© greg59
Architecture – Urbanisme – Aménagement du territoire
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osin13 a écrit:
Quand j'habitais Marseille j'avais pas de cave non plus mais c'est pas pour autant que j'entreposais mes "merdes" sur le balcon.
Tu le mets où le vélo ma foi ? Sur le palier ? C'est pire ! 
L'état doit au plus vite financer un plan monumental pour les transports en commun à Marseille et sa métropole. 5 milliards minimum.
Moi un vélo sur un balcon, ça me choque pas. Ce qui me choque plus c'est les frigos et meubles ..
Marseille 2012 ... 2013 ... et 2016.
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Je suis d'accord avec toi. J'ai pris le mauvais exemple en parlant de vélo mais je pensais comme toi à tous ces trucs laids qu'on voit souvent sur les balcons Marseillais + les paraboles
Le problème des paraboles est surtout la conséquence d'un laisser-aller de la muncipalité. Elle devrait les interdire dans l'hypercentre et faire respecter cette règle. Même certains immeubles rénovés de la rue de la République en comportent... Ce n'est pourtant pas la mer à boire d'obliger les proprios ou bailleurs sociaux à l'installation de systèmes communs (cable, parabole sur le toit). Il existe le souci des foyers qui utilisent des équipements plus évoluées (paraboles orientables automatiquement pour capter telle ou telle chaîne étrangère) mais on ne peut pas tout tolérer dans un espace aussi dense que le coeur de la ville. D'autant que les réseaux cablés sont de plus en plus riches et qu'internet apporte certaines alternatives également.
Tout comme les façades qui périclitent alors la municipalité à le pouvoir d'imposer une rénovation tous les 10 ans aux proprios.
+100000000000...............
on pourrait au moins relancer les ravalements dans l'hypercentre (canebière, st fe, rome, lonchamp, athènes.....)
-pourquoi la mairie ne fait elle pas sur la canebière ce qui a été fait sur la rue de la république ?
-pourquoi le bd d'athènes/dugommier est il toujours aussi crade, alors que c'est le boulevard d'"entrée" à marseille pour tous les voyageurs de la gare st charles...un peu comme la porte d'aix. (crade aussi)
En amont de l’ouverture du SIMI le 1er décembre prochain à Paris, les principaux Directeurs Régionaux de CB Richard Ellis font le point sur l’état du marché de l’immobilier d’entreprise dans leur zone d’intervention.
Philippe Le Normand, Directeur Régional Méditerranée – Agence d’Aix-en-Provence et Marseille
« Avec près de 100 000 m² transactés sur les trois premiers trimestres, le marché Aix/Marseille reprend des couleurs. Le manque de produits neufs livrables sur les deux prochaines années risque de l’assombrir.
Dès 2013, les grands projets d’EUROMEDITERRANEE (Euromed Center et Quai d’Arenc (le Balthazar) devraient relancer la dynamique ».
(...)
La suite sur:
http://www.agglotv.com/?p=9031
Euroméditerranée au Salon de l'Immobilier d'Entreprise
Le SIMI, salon de l'immobilier d'entreprise, rendez-vous incontournable, se tient actuellement à Paris jusqu’au 3 décembre 2010.
Ce salon rassemble pendant trois jours près de 20 000 professionnels et 400 exposants représentant l'offre immobilière et foncière ainsi que l'ensemble des acteurs associés à l'immobilier et à l'entreprise.
L’objectif est de présenter les offres en matière de bureaux, immobilier commercial de centre ville comme le quartier d’affaire de le Joliette.
Des débats et conférences sont organisés répondant aux problématiques des évolutions de l'immobilier d'entreprise en France sur des thèmes tels que l'expertise, l'architecture, les marchés en régions…
A cette occasion, Euro Disney et Euroméditerranée organisent conjointement, le jeudi 2 décembre de 12h00 à 13h00, une conférence en partenariat avec Business Immo et le cabinet Deloitte & Touche sur le thème suivant :
« Comment s’implanter autrement en France, à travers l’analyse des nouvelles tendances d’implantations internationales, et l’exemple des développeurs de deux territoires dynamiques : le Business Village de Val d’Europe et Euroméditerranée ».
(...)
La suite sur:
[url]http://www.euromediterranee.fr/les-actualites/detail-actualite.html?tx_ttnews[tt_news]=213&tx_ttnews[backPid]=2&cHash=b18014790a[/url]
Immobilier : 30 000 logements fantômes à Marseille
Publié le jeudi 03 février 2011 à 07H10
7% du parc immobilier marseillais est vacant. Les associations réclament la réquisition
(...)
Il y aurait "33 000 à 34 000 logements vacants sur la zone des 18 communes de la Communauté urbaine, estime la Fondation Abbé Pierre. Une trentaine de mille: c'est aussi, par une troublante analogie, le nombre estimé de mal logés à Marseille.
