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Nom | Fonction(s) | Hauteur | Niveaux | Année |
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Hôtel | 27.55 m | R+9 | 2021 |
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Logements, Commerces et activités | 35.00 m | R+9 | 2020 |
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Bureaux, Commerces et activités | 26.00 m | R+5 | 2019 |
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Logements, Commerces et activités | 20.90 m | R+6 | 2018 |
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Logements | 20.93 m | R+7 | 2018 |
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Bureaux, Commerces et activités | 26.90 m | R+5 | 2018 |
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Bureaux, Logements, Commerces et activités | 27.00 m | R+8 | 2018 |
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Logements, Commerces et activités | 18.00 m | R+5 | 2015 |
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Logements, Commerces et activités, Éducation | 21.50 m | R+6 | 2014 |
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Logements | 18.00 m | R+5 | 2014 |
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Logements | 12.00 m | R+3 | 2014 |
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Logements, Commerces et activités | 28.00 m | R+8 | 2013 |
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Logements | 18.00 m | R+5 | 2013 |
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Logements | 12.00 m | R+3 | 2013 |
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Logements, Commerces et activités | 27.41 m | R+8 | 2012 |
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Logements | 12.00 m | R+3 | 2012 |
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Bureaux | 27.06 m | R+6 | 2012 |
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Logements | 15.00 m | R+4 | 2012 |
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Logements | 18.10 m | R+5 | 2012 |
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Logements | 12.00 m | R+3 | 2012 |
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Logements | 15.00 m | R+4 | 2012 |
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Logements | 16.50 m | R+4 | 2010 |
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Éducation | 10.00 m | R+1 | 2008 |
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Commerces et activités | 8.00 m | R+1 | 2006 |
Romuald a écrit:
Donc ma question, que pensez-vous d'une ville construite sans style particulier ?
Perso, je pense que le quartier Borderouge Nord est intéressant pour plusieurs points :
On a une architecture différente par îlot, voire par immeuble. Ce qui permet de mixer les styles et d'éviter une certaine monotonie comme on en connait du côté des Ponts-Jumeaux, de Marengo ou Borderouge Sud.
On a une diversité de hauteurs qui fait qu'on évite là aussi la monotonie de la platitude. On permet des décrochés de hauteurs et de visuels.
On assiste aussi à une densification atour d'une station de métro. On n'est pas là sur une requalification urbaine autour d'un TCSP mais bien d'une création extension autour du métro.
Mais peut-on aujourd'hui construire un style toulousain ? Serait-il accepté s'il était unique? Peut-on transposer la brique rose sur du neuf et uniquement sur des quartiers entiers ?
J'y vois un avantage, si on ne s'attache pas à un style, ce sera plus simple dans le futur pour le renouvellement urbain.
Autre remarque (ni avantage, ni inconvénient), on y reconnait pas le Sud-Ouest, est-ce que la ville s'internationalise ? Conséquence d'une métropole européenne ?
Je pense qu'aujourd'hui le renouvellement urbain doit faire appel aux styles actuels, contemporains.
Le style toulousain historique existe aussi de par ses couleurs à Bologne, Florence et Lille qui sont aussi des villes de briques "roses" ou de teinte à peu près similaire.
Le style contemporain peut très bien se marier avec le style toulousain.
Disons que les années 60 ont fait des ravages dans les faubourgs toulousains. Il aurait fallu créer de styles de prolongements de façades toulousaines le long des faubourgs. Un peu se qui devrait apparaître dans le quartier du Raisin avec le projet Europan 11 qui créera une couture urbaine avec style de rues de faubourgs avec des couleurs assez toulousaines.
Les quartiers en dehors de ces faubourgs ou sur des emprises aujourd'hui à requalifier (Cartoucherie, Montaudran Aerospace, Euro-Sud Ouest) peuvent très bien s'orienter vers le contemporain et le moderne avec une mixité fonctionnelle (habitat-commerces-loisirs-tertiaire) avec mixités de hauteurs et de styles architecturaux. Et ainsi se mettre à la page XXIè siècle qui lui fait défaut pour être reconnue du point de vue visuel en Europe et ailleurs.
Autre question, pour le style architectural. Selon vous, quelle est la bonne échelle pour un réaliser un style architectural dans une ville. L'immeuble ? L'îlot ? Le quartier ? La ville ? La région ?
Le style architectural est intéressant par îlot pour ma part car il permet de créer un style sur plusieurs immeubles avec plusieurs hauteurs. Le style peut très bien être différent sur un îlot voisin et créer une sorte de transition avec des îlots déjà existants sur le quartier voisin déjà construit ou peut très bien créer une transition avec d'autres îlots à créer.
Comment peut-on assimiler styles historiques Lillois et Toulousain ?
