Publicité
Du nouveau concernant la ZAC Armorique
Projet lauréat.pdf en page 2=> http://www.sce.fr/index.php?option=com_ … Itemid=222
Appels d'offre du 27/01/2009 : Sélection d'équipes de promoteurs-concepteurs =>http://www.marchesonline.com/mol/front/ … nfo=typeao
Programme à réaliser : Construction d'une cinquantaine de logements, de 8 500 m2 de locaux tertiaires et d'une salle de quartier de 120 m2 utiles.
La désignation du lauréat par la Ville de Rennes est prévue pour mi 2009.
Tomtomfromrennes a écrit:
Il est déjà prévu pour le fret, entre Noyal et Chevaigné, il faudrait lui donner un peu plus d'ambition. Cela permettrait d'y insérer les TER vers St-Malo, et au passage permettrait de les diamétraliser avec le ligne de Bruz pour créer des navettes St-Malo <> Rennes <> Aéroport International <> Nantes. Seuls les TGV Paris <> St-Malo continueraient à utiliser la ligne actuelle, libérant celle-ci à plein pour les services périurbains. Mmmm.... Je vais faire une petit carte.
Je ne connaissais pas ce projet de voie Fret à l'est, tu tiens ça d'où ? c'est prévu pour quand ?
L'idée de l'utiliser pour du trafic périurbain me plaît bien, et permettrait plus loin dans l'avenir une extension vers Fougères...
Publicité
Si certains veulent lâcher un commentaire => http://www.rennes.maville.com/actu/foru … 8_actu.Htm
Nous liraient-ils ?
Le Parlement a voté la fin de l'avis conforme des ABF pour les zones patrimoniales, peut-être que cela permettra un peu plus d'audace dans le centre-ville notamment. Celui de Rennes est assez tatillon, et quand on voit la misère des réalisation récentes, pourvues de fausses corniches et ce genre de conneries: Parcheminerie, Visitation, Ambroise Paré, et un tas de petites opérations... Depuis 10 ans il ne se construit dans le centre que du pastiche pathétique. La ville est assez compétente pour protéger elle-même son patrimoine. Espérons que cela ouvre une ère de plus grande liberté et de compréhension. Tout plutôt que cette morne agonie...
Quelques articles sur la question (tous négatifs et catastrophistes):
http://www.lexpress.fr/culture/architec … 37286.html
http://abonnes.lemonde.fr/culture/artic … _3246.html
Personne ne pointe l'extraordinaire arbitraire que constituait cette situation, en mettant dans les mains d'un homme le pouvoir de bloquer nombre de projets, au mépris de l'intérêt public parfois. Les villes peuvent s'en passer car elles disposent d'une administration suffisante et compétente, avec des professionnels habitués à ces problématiques. le vrai problème est celui des zones rurales.
Il faudrait trouver une institution alternative, qui serait compétente pour approuver les projets en zone rurale, et sur recours dans les zones urbaines, pour les projets qui posent vraiment problème. Elle devrait être collégiale, comprenant des architectes praticiens, des architectes des bâtiments de france, et des universitaires historiens.
Le problème est aussi celui de l'absence de réflexion sur le centre-historique de Rennes. il faudrait faire plancher les étudiants en archi, en urba... sur la question. Comment construire aujourd'hui en zone urbaine patrimoniale. La question est plus chaude qu'on ne le pense. En effet, nombre de bâtiments dans le centre-ville sont en fait des bâtiments des années 50/60, datant de la reconstruction, déguisés pauvrement en bâtiments anciens, ou en reprenant les formes et gabarits. Il est possible de densifier et renouveler le bâti en centre-ville aussi, mais il faut un large travail de réflexion en amont, pour une architecture et une articulation urbaine de très haute qualité.
