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http://www.oppidea.fr/sites/default/fil … %20def.pdf
Habitat intermédiaire : appel à idées sur l’agglomération toulousaine
Une dizaine de promoteurs, bailleurs sociaux, bureaux d’études et architectes étaient présents le 8 avril lors du lancement de l’appel à idées pour un habitat intermédiaire par la Sem d’aménagement Oppidéa de la communauté urbaine Toulouse Métropole. Le choix des lauréats interviendra en juin après un dépôt des dossiers le 24 mai.
Ouvert à des équipes pluridisciplinaires, il a pour objectif de recueillir des propositions architecturales et techniques innovantes qui soient intermédiaires entre les immeubles collectifs et les maisons individuelles. Répondant au double défi de la ville intense avec des logements à prix maîtrisé, il s'inscrit dans la logique du schéma de cohérence territorial (Scot) et du plan local de l'habitat (PLH) de l'agglomération toulousaine qui visent dans cette catégorie une densité de 50 à 70 logements à l'hectare
C'est un appel à expérimentation après un certain nombre d'autres pour entrer dans la production à grande échelle, notamment dans les ZAC communautaires», a insisté Emmanuel de Sévera, directeur général d'Oppidéa. Une fois les quatre lauréats sélectionnés en juin 2013 après le dépôt des propositions le 24 mai, l'objectif de l'aménageur est bien d'entrer dans l'opérationnel fin 2013-début 2014.
Les lauréats se verront attribuer un terrain dans une des ZAC portées par Oppidéa. Pour la catégorie sans promoteur/bailleur, la SEM organisera les modalités de choix d'une maîtrise d'ouvrage compatible avec les idées retenues.
L’Établissement public foncier local de Toulouse Métropole rachète à tour de bras.
.../...Quels sont les territoires stratégiques pour l’EPFL en terme d’acquisition cette année ?
Le quartier Matabiau d’une part, pour préparer l’arrivée du TGV et le développement du quartier de la gare. Nous intervenons dans un périmètre qui va de la gare Matabiau à la gare Raynal. Actuellement, nous achetons tous les biens situés avenue de Lyon, entre le Canal et le pont ferroviaire, car ce secteur sera à terme totalement restructuré. Un peu plus loin, quartier Bayard Belfort, nous sommes plutôt en situation de veille et avons prévu une vingtaine d’acquisitions dans une tête d’ilot. Nous intervenons aussi à Paléficat, où une déclaration d’utilité publique est en cours pour la future opération d’aménagement autour du BUN. Dans ce territoire, les négociations se poursuivent avec les propriétaires, même si certaines expropriations sont sur le point d’être signifiées. Au Mirail, entre la fac et l’école d’architecture, nous rachetons actuellement l’ensemble des lots de la copropriété des Castalides. Enfin, nous intervenons quartier Malepère, concerné par la ZAC de Montaudran, et nous achetons des commerces dans le cadre de l’opération Commerce Avenir près d’Arnaud Bernard.../...
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Le toit en pente fait de la résistance
ARCHITECTURE - Face à l’uniformisation croissante de l’architecture des villes, les menuisiers, charpentiers et couvreurs toulousains se mobilisent pour promouvoir les toits en pente, marqueurs de l’identité régionale.
[...]
A l’heure actuelle, plus de 50% des logements collectifs neufs s’abritent sous des toits plats.
Agglomération toulousaine : 69 équipes répondent à l’appel à idées sur l’habitat intermédiaire
Alain Fillola, président d'Oppidea a annoncé la réception de 69 offres réparties à parité dans la catégorie des maîtres d'œuvre seuls et de celle des maîtres d'œuvre accompagnés d'opérateurs (bailleurs sociaux et/ou promoteurs)
Deux tiers des équipes candidates sont implantés dans l'agglomération toulousaine. Parmi les autres réponses, une dizaine provient de Paris et Barcelone. « Au final, fin juin, une dizaine de candidats seront récompensés avec l'objectif d'avoir des propositions dans une démarche d'optimisation économique avec notamment un habitat à prix maîtrisé autour de 2 800 euros/m2, strict intermédiaire entre logement social et logement libre », a précisé le directeur général délégué d'Oppidea, Emmanuel de Séverac, qui s'est engagé à réaliser les « trois à quatre projets primés dans les ZAC gérés par la Sem », et à « faire des efforts significatifs en termes d'accès au foncier ».
