Publicité
PSS | Forum de discussion | France | Nouvelle-Aquitaine | Bordeaux Métropole | Discussion : Bordeaux … |
Pages: 1 2
Le Moniteur 11-08-2006
4Gas projette de construire terminal méthanier en Gironde
L'entreprise néerlandaise 4Gas, filiale du fonds d'investissement américain Carlyle, a signé un accord avec le port autonome de Bordeaux pour un projet de développement d'un terminal méthanier sur le site du Verdon (Gironde), a annoncé jeudi le port autonome.[..]
Hors ligne
Ca dynamiserait un peu le port autonome, qui est bien molasson!!
Hors ligne
DEMANTELEMENT DE NAVIRES. -- Un consortium incluant la société girondine Europlasma souhaite implanter au Verdon -- ou à Bassens une installation susceptible de dépecer, entre autres, le « Colbert » et le « Clemenceau »
SudOuest 20/09
Dernière modification par epicure221 (04-12-2006 17:16:48)
Hors ligne
Je ne sais pas si c'est du fait du nouveau directeur, mais le port autonome de Bordeaux attire de plus en plus d'investissements...
Hors ligne
Il faut dire que l'estuaire de la Garonne est le plus important d'Europe, ce qui fait de lui le port le plus protégé d'Europe. C'est quand même attractif. J'espère que les autorités et les industriels en prennent conscience.
Hors ligne
Tout de même il manque sur ce topic une bonne présentation du port de Bordeaux. Copié-collé du site public des transports en Aquitaine ---> http://www.transports.aquitaine.equipem … article=20
Le Port de Bordeaux est un acteur reconnu du développement économique et de l'aménagement de la Gironde et de l'Aquitaine. Son activité génère 15 000 emplois directs, indirects et induits, ainsi que des investissements et des richesses qui sont réinjectées dans l'économie locale et régionale. Il contribue à l'image internationale de Bordeaux.
Le port de Bordeaux comprend 6 zones portuaires ou terminaux
Bordeaux est un terminal culturel et touristique, accueillant les paquebots de croisière.
Bassens est un site multivracs et marchandises diverses qui peut accueillir tous les types de trafics (solides et liquides) hors hydrocarbures. Il dispose de 3 km de quais et d'une surface foncière de 400 hectares dont 250 sont disponibles.
Ambès est spécialisé dans la réception de navires pétroliers et chimiquiers.
Blaye est un terminal spécialisé dans les céréales et les produits chimiques.
Pauillac accueille des navires de croisière et depuis juin 2004 reçoit les navires rouliers transportant les éléments de l'Airbus A380 qui sont acheminés jusqu'à Langon par barge fluviale, puis sur Toulouse par l'itinéraire routier à grand gabarit.
Le Verdon est un site spécialisé dans le trafic de conteneurs qui présente la particularité d'offrir une zone franche de 59 ha. Il peut accueillir des navires jusqu'à 12,50 m de tirant d'eau.
Les sites de Bassens, Pauillac et Le Verdon permettent aussi la manutention par roulage (système ro-ro).
Les sites d'Ambès et Bassens représentent 90% du trafic total.
Accessibilité terrestre du port de Bordeaux
Les sites d'Ambès et de Bassens, qui totalisent presque 90% du trafic portuaire sont géographiquement proches de la rocade bordelaise, donnant accès à l'autoroute A10 et à la RN10 vers Paris et l'Europe du Nord, à la RN 89 et à l'autoroute A89 vers l'Est, à l'autoroute A62 vers Toulouse et la Méditerranée, et A63 vers l'Espagne.
Cette situation apparemment très favorable est néanmoins pénalisée par les effets de congestion de la circulation urbaine et périurbaine. La DDE de Gironde pilote une démarche conduite avec les collectivités locales et le PAB, et ayant pour but de rechercher les possibilités d'amélioration à court et moyen terme de la desserte routière de la presqu'île d'Ambès.
