Reims - SERNAM République

ce projet va prendre un long moment aussi malheureusement. Le maire ayant éjecter l'ancien promoteur Monsieur Duval. Ce dernier a porter plainte, et la justice de chalons en champagne donne raison à monsieur Duval. on est parti pour un long episode juridique.... car il devait avoir le projet central reims.....

Heureusement que le projet de ce promoteur ne va pas se faire, on a été plusieurs sur ce forum à se réjouir de l'abandon d'un projet aussi inutile (pour les rémois, pas pour le promoteur) que moche. 

Oui il va falloir au moins 1 an avant de voir bouger le choses. Peut être que les fouilles prévues commenceront avant, mais pour le reste, on peut attendre !

On s en fiche que c est moche ou pas c est la justice qui commande et c est vrai grosse erreur du maire on ne vire pas un promoteur propriétaire de son terrain.. la sernam occupe par les SS bombardé par les USA. Plus les fouilles... le projet central reims est de mr scheinter

Milamarina51 a écrit:

ce projet va prendre un long moment aussi malheureusement. Le maire ayant éjecter l'ancien promoteur Monsieur Duval. Ce dernier a porter plainte, et la justice de chalons en champagne donne raison à monsieur Duval. on est parti pour un long episode juridique.... car il devait avoir le projet central reims.....

"Il devait y avoir...". Oui, enfin qui a démoli tous les bâtiments présents sur site pour faire place nette ? (et soit dit en passant pour mettre fin à toutes une série d'incendies), c'est bien la ville de Reims et pas le promoteur qui n'a rien fait pendant toutes ces années si ce n'est quelques vues sur papier de son "projet".

photos dans un article du journal l'union

Je suis d'accord sur le principe le promoteur ne gerer pas du tout son terrain, mais de le virer sans accord et détruire le site avec l'argent du contribuable... il manquerai plus que ça monsieur duval récupere le terrain et le netoyage gratuit pour lui....on vera bien c est la justice qui donnera son avis... mais, a prendre du retard SI la mairie a le droit de faire son grand centre ne sera pas pret en 2020 malheureusement

Milamarina51 a écrit:

...et détruire le site avec l'argent du contribuable...

C'est de l'humour? Le site était déjà dans un sale état. Une sorte de verrue. Je ne pense pas qu'il y avait sur site un bâtiment qui vaille le coup d'être "sauvegardé". Bon maintenant c'est vrai, on a une vue bien dégagée et on peut admirer l'étendue du terrain. 

On a fait table rase ou place nette comme on dit. 

Dites moi toutes les sites en sale état é Reims ou on aurait pu faire ce complexe? a part sernam?
La ville de Reims a énormement de terrain en friche on sa possesion... non, c'est mieux de s'acharner sur un terrain privé... c'est désolant et qui paye les pots cassés les citoyens!

En attendant, les rémoises et les rémois n'ont plus de piscine olympique, de patinoire et toujours pas de salle de spectacle...
Obliger d aller a epernay, chalons ou rethel!!!
Suite à un article de l union aucun prestataire ne veut s engager avec la futur salle de reims... c est vraiment aggaçant!!!

a ce jour, ils parlent de démolir les batiments sur la rue Jules César concernant le grand complexe... a suivre

Site du Sernam : Un accord financier trouvé entre le promoteur évincé et la Ville

C’est l’aboutissement d’un long feuilleton judiciaire opposant le promoteur évincé du Sernam, la société CFA Nord Est, d’un côté et la Ville de Reims, de l’autre. Un protocole transactionnel vient d’être trouvé entre les deux parties mettant un terme à presque deux ans de procédure judiciaire.

La nouvelle est tombée ce matin. Le conseil municipal qui se réunit lundi soir devra délibérer sur la conclusion d’un protocole transactionnel entre la ville de Reims et la SARL Reims République Développement au sujet du terrain du Sernam.

