© Garbougnat
Architecture – Urbanisme – Aménagement du territoire
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allez sur ce lien ! il s'agit de la skyline de rennes en 2020 d'apres un forumers de skyscraperscity
http://www.tisa.fr/imagesexport/skyline01.jpg
C'est beau de fantasmer ;)
Si seulement ca pouvait être vrai... ^^ merci pour les infos à tous.
Ouest-France, 24/05/2006
mercredi 24 mai 2006
L'axe Angers-Rennes avance lentement
Une partie de la déviation de Segré est accessible cette semaine en 2x2 voies. Mais il reste une soixantaine de kilomètres à doubler sur la route Anjou-Bretagne. Un long chantier...
En 2013, les 125 km qui séparent Angers et Rennes devraient être en 2x2 voies. Tel est l'objectif des conseils généraux de Maine-et-Loire et d'Ille-et-Vilaine. Côté angevin, le chantier avance lentement mais sûrement. 47 des 70 kilomètres de voie ont été doublés. En 2002 et 2003, de gros chantiers avaient été réalisés : la mise à 2x2 voies entre Vergonnes et Pouancé, la déviation de la Chapelle-sur-Oudon et celle de Noyant-la-Gravoyère et Bel-Air-de-Combrée. Ce mercredi, c'est une nouvelle portion de la route Angers-Rennes qui devrait être ouverte aux automobilistes : la rocade nord-ouest de Segré, soit 2,4 km, qui vont du giratoire de la Promenade (route de Château-Gontier) à la Gingrandais (à mi-chemin entre Nyoiseau et Bois II).
[...]
Jean-François VALLÉE.
Entre Angers et Rennes, 58 kilomètres sur 125 ont été mis en 2x2 voies. Cette route devrait être complètement doublée d'ici à 2013.
Visitez mon blog et mon album photos
l'arrivee de la route d'angers a rennes actuelment se fait par ... des rond de points 
, ce qui reduit considerablement l'efficacite de cet axe a mon sens
OF vendredi 2 juin 2006
Les rames de métro tant attendues arrivent
Une rampe a été nécessaire hier pour faire avancer les 28 tonnes de la nouvelle rame jusqu'au garage du métro, à Chantepie. Une rame de métro peut faire jusqu'à 7 millions de kilomètres. Pas grand-chose de nouveau au niveau du look, mais des fréquences qui vont passer de 2' 20' à 1' 40' en heures de pointe. La première est arrivée hier.
Huit nouvelles rames. Depuis 1 an, Rennes Métropole attend huit nouvelles rames d'une valeur de 4 millions d'euros pièce. Elles vont finalement arriver au compte-gouttes jusqu'à la fin de l'été, de Prague. L'usager ne verra quasiment pas de différence, si ce n'est les barres centrales plus facile d'utilisation pour se tenir debout. Elles seront aussi plus silencieuses grâce à un moteur revu et corrigé et des pièces techniques différentes. Leur mise en service est prévue pour la rentrée universitaire d'octobre, après des essais.
[...]
une petite étude sur la ligne b du métro ou tramway (trouvée ici http://snostar.ifrance.com/projet.htm)
Dans les dix ans à venir, on attend 60 000 habitants supplémentaires dans l'agglomération. Cette évolution, qui témoigne de la vitalité de Rennes, aura pour conséquence une augmentation considérable du nombre de déplacements à l'intérieur de la Métropole, si l'on prend en compte tous les modes de déplacements : Voiture, transports urbains, interurbains, ferroviaires, vélos, piétons. il faudrait répondre à une demande de 200 000 déplacements supplémentaires par jour. Ce qui représente une augmentation de 20% en quelques années !
Pour préserver la qualité de l'air et l'efficacité des transports en commun, le Plan des Déplacements Urbains, adopté pour les 10 ans à venir, prévoit que les déplacements en voiture devront être stabilisés et que les voyages collectifs devront augmenter de 70 %.
L'extension du réseau des transports en commun en site propre(TCSP) est donc déjà une nécessité. Et Rennes travaille à ce sujet depuis de nombreuses années. Il en ressort que l'extension doit se faire sur un axe de circulation dense, non desservi par un mode de transport "lourd" (métro, axe est-ouest, réseau ferré ). C'est à dire un tracé sud-ouest (Cleunay-Courrouze) / nord-est (Maurepas-Longs Champs-Cesson Sévigné), croisant la ligne de métro en centre ville.
