© Garbougnat
Architecture – Urbanisme – Aménagement du territoire
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A Marseille, le retournement du marché immobilier est violent, sauf à Endoume
Un véritable tsunami s’est abattu sur la cité phocéenne. Alors qu’ils avaient déjà perdu 10% entre les étés 2007 et 2008, les prix ont encore chuté de près de 15% au cours des douze derniers mois. «C’est simple, le volume des ventes s’est effondré de 40% et les prix sont retombés au niveau de 2006», résume Benoît Magne, de l’Immobilière Bernard Helme. Si les acquéreurs sont à la fête, les propriétaires, par contre, ont le moral en berne. A preuve, place Joseph-Etienne (VIIe arrondissement), ce vendeur a fini par accepter un chèque de 210 000 euros pour son 63 mètres carrés, alors qu’il l’avait payé 235 000 euros en 2007.
Vu les prix stratrosphériques, ce n'est pas fini.
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Juste retour des choses.
D'ailleurs Marseille l'Hebdo de cette semaine consacre un dossier à l'immobilier. Concernant le neuf, le discours est un peu différent, extrait:
Déstockage réussi
Zac de la Capelette, Zac de Sainte-Marthe, terrain Chanterelle sur Camille-Flammarion... Consciente de la pénurie qui se profile, la Ville soutient de nouveaux programmes destinés à reconstituer le parc du neuf.
L'an dernier les promoteurs ne savaient plus quoi faire pour écouler leurs biens: ristournes, places de parking offertes, "ventes flash" sur deux jours... En janvier, Patrick Alary, président de la fédération des promoteurs constructeurs de Provence affichait un stock de 2200 logements à vendre.
(...)
"On assiste à un rebond spectaculaire au premier semestre avec une hausse de 51% des réservations dans le département et de 100% sur Marseille, poursuit Patrick Alary. Mais elles sont réalisées à 70% par le dispositif Scellier, et à 30% par le doublement du prêt à taux zéro en faveur des primo-accédants."
(...)
Tout ambitieux soient-ils, ces programmes ne suffiront pas à combler la demande, qui sera forcément importante à l'avenir: faute de chantiers, le parc du neuf se réduit comme peau de chagrin. Avec à la clé une hausse inévitable des prix... dans le neuf comme dans l'ancien.
Laurence Mildonian
Les quartiers boudés de l'immobilier marseillais
Publié le jeudi 22 octobre 2009 à 18H40
Après des années de vente effrénée et de flambée des prix, le marché de l'immobilier marque le pas. Particulièrement touchés, des quartiers comme la Joliette, La Canebière ou la Belle-de-Mai, pourtant au coeur de grandes opérations d'aménagement urbain.
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La Joliette dans l’attente
C’est la grande déception. Pourtant, au début du lancement de l’opération de réhabilitation du quartier, on parlait presque d’Eldorado.
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Belsunce, Canebière, la déception
Malgré la redynamisation du centre-ville, sa revalorisation grâce au tramway, à la piétonnisation de certaines artères, à la rénovation de l’habitat grâce au PRI..., le changement de population escompté n’est pas arrivé. Du moins au niveau des propriétaires.
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Sainte-Marthe, une prière vaine
sa situation enclavée, ses embouteillages constants, l’éloignement du centre comme des entrées d’autoroutes et les prix élevés détournent les potentiels acquéreurs. Dans cinq ou dix ans, quand Marseille et sa banlieue ne feront plus qu’un, que la RD4d verra enfin le jour, peut-être que...
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La Belle-de-Mai pas si belle
Or on pouvait imaginer que les salariés de ces structures auraient envie de s’installer près de leur lieu de travail mais l’insécurité a eu raison du succès attendu.
Actuellement en kiosques, "Marseille l'hebdo" consacre un dossier complet à la situation de l'immobilier dans la cité phocéenne.
Alexandra Cefai et Laurence Mildonian
pastis a écrit:
D'ailleurs Marseille l'Hebdo de cette semaine consacre un dossier à l'immobilier. Concernant le neuf, le discours est un peu différent, extrait:
Déstockage réussi
Tout ambitieux soient-ils, ces programmes ne suffiront pas à combler la demande, qui sera forcément importante à l'avenir: faute de chantiers, le parc du neuf se réduit comme peau de chagrin. Avec à la clé une hausse inévitable des prix... dans le neuf comme dans l'ancien.