Pour rappel, une série de procédures judiciaires ont été intentées depuis avril 2015, par le promoteur évincé, après que le maire Arnaud Robinet ait fait valoir son droit de priorité pour acquérir ces 7 hectares situés en centre-ville de Reims. La collectivité faisait ainsi valoir son droit de priorité sur le terrain pour y réaliser le complexe aqualudique et la salle évènementielle. «  Deux équipements publics attendus par les Rémois et dont le choix a été plébiscité à l’occasion des élections municipales de 2014 », rappelle ainsi la Ville dans un communiqué. La Ville avait été ainsi autorisée à acquérir le terrain pour un montant de 20 millions d’euros précisément.

Les différentes procédures intentés « bien que ne remettant pas en cause la réalisation de la piscine-patinoire et de la salle de spectacle, risquait de ralentir considérablement le dossier pour plusieurs années », poursuit la Ville. Arnaud Robinet a voulu qu’un accord soit trouvé afin de solder les procédures en cours.
(...)

Source : article du journal l'Union du Jeudi 10 Novembre 2016

C'est la fin d'un feuilleton juridique, on va enfin pouvoir voir du nouveau sur cette zone !

J'aime bien la fin de cet article, les petits arrangements :

la SARL Reims République Développement estimé son préjudice à 10 millions d’euros. La société a revu ses intentions à la baisse, et percevra 2,3 millions d’euros de dédits « sur la foi des factures effectivement produites, afin de couvrir les frais engagés par la société pour les projets qu’elle portait précédemment sur la zone. »

De son côté, la Ville touchera 3,3 millions d’euros, produit de la vente de 6 600m² (soit 500€/m²) du terrain de la Sernam à la SARL Reims République Développement.

A la place du journaliste, j'aurais écrit : "De son côté, la Ville touchera 3,3 millions d’euros, produit de la vente de 6 600m² (soit 500€/m²) d'une partie du terrain de la Sernam à la SARL Reims République Développement." Pour une meilleure compréhension. 

Durocorter a écrit:

C'est la fin d'un feuilleton juridique, on va enfin pouvoir voir du nouveau sur cette zone !

J'aime bien la fin de cet article, les petits arrangements :

la SARL Reims République Développement estimé son préjudice à 10 millions d’euros. La société a revu ses intentions à la baisse, et percevra 2,3 millions d’euros de dédits « sur la foi des factures effectivement produites, afin de couvrir les frais engagés par la société pour les projets qu’elle portait précédemment sur la zone. »

De son côté, la Ville touchera 3,3 millions d’euros, produit de la vente de 6 600m² (soit 500€/m²) du terrain de la Sernam à la SARL Reims République Développement.

Ils parlent de petits arrangemens chose qui est vrai... le maire a céder devant l ancien promoteur et ce dernier recupere 6000 m2 de terrain.. pour faire quoi? carrefour? résidence? gaumont? surement un projet prévu autrefois.. ou des cellules commerciales... c est vrai la fin d un feuilleton juidiciare et une mauvaise gestion de la ville pour ce terrain vague... ce sont les conribuables qui paiereons la facture. 24 millions le terrain + 1 million demolition +2.3 millions dommages et interets + un terrain de 6000 m2 commerciale? 27.3 millions juste pour un terrain a l abandon la facture est chère.. sans compter depollution, fouilles archélogiques+ complexe a 100 millions+ arena 50 millions + parking aérien de 500 places...
Un projet fou... espérant vraiment trouver un bel outil.. on espérant que tout ce passe bien durant les travaux...

Ne pas oublier dans le coût de l'opération pour la ville de retrancher 3,3 millions d'euros que le "promoteur" va payer à la ville pour acquérir 6000 m2 de terrain sur le site de la SERNAM. 

