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"A Nice, les premières maisons "bio" en poudingue".
A Lyon, il y a les premières maisons en tartes à la praline.
Si la construction ne respectait pas les normes sismiques la maison n'aurait pas été bâtie de cette façon... Il y a des bureaux de contrôle pour vérifier ça, on est en droit de penser qu'ils ont fait leur travail.
Cf. cet article de 20 Minutes traitant de la même maison :
(...)
« C'est le poids du bâtiment qui assure sa stabilité. C'est important, parce qu'aujourd'hui on doit à nouveau démontrer que ces structures peuvent répondre aux normes actuelles, par exemple concernant la résistance sismique », explique Michel Oggero, maître d'ouvrage associé à l'architecte niçois.
(...)
http://www.20minutes.fr/article/917163/ … -gout-jour
(au passage, je ne sais pas si le début de l'article "Exit le béton. Place au pudding de Nice" est un jeu de mot ou bien un anglicisme volontaire mais inutile )
Tous les grands projets à Nice + le suivi des permis de construire : nice2030.free.fr
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(à mon avis c'est la saleté de correcteur d'orthographe automatique :'))
midi.31 a écrit:
Juste un question le vieux Nice est en terre, sable, et gravier?
en fait dans l'article il parle des villages traditionnels … du coup pour le vieux-nice je ne sais pas, mais il doit sûrement pas y avoir d'acier
driving down your freeways …
midi.31 a écrit:
Juste un question le vieux Nice est en terre, sable, et gravier?
Je pense pas que si le Japon construisait avec ces seuls 3 matériaux, les bâtiments resteraient pas debout, lors des tremblements de terre..
Enfin je dis ça, mais Chéricutz me prenant pour rigolo, apparemment si on est pas architecte on n'a pas d'avis à donner.
Mais peut-être ai-je tord, si on me prouve le contraire pas de problème, mea culpa de ma part dans ce cas.
Je trouvais juste ton avis péremptoire, excuses-moi de te l'avoir fait sentir de façon un peu sèche. Donc certes je suis architecte, mais personnellement je ne me permettrais pas de balayer d'un revers de la main une technique de construction sur la base d'un article et en n'ayant pas étudié plus profondément le sujet sous l'angle technique !
Sur ce sujet de la construction en terre, je vois au moins quatre raisons de penser que, a priori, il y a des chances que ça résiste à un séisme :
1/ Les constructions vernaculaires de ce type résistent depuis longtemps aux tremblement de terre, et ce dans des régions du monde diverses et variées; a contrario, les tremblement de terre les plus dévastateurs pour les constructions humaines ont eu lieu dans des régions urbaines construites en (mauvais) béton de la deuxième moitié du XXe siècle ; je pense aux tremblements de terre d'Izmir, Alger ou en Iran par exemple. Donc la disqualification par définition de la construction enterre me semble un peu rapide.
2/ Globalement dans un séisme - donc provoquant des pics de forces en traction/compression risquant d'entraîner le point de rupture dans les structures soumises à ces contraintes - mieux vaut une construction souple comme un roseau, qui plie mais ne rompt pas. Le pisé et ses dérivés permet cela.
3/ On peut penser que, comme dans la majorité des constructions modernes, ces bâtiments ne sont pas qu'en terre mais possèdent aussi une ossature ou un chaînage qui reprend une partie des charges d'exploitation et des efforts supplémentaires possibles en terme de résistance des matériaux. Ainsi, même dans les bâtiments en béton (agglos creux ou murs banchés), la présence de ferraillage dans les angles produit cette armature qui seule peut garantir le contreventement du bâtiment. Le béton inventé par les romains nécessitait un mètre d'épaisseur à défaut d'être armé. Les romains l'utilisaient dans des fortifications lourdes en remplissage entre deux murs de pierres. Pour l'anecdote, on a retrouvé lors de fouille du béton vieux de presque deux millénaire qui n’avait pas séché au cœur du mur banché car séparé de façon étanche de l’extérieur. Résultat l'eau ne s'était pas évaporée... et le béton était resté liquide !
4/ Enfin, dans tous les cas et comme l'a souligné monmix, les normes de construction (DTU, règles parasismiques locales...) s'appliquent quelque soit le petit cochon qui s'y attèlent et qu'il le fasse en paille, en bois ou en briques...
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
Chéricutz a écrit:
on a retrouvé lors de fouille du béton vieux de presque deux millénaire qui n’avait pas séché au cœur du mur banché car séparé de façon étanche de l’extérieur. Résultat l'eau ne s'était pas évaporée... et le béton était resté liquide !
Les prémices d'un isolant à changement de phase ?
C'est comme la tarte tatin, tout part d'un raté technique !