Laurence Mildonian
Quelle mauvaise analyse et surtout conclusion de cette journaliste ! Si la solvabilité des ménages ne s'améliore pas, les prix ne pourront pas monter.
Le neuf dopé par les plans anticrise
Créé le 26.10.09 à 07h27 | Mis à jour le 26.10.09 à 07h27 | 20 Minutes
Les promoteurs sourient, les agents immobiliers font grise mine. Le premier semestre 2009 a vu les réservations de logements neufs augmenter de 51 % dans les Bouches-du-Rhône par rapport au semestre précédent, selon les chiffres que vient de publier l'Observatoire immobilier de Provence (OIP).
« Les constructions neuves ont profité de la loi Scellier [qui permet de défiscaliser l'achat d'un logement en le louant], des aides à l'accession à la propriété et de l'élargissement des autorisations d'achat en neuf pour les bailleurs sociaux », détaille Patrick Allary, président de l'OIP. Plus de 1 200 logements auraient ainsi été achetés durant le premier semestre dans les Bouches-du-Rhône, selon l'Association régionale des organismes HLM.
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Frédéric Legrand
La demande repart pour l'immobilier ancien
Mis à jour 06-10-2009 20:03
Les primo accédants tirent un marché de l'immobilier toujours atone à Marseille et en région selon la dernière note de conjoncture de la Fnaim 13. paradoxalement, les prix continuent de baisser alors que la demande reste importante.
(...)
Ce climat d'attentisme qui conduit de nombreux propriétaires à différer la vente de leur bien, en attendant une hypothétique remontée des prix, conduit à un paradoxe : l'offre est inférieure de façon générale à la demande... sans que les prix n'augmentent pour autant. Selon les professionnels, la situation s'explique en partie par les conditions d'accession au crédit plus sévères, contrairement aux années précédentes, où il n'était pas rare de voir des offres de prêt sur plus de 30 ans et des financements par les banques à plus de 110 %. Une situation qui empêche certains ménages de concrétiser leur rêve d'accession à la propriété.
Julien Dukmedjian
Metrofrance.com, à Marseille
http://www.metrofrance.com/ma-vie/timid … XuRLhpSig/
Cette fois Yoyo tu ne contrediras pas la dernière partie de l'article 
Marseille : les administrations et le para-public soutiennent le marché
Les transactions en 2009 ne dépasseront pas 90.000 m 2 dans la cité phocéenne. Mais les prix restent stables.
Malgré d'importantes variations sur l'année, le marché des bureaux s'est stabilisé en 2009 dans la métropole marseillaise. Au total, quelque 90.000 m2 auront été placés contre 100.000 m2 en 2008 et 150.000 m2 en 2007. « La demande n'a pas beaucoup baissé, elle est même en hausse sur le deuxième semestre, mais les transactions sont restées à un niveau relativement faible, ce qui nous fait penser qu'une grosse partie de cette demande est passive », remarque Pascal Schori, président de la commission bureaux neufs de l'Observatoire immobilier de Provence et directeur régional de BNP Paribas Real Estate.
(...)
L'offre neuve ne sera pas pléthorique à Marseille dans les mois qui viennent. Sur Euroméditerranée, seuls sont prévus l'immeuble M Square et 5.000 m2 réhabilités par Atemi, rue de la République. En 2012, en revanche, le secteur va à nouveau exploser avec la livraison en fin d'année des 50.000 m2 de bureaux d'Euromed Center et une extension du pôle média de la Belle de Mai, qui accueille désormais un millier d'emplois (dont 300 pour le feuilleton « Plus belle la vie ») et 300 entreprises. «C'est un vrai succès et nous allons créer 6.000 m2 supplémentaires toujours dédiés au même secteur d'activité, avec Eiffage et un promoteur local», indique Frédéric Moschetti, directeur commercial d'Euroméditerranée. D'ici là, il faudra retrouver la confiance des investisseurs, qui refusent toujours d'investir en blanc.