Je pense aux quais autour de la place de la République, à la place St-Germain, qui sera desservie par le métro et dont 50% du périmètre est constitué de ce type de bâtiments d'après-guerre, au Collège d'Echange, à la Salle de la Cité, mais aussi les quartiers faubourgiens: rue de Paris, de Fougères...
steph35 a écrit:
(Justement ! Comment s'y prend-t-on pour que ça ne s'apparente pas à de la publicité gratuite ? ... je suis nul en communication
)
Si cela peut t'inspirer : http://www.saint-nazaire.maville.com/ac … 1_actu.Htm (troisième commentaire)
Je ne peux pas dire si cela a incité un Nazairien à s'inscrire en revanche...
*** Skyscraper Spirit Wonder Llama ***
Ok renard, je vais voir pour laisser un commentaire incitatif sur ce modèle
Tomtomfromrennes a écrit:
(...)
Personne ne pointe l'extraordinaire arbitraire que constituait cette situation, en mettant dans les mains d'un homme le pouvoir de bloquer nombre de projets, au mépris de l'intérêt public parfois. (...)
Je rejoins volontiers l'avis de Soler de l'article de l'Express... Autant la situation de l'ABF avant était mauvaise, autant la nouvelle situation risque guère d'être meilleure... On reste dans cette logique du pouvoir dans les mains d'un seul homme.
L'institution ayant en charge le développement de l'urbanisme et de l'architecture devrait être indépendante du politique, de "l'homme" et de son équipe municipale, ABF et mairie ne devraient endosser qu'un rôle consultatif, la décision devrait revenir à cet "organisme indépendant"... L'Audiar me semble pas mal pour ça, de plus ses recherches s'appliquent au monde urbain et rural du Pays de Rennes et est en charge d'études pour d'autres Pays voisins...
L'Audiar est un organe de la Métropole, à 100% dépendant d'elle. Confier la décision à un organe autre que politique, c'est-à-dire à un organe technique, alors que la protection du patrimoine relève du culturel et non du fait technique. Certes il y a besoin d'un avis technique, celui de la sauvegarde physique des éléments patrimoniaux, et de la compatibilité technique des projets avec eux. Mais en dehors de ces questions, qui sont des gardes-fous, le dernier rempart en quelque sorte, la décision est d'abord politique.
Je prends un exemple précis: la place St-Germain. Les immeubles qui la bordent à l'est, de la reconstruction, ne présentent aucune valeur patrimoniale particulière. La décision de mener ici une opération de redéveloppement ne mettrait pas en danger physiquement des éléments patrimoniaux, pourvu que l'on s'en tienne à ce périmètre bien défini. La question de mettre en œuvre une telle opération n'est pas technique. Elle est politique.
Ce n'est pas mettre le pouvoir dans les mains d'un seul homme, sauf à considérer la commune, et la Métropole, comme une autocratie. Le maire est d'abord issu d'un organe délibérant, dont on peut imaginer qu'il doive se prononcer sur ces opération, créant ainsi un espace de débat et donnant une plus grande légitimité à la décision.
Car le problème n'est pas tant la possibilité légale de la décision que sa légitimité, qui prend de plus en plus d'importance. Je prend en exemple le débat sur le passage du métro aux Longs-Champs. La Métropole pourrait tout à fait légalement, après s'être contenté du débat minimal, faire passer une décision. Point. Pourtant pour la faire apparaître légitime, il faut batailler ferme. Autre exemple: le Centre de Congrès aux Jacobins qui cristallise un front du refus susceptible de faire basculer la décision de la Métropole à terme.
Nul doute qu'il n'y a aucun risque qu'un projet comme le rédéveloppement de la place St-Germain par exemple passe inaperçu et soit lancé dans le dos des Rennais, décision autocratique d'un seul homme.
je pense que c'est une rhétorique qui vise à cacher l'arbitraire de la procédure actuelle, où un technicien prend de manière tout à fait obscure des décisions tout à fait politique. Décisions prises pour des raisons tout à fait obscures et parfois de simple goût ou conviction personnelle. Par exemple, refuser une tour sur le mail en face de la cathédrale, ou imposer des corniches à tous les bâtiments. L'ABF camoufle des décisions politiques, qui devraient regarder tout le monde, en décisions techniciennes. Confier la décision au Conseil Municipal, c'est d'abord la mettre sur la place publique. C'est d'abord ça, le gouvernement républicain, mettre les choses sur la place publique. Et que le débat s'en saisisse. C'est rendre la décision au politique.
