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L'Ile-de-France
Située au carrefour des échanges européens et mondiaux, l'Ile-de-France représente le pôle de développement principal de la France et l'un des plus importants au niveau européen. Elle est, en nombre d'habitants (11 millions) et en emplois (5 millions), l'une des plus importantes métropoles mondiales.
Composée de 8 départements, elle accueille 19 % de la population française. Constituée par une population plus jeune que la moyenne nationale, l'Ile-de-France affiche un dynamisme incontestable.
La présence des administrations publiques fait de la région-capitale le centre de décision politique et administratif de la France. Mais elle est également le centre de décision économique, puisqu'elle attire une forte proportion de sièges sociaux implantés sur le territoire national, et notamment les trois-quarts des sièges sociaux des banques et des compagnies d'assurance, et plus du quart des sièges sociaux de l'industrie.
L'Ile-de-France tient une place essentielle au c½ur de l'économie nationale. Sa valeur ajoutée représente 29 % de la richesse nationale ; son PIB (Produit Intérieur Brut) par habitant est un des plus élevés de l'Union européenne.
Premier bassin d'emploi européen, la région offre une main d'½uvre hautement qualifiée puisqu'elle accueille plus du tiers des cadres supérieurs et environ 40 % du personnel de la recherche, ainsi que 30 % des établissements d'enseignement supérieur dont de prestigieuses é coles internationales dans les domaines de l'informatique, des mathématiques, des télécommunications, des énergies nouvelles, des biotechnologies, du management et du commerce international. Le taux de chômage s'établit à 9,5 % à la fin du deuxième trimestre 2003.
L'économie francilienne se caractérise par la prédominance très nette du secteur tertiaire (administrations, services marchands, établissements financiers à vocation internationale) et en particulier des services aux entreprises ; environ 83 % des effectifs franciliens travaillent dans le tertiaire, contre seulement 12 % dans l'industrie, 5 % dans la construction et 0,3 % dans l'agriculture.
Cette répartition se retrouve au niveau des établissements : 82,3 % d’entre eux appartiennent au secteur tertiaire, contre seulement 8,1 % à l'industrie, 8,2 % à la construction et 1,4 % à l'agriculture.
Le développement de sites tels que la Défense ou Marne-la-Vallée, zones fortement spécialisées en activités tertiaires, traduit cette évolution.
L'Ile-de-France conserve cependant une forte tradition industrielle. Elle demeure la première région industrielle française et emploie 15 % des effectifs nationaux. On y trouve par exemple des firmes telles que Renault, Citroën, Thales, IBM...
Mais l'industrie francilienne se distingue par deux caractéristiques principales :
- un tissu très dense de PME/PMI,
- un large éventail d'activités.
Parmi ces activités, les plus représentées dans la région sont :
- l'édition, imprimerie, reproduction,
- les équipements électrique et électronique,
- l’industrie automobile,
- l'industrie aéronautique et spatiale,
- la parachimie et l'industrie pharmaceutique.
Pour encourager et accompagner son développement, la région s'est dotée d'infrastructures de premier plan. Roissy-Charles-de-Gaulle est le deuxième aéroport européen après Heathrow (Londres). Il est interconnecté avec le réseau TGV qui réunira les grandes capitales de l'Europe occidentale. 200 kms de métro, 1 400 kms de RER et voies ferrées, 3 000 kms de voies d’autobus, auxquels s'ajoutent les 2 100 kms de routes nationales et d'autoroutes, constituent un maillage dense et efficace.
L'Ile-de-France, grâce à Paris, se trouve être également une des capitales mondiales des salons, congrès professionnels ou autres expositions.
La région garde aussi une vocation agricole, notamment grâce à la Seine-et-Marne. L'agriculture occupe encore 50 % du territoire régional. Les industries agro-alimentaires franciliennes occupent le premier rang au niveau national en termes de chiffre d'affaires et de valeur ajoutée.
La présence du marché d'intérêt national de Rungis, carrefour commercial d'importance mondiale puisqu'il est le plus important marché de gros polyvalent du monde, traduit bien la place prépondérante prise par les activités commerciales dans la région Ile-de-France.
Enfin, l'Ile-de-France bénéficie également de ses attraits historiques et culturels. Le tourisme représente ainsi une part importante de l'activité francilienne : la région dispose d'une capacité d'accueil hôtelière de 140 300 chambres, dont 76 700 pour Paris.