http://www.lesechos.fr/pme/patrimoine/300394214.htm
Le coup de blues d'Aix
Frémissement.L'immobilier de bureaux à Aix-en-Provence, qui avait bien résisté en 2008, s'est littéralement effondré. Seuls 6.200 m2 ont été placés sur les neuf premiers mois de l'année, contre 19.000 m2 en 2008. Ce n'est pas une surprise pour Philippe Venturini : « Ce sont les entreprises privées qui implantent à Aix leurs sièges administratifs et régionaux, et la conjoncture les a conduits à mettre leurs projets en attente. » Malgré un léger frémissement des affaires, « on n'a aucune visibilité pour 2010 et beaucoup d'interrogations sur les produits de seconde main. Leurs propriétaires accepteront-ils de les remettre en état et que se passera-t-il pour les immeubles qui ne sont pas aux normes environnementales ? »
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En 2012, en revanche, le secteur va à nouveau exploser avec la livraison en fin d'année des 50.000 m2 de bureaux d'Euromed Center
Fin 2012, c'est ça ouais 
La Ville soigne sa com’ sur le logement
27-01-2010 - La Marseillaise
Adjointe en charge du logement, Arlette Fructus joue le rôle de madame Loyale : « Cette configuration inhabituelle a pour but de faire passer un message, celui d’une équipe qui travaille au service des Marseillais et du logement pour tous. » Elle passe ensuite la parole au Premier adjoint Roland Blum qui brosse le portrait d’une « ville qui avance ». « Marseille est une locomotive pour tout le département. Nous avons attiré 50 000 nouveaux habitants depuis 1999 : 24% viennent de la Provence, 43% du reste de la France et 15% de l’étranger. »
(...)
Là encore, hymne à la joie : « La Ville a récemment acquis l’une des casernes de la Belle de Mai, celle de la Busserade pour 11 millions d’euros. Nous y ferons des logements sociaux et à loyer libre ainsi que deux salles de classe. » La tendance générale est tellement positive que l’on remarque à peine le lapsus de l’élue : « Nous cherchons toujours à préserver l’intérêt particulier sur l’intérêt général. » Juste après avoir parlé de la vente de la bastide de la Ribassière par Kaufmann et Broad avec une ristourne de 300 000 euros par rapport au prix des Domaines, c’est un lapsus calamiteux.
BENOÎT GILLES
http://www.lamarseillaise.fr/soci-t-qua … ement.html
ou plutôt 
"L'augmentation des prix de l'immobilier est une chance pour Marseille"
Publié le dimanche 31 janvier 2010 à 09H31
BUZZ DE LA SEMAINE - Notre série d'articles consacrés à l'immobilier à Marseille a beaucoup fait réagir nos internautes. Une sélection de ces commentaires ont été soumis à l'adjointe au maire déléguée au Logement, Arlette Fructus
(...)
2) Comment expliquer la forte inflation qu'a connu l'immobilier à Marseille ?
A.F. : Ce n’est pas la Ville qui fait le marché ! Cela étant dit notre priorité a été d’abord de lutter contre la première cause de l’inflation : la pénurie liée à la faible production de logements de tous types de 1980 à 1995 (1 000 logements/an). Notre priorité a été d’agir sur la relance économique de la Ville qui a permis d’accueillir de nouvelles activités, de nouveaux habitants, de créer des emplois donc de générer de nouvelles richesses à partager entre tous les Marseillais et d’accélérer la production de logements. Je vous rappelle que l’engagement de la Ville, c’est de produire 5 000 logements/an dont 1 500 logements sociaux, développer l’accession sociale à la propriété à prix plafonnés qui permettra ainsi de retrouver une offre à prix raisonnable. Et intervenir sur certains fonciers pour exiger une production à prix maîtrisé.
(...)
3) La densification de l'habitat sera-t-elle accompagnée d'une amélioration significative des moyens de transport ?
A.F. : La densification de l’Habitat est effectivement une obligation pour toutes les grandes villes. Marseille est une ville peu dense, même si quelques grands ensembles émergent. La réalisation des lignes de tramway, leurs prolongations à terme vers le nord comme vers le sud, le prolongement du métro sont bien la preuve d’une volonté d’améliorer les transports en commun en articulant les lignes de rabattement en bus et les lignes à fort potentiel Tram/Métro. A Marseille la tâche est encore plus difficile que dans d’autres communes compte tenu de l’étendue de la ville de Marseille, de sa topographie et son éclatement en noyaux villageois.
Au-delà des améliorations significatives, c’est un nouveau comportement que les Marseillais et les Marseillaises doivent adopter… éviter la voiture autant que faire se peut et utiliser les parkings relais (Fourragère, la Rose, Stade, Palais des Sports…)
(...)
4) Plutôt que de chercher à tout prix à densifier des zones déjà urbanisées, ne serait-il pas préférable de privilégier des zones où le foncier est disponible et d'en améliorer l'accessibilité ?