(...)
Sophie MANELLI
Marseille : 70% des permis de construire seraient attaqués
Publié le lundi 07 février 2011 à 18H49
La Ville fait la chasse aux recours abusifs. Roland Blum, le 1er adjoint, veut faire changer la loi
(...)
"Au final, ils sont rejetés dans 97% des cas, estime Roland Blum, mais cela prend du temps, parfois des années. En ce moment, nous avons ainsi 2500 logements neufs bloqués par des procédures."
(...)
Sans compter que nombre de permis suscitent l'ire des riverains pour des raisons qui n'ont rien à voir avec le programme lui-même : "Ce que les gens voient, c'est qu'on empile de plus en plus d'habitants dans des zones déjà saturées de circulation."
Certains élus partagent cette inquiétude : on a vu ainsi l'UMP Guy Teissier poser son veto au démarrage de la Zac Regny ou, à un projet immobilier "esthétiquement pas satisfaisant" à Sormiou ; le PS Garo Hovsépian rejeter des permis en rafale à Ste-Marthe, un secteur dont les infrastructures n'ont pas accompagné le développement exponentiel
(...)
Delphine TANGUY
Il y a peut-être des gens pour lesquels les recours sont un sport national...
Schtroumpfez des pierres, du bois et du mortier... Et construisons une maison schtroumpf !
Comme quoi tous les élus ne sont pas complètement idiots et certains comprennent la nécessité d'un minimum d'exigence esthétique. "C'est véritablement utile puisque c'est joli" disait Saint-Exupéry. Si on pouvait s'en inspirer un peu dans cette ville. Je ne commente même pas l'aspect "transport" dont je ne correspondrai jamais que ce ne soit pas un réflexe pavlovien dans toute opération d'aménagement. On fonctionne encore comme dans les années 60.
Immobilier Marseille: le marché de bureaux risque l’asphyxie (DTZ)
Le marché de bureaux marseillais se redresse mais risque l’asphyxie à court terme par manque d’offres neuves, indique DTZ, conseil international en immobilier d’entreprise.
En 2010, 83 000 m² de bureaux ont été commercialisés à Marseille (+11%), Euroméditerranée confirmant son statut de premier pôle tertiaire avec 59% des transactions de l’année.
Le revers de la médaille, l’offre immédiate de bureaux diminue de 15% en un an et les disponibilités de bureaux neufs ne représentent plus que 43 000 m². En effet, les livraisons de bureaux qui ont atteint un volume record en 2010 avec près de 80 000 m², portent essentiellement sur des opérations pré-commercialisées, et seulement 24 000 m² de bureaux neufs sont attendus en 2011.
"Le marché marseillais devra s’accommoder de cette situation jusqu’en 2014, date à laquelle l’offre neuve fera son retour sur Euroméditerranée", estime le conseil.
Pénurie sur le marché des bureaux mais d'importants stocks vacants en immobilier logistique:
Marseille : fort recul de l'immobilier logistique en 2010
Le marché de l'immobilier logistique en région marseillaise a enregistré une baisse importante de ses commercialisations au cours de l’année 2010, avec seulement 62 000 m² placés, soit un recul de 39% en un an, indique DTZ, conseil international en immobilier d’entreprise.
Le stock d’entrepôts vacants représente 210 000 m² (+ 19% sur un an), essentiellement concentré sur Distriport (opérations neuves) et Clésud, suite à des libérations de surfaces de seconde main. DTZ note également le retour des disponibilités sur St. Martin de Crau et Ecopôle.
(...)
artemis a écrit:
Immobilier Marseille: le marché de bureaux risque l’asphyxie (DTZ)
Le marché de bureaux marseillais se redresse mais risque l’asphyxie à court terme par manque d’offres neuves, indique DTZ, conseil international en immobilier d’entreprise.
En 2010, 83 000 m² de bureaux ont été commercialisés à Marseille (+11%), Euroméditerranée confirmant son statut de premier pôle tertiaire avec 59% des transactions de l’année.
Le revers de la médaille, l’offre immédiate de bureaux diminue de 15% en un an et les disponibilités de bureaux neufs ne représentent plus que 43 000 m². En effet, les livraisons de bureaux qui ont atteint un volume record en 2010 avec près de 80 000 m², portent essentiellement sur des opérations pré-commercialisées, et seulement 24 000 m² de bureaux neufs sont attendus en 2011.
"Le marché marseillais devra s’accommoder de cette situation jusqu’en 2014, date à laquelle l’offre neuve fera son retour sur Euroméditerranée", estime le conseil.