S'agissant de la desserte ferroviaire, à Bassens, des voies ferrées bord à quai et sur la zone portuaire sont raccordées à l'axe majeur que représente la voie ferrée Bordeaux-Paris. Il en est de même pour le site d'Ambès qui est relié à celle-ci par l'intermédiaire de la voie Ambès-Bassens. Le CPER 2000-2006 prévoie d'améliorer les conditions d'accès ferroviaire au port de Bassens pour les trains venant du Sud, mais le projet opérationnel reste à finaliser.
Les autres sites sont desservis en rive gauche par la RN 215 et la voie ferrée Bordeaux-Le Verdon et en rive droite par la RN 137 et le raccordement à la voie ferrée Bordeaux-Nantes.
L'itinéraire de la RN215 est en cours d'aménagement progressif mais comporte encore des traversées d'agglomération pénalisantes. La voie ferrée Bordeaux-Le Verdon a fait l'objet, dans le cadre du contrat de plan Etat/Région, de travaux d'amélioration qui se sont achevés en 2004. Ceci a permis au Port de Bordeaux de mettre en place un service de navette ferroviaire pour desservir son terminal du Verdon depuis la zone de fret de Bruges.
Accessibilité fluvio-maritime.
Si le terminal du Verdon permet d'accueillir les grands navires à fort tirant d'eau, l'accessibilité est plus limitée pour les autres sites en raison des caractéristiques de l'estuaire de la Gironde, qui nécessite une surveillance et un dragage régulier. Un enjeu majeur pour le port consiste à assurer la cohérence dans le cadre du futur classement de l'estuaire en zone Natura 2000, y compris le chenal de navigation, avec le maintien, et, en tant que de besoin, d'amélioration des accès maritimes, d'amélioration de la sécurité de la navigation dans le chenal avec la surveillance de leurs impacts environnementaux, notamment en matière de dragage.
Nature des marchandises, origines et destinations, modes de pré et post acheminement.
Avec un trafic de 8.7 millions de tonnes en 2005, le port de Bordeaux est le septième port français, cependant loin derrière le sixième, Rouen (22 millions de tonnes).
Le PAB entretient des relations avec les 5 continents. En 2003, le premier pays fournisseur du PAB a été le Brésil (354 000 tonnes dont 96% étaient des tourteaux de soja). Viennent ensuite les Pays-Bas avec un total de marchandises de 206 000 tonnes, presque entièrement composées de gas-oils, suivis de l'Afrique du Sud (83% de charbon) et du Maroc (52% de phosphates naturels).
Pour les pays acheteurs, on peut citer la Grande-Bretagne, le Portugal, les Pays-Bas, l'Espagne, l'Italie, la Guyane et les Antilles françaises.
Les produits pétroliers représentent la moitié du trafic avec 4,7 millions de tonnes.
Les céréales constituent le deuxième poste du trafic avec 1,4 million de tonnes.
Le Port de Bordeaux est le premier port européen exportateur de maïs.
Les modes de pré-acheminement des céréales vers les silos portuaires sont :
* route : 85%,
* fer : 14%,
* fluvial : 1%.
S'agissant des conteneurs, 90% des acheminements se font principalement par camion. L'armement Delmas, qui a augmenté la fréquence de ses escales au Verdon, et plus progressivement l'armement MSC utilisent la navette ferroviaire, opérationnelle depuis juillet 2004.
Les engrais importés et stockés en zone portuaire sont redistribués vers les coopératives par camions
Evolution du trafic
L'activité du port de Bordeaux est en baisse depuis 2000 - qui avait connu un trafic exceptionnel de bois tombé durant la tempête de décembre 1999 - est en nette reprise en 2005 avec près de 8.7 Mt (soit + 7 % par rapport à 2004). Les céréales, traditionnel second poste de trafic, sont en baisse désormais structurelle suivies par les engrais, mais l'évolution positive des autres marchandises, (ferailles, talc, pâte à papier, kraft, tourteaux de soja, charbon...)compense cette tendance, en entrée comme en sortie. Les hydrocarbures, qui représentent 55 % du trafic, sont en hausse significative.
Le trafic des conteneurs est resté stable. malgré une chute d'activité sur les deux premiers mois de l'année en raison de l'avarie d'un navire. La tendance est donc significativement porteuse.