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Les grandes zones foncées du type en dessous Versailles, Evry, Cergy, Melun, Bobigny, ce sont les villes nouvelles?
Les villes nouvelles sont des communes à part entière où bien en faite ce sont des regroupements de communes avec plusieurs villes autonomes à l'intérieur donc?
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Sur les villes nouvelles, rendez-vous au sujet suivant :
http://ladefense.free.fr/forum/forum_3. … turn=1#top
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Edité le 30/12/2004 à 17:31 par MyNight
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Pour savoir ce que représente La Défense en chiffres :
* 3 millions de m2 de bureaux
* 1 500 entreprises dont 14 des 20 premières nationales et 15 des 50 mondiales
* 150 000 salariés
* 20 000 habitants
* 110 000 m2 de commerces aux Quatre Temps
* 100 000 m2 de commerces de proximité
* 2 600 chambres d'hôtel
* 50 terrasses de cafés et de restaurants
* 31 hectares de dalle et cheminements piétons
* 11 hectares d'espaces verts
* 90 000 m2 de voiries dont 60 000 m2 couverts
* 10 kilomètres de galeries techniques
* 10 kilomètres de réseau automatique et programmable d'arrosage pour les espaces verts
* 10 Kilomètres de réseau d'assainissement
* 17 kilomètres de canalisations
* 14 000 foyers lumineux d'échange plublic
* 50 escaliers mécaniques
* 100 ascenseurs
* 7 monte charges
* 265 usines de ventilation équipées de 610 moteurs électriques
* 20 bassins dont deux monumentaux (AGAM et Takis)
* 60 sculptures monumentales d'art contemporain
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Libération, 17/01/2005
Avec 2 145 000 habitants, Paris se repeuple un peu
Après des décennies de baisse, 17 000 personnes en plus depuis cinq ans.
Par Tonino SERAFINI
lundi 17 janvier 2005 (Liberation - 06:00)
Un petit retournement démographique est-il en train de se produire dans la capitale qui n'a cessé de se vider de ses habitants depuis un demi-siècle ? Vendredi, lors de la présentation de ses voeux à la presse, Bertrand Delanoë (PS) a annoncé que la population parisienne s'était accrue de 17 000 personnes entre 1999 et 2004, ce qui équivaut à une hausse de 0,8 %.
La capitale compte aujourd'hui 2 145 000 habitants. «De 1975 à 1999, 171 000 Parisiens ont été chassés de chez eux», a dit le maire PS, allusion à la période pendant laquelle Jacques Chirac a régné sur Paris avant de passer le relais à Jean Tiberi. «Depuis cinq ans, non seulement cet exode a cessé, mais [...] Paris reprend des couleurs et je m'en réjouis», a-t-il lancé.
Delanoë aurait pu remonter bien plus loin que l'époque chiraquienne. Car le déclin démographique de la capitale s'est surtout produit dans la période 1954-1975, caractérisée par une véritable hémorragie parmi le peuple de Paris. Les couches populaires furent évincées vers la banlieue où poussaient les grands ensembles. Pendant ces vingt années-là, la capitale a perdu 550 000 habitants, passant de 2 850 000 personnes au recensement de 1954 à 2 300 000 personnes au recensement de 1975.
Les chiffres dévoilés par Bertrand Delanoë émanent des premiers résultats d'une nouvelle méthodologie du recensement de la population mis en place par l'Insee. L'institut de statistique a abandonné le recensement général sur un jour donné. Désormais, le recensement se fera par échantillon. Les communes de plus de 10 000 habitants sont subdivisées en cinq groupes d'adresses bien réparties sur le territoire communal. Dans chacun de ces groupes, des échantillons représentatifs sont élaborés, permettant de faire des extrapolations pour mesurer les évolutions de la population. La méthode de comptage de la population demeure, en revanche, inchangée dans les villes de moins de 10 000 habitants
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La synthèse du recensement de l'INSEE (PDF) ici :
http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/IP1001.pdf
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Recensement Vous êtes 2 142 800 !
OUBLIÉE la grand-messe, à peu près une fois par décennie, du recensement de la population (lire en page 11 de nos informations générales). L'Insee actualise désormais ses chiffres tous les ans par des comptages partiels. L'Institut national de la statistique a révélé hier ses dernières données et se prépare à lancer une nouvelle vague d'enquêteurs (550) auprès de 8 % de la population parisienne à partir de demain.