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
BatiActu - 18/06/12
Le végétal a envahi plus d’un million de mètres carrés de toitures en France
Ce sont plus d’un million de mètres carrés de toitures végétalisées qui ont été réalisées en France en 2001. L’Association des toitures végétales n’entend pas en rester là, souhaitant désormais répondre à des demandes bien spécifiques en termes de marché. Détails avec le vice-président de l’Adivet.
L’architecture vernaculaire pour un développement urbain durable
"L’Arene Île-de-France vient de publier une étude sur le bâti vernaculaire. Cédric Beacher et Nicolas Dutreix, directeurs associés du cabinet de conseil Nomadéis, expliquent l’intérêt environnemental et social de ce type d’architecture.
[Q] Qu’appelez-vous le bâti vernaculaire urbain ?
L’expression désigne, depuis les années 1980, une architecture conçue en harmonie avec son environnement, en rapport avec l’aire géographique qui lui est propre, son terroir et ses habitants. Ce type de bâti naît du sol et des ressources de la région où il se développe et sa conception prend en compte l’ensemble des contraintes locales. Il présente donc une bonne résistance à l’égard des risques naturels de la région. Cette inscription territoriale s’exerce également au niveau social. Les acteurs locaux sont impliqués, ce qui génère des démarches de concertation et un certain renforcement du rapport identitaire entre les habitants et le territoire.
[...]"
Goudenhooft Chloé, 24/08/2012, in Le Moniteur.
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
Les villes demain
Aujourd'hui CO2 cherche à comprendre à quoi ressembleront les villes de demain et quelle sera la place de l'environnement dans ces nouveaux univers urbains.
Avec :
- Elisabeth Pélegrin-Genel
Architecte DPLG, urbaniste et psychologue du travail
- Gilles Berhault
Président du Comité 21, de l’ACIDD
- Alain Maugard
Polytechnicien et ingénieur général des Ponts-et-chaussées. Président de QUALIBAT, organisme de certification des entreprises de la construction.
- Mohamed Hage
Président et fondateur de Lufa Farms
CO2 mon amour, émission du 19/01/2013, dispo en podcast
http://www.franceinter.fr/emission-co2- … les-demain
*** Skyscraper Spirit Wonder Llama ***
Le premier prototype de biofaçade à microalgues bientôt en test !
Si les micro-algues apparaissent de plus en plus comme une alternative intéressante à la production d’énergie, le système n’avait jamais encore testé en conditions réelles. En 2013, place à l’expérimentation : la ville de Saint-Nazaire s’apprête à accueillir la première biofaçade.
Après avoir mis au point les premiers capteurs solaires biologiques de microalgues pour le bâtiment et le système de façade permettant de maintenir en température les cultures de manière optimale, l’agence X-TU Architects, le laboratoire GEPEA de l’Université de Nantes et AlgoSource Technologies vont lancer la construction d’un banc d’essai pour tester cette «biofaçade» en conditions extérieures réelles.
...
Techniques de l'ingénieur, 22/01/2013
http://www.techniques-ingenieur.fr/actu … cle_80251/
(via @JPh_Defawe sur Twitter)
*** Skyscraper Spirit Wonder Llama ***
Une ville durable « à la Française » pour séduire les pays en développement
La ministre du Commerce extérieur Nicole Bricq lance un appel à projets pour la réalisation d’une vitrine virtuelle du savoir-faire français en matière de « ville durable » à l’international.
...
« On arrive aujourd’hui en ordre dispersé dans les pays étrangers, explique-t-on dans l’entourage de la ministre. Il faut que l’on puisse dire : vous avez un projet de ville nouvelle, voilà ce qu'on sait faire». Ce démonstrateur virtuel doit permettre de fédérer l’offre française rapidement mais, à plus long terme, une vitrine grandeur nature devrait sortir de terre. A l’heure où le Japon prévoit d’installer, à Lyon-Confluence, un démonstrateur pour ces entreprises, le «Designed in France » a besoin d’un « Showroom ».
Le Moniteur, 26/07/2013
http://www.lemoniteur.fr/201-management … eloppement
*** Skyscraper Spirit Wonder Llama ***
Lool
Qu'ils fassent des villes durables en France et après on pourra les "vendre".
Le Moniteur, 09/08/2013
« Se chauffer avec des dessins animés, c’est trop top »
Actuelle première adjointe au Maire de Paris et candidate à la succession de Bertrand Delanoë aux municipales de 2014, Anne Hidalgo a, mercredi 10 juillet, visité un immeuble de logements sociaux qui pourra se chauffer grâce à la chaleur générée par les processeurs informatiques servant, par exemple, à calculer l’animation d’un dessin animé.
(...)
http://www.lemoniteur.fr/197-eau-energi … t-trop-top
C'est une expérimentation que je trouve très intéressante !
