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en gros l'idée est de savoir le gain pour une collectivité de privilégier la construction de batiment type IGH/Cluster, de même de voir l'interet des utilisateurs dans ce genre de locaux (le cout lié à l'entretien la maitenance est plus fort dans un igh par exmple). Au dela de l'image d'un point de vue économique, l'entreprise à t-elle interet de s'installer dans un IGH de 160 M ou deux IGH de 80 m ou pluiseurs immeubles R+7?
Sachant que je me base à chaque fois sur un loyer identique
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Malheureusement moi je n'ai pas la réponse exacte à ta question et je ne vais pas te répondre si je ne suis pas sûre de mes sources. Ca dépend surtout des villes et d'un endroit à l'autre, si quelqu'un d'autres a une réponse ce serait aimable de répondre. (J'essayerai de me renseigner mais je ne pense pas pouvoir avoir une réponse.)
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Pourquoi les locaux d'archives ne sont aménagés qu'aux derniers niveaux des IGH? (reglementation G.H.W.1)
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Gratte-ciel verts, une utopie concrète
"Longtemps symboles d’une architecture mégalomaniaque qui semblait presque s’enorgueillir de sa gourmandise en ressources naturelles, les tours font leur mue. Désormais, elles ne sortent plus de terre sous la houlette d’un créateur au nom prestigieux, mais grâce à des équipes qui mettent en commun leurs savoirs pour minimiser la consommation d’énergie."
Par Philippe Bovet, in Le Monde Diplomatique, août 2008
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UN PROJET/UNE PARTICULARITE
Tour vivante : un Babel écolo ?
"A l’heure où les projets de gratte-ciels tertiaire ou d’habitation se multiplient aux quatre coins de la planète, certains ont imaginé une solution regroupant ville et campagne dans une même tour. De la ferme verticale issue de la théorie d’un scientifique américain, à la Tour Vivante née dans l’esprit d’architectes français, les concepts font des émules. Habitation, activités et production agricole à tous les étages… Visite guidée.
Professeur de sciences environnementales et de microbiologie de l’université américaine de Columbia, Dick Despommier est parti du constat que d’ici à 50 ans, nous serons quelque 9.5 milliards d’habitants sur terre, et qu’il n’y aura donc plus assez d’espace pour nourrir le monde. (...) "
C. L. (02/09/2008), in Batiactu
Voir aussi le Diaporama
© SOA architectes
© SOA architectes
© SOA architectes
© SOA architectes
Plus d'infos sur le site des architectes, l'atelier SOA.
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Quand les tours se «pipolisent» (diaporama)
Si les peoples sont partout dans les magazines et qu’ils font vendre tout et n’importe quoi, le phénomène semble aussi se propager à l’architecture. Que ce soit au Moyen-Orient, aux Etats-Unis et même en Europe, les tours prennent de plus en plus le nom de personnalités. Coup de pub ou juste hommage ? Quelques éléments de réponse avec Roueïda Ayache d’Architecture Studio.
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Merci, L'article est intéressant, Mais, il compare les tours au moyen orient aux Etats unis et en Europe alors qu'il donne juste un exemple solitaire parlant de l'Europe, c'est quand même peu.
Il faut savoir qu'au Moyen-Orient c'est une habitude qui fait partie des moeurs de nommer au noms du roi, du prince et j'en passe. Aux Etats-Unis, c'est pour une autre raison alors qu'en Europe ce petit exemple ne peut pas parler du nom d'un continent.
Et la spécialiste du Moyen Orient qui parle dans l'article, elle parle bien au nom d'une seule chose: le Marketing qu'elle utilise habilement pour vendre les projets de l'agence en Arabie Saoudite ou au moyen ou proche orient.
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Comme si les gens achetaient leur appartement parce qu’il est situé dans la tour Monica Beluccci, Nicole Kidman ou Brad Pitt. Que l'utilisation du nom, de la renommée, de l’image d’une célébrité pour promouvoir un projet immobilier suffirait à assurer sa réussite. Que les critères habituels: disposition des pièces, espace et volumes, luminosité, matériaux, cadre de vie, le fait de s’y sentir bien, de se projeter y vivre, aspect financier… passaient au second plan. Dans les années 1960-70 ils avaient donné des noms prestigieux aux cités HLM, tour Mozart, tour Bach…ce précédent fut peu reluisant et un échec en terme d’image pour les célébrités associés au projet.
