Marseille 11ème - La Pomme / St-Menet / La Valentine / Les Camoins ...

Bouches-du-Rhône : c'est la guerre des villages de marques
Publié le mercredi 13 avril 2011 à 19H15

Face à la surenchère des promoteurs, la Chambre de commerce exige le gel des projets de village de marques.

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"D'après nos estimations, si le projet de La Valentine se fait, la moitié des 3 000 commerces d'équipements de la personne que compte le département risquent de tirer le rideau", avance Laurent Carratu.

Premier impacté : le centre-ville de Marseille, dont la redynamisation est "la grande priorité"pour la CCIMP :"Que veut-on pour Marseille ? Un centre-ville vidé de ses commerces à la mode américaine ?", interroge Thomas Chavane. Le vice-président de la CCIMP souligne le "rôle social" du petit commerce : "Quand les boutiques ferment, l'insécurité augmente". De plus, "face à une population vieillissante et à la flambée du prix du carburant", l'avenir appartiendrait au commerce de proximité.

Alors le jeu du village de marques en vaut-il la chandelle ? Toute la question est de savoir combien de création d'emplois, de nouveaux clients, de gains pour l'économie locale il faut mettre en balance. Or, aucune information n'a été délivrée sur ces points essentiels. S'il n'avait été révélé par la presse, la semaine dernière, le projet de La Valentine, mené dans le plus grand secret avec le soutien de la Ville, aurait pu aller à son terme...

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Sophie MANELLI

La Provence

The Solange Show

ouverture  vers le 13 mai 2011!

Sur certaines photos, on vois une chapelle aux tons ocres juste a cote du Chateau. Fait-elle partie de la Maison des Cinematographies ?

OUI

Pourtant, elle n'apparait pas sur les rendus, et elle a l'air d'avoir bien besoin d'un rafraichissement.

Un musée Pagnol bientôt dans son ancien château
Publié le samedi 30 avril 2011 à 13H04

Alors que "La fille du puisatier", réalisé par Daniel Auteuil, est sur les écrans, la ville de Marseille s'apprête à ouvrir un musée du cinéma dans son ancien château

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Nicolas Pagnol se montre en revanche plus critique envers la ville de Marseille, qui a transformé le château de la Buzine en Maison des cinémas méditerranéens. "Il y aura en tout et pour tout six extraits de films !", s'exclame-t-il. On communique sur le nom de Pagnol, sans lui rendre un vrai hommage. J'avais proposé à la Ville un musée Pagnol, qui n'en a jamais voulu. J'en discute aujourd'hui avec Roland Povinelli, maire d'Allauch."

Dans l'entourage de la municipalité, on murmure que les extraits d'archives ont été payés au prix fort. Nicolas Pagnol déplore aussi l'absence de volonté politique pour célébrer Pagnol en 2013, année capitale européenne de la culture à Marseille et dans la région.

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Jacques COROT et Marie-Ève BARBIER

La Provence

Inauguration imminente de la Maison des Cinématographies de la Méditerranée. C'est ici :
http://www.marseille.fr/sitevdm/jsp/sit … rtlet_id=8

Il y a aussi toute une série de photos ici :

http://www.marseille.fr/sitevdm/jsp/sit … age_id=965
Un bien joli projet en tout cas. Il permettra de jouer le rôle de Cinémathèque, institution dont Marseille était jusqu'à présent privée.

Belle réussite! Dommage qu'il soit aussi isolé. Dans une ville avec de véritables TC le projet aurait eu plus d'impact je crois.

C'est vrai mais d'une part, il me paraît difficile de relier un lieu de ce genre avec un TCSP et d'autre part, le côté excentré me semble judicieux parce qu'il permet de doter des quartiers périphériques d'institutions culturelles qui leur font généralement défaut. Cela peut apparaître aussi comme une compensation à la non-réalisation de la médiathèque dans l'ancienne usine Rivoire et Carret qui était réclamée par les riverains.