Tous les grands projets à Nice + le suivi des permis de construire : nice2030.free.fr
Oui, si l'évolution du parc informatique sur 10 ans montre que la production de chaleur n'a jamais baissé, mais ça m'étonnerait, dans 2 ans il y aura moitié moins de chaleur produite qu'aujourd'hui
driving down your freeways …
monmix a écrit:
Le Moniteur, 09/08/2013
« Se chauffer avec des dessins animés, c’est trop top »
Actuelle première adjointe au Maire de Paris et candidate à la succession de Bertrand Delanoë aux municipales de 2014, Anne Hidalgo a, mercredi 10 juillet, visité un immeuble de logements sociaux qui pourra se chauffer grâce à la chaleur générée par les processeurs informatiques servant, par exemple, à calculer l’animation d’un dessin animé.
(...)
http://www.lemoniteur.fr/197-eau-energi … t-trop-topC'est une expérimentation que je trouve très intéressante !
Je n'avais pas vu cet article, qui répond à quelques questions que je m'étais posées sur cette idée d'utiliser des processeurs comme radiateurs...
Même si l'article tente de donner une solution aux problèmes de surchauffe en été, je ne suis pas parfaitement convaincu. En effet, si ce sont les écoles qui permettent de continuer les calculs en été, c'est qu'elles sont équipées, et donc qu'elles répondent aussi à une demande de calculs en hiver.
La demande de calculs en été qui ne peut pas être assurée par les particuliers s'ajoute donc à celle qui est déjà assurée par les écoles tout au long de l'année. On peut donc imaginer de très fortes hausses de température en été dans les écoles, qui seront plus chauffées en été qu'en hiver...
Bref, l'idée est séduisante, mais ce problème de saison comme les besoins de maintenance sur les processeurs (les particuliers devront-ils laisser à l'entreprise une clef de leur appartement en cas de pépin ?) me semblent la condamner à la marginalité. Ne serait-il pas plus praticable de généraliser la liaison des data-center aux réseaux de chaleur ou à des industries très gourmandes en énergie (séchage de fibres ou de légumes, agroalimentaire...), pour permettre une utilisation de leur chaleur (quitte à continuer à les réfrigérer en été ?) tout en les maintenant dans un lieu centralisé ?
Batiactu - 25/09/2013
Les égouts, future source d'électricité
Des chercheurs de l'université Stanford (Californie) ont mis au point une "pile microbienne" qui délivre un courant électrique grâce à la digestion de déchets organiques contenus dans les eaux usées. Une piste d'avenir pour à la fois dépolluer les effluents et produire de l'énergie.
Lupus a écrit:
Ne serait-il pas plus praticable de généraliser la liaison des data-center aux réseaux de chaleur ou à des industries très gourmandes en énergie (séchage de fibres ou de légumes, agroalimentaire...), pour permettre une utilisation de leur chaleur (quitte à continuer à les réfrigérer en été ?) tout en les maintenant dans un lieu centralisé ?
Je reviens sur cette remarque que j'ai faite plus haut au sujet de l'utilisation des serveurs de calculs comme radiateurs dans les logements. En fait, la liaison data-center / réseaux de chaleur, bien que toujours prometteuse, ne semble pas si simple, pour deux raisons notamment :
- les opérateurs de data-center craignent pour la confidentialité de leurs données
- la chaleur récupérée (à 50°) n'est pas compatible avec les réseaux existants.
Le Moniteur - 08/10/2013
Les Parisiens se chaufferont-ils aux disques durs ?
Lors des assises des énergies renouvelables en milieu urbain, mardi 8 octobre, les datacenters ont été présentés comme une source de chaleur pour les franciliens. Si ces centres de stockage de données informatiques se multiplient en région parisienne, l’injection des calories qu’ils rejettent dans des réseaux de chaleur rencontre des obstacles.
Dossier complet sur les grattes ciels européen dans l'émission Le Blogueur d'Arte.
Lien de l'émission
Je me permets de poster ici, car je ne vois pas où le mettre ailleurs.
"Si tu sais que tu ne sais pas,tu sauras...Si tu ne sais pas que tu sais, tu ne sauras jamais...
Cri.Me a écrit:
Dossier complet sur les grattes ciels européen dans l'émission Le Blogueur d'Arte.
Lien de l'émission
Je me permets de poster ici, car je ne vois pas où le mettre ailleurs.
J'ai recopié ton message sur Réflexions sur les gratte-ciel, car le présent thread est plutôt sur les techniques de développement durable dans l'architecture.
Renaturer les rivières urbaines
LE PROJET DU RUISSEAU DES PLANCHES À LYON
par Alexandre Brun & Évariste Casetou, le 08/01/2014
La renaturation des eaux urbaines est un levier du renouvellement urbain qui dépasse l’intérêt écologique. L’exemple du ruisseau des Planches à Lyon montre que la reconquête des petites rivières urbaines peut bénéficier aux opérations d’urbanisme.