On en revient encore à la situation 2005 / 2007 avec un fort redressement de la demande et plus rien à offrir en terme de surfaces !!! On a déjà loupé un train, on en reloupe un 2ème ... Et allez !!!!!!!!!!!!! 
Marseille 2012 ... 2013 ... et 2016.
Je trouve aussi que c'est particulièrement énervant, notamment de la part d'investisseurs comme Foncière des Régions qui ne semblent ni fiables, ni très compétents. C'est dommage que la mairie n'ait pas assorti la concession des terrains à des obligations fermes d'investissements car c'est vraiment trop facile de bloquer un terrain pour geler la concurrence et après ne plus rien construire.
The trouble with the world is that the stupid are cocksure and the intelligent are full of doubt.
Bertrand Russell
Il faut trouver le bon compromis entre les grands projets qui sont absolument nécessaires au rayonnement de ce quartier d'affaires mais qui prennent nécessairement plus de temps à se réaliser auquel c'est ajouté un report lié à la crise et une nécessaire multiplication de projets moins ambitieux mais qui auraient permis d'absorber une partie de la demande.
Séisme sur le logement neuf à Marseille
Publié le samedi 21 mai 2011 à 13H14
Le nombre de mises en vente a chuté de 52 % au 1er trimestre. Manque de foncier et recours abusifs sont en cause
(...)
En clair, le stock n'est plus en mesure de se renouveler à un rythme suffisant et laisse entrevoir un vrai risque de pénurie. L'offre actuellement disponible (1 795 logements, contre 1 970 au 1 er trimestre 2010) ne procure plus désormais qu'une visibilité de 8 mois; marge de manoeuvre considérée comme très insuffisante pour assurer un fonctionnement normal du marché
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"les grands opérateurs comme Euroméditerranée ou Marseille Aménagement disposent finalement d'assez peu de surfaces disponibles car une partie importante de celles-ci est en cours de montage ou ne dispose pas encore des infrastructures nécessaires". Il souligne également "le retard considérable pris depuis des années par les collectivités dans l'aménagement de nouveaux terrains", sachant que monter une Zone d'aménagement concertée (ZAC) nécessite entre 4 et 5 ans si l'on intègre toutes les étapes de la procédure.
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Philippe GALLINI
Savez vous ce qu'il va advenir des immeubles haussmaniens situés rue chevalier paul et rue Pierre Albrand du coté de Floressence le nouveau programme que monte Bouygues ? Je pense qu'ils vont rester en place mais savez vous ce que la ville veut en faire (ravalement de façades, hausse des taxes d'habitation, ... comme cela a été fait rue de la République du coté du vieux port) ?
Je me pose également la question des locataires en place. En effet, sans être péjoratif, ces immeubles n'inspirent pas forcément confiance dans un quartier qui semble être amené a s'embellir considérablement avec l'Urban Square de BNP, Floressence et Neomed de Bouygues, le collége Izzo, le M5. Donc je vois mal la ville laisser ces immeubles en l'état au milieu de toutes ces nouvelles installations. J'ai eu des échos comme quoi les taxes d'habitation avaient déjà bien augmenté, c'est pourquoi j'ai proposé l'éventualité du fonctionnement de la rue de la République répété pour ces appartements ...
Jujurug, il n'est pas nécessaire de copier-coller ton message sur trois différents fils. En outre la discussion a été initiée sur celui-ci: Euroméditerranée - Joliette / Arenc 
Petit atlas illustré du bétonnage à Marseille
Par Arnaud MURTAS le 7 juin 2011
Dans une ville qui manque de logements, les projets immobiliers sont pourtant loin de faire l’unanimité. 3000 logements sont bloqués suite à des recours de riverains, soit plus de la moitié de ce qui est construit en un an à Marseille. Une situation qui commence à agacer les promoteurs et certains élus comme Roland Blum, premier adjoint au maire de Marseille, qui souhaite depuis longtemps rendre plus difficile le dépôt de recours
(...)
Si tous les projets ne rencontrent pas une opposition franche, comme aux Chartreux par exemple – 224 logements sociaux, 334 places de parking et la possibilité de construire une crèche – ceux contestés le sont souvent pour les mêmes raisons. Les plaignants, que ce soit les riverains ou même des élus – comme Christian Pellicani (PCF) à la Corderie ou encore Nathalie Pigamo (PS) et Marie-Françoise Palloix (PCF) à Montredon – et les maires de secteur qui donnent des avis défavorables pour les permis de construire, pointent généralement du doigt le manque d’espaces verts et d’équipements publics, des problèmes de circulation et de voirie.
(...)
L’idée étant de densifier le territoire autour des équipements publics et des transports en commun – et inversement d’implanter intelligemment ces derniers – on y trouve notamment une carte des « centralités » : outre un grand ovale d’Euromed au Prado, il distingue entres autres clairement la vallée de l’Huveaune (Saint Loup, La Pomme, Saint Marcel et surtout La Valentine et La Barasse).