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Pour Lille je vois pas le rapport avec Toulouse, ni la couleur de la brique ni le style.
per tolosa totjorn mai
invité01 fait simplement le parallèle entre des villes utilisant traditionnellement la briques. Lille, comme les villes des Flandres en général, à cette particularité d'avoir réussi à marier architecture contemporaine et vêture traditionnelle.
Je dirais que c'est encore plus vrai et pertinent que les briquettes de parement beaucoup utilisées à Toulouse entre 1985 et 2010 (un peu moins maintenant), qui sont un simple placage que béton*. Dans l'architecture contemporaine du Nord de l'Europe, l'architecture est à la fois plus moderne dans le gabarit (toit-terrasse, grands baies vitrées, hauteurs importantes...) et plus traditionnelle dans l'aspect des façades : souvent il s'agit d'un vrai double mur en briques (parfois moulées à la main) recouvrant une isolation extérieure placée devant le voile de béton banché.
La comparaison, avec ses limites, n'est pas inintéressante car sur des techniques traditionnelles similaires (la brique), on voit qu'on peut faire à la fois contemporain et couleur locale sans tomber dans une forme de pastiche comme cela à souvent été le cas pour la production tout-venant toulousaine des 25 dernières années.
______
* Hormis certaines réalisation de l'agence des architectes Laurent Gouwy, Alain Grima et Jean-Luc Rames, notamment à Andromède- mais en blanc !
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
Pour ma part, je dirais qu'il n'y a rien de pire qu'une construction type, faussement régionale, sans âme qui serait reproduite à l'infinie ...
Le charme de chaque quartier, quelle que soit la ville, tient dans ses spécificités architecturales et paysagères, dans le cadre de vie et d'animation que cela offre.
Je préfère un quartier doter de sa propre personnalité, quitte à trancher avec le reste d'une ville voire à inspirer le rejet de certains, pluitôt qu'un quartier pastiche, triste et monotone. En ce sens, il n'y a rien de pire que les résidences que l'on reproduit à l'identique, fussent elles habillées de briques de parement pour faire "local". En ce sens, je préfère 100 fois ce que l'on nous propose sur Borderouge nord à ce que l'on nous a fait à Borderouge sud.
Enfin, en urbaniste, je dirais que chaque réalisation architecturale doit être conçue comme un morceau de ville. Les résidences clôturées, fermées sur elles-mêmes, sans rapport à la ville qui les entourent ne participent pas de l'ambiance urbaine. Les lotissements avec maisons en coeur de parcelle, style méditerranéen et clôture tout autour, non plus.
C'est en ça que de nouveaux quartiers comme Borderouge sont difficiles à concevoir. On part d'une feuille blanche et il faut imaginer une ambiance, une qualité de vie. Parfois on réussit, parfois ça foire ...
En ce qui concerne les résidences clôturées, suis pas sûr qu'elles soient plus isolées et fermées sur elles-mêmes, que d'autres. En effet les autres on leurs espaces verts derrières les façades, et la verdure ne profitent qu'à eux, et la façade est leur clôture.
Personnellement je suis pas contre ce style, mais pas partout.
per tolosa totjorn mai
Je prends note de tout ce que vous dites ... même si ma question n'était pas innocente
Je pense que si on devait imposer un style, les plus frustrés seraient les architectes
Il faudrait trouver un juste milieu entre architecture uniforme (cassoulet) et aléatoire (Borderouge Nord, Andromède ...) est mieux perçu par les habitants sur le long terme.
Quand je parle de style, je ne veux pas forcément dire une couleur, des briques, un nombre d'étages, mais quand je suis dans un quartier, que je reconnaisse Toulouse. Ça peut-être un détail sur l'ensemble d'un immeuble. Détail qui n'empêcherai pas de faire un immeuble gris, à coté d'un immeuble rouge ou vert, mais un détail qui permet de savoir qu'on n'est pas à Lille ou Santiago du Chili.
Ça peut-être un détail sur la forme d'un îlot ...
En tout cas, je commence à regretter tous ces quartiers où chaque îlot est traité indépendamment.
En reprenant le pied de la "Tour" de Bureaux de 40m de hauteur, on s'aperçoit que le RDC sera commercial et ce RDC a commencé à sortir de terre :
Travaux ce jour.
Vues de fin janvier 2013 sur le chantier de l'îlot Belin (site internet de la maourine).
Issu du site de l'architecte Patrick Chavannes.
Un déroulé des différentes fonctions urbaines de l'îlot Belin
Intéressant aussi de vérifier les circulations verticales.