Le patrimoine des centres urbains n'est pas mis en danger par les nouveaux projets. Il est en danger par manque d'entretien, par manque de moyens, par manque de connaissances. Pour tout cela oui il faut faire quelque chose. Les ABF ont, c'est un fait, incroyablement contribués à figer les centres urbains dans un pathétique éternel retour. regardez en Suisse, aux Pays-Bas, en Belgique, au Danemark... On n'hésite pas à faire se rencontrer des architectures radicalement différentes, et elles s'enrichissent l'une l'autre.
L'Audiar est dépendante aujourd'hui, mais rien n'empêche d'imaginer que cet organe devienne autonome à l'avenir, indépendant du politique ?
Tomtomfromrennes a écrit:
L'Audiar est un organe de la Métropole, à 100% dépendant d'elle. Confier la décision à un organe autre que politique, c'est-à-dire à un organe technique, alors que la protection du patrimoine relève du culturel et non du fait technique. Certes il y a besoin d'un avis technique, celui de la sauvegarde physique des éléments patrimoniaux, et de la compatibilité technique des projets avec eux. Mais en dehors de ces questions, qui sont des gardes-fous, le dernier rempart en quelque sorte, la décision est d'abord politique.
Je n'ai pas envie de faire dans le sémantique et le philosophique, mais il m'est difficile d'acquiescer sur ce passage en gras.
L'Audiar est riche d'une connaissance du territoire et de son évolution à différentes échelles, la taxer de n'être "que" technique et la disqualifier du champ "culturel" ne me semble franchement pas approprié... la connaissance d'un territoire c'est du domaine culturel et pas seulement technique.
À la différence d'un ABF, l'Audiar a cette culture du territoire "en mouvement"... Dès lors, dans ses orientations, le caractère "figé" que peut avoir un territoire aux yeux de l'ABF et du politique (pour des raisons politiciennes), l'Audiar n'y est soumise que par sa connaissance de ce dit territoire.
Je ne suis pas contre le débat public bien au contraire, et je ne dis pas que le débat public ne doit pas enrichir ou aider à la décision, mais qu'en aucun cas celle-ci doit directement en découler.
Je n'ose imaginer les ravages que ce genre de concertations pourraient provoquer dans des quartiers comme le Colombier, le Blosne, Bourg l'Évêque, et à contrario, malgré la vétusté d'un grand nombre de logements dans le centre, préserver un/ce centre "historique".
Et pour reprendre ton exemple de l'ilot à l'est de la place Saint-Germain, aujourd'hui, franchement, si un projet de modernisation se faisait jour, les premiers (les seuls ?) à s'exprimer, et le plus haut et fort, seraient, selon toi, les opposants ou les partisans ??
Les opposants. Il est beaucoup plus facile de se mobiliser contre que de se mobiliser pour. On le voit pour tous les grands projets. Il n'y a pas à ma connaissance d'association pro-LGV PACA, alors que l'on commence déjà à s'inquiéter pour les gisements d'œufs de dinosaures, et les vertes vallées provençales. Il y a toujours un recyclage des discours dominants pour légitimer une opposition qui est en fait largement personnelle et NIMBY: l'écologie, la démocratie participative... Ce sont étonnamment les mêmes arguments que l'on retrouve en Provence ou aux longs-champs, et partout ailleurs.
Il y a pas mal de gens qui sur les différents forums seraient favorables à un passage en viaduc sur les Buttes de Coëmes, mais personne ne vient enrichir la concertation, ou presque. Ces types de structure sont en général trustées par des opposants.