Des renseignements complémentaires sur le projet de village de marques de la Valentine :
http://www.info-economique.com/actualit … sque-66829

Notamment

Un temps d’avance sur les concurrents

Reste que ce scénario idyllique risque d’être quelque peu perturbé par les projets concurrents portés par les géants du secteur, le britannique Mc ArturGlen et le français Concet & Distribution, maison mère de Marques Avenues. L’ombre de ces géants n’effraie pas le promoteur marseillais. "Ce sont des projets à des stades moins avancés que le nôtre. Mc ArturGlen n’est pas encore propriétaire des terrains à Miramas, et n’a pas encore obtenu les autorisations administratives. Quant à Marques Avenues, on ne sait même pas où ils en sont..." Estimmo parie donc sur la longueur d’avance prise sur ses concurrents pour décourager leurs velléités d’implantation dans l’aire marseillaise... Cette avance lui permettrait de négocier en direct avec les enseignes moyen et haut de gamme pour les attirer dans son village marseillais. Au total, il table sur une centaine de boutiques (15.000 m2 environ) où les grandes marques de prêt à porter vendraient leurs vieilles collections avec des maxis rabais «de 30 à 70%». "15.000 mètres carrés, c’est plus grand que les 12.000 mètres carrés du Marques avenues de Romans, dans la Drôme, le village le plus proche de Marseille"...

et

30.000 m2 de boutiques d’ameublement
Vitrine du programme, le village des marques n’en occupera pourtant pas la majorité de la surface. «30.000 mètres carrés seront réservés à un pôle thématique à dominante maison loisirs, avec une trentaine de points de vente plus grands, de l’ordre de 700 à 1.000 mètres carrés», indique Frédéric Touati. Ce pôle accueillera «en priorité des enseignes d’ameublement haut de gamme, genre Natuzzi ou Roche et Bobois, qui ne sont pas sur la Valentine ou qui y sont déjà mais qui sont en quête d’espace». Qui dit centre commercial dit parking. Sur ce plan, les prmoteurs voient grand : le complexe devrait être doté d’un parc de stationnement de 2.590 places, "entièrement gratuites, accessible par une voie de desserte dédiéé...

[Vidéo] Le château de La Buzine, à la gloire de Pagnol
Publiée par laprovence
le 17/06/2011 à 22:53:32

Acheté par Marcel Pagnol en 1941, le château de La Buzine s'était retrouvé à l'état de ruine. Puis la Ville de Marseille l'a racheté et restauré. La deuxième vie du château, transformé en Maison des cinématographies de la Méditerranée, a commencé hier avec son inauguration en présence du maire de la Ville et du ministre de la Culture.

La Provence

Diaporama

urbanoids a écrit:

C'est vrai mais d'une part, il me paraît difficile de relier un lieu de ce genre avec un TCSP et d'autre part, le côté excentré me semble judicieux parce qu'il permet de doter des quartiers périphériques d'institutions culturelles qui leur font généralement défaut. Cela peut apparaître aussi comme une compensation à la non-réalisation de la médiathèque dans l'ancienne usine Rivoire et Carret qui était réclamée par les riverains.

Ca peut se défendre mais je n'irais pas jusqu'à parler de choix judicieux. Réaliser des équipements dans des quartiers excentré n'est pas nouveau, à l'image du théatre du Merlan, du MAC. Et pourtant ça n'a pas vraiment porté ses fruits. D'une part à cause de l'absence de taille critique de ces structures, d'autre part à cause du manque de TC qui rend difficile - même pour un habitant du secteur - de s'y rendre facilement.
Cependant ce projet est particulier. La Buzine est un lieu qui méritait d'être mis en valeur.

Ils promettent la vallée des merveilles
Dernière mise à jour : ( 17-06-2011 )

Les promoteurs d’Estimmo présentent leur projet de Village de marques au bord de l’Huveaune.

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Du côté de l’accessibilité, le projet a l’air plus complexe. « Nous avons un schéma viaire qui permettra de désengorger le site de la Valentine par le Sud », affirme Frédéric Touati. Il prévoit la création de deux voies qui permettront d’atteindre l’autoroute. La première serait portée par Marseille Aménagement, opérateur de la Zone d’aménagement concerté (ZAC) de la Valentine. La seconde, en bord d’Huveaune prévoit la création de deux ponts et d’une nouvelle route « pour un montant de 10 millions d’euros », affirme Toussaint Vincileoni, associé au projet.
Du côté de la communauté urbaine, personne n’est au courant d’un tel projet de routes nouvelles.