Enjeux et perspectives
Le Port de Bordeaux génère au plan régional plus de 15 000 emplois directs, indirects et induits, pour une valeur ajoutée globale de 1,72 Md d'euros et un excédent brut d'exploitation de 304 M€, souffre de sa position périphérique par rapport aux régions très peuplées et très industrialisées ; cet éloignement est accentué par des dessertes terrestres insuffisantes.
Si, au sein du système portuaire national, le Port de Bordeaux est un port de taille moyenne fortement dépendant des marchés céréaliers, la faible industrialisation de son hinterland explique une masse critique insuffisante qui limite les capacités de massification des flux transitant par le port. Sa position centrale au milieu de la Région Aquitaine, vaste zone de transit nord-sud, ne favorise pas non plus le report modal.
Il subit également les conséquences des nouvelles stratégies armatoriales, tendant à limiter le nombre d'escales par pays sur les grandes dessertes océaniques.
Compte tenu de ce constat et des caractéristiques géographiques du Port de Bordeaux, celui-ci dispose toutefois d'opportunités de développement réelles :
* la réalisation, certes tardive mais réelle, d'infrastructures terrestres modernes (amélioration de la desserte ferroviaire du Verdon, accès aux différents sites portuaires et équipements autoroutiers -autoroute des estuaires- et liaison vers l'Est -A89) améliorera la compétitivité des pré et post-acheminements ;
* le site du Verdon bénéficie de véritables atouts, réunissant de vastes réserves foncières et un terminal en eau profonde
* le site de Bassens, par ses développements récents, démontre sa capacité à accueillir des installations logistiques modernes, dans des domaines très variés : pôle bois, importation d'engrais, tourteaux pour alimentation animale, plate-forme de distribution automobile. Les perspectives de développement du trafic, au regard des investissements privés qui vont être réalisés, sont réelles (ciment, clinker, granulats, plaquettes de bois, …) ;
* la zone industrialo-portuaire de la presqu'île d'Ambès offre de son côté des capacités d'accueil d'installations classées. Les réserves foncières disponibles ont permis d'inscrire dans le Schéma directeur de l'aire métropolitaine bordelaise les zones industrialo-portuaires de Bassens et d'Ambès comme pôles de développement économique. La sensibilité de cette zone au PPRI doit toutefois être précisément analysée ;
* le Port de Bordeaux, enfin, devrait tirer profit des incitations politiques nationales et communautaires pour le développement du cabotage maritime. Il pourra aussi jouer un rôle actif dans le développement de chaînes logistiques nouvelles, à l'image du transport actuel des éléments d'Airbus A 380, ou en perspective d'importations maritimes de matériaux de construction.
Ainsi, avec le concours de la place portuaire et en partenariat avec les collectivités locales, afin de renforcer sa position concurrentielle en qualité de service et en coûts, et de satisfaire au mieux les chargeurs et conforter les armateurs dans leur choix de Bordeaux, le Port de Bordeaux doit chercher, pour l'avenir, à garantir :
* le meilleur accès aux navires : correction des déformations de la passe de l'Ouest, maintien et amélioration de la navigabilité dans le chenal (Natura 2000), efficience des services aux navires (pilotage, remorquage) ; ;
* la performance des installations portuaires de Bassens et d'Ambès, en garantissant un niveau de service optimal (productivité et rajeunissement des outillages, modernisation électrique, réfection de l'éclairage, poursuite de la mise en sûreté) et en confortant le site d'Ambès en tant que pôle pétrochimique majeur du Sud-Ouest ;
* la préservation du potentiel du Verdon ;
* l'efficience de la structure, donc la réduction des coûts ;
* le respect des principes du développement durable, par la poursuite d'une politique environnementale exigeante.
Bien sûr Bordeaux n'est pas un port majeur, mais ce qui me marque c'est son étalement géographique (et linéaire le long de la Garonne et de l'estuaire de la Gironde) sur près de 100 km de Bordeaux au Verdon.