Enfin à la hausse. Selon les comptages effectués en 2004 sur une première tranche de 8 % de la population, la capitale compte 17 000 habitants de plus depuis 1999. « C'est une augmentation après dix-sept ans de baisse. Mais, plus qu'un retournement de tendance, c'est un mouvement de fond qui se précise depuis les années 1980 », indique Alain Charraud, directeur régional des études. Dans les années 1950, Paris abritait 2 850 189 âmes. En 1999, la capitale n'en comptait plus que 2 125 246. « C'est une réduction de 3 000 personnes par an sur cette période. Aujourd'hui, nous constatons que Paris a gagné 3 000 habitants, chaque année, sur cinq ans. » Plus de naissances que de décès. C'est sans doute le point le plus prometteur des dernières statistiques. Paris profite d'un accroissement naturel de sa population du fait d'un plus grand nombre de naissances par rapport aux décès. « C'est un constat plus fort que dans les périodes précédentes et plus fort que dans les autres régions de France », souligne l'Insee. Chaque année, il y a 32 000 naissances dans Paris et 15 000 décès. « Le solde est nettement positif. » Départs en province. « Il y a beaucoup d'arrivées, d'étudiants notamment. Mais nous constatons également des départs en grand nombre de jeunes couples qui préfèrent vivre dans de meilleures conditions en province, et des retraités. » Sur ce point, Paris est perdant. Une donnée statistique cependant compensée par l'immigration. « Paris et l'Ile-de-France comptent 40 % des arrivées d'immigrants en France », indique l'Insee. Embourgeoisement. C'est le « phénomène Bastille », selon Alain Charraud. Les artisans ont quitté les ateliers. Et les cadres dynamiques les transforment en somptueux lofts. Résultat, aujourd'hui, plus d'un actif sur trois (36 %) est cadre ou chef d'entreprise ou exerce une profession intellectuelle supérieure. C'est plus qu'en Ile-de-France (22 %) et qu'en France (13 %). Paris s'embourgeoise donc de plus en plus, alors que les bas revenus sont obligés de quitter des logements devenus trop chers.
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Issy, Clichy, Asnières et Levallois en tête
LES DIX COMMUNES du département classées dans l'ordre de progression de la population recensée en 2004 par rapport au recensement de 1999. Issy-les-Moulineaux : 60 000 habitants (2004) ; 53 152 (1999) ; 46 801 (1990). Evolution 1999-2004 : + 14 %.
Clichy-la-Garenne : 56 300 habitants (2004) ; 50 420 (1999) ; 47 936 (1990). Evolution 1999-2004 : + 12,2 %. Asnières-sur-Seine : 85 000 habitants (2004) ; 76 314 (1999) ; 72 250 (1990). Evolution 1999-2004 : + 12,1 %. Levallois-Perret : 60 900 habitants (2004) ; 54 994 (1999) ; 47 788 (1990). Evolution 1999-2004 : + 11,3 %. Colombes : 83 500 habitants (2004) ; 77 184 (1999) ; 79 058 (1990). Evolution 1999-2004 : + 8,8 %. Rueil-Malmaison : 76 400 (2004) ; 74 671 (1999) ; 67 323 (1990). Evolution 1999-2004 : + 4 %. Nanterre : 86 500 habitants (2004) ; 86 219 (1999) ; 86 627 (1990). Evolution 1999-2004 : + 2,6 %. Neuilly-sur-Seine : 61 100 (2004) ; 60 364 (1999) ; 62 033 (1990). Evolution 1999-2004 : + 2,1 %. Boulogne-Billancourt : 108 300 habitants (2004) ; 107 042 (1999) ; 101 971 (1990). Evolution 1999-2004 : + 1,8 %. Antony : 59 800 habitants (2004) ; 59 855 (1999) ; 57 771 (1990). Evolution 1999-2004 : - 0,1 %.
(Source : Insee)
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Les Val-de-Marnais toujours plus nombreux
LES PREMIERS chiffres du recensement national partiel effectué l'année dernière communiqués. Pour le Val-de-Marne, neuf villes sont concernées : Ablons-sur-Seine :
5 118 (+ 1,01 %). Champigny-sur-Marne : 76 400 (+ 2,9 %).