Projet de la ligne b en site propre
Ce corridor regroupera en 2015-2020-25% de la population métropolitaine
-47% de la population rennaise
-30% des universitaires (enseignants et étudiants)
-50% des effectifs scolaires de Rennes Métropole
-60% des emplois de Rennes Métropole
-35% des emplois métropolitains
-La majorité des équipements rennais
-Le centre historique
-Le secteur administratif et commercial Arsenal-Colombier au sud et Ste Anne-Visitation au nord
-La technopole Rennes Atalante au nord
-Le pôle d'échange multimodal de la gare : TER, TGV, Illenoo, STAR bus+métro
-Les quartiers d'habitat social : Maurepas, Patton, Cleunay
-Les futurs secteurs résidentiels : La Courrouze au sud et Cesson Sévigné les Champs Blancs au nord
Deux options sont possible pour cette ligne b : le tramway ou le métro (système VAL).
Option tramway :
Le problème du tramway pour Rennes, c'est qu'il est sur le sol. Rennes est gorgée de rues étroites, pentues et comporte une multitudes de rues perpendiculaires dans le centre. La seule façon d'éviter les désagréments des embouteillages automobiles serait de creuser un tunnel sous tout le centre ville (ce qui ajoute des travaux monstrueux dans le centre historique).
Option métro :
Le métro lui ne multitudes pas les problèmes du tramway. Il passe en sous terrain sous tous le centre ville et permet de traverser les quartiers facilement et rapidement. Le système VAL lui permettra d'être rapide et performant comme son prédécesseur. 
Comparaison tramway - métro :
L'étude préconise la poursuite d'une stratégie pour les transports en commun à court, moyen et long terme en menant les actions suivantes :
-poursuivre l'amélioration de l'offre et des performances du réseau bus, notamment par la réalisation de nouveaux sites propres
-continuer l'axe est-ouest
-étudier la faisabilité d'une "ligne b" et de la prolongation de la ligne a sur Chantepie
-développer la multimodalité
la croissance de rennes est spectaculaire, l'arrivée du métro surtout y est pour beaucoup, et avec bientot une ligne b, dans quelques années rennes va devenir une ville encore plus attractive qu'aujourd-hui !
faut que ça continue comme ça !
On a l'impression lorsque l'on se rend à rennes, que les habitants sont tellement exités par leur metro qu'ils se sentent obligés de te dire de le prendre pour faire 100 metre (limite du forcing) lorsque tu leurs demande ton chemin. Alors que dans d'autres villes même si il est mis en place depuis plus longtemps comme lille ou toulouse les habitants ne t'incitent pas à le prendre au contraire cela permet de pouvoir visiter la ville en découvrant ses richesses! les rennais ont ils peur que l'on découvre que le meilleur de leur ville soit sous terre! 
Un peu de cynisme ne fait pas de mal!
oui plusieurs fois (mais en revenant à mon précédent post "qui aime bien,chatie bien!" enfin bon de la à dire que j'aime rennes... c'est une autre histoire) 
chauvinisme quand tu nous tiens!
je prends le métro quelque fois et je vois bien que c'est devenu un moyen de transport normal, c'est juste nouveau pour eux, mais ils ne sont pas tous comme ça
étant natif de rennes, je l'a defend beaucoup ma ville, et ce qui est sur c'est que rennes à de l'ambition, et il en faut pour avancer !
c'est bien vrai ce n'était qu'une petite lourdeur de ma part!
Ce mode de transport est évidement un plus éfficace pour les habitants et pour la ville mais il ne faut pas réduire les atouts de la ville à un seul moyen de transport car j'ai souvent entendu "je suis aller à rennes et ... ben ya un métro!" comme si (en extrapolant bien sur) les limites de la ville se situé à l'entrée d'une station. Enfin bon pour ne pas m'éterniser sur le sujet es ce vrai que la structure des champs libres inaugurée il ya peut n'acceuille pas le nombre de visiteurs attendus?
La Courrouze (http://www.rennes-metropole.fr/internet … ;IdPage=35)
D’une superficie d’environ 120 ha, La Courrouze est située à l’intérieur de la rocade, sur les communes de Rennes et de Saint-Jacques-de-la-Lande. Cet espace accueille des installations militaires : le centre de sélection de l’Armée et des bâtiments industriels du GIAT. Avec la libération de ces terrains militaires, une opportunité se présente pour aménager un nouveau quartier. L’occasion aussi pour les habitants de découvrir un site jusque là assez mystérieux.