Dernière modification par Baobald (23-11-2006 19:18:15)
Hors ligne
Publicité
L'Usine Nouvelle 05/12/2006
Technip décroche deux contrats dans les biocarburants
Le groupe parapétrolier français a remporté deux contrats auprès de la société Diester Industrie pour réaliser des ateliers de production de deux unités de biodiesel. Le montant global s’élèverait à 60 millions d’euros.[...]
Hors ligne
Mer et Marine, le 18 janvier 07
Bordeaux lance la réhabilitation du quai de la Batellerie
Les travaux de démolition des installations portuaires situées quai de la batellerie, entre le Pont de Pierre et le pont Saint Jean, ont débuté le mois dernier. Le chantier, mené par le port autonome de Bordeaux (PAB) après un avis favorable de la DIREN, du ministère de l'Environnement et de la Commission nationale de la protection de la nature est un préalable au projet d'aménagement des quais de rive gauche de la Garonne. Ce plan de réhabilitation de la Communauté urbaine prévoit la réalisation d'un parc de 5 hectares sur un emplacement anciennement géré par le port autonome. Le port autonome se charge donc de la démolition des quais, la Communauté urbaine de l'aménagement des berges et des quais et la Ville de Bordeaux et son Jardin Botanique de la gestion du futur parc. [...]
Le quai de la batellerie en pleins travaux
crédits : Port Autonome de Bordeaux
lien --> http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=103470
Dernière modification par Baobald (23-01-2007 15:23:59)
Hors ligne
Le projet du Verdon sort des cartons
20 Minutes | édition du 01.03.07
Le projet de terminal méthanier prévu au Verdon a fait sa première apparition, mardi soir, lors de la première réunion publique. D'ici à cinq ans, le nord de la Gironde pourrait donc accueillir ce terminal méthanier qui stockera dans des cuves en béton du gaz naturel liquifié. Des études sur l'impact sur l'environnement et l'intégration paysagère de l'ensemble sont en cours pour mesurer d'éventuels risques. Mais ce projet ne colle pas à la nouvelle vocation touristique du Verdon, qu'illustre l'ouverture du port de plaisance en 2004. « Les activités économiques et industrielles peuvent cohabiter, se défend le port autonome de Bordeaux, le projet n'a pas vocation à tuer le tourisme. »« Ce n'est pas compatible, rétorque Jacques Raut, le directeur de Port-Médoc. Si on avait eu connaissance de ce projet, le port ne se serait pas fait. » Alors que ce dernier redoute une usine classée Seveso près de logements et de la plage, le port autonome parle de « dynamisme économique ». « Le terminal devrait créer 80 emplois, attirer des sous-traitants et rapporter une taxe professionnelle d'un million d'euros. Si on laisse passer ce projet, on ne pourra jamais y revenir », conclut Julien Bas, le directeur exploitation et développement du port autonome de Bordeaux.
O. Dupont
Hors ligne
La suite : http://www.sudouest.com/accueil/actuali … 9/mil.html
La préfecture a jugé le dossier non recevable en l'état. Eh oui, quelle idée de mettre un terminal méthanier à moins de 100m de la mer ? A quand un terminal méthanier dans le Cantal ? Non là c'est vraiment se foutre du monde ! On peut être pour ou contre, mais qu'on le dise clairement. Nul besoin d'être énarque pour comprendre que le secrétaire d'état aux transports n'y est pas pour rien, sinon, comment penser que la préfecture imaginait un projet à plus de 100m de la mer ? Franchement, je pensais qu'il fallait être à côté de l'eau pou un port... ça me paraissait franchement plus pratique mais je suis très naïf aussi. Ce dossier, je n'y connais strictement rien ou presque. Pour contre, je n'en sais rien. Je constate seulement que ce sont toujours les mêmes qui s'opposent sous couvert d'idéologie verte à deux balles... parce que ça m'étonnerait qu'ils se déplacent pas en vélo et en trans'gironde dans le médoc ! Du coup, j'avoue avoir un certin penchant... Et puis quant au risque, une activité non-risquée, c'est rare. Le principe de précaution ok. Mais on peut aussi recenser ce que nous n'aurions pas à cause du principe de précaution (ou à cause de l'interprétation donnée)... à l'heure actuelle, je ne serais pas en train de vous écrire : wifi et mauvaises ondes obligent... Finalement, je suis très pour !