Créteil : 84 400 (+ 2,7 %). Fontenay-sous-Bois : 51 900 (+ 1,9 %). Ivry-sur-Seine : 56 900 (+ 11,6 %). Maison-Alfort : 53 600 (+ 4,9 %). Saint-Maur-des-Fossés : 75 100 (+ 2,8 %). Villecresnes : 8867 (+ 1,18 %). Vitry-sur-Seine : 80 700 (+ 2,3 %). Pour les villes dont le nombre d'habitants est compris entre et 10 000 et 50 000, les données du recensement de 2004 ne sont pas suffisantes pour estimer la population, explique-t-on à l'Insee. Il faudra attendre un deuxième voire un troisième recensement pour obtenir des estimations fiables. La suite du recensement se poursuit à partir de demain. Toutes les villes du département de plus de 10 000 habitants verront 8 % de leurs logements se faire recenser. S'y ajoutera la totalité des résidants de deux communes de moins de 10 000 habitants : Mandres-les-Roses et Ormessons-sur-Marne. Pour savoir si vous êtes concerné, il faut vous adresser à votre mairie. Logiquement, les habitants impliqués recevront à leur domicile un questionnaire à remplir.
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Aubervilliers, la plus forte croissance
AVEC 69 800 habitants, soit « plus 6 664 » par rapport au précédent recensement, Aubervilliers est bien la ville du record de croissance démographique. Mais il lui manque 200 âmes pour accéder aux subventions d'Etat attribuées aux communes de 70 000 habitants. Pour l'heure, elle devra surtout se serrer la ceinture jusqu'en 2006...
tout en adaptant ses écoles à l'afflux de familles et d'enfants. « On construit une école de quatre classes et une autre de dix, rappelle ainsi Roland Taysse, le directeur de cabinet du maire PC, Pascal Beaudet. D'ici trois ans, Aubervilliers comptera 19 classes supplémentaires ». Mais l'afflux de population n'est pas si soudain : « Le recensement de 1999 a minoré les chiffres et nous a donc privés d'au moins 450 000 ¤ de subventions d'Etat, souligne Roland Taysse. Celui de 2004 est plus méthodique, presque scientifique et surtout... plus réaliste. Il a rectifié les mauvais chiffres mais le problème, c'est que les subventions perdues ne nous seront pas rendues. On peut espérer un rééquilibrage en 2006, mais ce ne sera pas rétroactif. »
Montreuil boude et passe son tour
EN NOVEMBRE 2003, le député-maire (app. PCF) de Montreuil, Jean-Pierre Brard, comme plusieurs de ses collègues en France, écrivait au patron de l'Insee, Jean-Michel Charpin, pour l'informer qu'il ne participerait pas au recensement rénové de 2004. Il contestait la nouvelle méthode par sondage, qui prévoit d'enquêter chaque année un échantillon de 8 % de la population dans les grandes villes.
L'élu reprochait à l'Insee de ne pas comptabiliser les personnes sans domicile fixe et de ne pas laisser assez de temps à ses services municipaux pour vérifier les répertoires d'adresses. Montreuil a donc boycotté le recensement 2004, et se retrouve exclu des statistiques. Mais le maire a trouvé un accord avec l'Insee et, dès demain, les 23 agents recenseurs de la ville iront porter des questionnaires aux 3 500 foyers tirés au sort pour 2005.
Saint-Denis a gagné 8 000 habitants
L'événement
SAINT-DENIS est peut-être devenue la première ville du département. Avec 94 700 habitants, selon les estimations rendues publiques, hier, par l'Insee (Institut national des statistiques et des études économiques), la Cité des rois a gagné près de 8 000 âmes depuis 1999, soit un accroissement de plus de 10 % de la population. C'est la plus forte hausse parmi les grandes communes, avec Aubervilliers, qui accueille 6 700 personnes supplémentaires.