Le lancement de cette construction (regroupement des services du Rectorat sur la ZAC Niel) ouvre aussi la voie à d'autres projets d'urbanisme car elle va déclencher un jeu de chaises musicales immobilier. Parmi les bâtiments libérés, il y a surtout ceux du «site Saint-Jacques», en centre-ville, le berceau historique des services du rectorat. Ils appartiennent l'Etat, sauf l'Hôtel de Lestang – une magnifique demeure construite à la fin du XVIe siècle qui, elle, fait partie du patrimoine municipal. Quelle peut être la destination de cet îlot idéalement situé ? «Nous y réfléchissons», assure le préfet, Henri-Michel Comet. Pierre Cohen (PS), le maire a déjà des pistes : «On pense à des logements, dit-il. Une autre idée est d'accueillir les chercheurs étrangers dans ce site proche du futur Quai des Savoirs.»
Pas du tout dans la même veine architecturale, le «bâtiment F» de la cité administrative va aussi être déserté par l'inspection d'académie. Et là aussi, le maire est preneur. «En fonction des projets de l'Etat, nous exercerons notre droit de préemption», assure-t-il. Il s'agit de l'endroit exact où, dans son programme, il avait choisi de construire la Cité internationale de la Jeunesse. L'idée est par conséquent relancée.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/06 … e-plu.html
Nouvel article sur le PLU qui vient confirmer la possibilités de trois tour a 100 mètre sur Montaudran.
Effectivement, les explications sur le PLU confirment ce que l'on sait déjà en rapport avec toutes les informations apparaissant sur les documents de la révision du PLU intégrant aussi les modifications au PLU précédemment (Cartoucherie et Montaudran Aerospace).
La révision du PLU ne touche pas encore Euro Sud Ouest ou Malepère par exemple qui seront sûrement des modifications de ce nouveau PLU.
Révision(s) simplifiée(s) plutôt, vue l'échelle et l'impact des projets.
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
Il faut voir au cas par cas, mais il est tout à fait possible d'en passer par des modifications de PLU pour rendre possible ces projets, quelle qu'en soit l'ampleur, si le PADD est respecté et s'il ne s'agit pas d'ouvrir à l'urbanisation des zones agricoles ou naturelles.
Oui mais s'il y a dossier de création de ZAC, il y a de fortes chance que cela entraîne une révision simplifiée pour intégrer ses dispositions dans le PLU (voir ici). Une simple Modification du PLU pour digérer des plats aussi roboratifs que TESO ou Malepère* me semblerait s'asseoir ouvertement sur l'esprit des lois d'urbanisme et de concertation des 15 dernières années... et à fortiori compliquer considérablement le processus de concertation en le démultipliant à l'infini autour d'innombrables secteurs opérationnels nécessitant études d'impact et concertation croisées en faisant mine d'oublier ce qu'il se passe juste à côté, ou en recommençant à chaque fois à expliquer et faire valider les opérations et OAP connexes...
Bref, une usine à gaz - surtout autour de la bombe à retardement que peut-être TESO - qui aurait de forte chance d'être retoquée par la préfecture, le commissaire enquêteur ou le Tribunal Administratif après recours, sans pour autant simplifier en quoi que ce soit la mise en oeuvre efficace et rapide du projet.
______
* Il me semble très dangereux du point de vue juridique de considérer à priori que ces "projet[s] [ne] porte[nt] [pas] atteinte à l’économie générale du PADD, [ne] touche[nt] [pas] des secteurs sensibles (espace boisé classé, zone agricole, naturelle et forestière, protection édictée en raison des risques de nuisance, de la qualité des sites, des paysages ou des milieux naturels) ou [ne] comporte[nt] [pas] de graves risques de nuisances." (source ministérielle : http://www.territoires.gouv.fr/spip.php?article3247)
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
Tout dépend de ce qui est mentionné aujourd'hui au PLU, j'avoue ne pas assez connaître le dossier pour me prononcer. Tout dépend aussi des procédures opérationnelles qui seront prévues pour ces dossiers (Malepère me semblant moins complexe tout de même).
La modification peut être un dossier unique et global et peut ainsi avoir plus de sens et de cohérence que des révisions allégées (qui remplacent désormais les révisions simplifiées), qui sont souvent saucissonnées. La modification peut être conduite avec une concertation si on le souhaite et comprend également une enquête publique.
Pour finir, je suppose que l'on va user pour TESO d'une déclaration de projet, qui est du genre "dérogatoire au droit commun" mais présente l'avantage de rendre tout le processus plus clair et lisible et d'engager toutes les procédures d'évolution de documents simultanément (SCOT, PLU, PDU ... si besoin est).
je reconnais que loin des ambitions de départ, le paysage législatif et règlementaire de la planification urbaine n'a pas été simplifié ces dernières années.