Sinon, effectivement, comme écrit précédemment, une gestion calamiteuse de la précédente mandature concernant ce dossier SERNAM. Confier l'aménagement d'un espace aussi grand à un seul promoteur était un risque énorme pris par l'ancienne équipe à la mairie. Heureusement, en seulement deux ans, la nouvelle municipalité a réussi à reprendre la main, virer le promoteur qui n'a rien fait durant toutes ces années, trouver et enclencher un nouveau projet pour aménager le site, se sortir des habituelles contingences judiciaires malheureusement inhérentes à tout projet d'aménagement urbain de cette ampleur.

sdr51 a écrit:

Ne pas oublier dans le coût de l'opération pour la ville de retrancher 3,3 millions d'euros que le "promoteur" va payer à la ville pour acquérir 6000 m2 de terrain sur le site de la SERNAM. 

Sinon, effectivement, comme écrit précédemment, une gestion calamiteuse de la précédente mandature concernant ce dossier SERNAM. Confier l'aménagement d'un espace aussi grand à un seul promoteur était un risque énorme pris par l'ancienne équipe à la mairie. Heureusement, en seulement deux ans, la nouvelle municipalité a réussi à reprendre la main, virer le promoteur qui n'a rien fait durant toutes ces années, trouver et enclencher un nouveau projet pour aménager le site, se sortir des habituelles contingences judiciaires malheureusement inhérentes à tout projet d'aménagement urbain de cette ampleur.

désolé de vous contredire... le terrain a était vendu en 2007 par JL Scheinter (arnaud robinet était son conseiller). ET, sans défendre Mme Hazan.. Elle l'a laissée Monsieur Duval gérer son terrain. Et, n'oublions pas le terrain fut vendu 1 million au promoteur Duval. il est trés gagnant...il avait prévu son centre commercial etc... maintenant, il faudra voir son projet sur les 6000m2 (commerces? immobilier?cinéma? carrefour?) affaire a suivre.. maintenant c'est le plan d urbanisme à faire... un dossier difficile à mettre en place... bonne journée

Vous avez raison l'antépénultième municipalité porte également une lourde part de responsabilité dans ce fiasco. Mais désormais, c'est de l'histoire ancienne, place aux projets!

sdr51 a écrit:

Vous avez raison l'antépénultième municipalité porte également une lourde part de responsabilité dans ce fiasco. Mais désormais, c'est de l'histoire ancienne, place aux projets!

Entierement d'accord! :)

J'ai vu un bout d'extrait concernant le terrain de la sernam au CM de lundi dernier.
Très tendu, ils parlent maintenant de finir le plan d urbanisme et le travail des ingénieurs en janvier 2017.
La rue jules César ne sera plus impacter par une destruction...
Il reste surtout le plus long travail (dépollution et fouilles archélogique).
On verra si le maire tiendra parole pour 2020
Bonne journée

Sa parole, c'est certainement la parole d'un politique légèrement déconnecté de la réalité des choses..

Construire un projet aussi immense en 4 ans.... Quand on voit déjà les soucis pour la patinoire "provisoire" !

Il vaut mieux prendre du temps et avoir des équipement de qualité, et qui tiendront le choc.

Après si il change ses propos, et parle de début de travaux (de construction) pour 2020, la je pense que c'est faisable.

shacko51 a écrit:

Sa parole, c'est certainement la parole d'un politique légèrement déconnecté de la réalité des choses..

Construire un projet aussi immense en 4 ans.... Quand on voit déjà les soucis pour la patinoire "provisoire" !

Il vaut mieux prendre du temps et avoir des équipement de qualité, et qui tiendront le choc.

Après si il change ses propos, et parle de début de travaux (de construction) pour 2020, la je pense que c'est faisable.

Je suis entièrement d'accord avec vous...
C'est vrai la patinoire provisoire n'a durer 5 mois trop de précipitation...
Surtout un projet de cet ampleur doit tenir la route....
c'est propos, lundi était il y aura plus de friche au moment des élections... et les rémois décideront... le maire était très sec envers l'opposition. Ca s'est fini en énnervement et dispute politicienne.. par l opposition dénonce les 28 millions dépensés pour un projet prévu par Mr scheinter en 2007 à 1 million et il a céder les parcelles et 6000 m2 de terrain car la justice aurait finalement trancher à une annulation du projet. Voila pourquoi ce petit arrangement pour sauver son proces. Le maire a reparlé des promenades, il dit aussi tout sera officielle en 2020 ainsi le boulingrin...a suivre merci de votre conseil

Reims toujours à la recherche d'un prestataire pour sa future salle de spectacle

Un deuxième appel d’offres vient d’être lancé pour la conception et la gestion de la future salle rémoise. Dans l’espoir, semble-t-il, que les gros organisateurs de spectacles, postulent enfin.