Entre ces deux villes, l'immense quartier de la Plaine, qui de friche industrielle se transforme en terre de bureaux et d'immeubles de standing. Un aménagement qui explique - au moins en partie - l'accroissement de la population. « Grâce au développement économique et à l'arrivée de nouvelles entreprises, notre commune est plus attractive », se félicite le maire (PCF) de Saint-Denis, Didier Paillard, qui rappelle que « 2 157 logements ont été construits en trois ans, dont 40 % en secteur social ». A Aubervilliers, on se réjouit de cette nouvelle méthode de recensement, « plus scientifique », qui a permis de comptabiliser des habitants « oubliés » selon les anciens systèmes. Sixième ville du département, Noisy-le-Grand a elle aussi fortement progressé. Rien d'étonnant dans une commune où l'immobilier est en plein boom, et où chaque année (ou presque) de nouveaux quartiers sortent de terre. Avec 61 700 habitants (3 500 de plus), la commune approche ainsi de l'objectif fixé par son maire (PS), Michel Pajon : 70 000. En passant le cap des 60 000 habitants, la ville va gagner quatre élus de plus : aux prochaines municipales, 49 conseillers seront élus au lieu de 45. Aulnay-sous-Bois (troisième ville du département) et Drancy (cinquième) ne bougent quasiment pas. Qu'en est-il de Montreuil, théoriquement au premier rang du département, et quatrième commune de l'Ile-de-France ? Eh bien, on ne sait pas, car la ville du député-maire (app. PCF) Jean-Pierre Brard a refusé de participer à la première édition du recensement rénové (lire ci-dessous) . Du coup, en attendant les résultats de 2005, le nombre de Montreuillois reste officiellement celui du recensement de 1999, soit 90 673, derrière Saint-Denis !
Dugny, seule des cinq « petites villes » du département à avoir été recensée l'an dernier, compte 10 336 habitants contre 8 641 en 1999. Coubron va être recensé cette année.
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bon on parle de huit départements mais on parle de combien de communes ?
20 minutes, 22/02/2005
L’Ile-de-France, nouveau « berceau » de la croissance
Mardi 22 février 2005
L’Ile-de-France compte 11,264 millions d’habitants. Soit une augmentation de 300 000 personnes entre 1999 et 2004, selon les derniers résultats du recensement de l’Insee publiés hier. Fait nouveau, la croissance francilienne avance désormais au même rythme que celle de la province. Cela s’explique notamment par un excédent naturel (différence entre le nombre des décès et celui des naissances) plus important que dans les autres régions. Avec 170 000 naissances par an pour 75 000 décès, le solde naturel francilien représente 40 % du solde national.[...]
A savoir :
villes Les plus forts taux de croissance démographique entre 1999 et 2004 se situent en petite couronne : à Issy- les-Moulineaux (+ 14 %), Clichy (12,2), Asnières-sur-Seine (12,1), Ivry-sur-Seine (11,6), Levallois-Perret (11,3), Aubervilliers (10,6) et Saint-Denis (10,3). Antony est la seule à afficher un solde négatif (- 0,1 %).
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Le Parisien, 23/02/2005
ssy-les-Moulineaux
10 000 habitants de plus en cinq ans
EN GAGNANT plus de 10 000 habitants depuis 1999, Issy-les-Moulineaux (63 000 âmes) vient d'obtenir la palme de la ville francilienne qui a enregistré le plus fort taux de croissance démographique en cinq ans. La commune d'André Santini devrait s'étoffer dans les années à venir avec la construction programmée de 1 385 nouveaux logements cette année et de 1 662 l'an prochain. L'accroissement du nombre d'habitants est principalement dû à la réalisation de programmes immobiliers.
Pas moins de sept zones d'aménagement concerté (ZAC) ont ainsi été lancées sur la commune en quinze ans et des quartiers entiers sont sortis de terre, comme le quartier Haussmann.[...]
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Il neige fort en ce moment même à Paris intra muros. Fait exceptionnel ? Non !
Voici quelques records :
Records enregistrés à Paris Montsouris depuis 1872
• Température la plus basse : - 23,9° C (10 décembre 1879)
• Température la plus élevée : 40,4° C (28 juillet 1947)
• Hauteur maximale de précipitations en 24 h : 95,7 mm (24 août 1987)
• Plus forte épaisseur de neige en 24 h : 40 cm (2 mars 1946)
• Vitesse maximale du vent instantané : 169 km/h (tempête du 27 décembre 1999), battant le record de 140 km/h (13 mars 1967)
• Pression la plus basse : 948,9 hpa (25 février 1989)
• Pression la plus haute : 1 036,4 hpa (15 février 1959)
• Été le plus chaud : 2003. 9 jours consécutifs au dessus de 35°C du 4 au 12 août, température minimale : 23,4°C ; température maximale : 38,1°C ; température moyenne : 30,8°C. Les 11 et 12 août 2003, le record absolu de température minimale est battu ; il s'élève à 25,5°C et dépasse le record précédent qui s'élevait à 24°C en juillet 1976. Depuis le début des relevés en France, aucun été n'a été si chaud (depuis 1757, pour Paris Le Bourget ou depuis 1873 pour Paris Montsouris)
• Hiver le plus froid : 1879-1880 (température moyenne : - 0,8°C)
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Businessimo 09-02-2005 a écrit:
420 000 M²
420 000 m² de bureaux ont été commercialisés au cours des 2 premiers mois de 2005 en Ile de France, selon les indicateurs de l'immobilier d'entreprise francilien produits par KEOPS Entreprises.