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BENOÎT GILLES

La Marseillaise

Village de Marques à la Valentine : Les arguments du porteur du projet
20-06-2011



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Y-a-t-il nécessité d’autoriser l’implantation sur 26 000 m² de 125 magasins d’usines, sachant que d'ici 2014, le département accueillera 200 000 m² de surfaces commerciales supplémentaires dont 140 000 m² à Marseille (7 000 m²à la Capelette, 5 500 m² au Centre Bourse, 5 200 m² à la Major, 54 000 m² aux Terrasses du Port, 25 000 m² au stade Vélodrome) ?

(...)

“En termes de retombées économiques pour la ville, nous nous appuyons sur une étude de la ville de Troyes dont il ressort qu’elle a reçu 200 M€ par an. La dépense moyenne du ménage qui se rend dans un village est estimée à 274 euros dont 120 dépensés dans les commerces du centre-ville et de son agglomération. Les chalands parcourent en moyenne 238 km pour venir dans un village de marques et s’y rendent 2 à 3 fois par an. Le plus souvent, ils associent cette visite à un séjour de deux à trois jours sur place (loisirs et tourisme)”. Village Valentine table sur 4 millions de visiteurs.

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MeridienMag

Rivoire & Carret aura enfin sa médiathèque
29-06-2011

Grâce à l’aide de la Région à la Ville, les implantations de l’Huveaune et de Saint-Antoine retrouvent une actualité. Marseille se construit un réseau de bibliothèques à sa mesure.

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Maintenant, la plus grosse part du financement incombe encore à la Ville. A elle de trouver d’autres co-financeurs et d’assumer ses engagements. »
Car l’addition promet d’être salée. L’abondement de la Région reste limité à 10% du budget global.

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Autre inconnu de taille des deux projets : le calendrier. « Aucun échéancier financier n’a été arrêté à ce jour »

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BENOIT GILLES

La Marseillaise

Un article sur le Château de la Buzine dans le Wall Street Journal :
http://online.wsj.com/article/SB1000142 … _lifestyle

Last month, after four years of extensive renovation and building work, the freshly scrubbed Maison des Cinématographies de la Méditerranée (The House of Mediterranean Cinemas) opened its doors to the public. The latest incarnation of La Buzine, which cost the City of Marseille €11.4 million to rebuild, has disappointed some of Pagnol's more fervent supporters, including his grandson, Nicolas Pagnol. They felt that it would have been more appropriate to have paid sole homage to the genial creator of such indelible characters as "Jean de Florette" and "Manon de Sources"...

Pagnol hasn't been forgotten either, with a room entirely devoted to his famous trilogy of films—"Marius," "Fanny" and "César"—which were all set in and around the Old Port of Marseille. The advent of the Italian neorealist film movement during the 1940s meant it has often been forgotten that Pagnol was one of the first Mediterranean directors to take his films out of the studios and into the streets and countryside. Vittorio de Sica, who along with Roberto Rossellini was the standard-bearer for the Italian neorealist movement, once described Pagnol's 52-minute film "Jofroi" (1933) about two rival peasants as "the first neorealist film."

Ce qui est amusant et intéressant aussi, c'est que la presse anglo-saxonne ne se contente généralement pas de reprendre des articles de la presse française (notons d'ailleurs que je ne me souviens pas avoir vu passer des articles sur la Buzine dans la presse nationale) mais parvient à apporter des informations nouvelles et des angles originaux. Chapeau !

Marseille : à la Valentine, un centre taille XXL
Ouverture aujourd'hui de 21 nouvelles boutiques à l'intérieur du Grand Centre commercial

(...)

Mais ces nouvelles enseignes trouveront-elles leur place dans une zone géographique déjà fournie - sinon saturée - par ce genre d'offre commerciale ?

La Capelette s'apprête à recevoir son complexe d'ici 2010, Auchan Saint-Loup en possède déjà un et rôde toujours le projet d'un village de marques dans le secteur de La Valentine. "Il n'y a pas de risque de doublon. Notre offre propose un complément de prêt-à-porter,et une multiplication du choix pour toutes les enseignes, qui, pour la plupart, seront des enseignes de renom. H&M, San Marina, Sport 2000...", précise le directeur. "D'autre part, les marques comme IKKS Woman ou Bananamoon étaient présentes exclusivement dans le centre-ville marseillais. Plus maintenant."

(...)