A.F. : Marseille est une ville très peu dense. Marseille c’est 24 000 hectares dont 14 000 urbanisés et
10 000 protégés (calanques, Etoile et Nerthe). A titre d’exemple la commune de Paris toute entière avec ses parcs, ses grandes avenues, ses grandes esplanades représente 10 000 hectares et possède pourtant le double de population. Il est hors de question de faire disparaître les zones naturelles qui nous entourent et qui constituent un patrimoine de grande qualité. La réponse est dans la reconstitution de la Ville sur la Ville en utilisant les espaces perdus et les anciennes friches industrielles (Belle de Mai, Capelette, Euroméditerranée 1 et 2…)
(...)
Propos recueillis par Jérémy Prin-Derre (jprin-derre@laprovence-presse.fr)
le prolongement du métro sont bien la preuve d’une volonté d’améliorer les transports en commun
Quelle connerie ...
Parce-que c'est 4 stations paumées qui vont désenclaver tout Marseille ?
L'état doit au plus vite financer un plan monumental pour les transports en commun à Marseille et sa métropole. 5 milliards minimum.
sans doute pas mais alors fallait-il rien faire?..
sans doute pas mais alors fallait-il rien faire?..
Attention, n'interprète pas mal mon post !
J'ai dénoncé le fait de dire que cette extension va être une révolution pour Marseille en matière de TC.
Trop d'élus se servent de ces 4 nouvelles stations placées dans des quartiers très peu denses et généralement assez aisés pour dire qu'ils font des efforts pour mettre en place des transports en commun efficaces à Marseille...
Ce qu'il faudrait chez nous pour véritablement désenclaver et révolutionner les transports urbains, c'est pas 2,5km de métro, mais minimum 15km...
L'état doit au plus vite financer un plan monumental pour les transports en commun à Marseille et sa métropole. 5 milliards minimum.
+1
Le bilan de Gaudin en matière de TC est indéfendable 
La crise de la pierre profite aux HLM
Mis à jour le 17.03.10 à 05h07 | 20 Minutes
Immobilier Les bailleurs sociaux ont racheté en masse aux promoteurs privés
L'Observatoire immobilier de Provence (OIP) a présenté hier son bilan 2009 pour Paca. Retour sur une « année de crise ».
L'éternel problème foncier Promoteurs privés et sociétés HLM continuent d'appeler à une « meilleure organisation du foncier » par les collectivités locales. « Dans le département, les parcelles moyennes sont plus grandes que la moyenne nationale, pointe Charles-Alain Castola, président de l'Union des maisons françaises. On continue de faire de l'habitat diffus. »
(...)
Le neuf relativement épargné Dans le département, les promoteurs ont enregistré l'an dernier près de 6 700 réservations, en hausse de 48% par rapport à 2008. « Plus des deux tiers des réservations sont liées au dispositif Scellier »
(...)
Frédéric Legrand
« La Ville a récemment acquis l’une des casernes de la Belle de Mai, celle de la Busserade pour 11 millions d’euros. Nous y ferons des logements sociaux et à loyer libre ainsi que deux salles de classe. »
Oulà ! Méfi !
Il conviendrait de veiller à la protection architecturale de l'ensemble, et en particulier de la caserne du Muy, qui mérite un classement MH et une utilisation plus digne de sa qualité.
« La Ville a récemment acquis l’une des casernes de la Belle de Mai, celle de la Busserade pour 11 millions d’euros. Nous y ferons des logements sociaux et à loyer libre ainsi que deux salles de classe. »
Oulà ! Méfi !
Il conviendrait de veiller à la protection architecturale de l'ensemble, et en particulier de la caserne du Muy, qui mérite un classement MH et une utilisation plus digne de sa qualité.
QUOI ?!?!
Ils vont faire des logements sociaux dans un aussi beau bâtiment au lieu de le convertir en lieu public ?!
C'est une honte je trouve ... les logements sociaux ne devraient pas être une solution à vie, ç'aurai du être quelque chose de temporaire, pour faire en sorte que personne ne dorme dans la rue.
Au lieu de cataloguer certains logements, bâtiments en ce qu'on appelle "sociaux", il aurait été préférable d'augmenter les bas salaires...
Les problèmes sont traités complétement à l'envers dans ce pays ... enfin bon je suis HS ...
L'état doit au plus vite financer un plan monumental pour les transports en commun à Marseille et sa métropole. 5 milliards minimum.
Si tant est qu'ils ne le démolissent pas pour gagner de la densité... 