Je me suis intéressé de plus près à l'architecture de la petite tour de bureaux sur l'îlot en construction.
invité01 a écrit:
En reprenant les hauteurs NGF :
Sol : 136,33
acrotère : 172,24
Toit : 171,24
Sommet : 177,33
Bref, la hauteur totale est de 41m, la hauteur au toit est 34,91m.
Quand on regarde l'immeuble en coupe on a l'impression que le toit est tout en haut. Apparemment, une coiffe devrait faire croire à 2 étages supplémentaires qui en fait couvrent l'étage technique au niveau de la cage d'ascenseurs au centre de l'immeuble.
Le METROPOLITAN GARDEN (Ilot 7.2)
Avec vue actuelle sur Néapolis, en attendant que soit finit la résidence Métropolitan Garden et avant construction du Solarys en R+8 (Lot 11.2) qui donnera sur la Place.
invité01 a écrit:
l'ilot 7.2 a été "révisé"...la zone ne sera pas entièrement dévolue au programme de St Agne Immo mais pour moitié à un groupe scolaire
ps : il me semble t'avoir vu rue sainte nathalie, posté sur les "rochers" décoratifs, en train de chercher le meilleur angle de vue pour tes photos...(la semaine dernière non ?)
PS suite : Ah non ce n'étais pas moi? J'ai pris les photos dimanche et je ne suis pas allé rue Ste Nathalie.
On assiste à de la densification également toujours entre Borderouge Nord et les Izards
Je ne sais pas si c'est le topic le plus approprié pour poster ce message, merci aux modérateurs de le déplacer dans le cas contraire :
http://www.20minutes.fr/ledirect/112341 … -paleficat
D'ici à la fin du mois, une cinquantaine de propriétaires du secteur de Paléficat vont recevoir une ordonnance d'expropriation. En 2006, la mairie de Toulouse décidait de transformer cette zone de 100 ha, coincée entre Borderouge et Launaguet, en réserve foncière. Cela s'est traduit par une déclaration d'utilité publique. «L'urbanisme sur ce secteur doit faire l'objet d'une vision à long terme. Si la collectivité laisse faire, les promoteurs construiront de manière désordonnée comme cela a été fait au nord de Toulouse», argue Daniel Benyahia, l'adjoint à l'urbanisme. Une vingtaine de propriétaires ont choisi la voie amiable mais la majorité ne veut pas transiger. «On accepte le principe de réserve foncière, mais entre 15 et 25 € du m2, c'est indécent.
Je ne suis pas notaire ou agent immobilier dans ce secteur, mais même 25 €/m2 ça parait effectivement faible pour du foncier dans la commune de Toulouse, même si c'est à l’extrémité nord de la commune et avec la nuisance d'avoir une grosse voie rapide chargée (périphérique) juste à côté; vous pensez que c'est vraiment ce qui leur a été proposé?
Légalement, les estimations sont basées sur un chiffrage des "Domaines" (alias France Domaine, dépendant de la Direction Générale des Finances Publiques), donc normalement neutre vis-à-vis des collectivités territoriales et des particuliers.
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
Chéricutz a écrit:
Légalement, les estimations sont basées sur un chiffrage des "Domaines" (alias France Domaine, dépendant de la Direction Générale des Finances Publiques), donc normalement neutre vis-à-vis des collectivités territoriales et des particuliers.
Je sais bien, mais sur http://www.seloger.com/recherche.htm?ci … ed_search, voyez-vous du foncier comparable à ce prix?
Il doit s'agir de terrains non constructibles dans le document d'urbanisme. L'estimation se réalise notamment au regard du statut des terrains mais aussi au regard des projets futurs. Assez souvent, dans une opération urbaine de long terme (en ZAD ou en AU fermée), lorsque l'on achète les terrains suffisamment en amont on tourne autour de ces prix d'environ 25 €/m² sur Toulouse.
Ce qui n'est déjà pas si mal pour les propriétaires qui n'ont pas payé leur propre acquisition à ce prix là. Pour ma part, je considère que c'est très suffisant, sachant que tous les frais seront supportés par la collectivité ensuite pour l'urbanisation effective.
Ptiloulou a écrit:
Il doit s'agir de terrains non constructibles dans le document d'urbanisme.
Euh, si les gens ont leur maison dessus et qu'on les expropie, ça leur fait une belle jambe de savoir que leur terrain est désormais classé inconstructible (surtout si c'est pour en reclasser certains constructibles une fois que l'expropriation sera faite...). Ce n'est pas avec 15 à 25 €/m² qu'ils vont se racheter un logement à Toulouse...
C'est pourquoi je suspecte que l'article soit erroné ou incomplet. Peut-être qu'on leur offre tel montant pour la maison, plus 15 à 25 €/m² pour le jardin? Cela me surprendrait que ce soit 15 à 25 €/m² pour l'ensemble de leur propriété.
