© Maraudeur
Architecture – Urbanisme – Aménagement du territoire
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Sur la place, la maison Lamothe et ses statues en terre cuite représentant Mercure et Pomone est attribuée à Urbain Vitry :
Continuons avec les rues situées au nord de la rue de Metz et à l'ouest de la rue St-Rome.
Voici le quai et la place de la Daurade, réalisés de 1788 à 1790 par le cardinal de Brienne (ils existaient auparavant mais pas sous cette forme).
L'école des Beaux-Arts se situe sur l'emplacement de l'ancien monastère de la Daurade, rasé et transformé après la Révolution en filature de coton puis de 1812 à 1892 en Manufacture des Tabacs. A cette date, la Manufacture déménage sur les bords du canal de Brienne et l'école des Beaux Arts s'installe dans les lieux en 1895 après que l'architecte Esquié ait redessiné la façade.
Statue personnifiant la Gravure :
La Peinture :
L'Architecture :
La Sculpture :
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A l'intérieur, la cour montre d'impressionnantes façades de brique que rien ne laisse deviner de l'extérieur (en tout cas je dois dire que j'ai été très surpris de découvrir quelque chose d'aussi grand) :
Façade Nord :
Façade Est :
Façade Sud :
Façade Ouest :
La façade de la basilique de la Daurade :
Sur la place :
La construction du quai Lombard remonte aux années 1767-1780. Il s'inscrivait dans un plan destiné à border de quais la rive droite, depuis le pont Neuf jusqu'au Bazacle, suivant le projet de Joseph-Marie de Saget, architecte et ingénieur de la province du Languedoc. Il montre quelques belles façades de brique :
Une rue (bien) nommée "rue étroite" qui débouche sur le quai surplombée par une arche :
La rue Malcousinat :
Au n°1 hôtel de Guillaume Bénézit (1511), détruit ultérieurement mais qui a pu conserver sa tour hexagonale :
L'hôtel Huc de Boysson (15ème et 16ème s, façade sur rue du 18ème s), est devenu voici quelques années la Maison de l'Occitanie et le siège de plusieurs organisations occitanes :
La première cour :
Carte de l'Occitanie :
Cheminée :
La deuxième cour et ses fenêtres sculptées :
Etrange personnage féminin qu'on dirait armé d'une massue :
Chien qui se gratte :
Sur le #524 : la carte Occitane a été réalisée dans sa vision la plus étendue, intégrant toutes les variantes de la langue d'oc mais sur un territoire qui n'a jamais été uni politiquement .
Ptiloulou a écrit:
Sur le #524 : la carte Occitane a été réalisée dans sa vision la plus étendue, intégrant toutes les variantes de la langue d'oc mais sur un territoire qui n'a jamais été uni politiquement .
Tout simplement parce que l'état "Occitan" n'a jamais existé en temps que tel.
Aucun comté n'a attaqué son vosin pour l'annexer ( autant que je le sache ), voilà ce que explique celà, contrairement, à ce qui c'est passer au nord, pour imposer l'état Français.
C'est donc bien la carte de l'Occitanie, en temps que langue et culture, rien d'autre.
per tolosa totjorn mai
La rue et la place de la Bourse doivent leur nom à la Bourse des Marchands autorisée en 1549 par Henri II pour régler les litiges commerciaux.
Le n° 10 :
Au n°16, l'hôtel des quatre saisons (16ème s mais remanié sous Louis XVI) avec des médaillons sur les clefs des arcades :
Au n° 15, l'hôtel de Nupces (début du 18ème s) :
Au 20, nous ne verrons que la porte de l'hôtel Delfau, la cour vaut le coup d'oeil paraît-il mais ça ne sera pas pour cette fois.
Et nous voici sur la place, pas bien grande mais charmante :
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