobloise. Crolles 2, l’un des centres de recherche et de développement les plus avancés au monde, continue de susciter l’intérêt des investisseurs sur l’ensemble de la région. La région urbaine se diversifie encore avec plusieurs projets récemment aboutis, comme le parc économique Champfeuillet, à Voiron, à vocation tertiaire et technologique, contrepoint aux activités surtout industrielles de Centr’Alp, entre Moirans et Voreppe. La zone intercommunale d’Actipole, sur Veurey-Voroize, tend à devenir elle aussi un maillon important du tissu, dédié à la fois aux technologies, à la production légère et aux services. Au cœur de l’agglo, le projet urbain grenoblois Giant, annoncé comme l’un des trois projets d’aménagement les plus importants en France, devrait encore valoriser l’excellence du territoire grenoblois. Giant se situe dans la tradition d’un dynamisme nourri de la collaboration entre les universités, les laboratoires, les pôles de compétitivité et l’industrie.
Une attraction internationale
L’environnement alpin est un atout considérable : “La qualité de vie fait partie des motivations des investisseurs. Être à la montagne à un quart d’heure du bureau, ça compte pour l’image et le bien-être!”, assure Guillaume Wouttaz, responsable de l’agence Arthur Loyd, à Grenoble. Les projecteurs se braquent bien sûr aussi sur Grenoble pour la qualité de ses compétences. Jeunes diplômés d’écoles renommées, cadres en poste et ingénieurs des centres de recherche suscitent l’intérêt des décideurs internationaux.
[...]
http://www.grenobleecobiz.biz/ccig/pres … enDocument
Je suis aussi très dubitatif, surtout pour ce qui est du solde migratoire à l'échelle intra muros.
Voir Lyon classée en ville perdante c'est du grand n'importe quoi. La ville n'a aucune capacité d'urbanisation sur son territoire communal (comme Lille) alors que Toulouse ou Montpellier possèdent de bonnes réserves foncières, ce qui leur permet d'absorber la nouvelle population due à leur attractivité.
Comme le renard, je dirais que l'échelle de l'aire urbaine est bien plus pertinente, il suffit de voir la croissance des troisièmes couronnes de Nantes et Rennes (les couronnes non incluses dans la délimitation insee 1999) pour s'en rendre compte
Ma carte des opérations d'urbanisme sur le Nord-Vendée (12 pages) :
https://maps.google.fr/maps/ms?msid=203 … &msa=0
L'étude est basée sur le solde migratoire des unités urbaines entre 1999 et 2006 avec les limites des unités urbaines de 1999. C'est donc pas étonnant de voir Lyon classée dans les villes perdantes, le solde naturel de l'unité urbaine étant négatif sur cette période. Sa croissance démographique est due uniquement au solde naturel. Si l'étude avait porté sur un périmètre plus restreint, c'est à dire les villes intra-muros, le résultat aurai été très différent puisque le solde migratoire de la ville de Lyon est largement positif. Le résultat aurai également été positif sur un périmètre plus large qu'est l'aire urbaine, puisque c'est la première couronne qui est très déficitaire à cause des migrations soit vers les communes centres (Lyon et Villeurbanne essentiellement) ou vers la seconde couronne (non prise en compte dans l'étude).
eiffel-ô a écrit:
Je suis aussi très dubitatif, surtout pour ce qui est du solde migratoire à l'échelle intra muros.
Voir Lyon classée en ville perdante c'est du grand n'importe quoi. La ville n'a aucune capacité d'urbanisation sur son territoire communal (comme Lille) alors que Toulouse ou Montpellier possèdent de bonnes réserves foncières, ce qui leur permet d'absorber la nouvelle population due à leur attractivité.
Pas du tout, il ne s'agît pas la des villes intra-muros mais de toute l'agglomération, d'ailleurs je pense que les agglomérations ont été prise comme base plutôt que les intra-muros justement pour éviter que l'étude soit biaisé. Lille, Lyon, Strasbourg, Paris, Rennes, Nantes sont perdantes dans les échanges c'est un fait. Je vois pas en quoi voir Lyon ville perdante dans les échanges est choquant.