De toute manière, ces procédures se définiront et s'engageront dès que l'on y verra beaucoup plus clair sur les projets et leurs calendriers.
Parfaitement d'accord avec tes 2 derniers paragraphes
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
La révision du PLU devrait être votée ce vendredi en Conseil Municipal avant d'être entériné en Conseil de Communauté.
Certaines OAPs me paraissent intéressantes notamment question hauteurs et concept architectural souhaité.
Article intéressant sur l'Exil forcé des jeunes espagnols
Le consulat d’Espagne de Toulouse enregistre en mai 2013, 13 500 espagnols dans les départements de Haute-Garonne, Tarn, Tarn-et-Garonne, Lot et Lot-et-Garonne dont 5 000 à Toulouse même. Depuis 2010, le nombre d’inscrits a augmenté d’environ 3 000 avec 1 100 inscriptions en 2012 et déjà plus de 500 depuis début 2013. Faut-il encore que les nouveaux venus fassent la démarche auprès du consulat. Donc, les chiffres sont incomplets. Néanmoins, la France reste le second pays d’accueil des Espagnols après l’Argentine. La population espagnole résidente à l’étranger a augmenté de 6,3% en 2012 et la France enregistre parmi les hausses les plus importantes.
Dans un entretien accordé à France Bleu, le directeur de la Casa España de Toulouse, observe également la venue de familles entières qui travaillaient dans le bâtiment et qui se retrouvent au chômage après l’explosion de la bulle spéculative immobilière. Il y a tout de même une grande hétérogénéité des situations et des expectatives. Une chose est sûre, c’est la situation professionnelle qui a motivé les départs.
Je confirme (je cotoie tous les jours dans le cadre de mon travail), une arrivée importante de populations espagnoles (notamment jeunes célibataires dans les CHU de Toulouse, infirmier(e)s, docteurs) et de familles portugaises dont le père travaille dans le BTP et dont les femmes et enfants viennent s'installer en région toulousaine. Sans compter les étudiants espagnols et les salariés de l'aéronautique et spatial de Madrid et Séville qui viennent travailler en région toulousaine.
Ce constat est édifiant depuis 2012 surtout!
Toulouse : un pôle d'attractivité exceptionnel pour les actifs qualifiés
La zone d'emploi de Toulouse se caractérise par une attractivité productive incontestable, au même titre que d'autres zones d'emploi comprenant une capitale régionale, comme Lyon ou Bordeaux. Son tissu économique est très dépendant de la filière aéronautique et spatiale, qui représente un emploi salarié sur dix et séduit un grand nombre de personnels de conception-recherche et de cadres. La zone d'emploi de Toulouse est celle qui attire, proportionnellement au nombre d'emplois, le plus d'actifs qualifiés au niveau national, loin devant Lyon (6e rang national) et Bordeaux (15e). Elle concentre d'ailleurs presque un quart de cadres et professions intellectuelles supérieures parmi ses actifs ayant un emploi en 2009.
Autre témoin d'une attractivité productive forte sur cette zone, les créations d'emplois dans la sphère non présentielle par des décideurs extérieurs sont les plus importantes de la région et se situent au même niveau qu'à Lyon et devant Bordeaux. La sphère non présentielle est en effet très développée dans la zone d'emploi de Toulouse et représente 38 % de l'emploi total (contre 32 % en moyenne dans le reste de la région). Entre fin 1998 et fin 2009, l'emploi total y progresse de 2,1 % en moyenne par an, augmentation la plus forte dans la région. Les caractéristiques du tissu productif permettent à l'emploi sur la zone de Toulouse de continuer à progresser entre fin 2007 et fin 2009 : + 0,8 % en moyenne par an, contre + 0,3 % à Bordeaux et - 0,2 % à Lyon.
L'afflux de ressources productives s'accompagne aussi d'arrivée de nouvelles populations sur le territoire : entre 1999 et 2009, la population de la zone d'emploi de Toulouse augmente de 1,7 % en moyenne chaque année, dont 1,2 % dû aux apports migratoires.