Tout à fait d'accord avec toi. Les domaines n'estiment pas un terrain déjà bâti à 25€ /m². Il s'agit de transactions de terrains nus. C'est une certitude. Et quand les gens parlent de leur jardin ... je ne suis pas certains qu'il s'agisse de la terrasse derrière leur logement.
C'est comme ça que je comprends l'article en tout cas. On parle bien du prix du foncier et non du prix du bien immobilier :
"On accepte le principe de réserve foncière, (...). Des gens vont être expropriés de leur parcelle de jardin (...)"
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
Ptiloulou a écrit:
Tout à fait d'accord avec toi. Les domaines n'estiment pas un terrain déjà bâti à 25€ /m². Il s'agit de transactions de terrains nus. C'est une certitude. Et quand les gens parlent de leur jardin ... je ne suis pas certains qu'il s'agisse de la terrasse derrière leur logement.
Je pense que des terrains bâtis vont également être expropriés. Il serait intéressant de connaître le montant proposé pour ces expropriations.
GA Promoteur immobilier de bureaux à Borderouge Nord
.../...
Concernant le marché immobilier de bureaux à Toulouse, Samir Risk, décrit une "situation toujours tendue. Nous venons de livrer clés en mains le bâtiment pour Air Cost Control dans le Gers et ne démarrons pas de nouveaux chantier pour l’heure." Place Nord à Borderouge, la commercialisation de la première tranche d’un programme de 10 000 m2 en trois bâtiments, a néanmoins bien avancé et les travaux devraient démarrer dès le mois de mai.
A part l'ilot 10 d'Icade (au dessus de la gare de Bus et métro), je ne vois pas de quoi il peut parler.
Les Izards & Borderouge début mai 2013, avancée des différents chantiers en cours.
Vue sur le terrain vague à côté du métro Trois-Cocus : c'est sur ce terrain vague qui jouxte la ZAC Borderouge que sera bâtie d'ici peu la nouvelle place Micoulaud, pièce maîtresse du projet de rénovation urbaine du quartier des Izards.
Vue sur le quartier des Izards : à gauche, le métro Trois-Cocus et l'actuelle place Micoulaud. Au centre, la tour des Izards avec des bâtiments en cours de destruction. A droite, la limite Ouest de la ZAC Borderouge.
Les résidences à vocation sociale entre les Izards et Borderouge, entre la place Micoulaud et la rue Edmond Rostand. Par rapport aux clichés de l'an passé, les jardins sont terminés et commencent à apporter une touche de verdure appréciable. A souligner le bon entretien des lieux.
Depuis un immeuble jouxtant la rue Edmond Rostand, vue sur le chantier de la place Nord de Borderouge, situé 500m plus au Nord.
A gauche, se dressera l'Ile ô Jardins et son R+10. A droite, vue sur l'immeuble Néapolis (Bouygues) en passe d'être achevé.
Des coulées vertes, accessibles pour certaines d'entre elles, séparent les différents lots de la ZAC.
Les espaces publics sont en permanence mutation, ici vers l'ancienne ferme Niboul, amenée à être la future maison du quartier d'ici peu.
La salle des musiques actuelles (SMAC Métronum) avance assez vite et sera inaugurée d'ici la fin de l'année. Ce sera le premier équipement public d'envergure pour Borderouge et les Izards.
Vue sur la place Nord de Borderouge depuis le terrain vague correspondant au lot 9.1 (résidence étudiante de 163 studios).
La résidence Néapolis est bientôt terminée, elle domine actuellement la place et le quartier avec son R+8.
Néapolis vu depuis Borderouge Sud et l'avenue Bourges-Maunoury.
La place Nord (place de la Marouine) face au futur R+10, ses résidences et sa galerie commerciale (Carré des Marouines).
Le long de la place de Maourine, au droit de Néapolis, en direction du Nord.
Le chantier de l'Île ô Jardins progresse. La galerie commerciale prend forme.
Rue Antoine Pastré, derrière l'Île ô Jardins.
L'entrée des deux niveaux souterrains (parkings) de l'Île ô Jardins.
La construction des résidences sur la galerie commerciale a commencé (R+5 sur la dalle à cet endroit là, soit équivalent d'un R+7).
Le long du boulevard André Netwiller, vers le futur échangeur de Borderouge, la densification se poursuit avec des résidences en R+4 et R+5 (un peu moins de 150 logements).
Emplacement du futur échangeur de Borderouge, terminus du BUN (Boulevard Urbain Nord).
Vue sur le boulevard André Netwiller depuis le rond-point du futur échangeur de Borderouge sur la rocade Est.
Merci pour ce reportage photo. Le panorama est assez complet entre izards et borderouge.
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