Hors ligne
Je ne suis pas expert non plus mais peut-être que quelqu'un pourra m'éclairer.
Il me semble que les agriculteurs allemands arrivent à être plus ou moins indépendant en énergie électrique grâce à la production de méthane de leur propre exploitation. Ce processus écologique est montré en exemple par les agriculteurs français qui ne peuvent pas le reproduire dues à des spécificités bien françaises aux regrets de tous le monde.
Alors pourquoi le méthane est-il une énergie propre, dont l'utilisation est exemplaire en allemagne ? Et pourquoi chez nous, on ne veut pas développer d'infrastructure pour développer cette énergie dont on a l'impression qu'ici est polluante ? Surtout que 4gas reprendrait une ancienne infrastructure qui avant était un terminal pétrolier. On va plutôt dans le bon sens, non ?
Hors ligne
Je ne suis pas expert non plus mais peut-être que quelqu'un pourra m'éclairer.
Désolé, ce ne sera pas moi.
Hors ligne
je suis loin d'être expert, mais
1-il y a trois ports méthaniers en projet en France, deux à Fos, un dans la manche. Celui ci n'est pas justifié donc par un besoin pressant. Pire, les articles de Sud Ouest explique que ce port répondrais donc à des besoins éventuels futurs.
2-L'inconvénient de la pointe de Grave, c'est que c'est une pointe. Il faut donc construire depuis le nouveau port des gazoducs énormes jusqu'à Bordeaux ou à travers l'estuaire. On aurait pas eut ce problème rive droite de l'estuaire
3-Surtout, on importe du gaz naturel qui pourrait être produit sur place. Il à Lille un système qui ramasse tout les déchets organiques de la ville (jardins, parcs municipaux, poubelle spéciale chez les particuliers pour déchets organiques uniquement, récupération des restos, cantines ect...). Ces déchets sont compostés et produisent du méthane, du terreau et de l'électricité par combustion des résidus non organiques. Le méthane sert a approvisionner le réseau de bus et services de la ville qui roulaient déjà au gaz naturel (comme à Bordeaux), ne nécessitant donc aucune modification du moteur. Le terreau est exporté ou utilisé sur place dans les pars, les jardins ou l'agriculture comme engrais naturel et non polluant. C'est donc une filière entière de revalorisation des déchets non polluante créant de l'emploi durable qui s'est crée à Lille. Pourquoi on ne pourrait pas faire cela à Bordeaux plutôt que d'importer le gaz naturel de Finlande (ou d'ailleur?). La réponse est simple: c'est illégal! Lille a pus le faire au titre d'une expérience européenne!
4- Les avantages de 4Gaz: ça ne coûte pas d'argent à personne sauf a 4Gaz qui en plus paye une taxe professionnelle importante aux communes, on peux donc supposer de voir apparaitre un gymnase, une piscine, un stade financés par cette taxe a la pointe du Verdon...pour les trois pelés en hivers et les cohortes de touristiques néerlandais en été
5-je me fiche complètement des arguments sécuritaires, écolo, paysagistes ou touristiques. L'essentiel n'y ait pas
Dernière modification par invité05 (26-10-2020 12:05:11)
5-je me fiche complètement des arguments sécuritaires, écolo, paysagistes ou touristiques. L'essentiel n'y ait pas
C'est bien pour ça que je suis d'accod avec toi. Et lorsque je dis que je suis pour le projet, c'est surtout par économie de moyen pour ne pas dire que je suis contre ceux qui sont contre.
Après, effectivement, on peut discuter du besoin d'importer du gaz naturel de Finlande... je n'en sais strictement rien, et pire encore, je m'en fous complètement (peut-être vaut-il mieux la Finlande que la Russie, c'est tout ce que ça m'inspire). L'expérience de Lille m'a l'air sympa. Pourquoi pas. Mais de là à remettre en cause le projet (surtout sous les arguments avancés).
Hors ligne
J'ai pas trop suivi le projet (pour ne pas dire pas du tout) mais vu les seuls informations que j'ai vu 4Gaz se montre confiant.