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Marsactu
Projet municipal PLU résumé.pdf
Projet municipal PLU complet.pdf
Atlas du bétonnage : 3 questions à Jean Canton ancien directeur de l’urbanisme à la ville de Marseille
Par Arnaud MURTAS le 24 juin 2011
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Cette multiplication des recours n’est-elle pas simplement la conséquence d’un manque d’anticipation d’un point de vue urbanistique de la part des élus concernés? Une absence de planification foncière qui pousse les promoteurs à se saisir du moindre terrain…
Jean Canton: C’est le résultat d’un double phénomène qui a débuté dans les années 80 : la ville perd environ 100 000 habitants et des dizaines de milliers d’emplois. Elle s’appauvrit de manière constante durant ces années. Ensuite à la fin des années 90, l’habitat devient une valeur de placement, on recommence à construire, et Marseille devient un véritable eldorado pour les promoteurs. Une véritable aubaine pour la ville qui, avec «l’exode» des années 80, avait perdu des ressources (les habitants) pour alimenter la machine «commune» et compte désormais sur ces constructions de logement pour repeupler la ville et renflouer les caisses. Le problème c’est que la révision du plan d’occupation des sols a été faite à la hâte. Résultat : l’ouverture pour la construction a été faite de manière trop brutale. Mais surtout, la ville n’a effectué aucune stratégie sur le foncier, pas assez de terrains ont été acquis pour prévoir dans le temps le développement de la ville. Une abberation quand on voit qu’une ville comme Montpellier possède une grande majorité des terrains qui peuvent être urbanisables. Ce qui est un avantage non négligeable : quand la ville possède le terrain, c’est elle qui pose ses exigences aux promoteurs en terme de voirie, espaces verts, transports, etc.
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Masse prend la tête de 13Habitat pour trois ans
04-07-2011
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En 2010, 470 logements ont été livrés et 3425 logements répartis sur 89 projets seraient réalisés d’ici 2015, année de fin de son mandat. À moyen terme cela représenterait pour l’année 2012, 26 opérations totalisant 867 logements. Elles devront être conduites en direct par 13habitat ou via des ventes en état futur d’achèvement (La V.E.F.A ou "achat sur plan", est un des contrats les plus utilisés en matière d'achat neuf).
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Lancement, en théorie en fin d'année, de la construction de 224 logements (98 locatifs libres, 48 accession sociale et 83 chambres pour jeunes travailleurs) par la Sogima au bout du boulevard Maréchal-Juin sur la friche EDF. R+9 côté Jarret et R+5/6 côté rue Albe pour une livraison prévue début 2013.
Prix immobiliers : là ou ça baisse, là ou ça flambe
Publié le jeudi 15 septembre 2011 à 15H4
Le marché poursuit sur sa bonne lancée de 2010.
À Marseille, la demande reste soutenue et les prix progressent dans l'ensemble des quartiers. Le prix au m² le plus important se retrouve dans le 7e pour un appartement, dans le 8e pour une maison. Le prix le moins élevé est dans le 3
Le marché de l'immobilier de Marseille et de la région se porte bien. En témoignent les chiffres livrés, hier, par la Chambre des notaires. Ils font état d'une demande toujours soutenue, ainsi que d'une évolution des prix à la hausse.
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La ville concentre 60% du marché de l'ancien du département et 50% de l'offre neuve. La franche reprise entamée fin 2009 a permis de renouer avec un niveau proche de la période 2007-2008. Les prix ont suivi et la hausse a été chiffrée à 5,8% pour les appartements anciens, à 0,4% pour les maisons. Depuis le premier trimestre de 2011, une accélération profite à la maison. Les notaires voient dans ce phénomène "le retour des secondo accédants". Jusqu'à présent, le marché était plutôt tiré par les jeunes ménages, "les primo accédants".
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Jean-Luc CROZEL et Romain FAUVET
Ces recours immobilier qui "plombent" Marseille
Publié le lundi 10 octobre 2011 à 08H50
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"Les projets ne manquent pas, les volontés et les entrepreneurs non plus, mais il manque un pilote dans l'avion", insiste-t-il.
(...)
Car à l'heure actuelle, "entre le moment où un architecte termine son étude de faisabilité et le moment où le chantier peut évoluer normalement, il peut s'écouler entre 3 et 5 ans", résume-t-il.
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La position de la mairie qui va ainsi laisser filer un recours sans réagir relèverait dès lors du "politiquement correct".
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"En Allemagne, fait-il remarquer, on consulte beaucoup plus en amont, ce qui permet d'éviter les recours une fois que la machine est lancée".
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Denis TROSSERO
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