J'aurais un avis contrasté concernant les grandes métropoles :
-il y a un réel développement depuis 20 ans des métropoles périphériques avec un schéma en forme de fer à cheval de Rennes à Strasbourg (et en mettant de côté l'extrême Nord autour de Lille qui fait exception).
-mais on a l'impression que ce développement ce fait en catimini et qu'il n'est pas vraiment reconnu et accepté par nos élites politiques et culturelles (parisiennes pour la plupart...) qui font tout pour en réduire les effets car elles ont l'impression (inavouée) que cela se fait au détriment de la région capitale...or comme elles disposent des crédits d'État et de l'aménagement du territoire, elles ont tendance à continuer à bombarder cette région de leurs subsides (payées par les contribuables nationaux...) comme elles l'ont fait depuis toujours.
Il y a donc un décalage entre le mouvement naturel de la société, décentralisateur, et le projet politique national qui reste excessivement centralisateur (voir le projet de GRAND PARIS), sous prétexte de concurrence internationale des métropoles...
N'êtes vous pas frappé par ailleurs du fait qu'aucun grand media national (journal, télévision...) ne soit en province ?
Or le discours qui est véhiculé est un discours principalement parisien du fait de ce tropisme.
Megapolis a écrit:
eiffel-ô a écrit:
Je suis aussi très dubitatif, surtout pour ce qui est du solde migratoire à l'échelle intra muros.
Voir Lyon classée en ville perdante c'est du grand n'importe quoi. La ville n'a aucune capacité d'urbanisation sur son territoire communal (comme Lille) alors que Toulouse ou Montpellier possèdent de bonnes réserves foncières, ce qui leur permet d'absorber la nouvelle population due à leur attractivité.Pas du tout, il ne s'agît pas la des villes intra-muros mais de toute l'agglomération, d'ailleurs je pense que les agglomérations ont été prise comme base plutôt que les intra-muros justement pour éviter que l'étude soit biaisé. Lille, Lyon, Strasbourg, Paris, Rennes, Nantes sont perdantes dans les échanges c'est un fait. Je vois pas en quoi voir Lyon ville perdante dans les échanges est choquant.
Le plus probable c'est que ce soit l'unité urbaine (ou pas loin) qui ait été prise pour faire l'étude. Que l'UU soit déficitaire dans les échanges est effectivement un fait ; une étude sur l'aire urbaine aurait peut-être montré un solde positif ; auquel cas la conclusion aurait été que la première couronne de Lyon a un solde migratoire négatif au contraire de la commune centre et de la deuxième couronne...
Bref, le résultat de l'étude n'est clairement pas contestable, l'interprétation qui en est faite sur l'attractivité, si. Il peut en effet y avoir débat sur l'attractivité selon que l'on considère l'UU ou l'AU. Quelle est l'échelle la plus pertinente ? Sur quels arguments ?
L'analyse faite est complètement propre aux auteurs de cette étude, avec un parti pris sur les éléments caractéristiques de l'attractivité d'une ville.
Les faits sont là, la contestation ne peut donc avoir lieu que sur les partis pris de base et l'analyse qui en découle.
L'étude porte bien sur les unités urbaines donc oui l'UU de Lyon a bien un solde migratoire déficitaire sur cette période (1999-2006). Pour l'aire urbaine le solde migratoire est légèrement positif sur la même période : +0,1 % par an (source insee)
En fait pour schématiser l'aire urbaine se découpe en 3 secteurs.
Le centre (Lyon + Villeurbanne) : solde migratoire positif
La couronne urbaine : solde migratoire négatif
La couronne périurbaine : solde migratoire positif
Ce qui donne :
Centre + couronne urbaine = Unité urbaine : solde migratoire négatif
Unité urbaine + couronne périurbaine = Aire urbaine : solde migratoire positif
Ca démontre juste que l'étude aurai donnée des résultats différents si elle avait considéré un périmètre plus large, l'aire urbaine car il y a des migrations internes à l'aire urbaine (c'est ce que j'ai voulu expliquer dans mon précédent poste) qui ne sont pas pris en compte, le solde migratoire entre la couronne urbaine et la couronne périurbaine étant très favorable à la couronne périurbaine.