Je persiste et signe sur l'Audiar, même si elle a acquit une compétence qui n'est pas que technique, elle reste dépendante du politique. Et il ne peut en être autrement, c'est avant tout un outils au service de la Métropole et des différentes communes, qui a développé des compétences communes, permettant d'apporter une expertise et un savoir-faire même aux plus petites communes qui ne pourraient développer un service d'urbanisme. L'Audiar n'a qu'un seul donneur d'ordre: la Métropole. Comment espérer dés lors qu'elle soit indépendante? Ça n'a pas vraiment de sens. Et comment résoudre alors le problème de son recrutement, de son budget? Tout cela dépendant exclusivement de la Métropole. Tenter de la rendre indépendante, c'est aussi confier les clés du développement de la Métropole à un organe incontrôlable.
Petite précision: quand je parle du politique, je ne parle pas de la classe politique ou ce genre de chose, mais de l'organisation publique de la Cité. Quelque chose qui relève du choix collectif, qui peut être mis en œuvre de différentes manières. Un choix politique c'est un choix pour lequel il n'y a pas une bonne réponse technique.
Admettons, je te suis, je ne suis pas fermé sur ce genre de sujets.
Mais il y a de gros risques en contre partie, c'est un système à double tranchants... La politique (maître de la décision) a cette fâcheuse habitude de vouloir se garder un électorat, même si ce n'est pas forcément aussi vrai à Rennes... Une énorme campagne "d'éducation" ayant pour sujet "qu'est-ce que le patrimoine" devra être menée au préalable si l'objectif est de ne pas amplifier le conservatisme...
Concernant l'Audiar, je continue à croire qu'elle pourrait à l'avenir se "délier" de sa "tutelle", augmenter le nombre de ses compétences (y inclure l'architecture par exemple), ses capacités de recherches, et étendre ses "services"... ça n'en ferait pas pour autant une agence "incontrôlable aux pleins pouvoirs". Vu le nombre d'institutions en France, il devrait être possible de trouver un "modèle" dont il serait possible de s'inspirer. Un exemple tu parlais de financement : une taxe à taux invariable fixée sur les budgets annuels de la Métropole, des Pays concernés, et du Département, contre quoi un droit de regard sur les dépenses de l'agence serait donner aux structures contribuables...
Une telle agence, forte de sa connaissance des territoires, pourrait bénéficier d'un rôle plus "engagé" que celui de "simple" conseil aux élus... ça permettrait peut-être d'éviter certaines aberrations "zaquesques" (je ne citerai pas de noms, je suis sûr que tu les auras reconnu )... 'fin bon...
Rue de l'Alma
http://maps.live.com/default.aspx?v=2&a … ;encType=1
Siège de la direction du Travail (projet lauréat)
localisation : derrière le poteau de corner
source : Philippe Brulé Architecte
D'une surface utile de 4300 m² avec une extension possible de 880 m² supplémentaires, les futurs bureaux de la Direction du Travail et de l'Emploi se situent dans une démarche de développement durable, fil conducteur de la conception du projet. Celui-ci intègre différents aspects;
- Projet novateur à la fois pour ses techniques de construction et ses performances énergétiques exceptionnelles avec une consommation de 17 kWh/m²/an
- Intégration urbaine qui traduit la volonté du service d'exister en tant que service public au coeur du quartier; l'architecture des façades principales reprenant la typologie des logements environnants (facade Nord) ou symbole fort d'un équipement majeur (façade Sud)
- L' homme au coeur du projet : Les hommes et les femmes qui vont faire vivre ce bâtiment sont assurés de profiter d'un environnement convivial, confortable et sain, notamment grâce à l'organisation générale autour de grands espaces plantés, coeurs du projet.
Les futurs bureaux de la Direction du Travail et de l'Emploi constituent un projet ambitieux et novateur qui donne l'orientation vers laquelle doivent se développer les constructions actuelles et répondre ainsi à l'impulsion donné lors du Grenelle de l' Environnement.
A ce titre, il est regrettable que pour des raisons réglementaires nous n'ayons pas pu mettre en oeuvre le programme de production d'énergie prévu à l'origine.
On n'avait pas réussi à localiser le batiment le "Lotus" dégoter par bato, des architectes studio02 et Anthracite Architectectures
Celui-ci
Et bien il se situera en ZI sud-est, les travaux devrait débuter en ce début d'année si ce n'est déjà fait, la livraison est prévue pour 2010.