« Ce chiffre est en progression de près de 20 % comparativement à la même période de l’année précédente », indique Alain Roy, directeur associé et responsable du département Marketing & Etudes, qui précise : « Les acquisitions effectuées par les utilisateurs doublent en volume et représentent, en 2005, 15% des surfaces placées ».[...]
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Est ce que L' aglomération Parisienne est la première d'Europe, ou est-ce Londres ?
Tout dépend de ce qu'on peut appeler "agglomération", et surtout de "première"
Sans rentrer dans un débat très dangereux pour un forum, si on parle de démographie et d'étendue, ce ne sont pas du tout les mêmes typologies de ville, dès lors elles ne sont guère comparables. La Grande Bretagne étant plus dense du point de vue de la population, la frange périurbaine de Londres est plus étendue que Paris, et l'aire urbaine/métropolitaine plus peuplée.
Par contre, si on considère peu ou prou l'agglo au sens de l'INSEE, Paris (10 millions d'habitants) est plus peuplée que Londres (7,8 millions).
Paris est beaucoup plus dense dans son noyau, donc forcément moins étendue en principe.
Mais si on y réflechit, ce sont des villes hiérarchiquement comparables.
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Bonne nouvelle : les chiffres-clefs de l'IDF viennent de paraître aujourd'hui par l'IAURIF - comme quoi ça aide parfois de bosser dans un bureau d'études, on est tenu au courant ...
Vous pouvez télécharger le tout en PDF à l'adresse suivante :
http://www.iaurif.org/fr/savoirfaire/et … /index.htm
J'y reviendrai, il y a beaucoup à en dire, visiblement
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20 minutes, 27/04/2005
La Parisienne, mère de plus en plus seule
Les familles monoparentales représentent un quart des familles de la capitale
Mercredi 27 avril 2005
Les familles monoparentales progressent. Selon une récente étude de la Drees (direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques), la France a gagné, entre 1990 et 1999, 23,7 % de familles monoparentales. Elles représentent désormais 16,7 % des familles. A Paris, ce chiffre grimpe à 25 %. Dans 85 % des cas, il s’agit de femmes élevant seules leur(s) enfant(s).[...]
* Pour les familles monoparentales non titulaires de l’allocation parent isolé, et dont les revenus ne dépassent pas 1 100 e par mois.
A savoir :
les chiffres
63 000 familles monoparentales à Paris, dont 54 000 sont des femmes seules avec enfant(s).
83 % des ressources des femmes seules avec enfant(s) proviennent des revenus du travail.
14 % des familles monoparentales avec au moins trois enfants vivent dans un logement surpeuplé (c’est-à-dire qu’il manque une pièce).
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20 minutes, 5/07/2005
L’Ile-de-France, région jeune et féconde
Mardi 05 juillet 2005
11,264 millions de Franciliens. Les chiffres publiés hier par l’Insee témoignent d’une croissance de la population régionale (0,5 % par an) comparable au reste du pays. Mais sous-estimée par les schémas régionaux. La tendance, déjà constatée en 1999, s’amplifie : on emménage en région parisienne à 20 ans et on la quitte à 40, surtout s’il n’y a qu’un seul revenu dans le ménage. Les 20-39 ans représentent ainsi 31 % des Franciliens, contre 26 % en France. Et les plus de 60 ans ne pèsent que 16 % de la population régionale, contre 22 % en province. [...]
A savoir :
méthode Ces chiffres sont issus de la première enquête annuelle de l’Insee. Pour la première fois depuis le recensement de 1999, l’institut a effectué en 2004 une enquête portant sur 10 % de la population francilienne.
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20 minutes, 23/09/2005
Un Francilien sur dix souffre de la pauvreté
Vendredi 23 septembre 2005
Près de deux fois plus que la moyenne nationale : un Francilien sur dix vit en dessous du seuil de pauvreté ! C’est l’une des leçons chocs de l’Atlas de la santé en Ile-de-France que la région et l’Etat rendent public ce matin. Ce document de 145 pages décortique taux de mortalité, accès aux soins, niveau de prévention, pathologies des habitants de la région, etc.[...]