PS : je rajoute juste un point qui me semble important lorsqu'on parle d'attractivité des villes, j'ai pas lu l'intégralité de l'étude mais est-ce qu'elle précise le type de populations des migrants ? C'est pas la même chose que d'attirer des retraités ou d'attirer des jeunes actifs puisque cette variable joue directement sur le solde naturel. Ca explique pourquoi des villes soit-disant pas attractive on un solde naturel supérieur à des villes dites attractives...
Vali a écrit:
J'aurais un avis contrasté concernant les grandes métropoles :
-il y a un réel développement depuis 20 ans des métropoles périphériques avec un schéma en forme de fer à cheval de Rennes à Strasbourg (et en mettant de côté l'extrême Nord autour de Lille qui fait exception).
-mais on a l'impression que ce développement ce fait en catimini et qu'il n'est pas vraiment reconnu et accepté par nos élites politiques et culturelles (parisiennes pour la plupart...) qui font tout pour en réduire les effets car elles ont l'impression (inavouée) que cela se fait au détriment de la région capitale...or comme elles disposent des crédits d'État et de l'aménagement du territoire, elles ont tendance à continuer à bombarder cette région de leurs subsides (payées par les contribuables nationaux...) comme elles l'ont fait depuis toujours.
Il y a donc un décalage entre le mouvement naturel de la société, décentralisateur, et le projet politique national qui reste excessivement centralisateur (voir le projet de GRAND PARIS), sous prétexte de concurrence internationale des métropoles...
N'êtes vous pas frappé par ailleurs du fait qu'aucun grand media national (journal, télévision...) ne soit en province ?
Or le discours qui est véhiculé est un discours principalement parisien du fait de ce tropisme.
Aucun média en province? Faux. Très peu de média national en province c'est véridique.
Il y a les médias locaux, les décrochages locaux des médias nationaux en province et arte.
C'est la centralisation de notre république, c'est pas nouveau.
Nous ne sommes pas un état fédéral hélas.
Tu parles de développement pour cette zone, il existe c'est vrai.
Mais il est bien plus faible que celui du Sud de la France.
Paris est une mégapole qui joue au niveau international avec Londres, New-York, Beijing.
Il est normal d'aider cette région dans cette compétition globale. Cette concurrence internationale existe, ce n'est pas une invention. De plus l'ile de France perd des habitants chaque année au profit des autres régions.
Il faut pas confondre ces 2 combats. Les villes de province combattent entre elles et veulent aussi arriver à un niveau européen.
Mais les villes françaises hors Paris partent de très loin, il faut se souvenir l'état de ces villes il y a quelques années. Paris et le désert français. C'est beaucoup mieux maintenant même si ce n'est pas suffisant.
Enfin le projet de Grand paris a été voté par une majorité d'élus de province donc il n'y a pas de complot. C'est un fait nous ne sommes pas un état fédéral, pas un état régional mais un pays centralisé.
Et la majorité de la population n'est pas contre la centralisation de l'état.
Dès qu'il y a une différence entre deux régions, les gens crient à l'injustice.
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Bah il faut bien prendre un périmètre en compte, prendre tout les périmètres serait trop de travaille surtout que l'étude est déjà très longue et complète. Je pense que l'unité urbaine est un bon périmètre, c'est un bon compromis, c'est nettement plus que intra-muros et un peu moins que les aires urbaines et puis cela correspond à l'agglomération. Mais c'est vrai que en prenant comme périmètre l'agglomération la péri-urbanisation est pas prise dans son ensemble.
Megapolis a écrit:
Bah il faut bien prendre un périmètre en compte, prendre tout les périmètres serait trop de travaille surtout que l'étude est déjà très longue et complète. Je pense que l'unité urbaine est un bon périmètre, c'est un bon compromis, c'est nettement plus que intra-muros et un peu moins que les aires urbaines et puis cela correspond à l'agglomération. Mais c'est vrai que en prenant comme périmètre l'agglomération la péri-urbanisation est pas prise dans son ensemble.