Les villes de Rennes et de Saint-Jacques-de-la-Lande ont de longue date envisagé l’aménagement de cet espace. Rennes Métropole a repris le dossier le 1er janvier 2002. Développement durable et mixité sociale autant que des formes urbaines, sont les maîtres mots de ce premier projet d’aménagement urbain communautaire. Un projet qui se développera en une dizaine d’années.
La Courrouze / Le périmètre
Bordée à l’ouest par la rocade, la Zone d'aménagement concertée (ZAC) de la Courrouze se développe tant sur Rennes que sur Saint-Jacques-de-la-Lande.
Au nord, il est longé par le boulevard de Cleunay et par des voies ferrées, dont la ligne Rennes-Redon, qui traverse le site.
Au sud, il est traversé par le boulevard Jean Mermoz et côtoie le quartier du Pigeon-blanc (Saint-Jacques).
Terrain militaire depuis le XIXe siècle
C’est un site au passé militaire marqué. Dés le XIXe siècle, il fait partie d’une vaste emprise militaire, s’étendant sur le quadrant sud-ouest de Rennes et se prolongeant jusque vers La Maltière (Saint-Jacques). Le site compte l’ancien centre de sélection de l’Armée, qui accueille désormais le 16e groupement d’artillerie, et de nombreux terrains en friches. Au nord, les activités industrielles lourdes du GIAT (fabrication de munitions, douillerie...). Après sa privatisation en 1992, le GIAT a connu de nombreux plans sociaux et a engagé depuis la reconversion du site.
Un territoire morcelé et hétérogène
La Courrouze comprend quelques petites enclaves d’habitat individuel sur la commune de Saint-Jacques-de-La-Lande. Pour des raisons de cohérence d’aménagement, le périmètre d’étude englobe également une frange du quartier du Pigeon-Blanc.
Des friches industrielles sont aussi présentes dans le quartier de la Pilate, dont les anciennes usines Langlois et de la Société rennaise de fabrication.
Les infrastructures sont déterminantes dans cet espace. A l’exception du boulevard Jean Mermoz, toutes les voiries le bordent, aucune ne le traverse.
La voie SNCF au nord est seulement franchissable en deux points de passage par les rues Jules-Verne et Claude-Bernard. La voie SNCF à l’est, qui coupe la commune de Saint-Jacques-de-La-Lande en deux parties, n’est franchie que par un pont actuellement inutilisé et le boulevard Jean Mermoz.
La Courrouze / Objectifs et enjeux
1. Réaliser une opération exemplaire de mixité urbaine
De l’habitat et des équipements nécessaires
Premier objectif : produire du logement afin de répondre aux besoins de la population et aux orientations du Plan local de l’habitat. L’opération de La Courrouze devra adopter une densité propre aux sites de cœur d’agglomération, à l’image d’opérations telles que La Morinais à Saint-Jacques-de-la-Lande ou Baud-Chardonnet à Rennes : 4 700 logements sont prévus dans ce quartier.
Le nouveau quartier devra offrir aux habitants les équipements de proximité nécessaires à la vie quotidienne mais renforcer aussi l’offre à l’échelle de l’agglomération. Des commerces de proximité seront implantés au coeur du nouveau quartier. Rennes Métropole s’interroge aussi sur l’implantation d’équipements structurants à l’échelle de l’agglomération.
De l’activité
Il s’agit de diversifier l’offre en immobilier tertiaire et de services afin de renforcer le dynamisme économique de l’agglomération. Le site situé à proximité de la rocade sud-ouest accueillera un parc d’activité tertiaire. En tout, 110 000 m2 SHON de bureaux sont prévus sur la ZAC.
Par ailleurs, des activités militaires resteront présentes sur le site. Compte tenu de la présence du 16ème Groupement d’artillerie, l’Armée a élaboré un programme de restructuration sur les emprises dont elle souhaite rester propriétaire.
La cohabitation harmonieuse entre ces activités et l’habitat sera étudiée.
Mixité de l’habitat et des formes urbaines
Les projets urbains de Rennes et de Saint-Jacques affirment cette volonté de « construire une ville où la mixité favorise le brassage des populations grâce à une programmation de construction et de réhabilitation diversifiée ».