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Le Monde, 23/09/2005
Les Franciliens inégaux devant le système de santé
LE MONDE | 23.09.05 | 13h40 • Mis à jour le 23.09.05 | 13h40
L'Institut d'aménagement et d'urbanisme de la région Ile-de-France publie, vendredi 23 septembre, le premier Atlas de la santé en Ile-de-France, un gros ouvrage illustré de 150 pages (Iaurif, 15, rue Falguière, Paris-15e, 40 euros), fruit d'un travail collectif entre un organisme dépendant du conseil régional et des experts du ministère de la santé.
Il réunit un ensemble de données, jusque-là dispersées, sur la santé des Franciliens et sur l'offre de soins dans la région de France où les contrastes sociaux sont les plus marqués avec des populations aisées à l'ouest et des territoires plus défavorisés au nord et au nord-est.[...]
Christine Garin
Article paru dans l'édition du 24.09.05
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Le Monde, 30/09/2005
Comment Lognes est devenue la première ville asiatique de France
LE MONDE | 30.09.05 | 13h28 • Mis à jour le 30.09.05 | 13h49
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Les migrations asiatiques, sujet d'études
Les migrations des populations chinoise et asiatique ont fourni la matière de plusieurs livres récents : Le Paris Asie de Pascal Blanchard et Eric Deroo (La Découverte, 2004), raconte, en textes et en images, "cent cinquante ans de présence asiatique dans la capitale" ; un ouvrage du géographe Pierre Picquart, L'Empire chinois (Favre, 2004), décrit les mutations de la Chine contemporaine et brosse le portrait de ses diasporas.
Parmi les grands classiques étudiant les migrations asiatiques dans la capitale : Paris 13e, lumières d'Asie, de Jacqueline Costa-Lascoux et Yu-Sion Live (Autrement, 1995) ; Le Triangle de Choisy, de Michelle Guillon et Isabelle Taboada-Leonetti (L'Harmattan, 1986) ; L'ethnique est quotidien, d'Anne Raulin (L'Harmattan, 2000).
Parmi les études les plus récentes : l'excellent numéro de la revue Hommes et migrations sur les Chinois de France, coordonné par Véronique Poisson (mars-avril 2005) ; Le Trafic et l'exploitation des immigrants chinois en France, un rapport de Véronique Poisson et Gao Yun publié par le Bureau international du travail (BIT) en mars 2005.
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Les touristes chinois choisissent l'Europe
Les Chinois ont droit à trois semaines de congés par an : une pour la fête du printemps, une pour le 1er mai, puis la dernière à l'occasion de la fête nationale, le 1er octobre. Les touristes chinois qui viennent visiter l'Europe et en particulier la France 400 000 en 2003 au cours de ces trois "semaines d'or" sont de plus en plus nombreux.
Dans un mémoire soutenu en 2004 à l'Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco), Jérémie Descamps relève qu'"à la grande joie des professionnels du tourisme, cet essor marque (...) le début d'un cycle de croissance, l'Europe étant la première concernée".
L'Union européenne a signé, en octobre 2003, un accord touristique avec la Chine. L'Organisation mondiale du tourisme (OMT) prévoit qu'il y aura près de 100 millions de touristes chinois à travers le monde en 2020, contre 20 millions en 2003. Selon le mémoire de Jérémie Descamps, la Maison de la France en Chine dit viser à l'horizon 2020 "une cible de clientèle de l'ordre de 40 millions" de touristes chinois.
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A l'époque, la famille Kuach, originaire de la province chinoise du Fujian, coulait des jours paisibles au Tonkin (le futur Vietnam). C'était en 1949. Le 1er octobre, Mao Zedong proclamait l'avènement de la République populaire de Chine. Quelque trente ans plus tard, Alexandre Kuach, son épouse et leurs six enfants débarquaient à Paris, rejoignant la cohorte de réfugiés et autres exilés du Sud-Est asiatique.
Pour lui, comme pour tous les Asiatiques de Lognes et de Navarre, l'idée de fêter l'anniversaire de l'arrivée au pouvoir du Grand Timonier est, au mieux, une plaisanterie. Le 1er octobre n'en est pas moins jour de fête nationale en Chine. Et M. Kuach, secrétaire général adjoint de la Fédération mondiale des Chinois du Vietnam, du Cambodge et du Laos, ira, comme chaque année, à la réception offerte par l'ambassade, avenue George-V. "J'y vais seulement depuis 1991", souligne-t-il, faisant allusion à l'ère d'ouverture politique amorcée par Pékin.