Hugo GIUSTI

La Provence

Problématiques souvent évoquées sur le forum. Alors ce ne sont pas 21 boutiques supplémentaires qui vont peser mais en additionnant les différents projets de centre commerciaux ou d'extensions, ça fait vraiment beaucoup. Surtout si la crise économique s'étale sur une décennie comme certains analystes le prédisent.
Quant à l'argument d'attirer des boutiques qu'on ne trouvait que dans le centre ville, ce n'est pas un point très positif pour l'attractivité de ce dernier. Espérons qu'il ne fasse pas encore les frais de cette forte concurrence périphérique.

En tout cas, je ne savais pas que : "La Capelette s'apprête à recevoir son complexe d'ici 2010 ".

urbanoids a écrit:

En tout cas, je ne savais pas que : "La Capelette s'apprête à recevoir son complexe d'ici 2010 ".

J'ai vu ça aussi, ils sont vraiment mongolien dans cette rédaction.. 

Le "village de marques" de la Valentine va-t-il voir le jour ?
Publié le lundi 10 octobre 2011 à 07H56

Ce projet, révélé par La Provence en avril dernier, a du plomb dans l'aile : mal ficelé ? Le voici en tout cas retoqué sur deux fronts.

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Car en charge de la prévention des risques, c'est à cet élu - par ailleurs avocat - qu'il revient de donner son feu vert "sécurité" au projet. Accord qu'il vient de refuser en raison du "fort risque d'inondabilité" du terrain pressenti, 14 ha en bordure d'Huveaune. En cas de crue, les pilotis sur lesquels le promoteur pensait installer son "village"seraient "insuffisants. Il faut qu'il revoit sa copie", insiste M. Allegrini.

"Ce projet n'est pas réalisable en l'état", regrette Roland Blum. Mais les humeurs de l'Huveaune ne sont seules à menacer le temple du shopping. Le tribunal administratif vient ainsi de lever, à la demande d'un propriétaire privé, la réserve foncière qui aurait permis de réaliser une voie reliant le village des marques à la RD2, en se faufilant derrière l'Établissement pénitentiaire pour mineurs.

(...)

Delphine TANGUY

La Provence

Etrange. La Mairie aurait-elle compris que ce projet, du moins sa rapide concrétisation, pouvait jouer contre la montée en puissance commerciale des quartiers centraux ?

Le Vallon des Caillols (Urbat)
Marseille 11ème - 27-33 boulevard de la Pomme - 161 logements - 2013

Le parc d'activités de Goodman "Valentine Vallée verte" commence à bien se remplir avec de nouveaux locataires :  Océa, Onyx, Dekra et TWC L'amy. Voici le lien :

http://www.businessimmo.com/contents/19 … -marseille

Goodman annonce l’implantation de quatre nouvelles sociétés dans son parc d’affaires marseillais, le Parc Valentine Vallée Verte, à Marseille. Les quatre nouveaux occupants se sont installés au sein du bâtiment Bourbon, portant ainsi le taux d’occupation à plus de 80% sur l’ensemble du parc de Saint-Menet.   

Océa (groupe Suez Environnement) a pris à bail 440 m² de locaux d’activités au rez-de-chaussée du Bâtiment Bourbon, élément central du Parc Valentine Vallée Verte. Cette transaction a été réalisée par l’intermédiaire de CBRE...

Ancien site industriel occupé par Nestlé dans le quartier de Saint-Menet (Marseille 13011), le Parc Valentine Vallée Verte ambitionne de devenir le centre d'activités majeur de l'est marseillais. Sur 20 hectares, il se compose de trois bâtiments : le bâtiment Bourbon (13 750 m² de surfaces de bureaux/activités), le bâtiment Moka (11 630 m² réhabilités) et le bâtiment Skybury (6 300 m² de surfaces neuves).

En ce qui concerne TWC l'Amy, quelques renseignements ici :
http://www.acuite.fr/articles.asp?REF=6423

En complément: Parc Valentine Verte : 80% d’occupation

La CDAC freine Intermarché
Publié le 09-05-2012

(...)

La commission a, en revanche, retoqué le projet de création d’un supermarché de 1.206 m2 que l’enseigne de distribution prévoit de réaliser sur le boulevard de la Cartonnerie, dans les quartiers est de Marseille (11e). Ce point de vente devrait comprendre un Intermarché d’une surface de vente de 901 m2 et une galerie marchande de cinq boutiques non alimentaires d’une superficie commerciale de 305 m2.

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