L'unité urbaine bon compromis ?
Ça déprend pour quelle ville.
Montpellier ou Rennes par exemple ou les écarts entre intra muros et unité urbaine sont assez dérisoires et qui ne correspondent pas vraiment aux réalités locales.
Le travail n'aurai pas été plus long en prenant les aires urbaines, toutes les données statistiques utilisées sont fournis par l'insee et elles existent aussi bien pour les unités urbaines que les aires urbaines. Prendre l'aire urbaine aurai été plus pertinent (surtout pour les plus grandes villes avec des loyers élevés éloignant les habitants du centre urbain...) même si la tendance générale n'aurai pas été inversée, les villes du sud sont très largement plus attractives.
en fait j'ai l'impression que chacun veut le cadre qui l'avantage, ce n'est pas de la pub ce sont des chiffres, faut les prendre comme ils sont, y'a pas mort d'homme ou de femme
per tolosa totjorn mai
J'ai plutôt l'impression que tout le monde trouve qu'une étude au niveau de l'aire urbaine aurait été plus pertinente puisque ce terme est attaché à une notion de zone d'emploi même si l'attractivité économique n'est qu'un sous ensemble de l'attractivité générale...
La question de pertinence dépend de ce que l'étude souhaite mettre en évidence. Ici l'étude cherche avant tout à identifier un phénomène: l'héliotropisme. Choisir d'autres postulats met en évidence d'autres phénomènes (Flux migratoire CSP+, population de moins de 40 ans, ...etc...).
ça ne reste qu'une étude, et donc une vérité et non pas la seule vérité.
http://www.lexpress.fr/emploi-carriere/ … 36497.html
Le palmarès des 50 villes où il fait bon travailler
Nantes, Tours et Poitiers, c'est le trio de tête de notre classement des villes où il fait bon travailler, vainqueur chacune dans leur catégorie. Nantes devance Rennes et Lyon parmi les métropoles de plus de 500 000 habitants. Metz et Orléans suivent Tours dans la catégorie des grandes villes de 250 000 à 500 000 habitants. Et pour les villes moyennes (de 150 000 à 250 000 habitants), Poitiers est accompagnée par Besançon et Nîmes.
Les villes de l'ouest ressortent clairement du classement, ce qui se confirme depuis quelques années et va se ressentir dans les chiffres de croissance économique et démographique d'ici 2040 selon l'insee.
Ma carte des opérations d'urbanisme sur le Nord-Vendée (12 pages) :
https://maps.google.fr/maps/ms?msid=203 … &msa=0
Etude annuelle réalisée par la société australienne 2Thinknow « Innovation Cities TOP 100 », agence mondiale d’analyse de l’innovation
Ce classement s’appuie sur 162 « indicateurs d’innovation » parmi lesquels le coût de l’immobilier, l’offre en matière de mobilité (transports en commun), les échanges culturels, la recherche scientifique.
(Source : communiqué de presse BGI 8/12/11)
Plus d'info : http://www.innovation-cities.com/in...
classement des villes les plus innovantes
Classement mondiale
1 Boston
2 San Francisco
3 Paris
--------
Villes de Province
8 Lyon
27 Strasbourg
37 Nantes
41 Bordeaux
44 Toulouse
Villes de Province
8 Lyon
27 Strasbourg
37 Nantes
39 Marseille
41 Bordeaux
44 Toulouse
63 Montpellier
96 Reims
A noter que Nantes, Marseille, Bordeaux et Toulouse ont le même score dans ce classement.