Pensez vous que c'est en bonne voie ?
Le port du Verdon se doit d'être le port industriel de la gironde. Il faut qu'il se développe, (niveau économique sa ferait du bien au Médoc).
Pour ce qui concerne le tourisme, les gens se tournent plus vers Lacanau et Arcachon, beaucoup plus accessible.
Hors ligne
le moniteur du 17/04/2009:
"Dans le cadre du plan de relance du gouvernement, le Port autonome de Bordeaux s'est vu attribuer une enveloppe de 5 millions d'euros (4 millions en 2009) .Enfin, la desserte routière des zones de développement du port à Bassens sera améliorée."
Hors ligne
vin et port de bordeaux une histoire passée et future?
http://www.sudouest.com/gironde/actuali … 68941.html
Hors ligne
Concernant le port méthanier du Verdon, ça semble être la mort du petit cheval.
Après que le gouvernement se soit fermement montré contre ce projet (on n'a vraiment pas besoin d'investisseur en ce moment en France !), le conseil du développement du PAB s'est fait un harakiri non sans dégoût pour les emplois que le projet aurait créé et pour l'image que notre région montre aux éventuels futurs investisseurs. Seul recour apparemment encore possible : un changement de position de la part de la Région, mais bon
Hors ligne
Rio33:
11:57:34
Est ce qu'il y a des projets pour le développement du grand port maritime de Bordeaux ?
Vincent Feltesse:
11:57:35
Sur le grand port il y avait un projet stratégique qui était celui du terminal gazier 4gaz. Ce projet devait représenter 25% de dvpt pour le grand port de bordeaux. pour des raisons que je peux comprendre, il a été remis en cause mais aujourd'hui il est de la responsabilié de l'etat de trouver un plan alternatif de dvpt car un des atouts stratégique de Bordeaux est son port.
[...]Dans le même temps, on sait que le président de la CUB Vincent Feltesse et la députée Michèle Delaunay appellent à la mise en oeuvre d'une concertation pour le développement du port.
http://www.sudouest.com/gironde/actuali … 06298.html
Espérons que le port aura enfin une vrai stratégie de développement, mais c'est sur que l'épisode du terminal ne donne pas une bonne image pour l'investissement
Hors ligne
Ouais mais développer le port sans rien construire pour préserver le côté sauvage de l'estuaire me semble difficile. On peut en parler, faire des concertations et des concertations pendant des années, créer des conseils pour le développement... enfin tous ces grandse choses qui ne font rien avancer.
Hors ligne
Bordeaux7 :
L’AVENIR DU PORT DE BORDEAUX EN QUESTION
Vincent Feltesse, le président de la Cub rencontre aujourd’hui Dominique Bussereau, secrétaire d’Etat chargé des transports afin de discuter de l’avenir du grand port maritime de Bordeaux. Il sera question de l’abandon du projet de terminal méthanier au Verdon et de l’élaboration d’un grand projet industriel à la mesure des défis du port de Bordeaux.
Ben dis donc, ça impressionne tout ça !
Parfois les journalistes y vont un peu fort... Si le terminal méthanier n'est pas passé, je vois pas ce qu'on peut faire comme grand projet industriel. Mais bon, l'initiative est pas mal. A suivre.
Hors ligne
Compte-rendu de l'entrevu sur Bordeaux7 :
PORT : BUSSEREAU REÇOIT DES ÉLUS GIRONDINS
Dominique Bussereau, secrétaire d’Etat chargé de Transports a reçu lundi une délégation d’élus girondins au sujet de l’avenir du grand port maritime de Bordeaux. M. Bussereau s’est engagé à étudier un effort financier supplémentaire dans le cadre du plan de relance portuaire. Par ailleurs le secrétaire d’état a annoncé qu’il était prêt à lancer des études pour une meilleure synergie entre les ports de l’atlantique.
Hors ligne
Pages: 1 2
PSS | Forum de discussion | France | Nouvelle-Aquitaine | Bordeaux Métropole | Discussion : Bordeaux … |
Publicité