Des mixités seront recherchées entre les tailles de logement et entre les catégories de logements. L’aménagement de La Courrouze devra respecter le Plan local de l’habitat, qui préconise la construction d’au moins 50% de logements aidés, dont 25% de logements locatifs sociaux et 25% de logements intermédiaires et accession sociale à la propriété dans les opérations d’aménagement.
A la diversité sociale, s’ajoute la diversité des formes urbaines et des formes d’habitat. Les différents types de logement devront être proposés, du logement collectif et intermédiaire à l’individuel dense (maisons de ville groupées), mais pas de logement pavillonnaire, dévoreur d’espace.
S’inscrire dans un développement durable
L’aménagement du site s’inscrira dans les principes du développement durable. D’ores et déjà, 12 thématiques sont valorisées et font l’objet d’approfondissements constants :
- opération de renouvellement urbain,
- opération respectueuse du site,
- consommation économe du foncier,
- mixité sociale et intergénérationnelle,
- mixité des fonctions,
- mixité des formes urbaines,
- offre multimodale en transport privilégiant une offre alternative à l’utilisation de la voiture individuelle,
- gestion alternative des eaux pluviales,
- traitement des espaces,
- gestion des déchets,
- gestion des nuisances sonores,
- gestion de l’énergie.
2. Assurer une bonne desserte du site par les transports en commun
La réflexion sur la desserte en transports en commun sera fortement liée à la morphologie urbaine du quartier ainsi qu’à la densité de population hébergée.
Par ailleurs, La Courrouze, située dans le quadrant sud-ouest du centre de l’agglomération, est concernée par les études de la 2e ligne de transport en commun en site propre.
La présence du chemin de fer permet d’envisager le développement du transport par train et l’implantation d’un parc relais.
Il s’agit de tisser des liens avec les quartiers Cleunay et La Pilate. Cela passe par la création de voies assurant les liaisons inter quartiers et un désenclavement de la zone. Le boulevard Jean Mermoz, véritable colonne vertébrale du quartier, renforcera la continuité avec Saint-Jacques-de-la-Lande. Des liaisons douces (vélos, piétons) seront aussi étudiées.
4. Donner un nouveau visage à l’entrée de ville.
Une entrée de ville est à aménager en rupture avec le paysage des rocades. D’où la volonté de valoriser les abords de la rocade par une armature paysagère forte et l’accueil d’activités tertiaires offrant une image de qualité du site.
5. Créer une « coulée verte »
Cette liaison paysagère constitue un élément fort du programme. Elle permet de relier, via La Courrouze, le centre ville de Rennes et le vaste site naturel et de loisirs de la Prévalaye, éventuellement par la création d’un ouvrage sur la rocade. Cette liaison est d’ailleurs inscrite au Schéma directeur de 1994, au titre de « liaison loisirs/écologie ».
La Courrouze / Premiers aménagements
Quatre secteurs vont être aménagés lors de la première phase des travaux : le Bois Habité, Les Dominos, le secteur Pilate-Pigeon blanc et les Maisons dans les Bois. Début des travaux en 2006
Le Bois Habité
Il est composé d’immeubles construits en partie boisée. Sur des parkings semi-enterrés, des bâtiments (R+9) ont une vue belvédère sur le centre de Rennes. D'autres sont organisés en “Agoras”, des immeubles (R+4 ou R+5) autour d’un jardin en copropriété ou public. On trouve encore des Villas urbaines, ensembles compacts (R+4) regroupés par trois autour de jardins collectifs. Quelque 600 logements y sont construits à partir de 2006.
Les Dominos
Près de l’échangeur de la rocade, c’est là que s’implantent principalement les activités économiques tertiaires mais on y trouve également services, équipements et logements pour éviter un fonctionnement indépendant des autres secteurs de la Courrouze.
Pilate - Pigeon Blanc
Ici, les formes urbaines sont individualisées avec des maisons groupées, appellées “maisons patios” et "maisons en bande". On trouve aussi quelques logements collectifs. 280 logements environ seront construits à partir de 2006,pour complèter les équipements publics existants.