Localisation : À la place d'un des bâtiment de gauche ou de droite, au sud du rond-point
Source site du Promoteur Axio et Plaquette .pdf
Si si, j'avais trouvé où le programme était prévu en passant (après que l'on se soit demandé) à ce rond-point. Un grand panneau est déjà affiché depuis plusieurs mois pour annoncer le programme.
Sur la vue aérienne que tu as envoyé, il s'agit de l'emplacement à droite de la route, là il y a le bâtiment blanc-gris en forme de "L obèse".
Ah, autant pour moi, j'ai dû louper un épisode
À noter que ça va dans le sens des orientations préconisées par l'audiar sur l'évolution de l'aménagement de la ZI sud-est.
La Zone commence sa mutation...
De nouveaux rendus de l' immeuble A'DAO à Cesson Sévigné sur ce site :
http://www.animage3d.fr/Bienvenue.html
Voici le rendu que nous connaissions et qui avait déjà été posté sur le forum :
Non non ce sont deux projets distincts de A'dao Architectures, l'un est bien Newton (en construction je crois), l'autre est l'immeuble (projet lauréat ?) France Télécom qui doit aussi être construit à Atalante Beaulieu au sud de la tour TV...
Oui effectivement, les travaux du Newton, seraient commencés depuis février 2008 pour livraison fin 2009.
http://www.ville-cesson-sevigne.fr/cim/ … 1-2008.pdf
Il serait grand temps que j'aille faire un tour sur le site!
Je ne sais pas si le fait est connu : le journal L'Ouest-Eclair, ancêtre de Ouest-France, est progressivement numérisé par la BNF : http://visualiseur.bnf.fr/ark:/12148/cb32830550k/date
Bon les infos locales et régionales tiennent parfois en une page, et se résument essentiellement aux faits divers (impressionnante la place faite aux faits divers !) et à de la pub. Les "Nouvelles maritimes", relatant les mouvements de bateaux occupent presque autant de place... Seule la rubrique "obsèques" n'a pas changé d'un poil par rapport à Ouest-France aujourd'hui (peut-être la typo ? et encore...). Toujours instructif de voir comment nos ancêtres étaient informés
NB : dans l'édition du 31/12/37, en page 4, il-y-a une promo de Pathé sur ses postes TSF : à partir de 37 francs par mois, profitez-en vite !
NB 2 : tiens, il existait aussi un L'Ouest-Eclair Dimanche, "Le moins cher des magazines pour la famille. L'Ami du Foyer dont on ne peut se passer chaque semaine"
*** Skyscraper Spirit Wonder Llama ***
http://assoc.journal-officiel.gouv.fr/a … TION=reset
Association : ASSOCIATION DU PRE-PERCHE.
Identification WALDEC : W353006255
No de parution : 20080030
Département (Région) : Ille-et-Vilaine (Bretagne)
Lieu parution : Déclaration à la préfecture d'Ille-et-Vilaine.
Type d'annonce : ASSOCIATION/CREATION
Déclaration à la préfecture d’Ille-et-Vilaine. ASSOCIATION DU PRE-PERCHE. Objet : défendre les intérêts et la qualité de vie des riverains du quartier Chicogné, Pré-Perché, liberté remis en cause par le projet immobilier du secteur Pré-Perché. Siège social : 39 Bis, boulevard de la Liberté, 35000 Rennes. Date de la déclaration : 9 juillet 2008.
Le projet immobilier en question vise à remplacer l'actuel siège du crédit agricole une fois parti à la courrouze, par ~300 à 350 logements... en centre-ville.
"défendre les intérêts et la qualité de vie des riverains du quartier Chicogné, Pré-Perché, liberté" : par définition, au vu de l'emplacement, ça sent les nimbys.
A quoi ressemblera la ville de Rennes en 2014 ?
samedi 14 mars 2009
Stéphane VERNAY.
Ouest-France
http://www.rennes.maville.com/actu/actu … 1_actu.Htm
Publicité