J'irai bloquer les pelleteuses si c'était le cas ... 
L'état doit au plus vite financer un plan monumental pour les transports en commun à Marseille et sa métropole. 5 milliards minimum.
Rendu du Conseil Municipal du 14/12/09:
http://www.marseille.fr/epresse/thesaur … 1209-1.pdf
Page 20 de ce document:
"Depuis 2008, une réflexion a été menée sur le quartier de la Belle de Mai pour engager un véritable renouvellement urbain sur ce secteur en déclin. En effet, le Ministère de la Défense libère une série de casernes représentant plus de six hectares. Ces casernes sont : Le Muy, Bugeaud, La Cour de Chine, La Cour Marceau, Busserade et Les Subsistances.
[...]
L’objectif de l’étude a été de chercher « l’effet levier » sur la rue de la Belle de Mai et donc sur le quartier.
Le projet de reconversion des casernes militaires, ouvert sur les quatre faces de son périmètre à la ville environnante, a pour enjeu de fabriquer un véritable morceau de ville qui intègre des programmes de logements (dont des logements pour étudiants), des commerces, des bureaux mais également les équipements publics nécessaires au bon fonctionnement de cet ensemble (groupe scolaire, parc public,...).
Seul le bâtiment du Muy sera conservé."
comme quoi si on veux faire du vert dans le quartier est possible et liberer les espaces pour faire un aprc mettrai en valeur la caserne du muy
Pace e Salute
Provence : comment devenir propriétaire pour le prix d'un loyer
Publié le mardi 06 avril 2010 à 08H08
Constructa et le Crédit Foncier se lancent dans l'accession sociale à la propriété
(...)
À travers une marque, Propria, et une société de promotion immobilière commune détenue à 60% par le Crédit Foncier et à 40% par Constructa, Marc Pietri souhaite "permettre aux primo-accédants de devenir propriétairespour le prix d'un loyer". Longtemps pratiquée par les seuls bailleurs sociaux, l'accession sociale à la propriété devient donc un marché comme les autres, sur lequel plusieurs opérateurs privés se sont récemment engouffrés.
(...)
Idem à Marseille, où le futur "Village" de la Porte d'Aix, livrable fin 2011, a pu être commercialisé autour de 2000€ le m² grâce à un effort consenti par la Ville sur le prix du terrain. Sur 152 logements, 110 ont déjà trouvé preneur, là aussi auprès d'une clientèle déjà locataire dans le quartier (...) Outre les opérations déjà livrées, Constructa et le Crédit Foncier envisagent d'autres programmes Propria à Marseille, mais aussi à La Seyne-sur-Mer, dans la cité Berthe, ou dans le pays d'Aix, à des prix sensiblement plus élevés, de l'ordre de 4000 à 4500€ le m².
(...)
Hervé VAUDOIT
Immobilier : les vrais prix du marché à Marseille
Publié le vendredi 23 avril 2010 à 11H00
(...)
Aujourd’hui, le marché repart. Et au juste prix. Enregistrant même une petite hausse. "La reprise a débuté au dernier trimestre 2009. Mais nous l’avons fortement ressentie en terme de volumes en janvier, où les prix ont augmenté de 1,8% par rapport au trimestre précédent", commente Dimitri de Roudneff de la chambre des notaires des Bouches-du-Rhône. Soit 50% de transactions réalisées en plus qu’en janvier 2009, au coeur de la crise. "Avec le nivellement des prix par le bas deux années de suite, soit une chute de près de 7% (ndlr : entre 5 et 20% selon les quartiers), on revient aux tarifs pratiqués en 2006", expose de son côté Jean-Pierre Rouas, le président de la Fnaim 13.
(...)
Les prix à Marseille :
------ ENTRE DEUX EAUX ------
Rue de la République
Réhabilité : 3 100-4 000 euros/m²
Joliette – Arenc
Ancien : 1 800-2 400 euros/m²
Neuf : 3 400-5 800 euros/m²
(...)
------ EN BAISSE ------
Saint-Giniez, Sainte-Anne, Avenue de Mazargues
Ancien : 2 400-2 800 euros/m²
Neuf : 3 450 à 3 850 Euros/m²
(...)
------ VALEURS SURES ------
(...)
Malmousque, Corniche, 2e Prado
Ancien : 3 000-6 000 euros/m²
Neuf : 5 800-6 350 euros/m²
(...)
Frédérique Jacquemin
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