A Lognes (15 000 habitants), surnommée "la ville du dragon" 40 % de sa population est d'origine asiatique , on a beau compter un magasin Tang et un Paris-Store, des pagodes, des champions de ping-pong et des experts en taï-chi, Mao est loin. Samedi 1er octobre, il n'y aura pas de fête chinoise, mais une nouvelle "nuit fraternelle" dédiée aux "enfants du Laos" avec tombola et vente de produits laotiens, le tout patronné par l'association Marnasia, créée par Michel Ricart, le maire socialiste de la commune.
"LOGNES, C'EST L'EST, L'ORIENT"
Dans un petit livre, Mes neveux et nièces (Editions du Témoignage chrétien, 1997), ce dernier évoque le patchwork des communautés venues peupler Lognes l'une des vingt-six villes nouvelles de Marne-la-Vallée construites au début des années 1980. Entre 1982 et 1989, quelque 4 000 Asiatiques s'y sont installés la commune comptait moins de 300 âmes dans les années 1950 , Cambodgiens en tête, suivis, dans des proportions à peu près équivalentes, par des Laotiens et des Vietnamiens. "Lognes est la première ville asiatique de France", s'enorgueillit l'édile.
Des facilités financières accordées par l'Etat, qui permettaient alors d'accéder à la propriété pour une bouchée de pain, ont favorisé cet engouement. "On était tellement enthousiasmés qu'on a acheté la maison sur plan, sans la voir pour de bon", témoigne Viraphone Le Van, d'origine laotienne, qui a résidé à Lognes entre 1980 et 2000. "A l'époque, on vivait à six dans un deux-pièces rue Oberkampf, à Paris. On a pu acheter cette maison de quatre pièces à un prix très avantageux, avec un prêt sur vingt ans", se rappelle-t-elle. La construction de l'autoroute de l'Est et d'une ligne RER a aussi contribué à cette ruée.
Mais ici, il y a plus. " C'est l'est, le lever du soleil : la vitalité, l'énergie... L'est, c'est la lumière, c'est l'Orient. L'idéal pour s'installer", assure Nguyen Van Huy, ancien boat people du Vietnam, devenu, après bien des avatars, cadre dans une société de conseil en informatique.[...]
Catherine Simon
Article paru dans l'édition du 01.10.05
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Petit document sur l'offre tertiaire en IDF pour 2004 :
http://www.paris-region.com/upload/document/D93.pdf
Personellement j'adore ce genre de document très "livre de géographie"
20 minutes, 18/01/2006
L’Ile-de-France, championne de la natalité
Population Le nombre de naissances compense un solde migratoire négatif dans la région
Mercredi 18 janvier 2006
La population francilienne continue d’augmenter. Doucement, en raison d’un solde migratoire déficitaire, mais sûrement, grâce à un excédent naturel (différence entre les naissances et les décès) de plus en plus fort. Analyse des grandes tendances démographiques en Ile-de-France, présentées hier par l’Insee, à l’occasion des résultats de ses deux dernières campagnes de recensement, menées en 2004 et 2005.
• Un excédent naturel en hausse Avec un solde de + 107 000, la croissance naturelle francilienne est supérieure à celle de la Grande-Bretagne et représente 43 % de l’excédent français ! A cela, deux raisons : d’abord, une natalité soutenue, passée de 167 300 naissances en 1999 à 175 300 en 2004. Le record du baby-boom de 2000 (174 200 naissances) a été battu. L’Ile-de-France reste la région où les naissances sont les plus nombreuses. Les décès, eux, marquent un net recul : 68 500 en 2004, contre 74 800 en 1999. « Les Franciliens ont tendance à quitter la région à l’heure de la retraite, analyse Alain Charraud, directeur de l’Insee Ile-de-France. On meurt donc moins en région parisienne qu’ailleurs... »[...]
A savoir :
solde Si le solde migratoire annuel de l’Ile-de-France avec les régions de métropole est négatif (- 70 000), le solde avec les DOM-TOM et l’étranger est, lui, positif (+ 20 000).
Voir aussi https://www.pss-archi.eu/forum/viewtopic.php?id=8445
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