...
Le Grand Lyon réfléchit au devenir de l’îlot « Maurin » (2,5 hectares), du nom d’une entreprise encore implantée à l’est de la voie de chemin de fer qui traverse Vaise. En cas de libération de cet îlot, la municipalité ferait le choix d’y implanter bureaux et logements. Ce scénario permet – si le maître d’ouvrage y consent – de ré-ouvrir le ruisseau des Planches sur 170 mètres, mais il ne crée aucune continuité, faute d’associer les parcelles situées de part et d’autre de la voie ferrée.
Associer écologie et développement urbain
Un atelier universitaire commandité par la communauté urbaine de Lyon a fait le choix d’étudier un périmètre plus large (7,5 hectares) afin d’intégrer davantage d’opportunités d’aménagement durable. Le projet de l’atelier conjugue trois principes d’aménagement. Premièrement, développer une programmation en adéquation avec l’histoire industrielle de Vaise. Le pôle automobile de Vaise, fait d’espaces de vente abrités dans des « boîtes à chaussures » localisées dans le périmètre d’étude, peut être inséré dans les nouveaux bâtiments. Ensuite, renaturer le ruisseau sur 630 mètres afin de relier, grâce à des circulations douces, l’îlot de l’Hôtel des Ventes (rue Marietton) au square Montel. Les travaux portent sur la démolition des murets anti-crues, le retalutage des berges et leur végétalisation, ainsi que la déminéralisation des terrains alentours. Enfin, réduire la vulnérabilité au risque d’inondation des futures constructions en les plaçant à l’écart du cours d’eau.
...
http://www.metropolitiques.eu/Renaturer … aines.html
*** Skyscraper Spirit Wonder Llama ***
Même démarche engagée avec un projet de réouverture partiel du Verderet à Grenoble, busé depuis 75 ans.
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
Il semble que les aménagements des années 50-70 faisaient table rase de l'existant : anciens chemins, ruisseaux, tout était terrassé. Je pense à la Zup Sud de Rennes, appelée Le Blosne, du nom du ruisseau qui y passait et qui est busé.
Chaque quartier HLM aurait son ruisseau à découvrir ?
driving down your freeways …
Possible. Le fameux Verderet passe sous la Cité Teisseire, mais aussi dans tout le quartier de la Bajatière, le Parc Mistral et le quartier Très Cloître dans le centre ancien. Il s'agit d'un torrent de montagne qui de fait peut-être impétieux (l'une des raisons du développement de Grenoble étant les conduites forcées et la "houille Blanche") dont les débordements intempestifs sont gérés en amont de la rocade sur la commune d'Eybens via entre autre d'imposants bassins de rétentions. La réouverture concernerait dans un premier temps la partie la plus simple (espace public d'agrément), à savoir la traversée du parc Mistral.
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
Philie Marcangelo-Leos / Victoires-Editions, Localtis.info, 22 janvier 2014
La trame verte et bleue dispose enfin d'un document-cadre
Le décret portant adoption des "orientations nationales pour la préservation et la remise en bon état des continuités écologiques", dites trame verte et bleue (TVB), a été publié au Journal officiel du 22 janvier 2014. Il y a tout juste un an paraissait le décret du 27 décembre 2012 (lire notre article ci-contre) permettant d'asseoir le socle réglementaire de cette mesure phare du Grenelle de l'environnement, en fournissant en particulier une définition de la TVB, à savoir un "réseau formé de continuités écologiques terrestres et aquatiques" identifiées par les schémas régionaux de cohérence écologique (SRCE) ainsi que par les documents de l'Etat, des collectivités territoriales et de leurs groupements compétents.
(...)
Allez, un nouveau classement !
Pour info, le trio de tête est: Rennes, Grenoble, Besançon... comme c'est étonnant.
Le palmarès des villes durables
Vertes, innovantes, solidaires. Avant les municipales, « Terra eco » a classé pour vous les 30 plus grandes villes de France. Et la médaille d’or est… bretonne.
Dans une ville idéale, les citadins respirent un air aussi pur qu’à Besançon et peuvent se promener dans des jardins comme ceux de la cité franc-comtoise, où la surface d’espaces verts par habitant est la plus importante des villes françaises. La cité de nos rêves aurait bien sûr un faible taux de chômage et une vie associative dynamique, à l’instar de Rennes, et serait plutôt égalitaire, à l’image de Grenoble, dont l’indice de Gini (1) est l’un des plus faibles de France.
[...]
Bizarrement, lorsque Terra eco et OpinionWay demandent aux Français quel patelin de l’Hexagone se rapproche de la ville idéale, l’ordre change radicalement : Bordeaux est la plus citée, suivie de Nantes et Montpellier (respectivement par 17 %, 14 % et 12 % des personnes interrogées).
[...]
© Terraeco
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