Cette croissance démographique importante est la conséquence d'une attractivité productive forte ; en revanche, la zone d'emploi de Toulouse, comme celles de Bordeaux et Lyon, est faiblement attractive sur le plan résidentiel. Peu de retraités viennent s'installer sur cette zone et l'impact du tourisme sur l'emploi salarié reste très marginal.
invité01 a écrit:
Article intéressant sur l'Exil forcé des jeunes espagnols
Le consulat d’Espagne de Toulouse enregistre en mai 2013, 13 500 espagnols dans les départements de Haute-Garonne, Tarn, Tarn-et-Garonne, Lot et Lot-et-Garonne dont 5 000 à Toulouse même. Depuis 2010, le nombre d’inscrits a augmenté d’environ 3 000 avec 1 100 inscriptions en 2012 et déjà plus de 500 depuis début 2013. Faut-il encore que les nouveaux venus fassent la démarche auprès du consulat. Donc, les chiffres sont incomplets. Néanmoins, la France reste le second pays d’accueil des Espagnols après l’Argentine. La population espagnole résidente à l’étranger a augmenté de 6,3% en 2012 et la France enregistre parmi les hausses les plus importantes.
Dans un entretien accordé à France Bleu, le directeur de la Casa España de Toulouse, observe également la venue de familles entières qui travaillaient dans le bâtiment et qui se retrouvent au chômage après l’explosion de la bulle spéculative immobilière. Il y a tout de même une grande hétérogénéité des situations et des expectatives. Une chose est sûre, c’est la situation professionnelle qui a motivé les départs.
Je confirme (je cotoie tous les jours dans le cadre de mon travail), une arrivée importante de populations espagnoles (notamment jeunes célibataires dans les CHU de Toulouse, infirmier(e)s, docteurs) et de familles portugaises dont le père travaille dans le BTP et dont les femmes et enfants viennent s'installer en région toulousaine. Sans compter les étudiants espagnols et les salariés de l'aéronautique et spatial de Madrid et Séville qui viennent travailler en région toulousaine.
Ce constat est édifiant depuis 2012 surtout!
Effectivement, j'ai été à moitié surpris par leur nombre lors du forum emploi aérospace valley en mars dernier.
Des appartements 30% moins chers à finir soi même ?
Un entrepreneur toulousain se lance dans la promotion avec un projet d’une centaine d’appartements qui pourront être livrés hors finitions, aménagements intérieurs et déco personnelle.
Didier Amouyal pense pouvoir proposer des appartements, du T2 au T5, 20 à 30 % moins chers que le prix moyen relevé dans le secteur où le programme devrait voir le jour (un quartier ancien de Toulouse bien desservi), soit autour de 2 950 €/m2, parking en sous-sol compris.
«Ces logements pourront évoluer en fonction des besoins de leurs occupants et des changements qui peuvent intervenir dans la vie», indique l’architecte, sans toutefois dévoiler les ficelles qui permettront de pousser les murs. Sur les plans, encore confidentiels, on distingue plusieurs bâtiments R + 3 construits en U autour d’un jardin. «Apporter du service à ce quartier fait aussi partie de notre philosophie», indique Alexandra Huet. «Nous avons prévu l’emplacement d’un atelier commun pour les résidents, d’une crèche, d’un cabinet médical et de plusieurs commerces». Si tout roule comme prévu, les premiers Up’Appart seront commercialisés sur plan d’ici la fin de l’année.
Aux forumeurs toulousains qui ne parcouraient pas les autres parties du forum, je poste ici le lien vers le reportage que j'ai fait sur Montpellier.
J'ai été assez frappé par la recherche permanente de modernité et d'audace architecturale par rapport à Toulouse, plutôt raisonnable et (pas encore) disposée à voir émerger des monuments emblématiques. Avec les archives départementales signées par Zaha Hadid et le nouvel Hôtel de ville par Jean Nouvel, Montpellier a investit dans des grands équipements qui participent déjà de sa renommée internationale. J'ai été surpris de me faire apostropher pas moins de 4 fois en une heure autour du bâtiment de Zaha Hadid à Pierrevives par des touristes étrangers qui cherchaient leur chemin. Il y avait pas mal de touristes autour de l'édifice, qui est pourtant dans une zone reculée et assez sensible de la ville. Cela manque encore à Toulouse, espérons quelques avancées avec Montaudran (j'y crois moins), la Cartoucherie et Malepère (j'ai bon espoir), mais aussi Euro Sud Ouest (je le souhaite vraiment).