[...]
Reste que les gros opérateurs d’organisation de spectacles n’auraient pas postulé la première fois : ni le groupe Vega (rebaptisé s-pass) en charge des salles d’Épernay et de Châlons-en-Champagne, ni son principal concurrent GL Events. Même si la Ville n’en fait pas état, leur absence expliquerait l’échec du premier appel d’offres. Seuls deux candidats auraient alors répondu dont un groupement maison composé de la société d’économie mixte Reims Événement. Les deux ont été retoqués. « De toute apparence, la municipalité préférerait un prestataire possédant un vrai carnet d’adresses dans le monde du spectacle », glisse un proche du dossier.

Ces gros opérateurs vont-ils enfin postuler ? Le nouvel avis de concession a été rédigé pour les y inciter : « Nous avons modifié le cahier des charges : capacité revue à la hausse, extension d’utilisation pour le club de basket Châlons Reims. Ce qui justifie la relance de l’appel », souligne Arnaud Robinet. Dans le premier, la capacité assis/debout indiquée était de 6 000 places, dans le second la configuration la plus importante monte à « au moins 9 000 places ». Pour le reste, l’appel comprend toujours la construction, le financement, l’exploitation et l’entretien pendant 25 ans de la future structure. Est toujours inclue dans le lot la gestion du parc des expositions et du centre des congrès (avec leur déficit, dixit l’appel d’offres). Le coût des travaux est inchangé à 36 millions d’euros.

Avec son bassin de population et sa proximité ferroviaire avec Paris, Reims a des atouts qui devraient attirer preneur. Même s’il existe déjà deux salles dans la Marne qu’il n’est pas simple, économiquement parlant, de faire tourner, une salle située à Reims aura d’emblée un avantage sur les deux autres. Selon nos informations, les études de marché montrent qu’un concert organisé à Reims fera venir 25 à 30 % de spectateurs de plus que le même concert proposé à Châlons ou à Épernay. De plus, la future salle rémoise a pour vocation d’accueillir de grands tournois sportifs qui ne se tiennent encore nulle part dans la Marne.
[...]

L'Union - 21/11/16

...au moins 9 000 places...

sdr51 a écrit:

...au moins 9 000 places...

Oui c'est le seul point positif pour le moment. De toute façon il est logique de se placer différemment des 2 autres salles du secteur.
Le véritable problème vient du Millésium d’Épernay qui est disproportionné pour une ville de cette taille. Épernay a profité du fait que Reims n'avait pas de structure de ce type pour s’engouffrer dans la brèche. Et il est fort probable que dans leur business plan ils ont misé sur une grande affluence de personnes vivant à Reims. On ne peut pas leur reprocher d'avoir profité de cette situation, cependant on se retrouve aujourd'hui dans une situation un peu complexe.

Par contre attention à ce que Reims ne fasse pas la même erreur qu’Épernay, c'est-à-dire construire une salle disproportionnée. J'aime l'idée d'avoir une très grande salle à Reims mais il ne faut pas se brûler les ailes pour autant. Par exemple plus de 10 000 places me semble économiquement risqué, je n'ai pas le sentiment qu'il y aura le nombre suffisant de manifestations à guichets fermés tout au long de l'année pour rentabiliser un tel investissement. Si on compare avec d'autres villes françaises, j'imagine que 8 000 places assises et 10 000 assis/debout me semble être le maximum pour la zone d'influence.

Reims va rejoindre la liste des villes avec une construction inutile.
Le syndrome du maire qui veut laisser sa marque, peu importe le prix.