Les Maisons dans les Bois
De petits immeubles compacts, les "Villas urbaines", sont organisés par trois autour d’un jardin collectif (en copropriété ou public). On y trouve de grands logements.
source : Rennes Métropole
2 rapports intéressants : malgré les dates de publications (2004) ces documents restent d'actualité
l'urabnisation du pays de rennes www.paysderennes.fr/filemanager/download/65
Les équipements structurants du pays de rennes et les besoins a l'horizon 2015 www.paysderennes.fr/filemanager/download/70
» Liberté : les travaux démarrent début 2007 - Publié le 25/04/2006 par la mairie de rennes
Liberté : les travaux démarrent début 2007 L'avant-projet définitif de la restructuration-extension du Liberté a été approuvé par le conseil municipal. Rappelons-en les grandes lignes :
- restructuration de la grande salle (confort visuel et accoustique, remplacement des gradins et des sièges). Cette salle pourra accueillir 3765 personnes assises et un peu plus de 5000 debout.
- Création d'une nouvelle salle, "Le Petit Liberté", d'une capacité de 400 à 1000 places, à l'emplacement actuel des gymnases. Cette salle pourra fonctionner complètement indépendamment du reste de l'équipement.
- Construction d'un grand hall d'accueil, directement accessible de l'esplanade Général de Gaulle.
- Extension du côté du bd de la Liberté (440m2 pour des locaux techniques et administratifs).
Le début des travaux est fixé en janvier 2007. Livraison prévue au premier trimestre 2008.
source : mairie de Rennes
Ouest-France du jeudi 15 juin 2006
Les colonnes d'Aurelie Nemours délient les langues
Samedi sera inaugurée à Rennes une sculpture monumentale d'Aurelie Nemours. La première et la dernière de cette grande figure de l'art contemporain, disparue l'an dernier. ' L'alignement du XXIe siècle ', tout de granit breton, s'élève dans un quartier neuf de la ville et laisse rarement indifférent.
La scène est digne d'une tragédie antique. Dans le soleil couchant, deux étudiantes font bruyamment tomber des cailloux à leurs pieds, à tour de rôle. Est-ce l'ensemble de colonnes d'Aurélie Nemours, derrière elles, qui les inspire ? « Peut-être, répondent-elles mystérieusement, en ajoutant : « On jette des pierres sur nos maux. »
[...]
Pascale VERGEREAU.
une photo sur le site de Ouest-France :
http://img206.imageshack.us/img206/7785 … 6147bc.jpg
OEuvres d'art : Rennes sait surprendre
Trente-huit oeuvres d'art, commandes publiques de la Ville :
-Sylvain Hairy (1982) : La Ville, 20, rue du Puits-Mauger ;
-Hervé Télémaque (1982) : Bleu de Matisse, façade ouest du Liberté ;
-François- Marie Griot (1982) : Les Argonautes, carrefour de l'avenue du Canada et du bd Albert-1er ;
-Dominique Arezl (1984) : Portique, ZAC des Longs Champs, rue Doyen Albert-Bouzat, square Marcel-Henri Lebouc ;
-Marta Pan (1984) : Mur d'eau, rue Martenot (entrée de l'Assemblée régionale) ;
-Pierre Tual (1985) : sans titre, ZAC des Longs-Champs, rue Sohier ;
-Laurence Faou (1985) : Le Jardin, ZAC des Longs-Champs, square Pédro Florès Cano ;
-Sylvain Hairy (1985) : La Grand'place, ZAC des Longs-Champs, square Marcel-Henri-Lebouc, square Pédro Florès Cano ;
-Martine Kerbaol (1985), sans titre, mail piéton du Cardo, quartier Coëtlogon ;
-Loïc Hervé (1986) : L'homme en marche, cours Raphaël-Binet ;
-Peter Briggs (1987) : Janus, entrée de Rennes par l'ancienne route de Nantes ;
-Nissim Merkado (1987), Degré, avenue de la Touraudais, Rennes-Atalante ;
-Fraznçois Morellet (1989) : La Ligne et le Point du jour, carrefour du bd Clemenceau et de la rue de l'Alma ;
-Erik Dietman (1989) : Arc de triomphe pour figurois et figurennes, collège du Landry, accès avenue de Cork ou rue de Châteaugiron ;
-Peter Downsbrough (1990) : Unité de la, pignon du 33 bd de la Liberté sur la rue du Tronjolly ;
-Etienne Bossut (1991) : Mille et une nuits, accès 13 et 15, rue Saint Malo - cité d'Aleth ;
-Gottfried Honegger (1992), sans titre, parking sud de la gare ;