Innovation Cities a écrit:
3 (29 pts) - Paris
8 (27 pts) - Lyon
27 (25 pts) - Strasbourg
37 (24 pts) - Nantes
39 (24 pts) - Marseille
41 (24 pts) - Bordeaux
44 (24 pts) - Toulouse
63 (23 pts) - Montpellier
96 (23 pts) - Reims
Pas vraiment étonné de trouver Paris 3ème, par contre Lyon est une excellente surprise et 9 villes du pays dans leur top 100 laisse rêveur sur ce qu'il en serait si on décentralisait véritablement pour rendre aux régions davantage d'initiatives. Il y a un thread là-dessus... Sans être expert, je prends le parti de faire confiance aux Bretons pour gérer les affaires bretonnes en bons Français. Il est fort possible que les craintes de féodalité moyenâgeuse ou d'abandon des régions les moins riches qui conduisent au centralisme rigide soient liées à la crise de confiance chronique, irrationnelle, débile et destructrice qui mine l'atmosphère sociale du pays alors même que ses résultats restent plutôt encourageants. On devrait se faire confiance au lieu de râler tout le temps. C'est pourtant bien connu que la confiance change tout en bien.
Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin.
L'INSEE vient de remettre à jour ses données locales. J'ai donc comparé les 17 aires urbaines de + de 500000 habitants entre elles. J'ai utilisé 7 critères : la population totale, l'évolution de la population, le taux de chomage, le nombre d'emplois, le nombre de cadres, le salaire net horaire, et le revenu médian. A l'aide de tout ça j'ai établi un classement. Ca vaut ce que ça vaut, mais le débat est ouvert.
Attention c'est un peu long.
POPULATION 2008
1 PARIS 12089098
2 LYON 2118132
3 MARSEILLE 1715096
4 TOULOUSE 1202889
5 LILLE 1150530
6 BORDEAUX 1105257
7 NICE 1005230
8 NANTES 854807
9 STRASBOURG 757609
10 GRENOBLE 664832
11 RENNES 654478
12 ROUEN 649291
13 TOULON 607050
14 DOUAI LENS 544143
15 MONTPELLIER 536592
16 AVIGNON 507626
17 ST ETIENNE 506665
EVO POPULATION 1999-2008
1 TOULOUSE 1.8
2 RENNES 1.4
2 MONTPELLIER 1.4
4 BORDEAUX 1.1
4 NANTES 1.1
6 AVIGNON 1.0
7 LYON 0.9
8 MARSEILLE 0.8
8 NICE 0.8
8 TOULON 0.8
11 PARIS 0.7
12 STRASBOURG 0.6
12 GRENOBLE 0.6
14 ROUEN 0.3
15 LILLE 0.2
16 ST ETIENNE 0.1
17 DOUAI LENS -0.2
Ensuite la partie emploi :
TAUX DE CHOMAGE 2008
1 RENNES 8.0
2 GRENOBLE 9.2
3 NANTES 9.3
4 LYON 10.0
5 TOULOUSE 10.5
5 STRASBOURG 10.5
7 BORDEAUX 10.7
7 PARIS 10.7
9 NICE 11.1
10 ST ETIENNE 11.3
11 ROUEN 11.4
12 TOULON 12.9
13 AVIGNON 13.8
14 MONTPELLIER 13.9
15 LILLE 14.1
16 MARSEILLE 14.3
17 DOUAI LENS 17.8
NOMBRE D'EMPLOIS 2008
1 PARIS 5720418
2 LYON 952724
3 MARSEILLE 679868
4 TOULOUSE 548111
5 LILLE 502826
6 BORDEAUX 486796
7 NICE 395801
8 NANTES 386208
9 STRASBOURG 340078
10 RENNES 303167
11 GRENOBLE 296878
12 ROUEN 265176
13 MONTPELLIER 226585
14 TOULON 215752
15 ST ETIENNE 198979
16 AVIGNON 196086
17 DOUAI LENS 173284
NOMBRE DE CADRES EN 2008
1 PARIS 1551114
2 LYON 181408
3 TOULOUSE 125146
4 MARSEILLE 121503
5 LILLE 92473
6 BORDEAUX 83503
7 NANTES 68490
8 GRENOBLE 66098
9 NICE 65933
10 STRASBOURG 59769
11 RENNES 54312
12 MONTPELLIER 46139
13 ROUEN 36907
14 TOULON 28444
15 ST ETIENNE 24452
16 AVIGNON 22665
17 DOUAI LENS 17805
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