Par ailleurs, les ZAC Jacques Cœur et Port Marianne sont vraiment des réussites. De vraies pans entiers de ville qui sortent des champs, avec de la vie, ce qu'on arrive pas toujours à faire à Toulouse (Andromède, Borderouge pour le moment, Ponts-Jumeaux). De beaux exemples qui malgré quelques imperfections (finitions pas toujours soignées, aspect ludique et brouillon qui donne l'impression d'être dans un parc d'attraction géant parfois) restent particulièrement inspirants pour Toulouse, je crois. Tout n'est pas à reprendre, mais en faisant preuve de syncrétisme un certain nombre d'éléments pourraient nous inspirer.
Saint-Pierre : les habitants se mobilisent contre le futur batiment de Science Po Toulouse
L'Institut d'Etudes Politiques (IEP) de Toulouse veut s'installer sur le quai Saint-Pierre d'ici 2015, et reconstruire l'actuel bâtiment EDF. Une nouvelle qui attise la colère des riverains, informés par la presse, qui vont voir leur vue obstruée par deux blocs dont le plus grand mesure 25 mètres.
Il est vrai qu la façade cubique style années 60, quand bien même elle sera de couleur adaptée, n'en demeure pas moins trop "stalinienne" pour les quais de Garonne entre St Pierre et Bazacle.
Photos de ce soir...
Le centre historique de Toulouse vu depuis les Carmes.
Les toits du centre ancien de Toulouse : au fond au centre, les Jacobins.
Les toits du centre ancien de Toulouse.
Place des Carmes, intersection avec la rue des Filatiers.
« L’église Saint-Sernin illumine le soir d’une fleur de corail que le soleil arrose ».
Toulouse, parking hélicoïdal des Carmes, septembre 2013. Vue vers le Nord-Ouest.
Coucher de soleil sur Toulouse : hôpital du passé au premier plan (Dôme de la Grave), hôpital du présent en arrière-plan (CHR Purpan). Tout au fond à droite, le hall d'assemblage de l'A380 à Blagnac.
Le centre historique de Toulouse vu depuis les Carmes.
Très jolies photos
Merci pour ces superbes photos Etudiant_IEP; sur ce post et sur les autres
Merci ;) Quand on est passionné de Toulouse c'est toujours un plaisir de faire partager !
Panorama sur Toulouse depuis Pech-David, un soir de septembre 2013.
Panorama sur les quais de la Garonne, un soir de septembre 2013.
Le Pont Saint-Pierre de Saint-Cyprien jusqu'à la place éponyme.
Illuminations du Pont-Neuf à Toulouse en septembre 2013.
Le quartier du Mirail le soir venu. Le dépôt Tisséo de Langlade tout en bas.
Les pistes de l'Aéroport International Toulouse-Blagnac sont à 15 kilomètres mais pourtant parfaitement visibles depuis Pech-David. A gauche le Delivery Center de Airbus du côté de Colomiers / Saint-Martin-du-Touch.
Le quartier d'Empalot-Niel le soir venu depuis le coteau de Pech-David.
Le quartier d'Empalot-Niel le soir venu depuis le coteau de Pech-David.
Le boulevard périphérique du côté de Langlade.
Les quartiers de Papus, Bagatelle, La Faourette vus depuis Pech-David.
La tour de l'usine chimique de la SNPE (Société Nationale des Poudres et Explosifs) fait office de phare le soir venu, dans le secteur de l'Oncopôle à Langlade.
Le chemin des coteaux de Pech-David avec Toulouse illuminée en toile de fond.
Le quartier de Lespinet-Saouzelong-Rangueil depuis Pech-David.
Un bilan 2011 des transports et déplacements sur l'agglomération :
http://www.aua-toulouse.org/IMG/pdf/syn … d-2013.pdf
Ptiloulou a écrit:
Un bilan 2011 des transports et déplacements sur l'agglomération :
http://www.aua-toulouse.org/IMG/pdf/syn … d-2013.pdf
Merci.
E-mail envoyé :
Bonjour,
Sur http://www.AUA-Toulouse.org/IMG/pdf/syn … -2013.pdf, page 7, le texte indique :De 2006 à 2011, les fréquentations de l'avenue de Lardenne et de la route de Paris ont augmenté respectivement de 7% et 9%.
Alors que l'infographie de la même page affiche respectivement -1,7% et +7,4%.
Les chiffres sont donc très différents, en particulier pour l'avenue de Lardenne.
Quelle est la vérité?
Merci d'avance
Cordialement
(À noter que la route de Paris étant légendée comme "ayant connu des travaux en 2006", on ne peut a priori pas conclure grand-chose de son évolution 2006/2011, quelle qu'elle soit.)
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