-Claudio Parmiggiani (1993) : Une fontaine, place de Coëtquen ;
-Sylvain Dubuisson (1994) : Chrysalide, place Rallier-du-Baty ;
-Anthony Gormley (1994) : Open space, place Jean-Monnet, quartier de la Poterie ;
-Emmanuel Dolivet (1994) : Jean Leperdit, place du Champ-Jacquet ;
-Gabriel Sterck (1995), Les Oies, maison de retraite Champs-Manceaux, rue Jean-Coquelin ;
-Philippe Cazal (1996) : Parc Hoche, parking souterrain de la place Hoche ;
-Xavier Ribot (1996) : Un mètre cube d'eau, rue Saint-Hélier ;
-Jean-Yves Brélivet (1997) : Voies d'eau, A - Gammes à la trompette, square René-Pléven, B - Château d'eau, rue Jean-François Millet, C - Echo, square Massignon, D - Le train, avenue du Haut-Sancé ;
-Philippe Bruneau (1997) : La Volière, jardin public, rue Alain-Gerbault ;
-Robert Milin (1999), Cleunay : ses gens, bd de Cleunay et de la Guérinais ;
-Hélène Vans (2000) : Furtivité solaire, passage du Ronceray - La Poterie ;
-Laurent Saksik (2001) : sans titre, parking des Lices ;
-David Boeno (2002) : conception du parc avec l'agence Hannetel, parc de Beauregard ;
-Marin Kasimir (1999/2003) : Puzzle pour Rennes, place du Landrel ;
-Jean-Paul Philippe (2002/2005) : Alpha, aleph, A, place du Recteur Henri-Le Moal ;
-Jean-Michel Sanejouand (2005) : Le Magicien, place de la Gare ;
-Laurent Duthion (2005) : Xylocus, ZAC canal Saint-Martin, jardin du Séchoir, rue François-Menez ;
-Aurélie Nemours (2006) : Alignement du XXIe siècle, parc de Beauregard, avenue André-Mussat ;
-Martin Barré, Portail de l'Ecole d'architecture, 44, bd de Chézy ;
-Claire Lucas, aménagement paysager de l'agora de l'université de Rennes 2 ;
-Patrick Nadeau, design de la place de la République.
Ouest- France mardi 20 juin 2006
Un tout nouveau bâtiment pour l'Irisa
Sur le campus de Beaulieu, les chercheurs en informatique et système aléatoires ont 3 000 m2 supplémentaires. Essentiellement des bureaux.
Créé en 1975, l'Irisa (Institut de rechercher en informatique et systèmes aléatoires) ne cesse de se développer et de grandir. La preuve avec le nouveau bâtiment inauguré hier. Grâce à lui, l'institut qui regroupe les efforts de l'Inria, de l'université de Rennes 1, du CNRS et de l'Insa, bénéficie de 2 950 m2 supplémentaires. Dans un bâtiment, construit en partie sur pilotis, on trouve 111 bureaux, neuf salles de réunion, six salles techniques informatiques et... 1 km de fibres optiques qui rappellent bien le coeur des activités de cette maison. L'Irisa est en effet spécialisé dans de multiples secteurs liés à l'internet du futur, sans oublier la bio-informatique et l'imagerie médicale, domaine qui a récemment donné lieu à la création d'une nouvelle équipe de recherche mixte avec l'Inserm.
D'ores et déjà, un autre bâtiment est en projet. Il comprendra un espace de conférences avec un amphithéâtre de 250 places et une salle de commissions, mais aussi un centre documentation, des plateaux techniques, un nouvel accueil et différents espaces de vie tels une cafétéria.
[...]
Gilles KERDREUX.
une photo sur le site de Ouest-france :
http://img212.imageshack.us/img212/2417/irisa2al.jpg
Ouest France du vendredi 23 juin 2006
La Ville s'offre une friche culturelle
L'entreprise Picard, dans le quartier Arsenal-Redon, va devenir un nouveau lieu culturel à la rentrée. Une bonne nouvelle pour les Ateliers du Vent.
Depuis des mois, les artistes des Ateliers du Vent étaient à la recherche d'un nouveau lieu d'accueil, à l'image de ce qui se fait dans d'autres villes comme Marseille et la Belle de Mai, Valenciennes et Le Boulon, ou à Toulouse et Lyon. Des espaces où des artistes croisent les pratiques et disciplines dans des friches industrielles. Des collectifs tels que Périscopages et ses dessinateurs indépendants ou encore les éditions de l'OEil électrique, étaient aussi à la recherche de nouveaux locaux pour développer leurs activités. On pourrait aussi citer l'Age de la Tortue.
[...]
Janik LE CAÏNEC.
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