Quand aux promoteurs qui ont donné leur nom à leur tour, Eiffel, Rockefeller, Trump, Azrieli, c’est pour montrer que c’est leur tour à eux et pas à quelqu’un d’autre!
Dernière modification par apc_agency (25-02-2009 01:57:05)
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La Libre Belgique, 05/08/2009 :
Architecture
Le grand retour de la tour
Guy Duplat
Mis en ligne le 05/08/2009
La tour européenne n'est pas le gratte-ciel. Elle revient fort dans le débat.
Longtemps mal-aimée, la tour revient en force. Dans de nombreuses villes du monde, on pense à nouveau "haut", en envisageant des buildings de plus de 150 m. Bruxelles n’y échappe pas avec les projets de Jaspers, l’achèvement du quartier Nord et le projet européen concocté par de Portzamparc pour la rue de la Loi.
[...]
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Le gratte-ciel le plus haut du monde ? Attention : récession !
"[...]
On appelle ça le skyscraper index. Il a été mis au point en 1999 par Andrew Lawrence, alors économiste de la banque Dresdner Kleinwort Benson, assurant que les périodes d'érection de gratte-ciel de taille record coïncident avec la fin de cycles économiques. La construction d'un « gratte-ciel le plus haut de… » est selon lui un bon moyen de prédire l'arrivée de crises économiques.
Il observe que le projet de gratte-ciel est annoncé alors que la période de prospérité touche à sa fin.
[...]
Le XXe siècle fournit quatre grands exemples. D'abord la panique de 1907 qui correspond à la construction à Manhattan du Singer Building en 1908 et du Met Life en 1909. Le Chrysler Building (fini en 1930) et l'Empire State Building (terminé en 1931) à New York ont été mis en chantier juste avant la crise de 1929.
[...]"
Guillemette Faure, 01/12/2009, in Eco89
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Réflexion sur les IGH en général, postée initialement par Krapu dans le thread "La Défense 2006-2013" :
LES TOURS
"Economie & Construction propose dans les pages suivent une dossier thématique sur les
tours avec les témoignages de nombreux professionnels : Jospeh Chafey et Georges Ventre,
économistes de la construction ; Elisabeth Pélegrin-Genel, architecte et psychologue
du travail ; Philippe Chaix, directeur général de l’EPAD ; et enfin, un quantity surveyor,
Nial Greene.
[...]
L’IGH, un défi technique et économique
Prouesse technologique, défi économique, exigence environnementale, audace architecturale ; les Immeubles
de Grande Hauteur (IGH) sont aujourd’hui une composante importante du paysage urbain et sont
souvent le symbole du dynamisme économique du monde de la construction. L’économiste de la construction
Joseph Chafey dévoile pour Économie et Construction les projets de tours sur lesquels travaille son
agence : AE75.
[...]
Des projets ambitieux
Georges Ventre, économiste de la construction, intervient sur les principaux programmes
de tours actuellement en chantier ou en projet. Dans cet entretien, il en dévoile les
caractéristiques et insiste sur le positionnement de l’économiste auprès de la maîtrise
d’oeuvre et d’ouvrage.
[...]
Pour un retour de la qualité d’usage
Elisabeth Pélegrin-Genel, architecte DPLG et psychologue du travail, s’intéresse depuis
longtemps à la qualité d’usage des bâtiments et notamment à l’impact des espaces
de bureaux sur le confort et le comportement des salariés. Forte de son expérience,
elle propose d’appréhender le thème des tours de l’intérieur, du point de vue de ceux
qui l’occupent, qui y travaillent au jour le jour.
[...]
Interview de Philippe Chaix,
directeur général de l’EPAD
La Défense est aujourd’hui le premier quartier d’affaires européen, le plus important
par la taille1, par les flux qu’il enregistre chaque jour et par l’offre de foncier disponible.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 3 500 000 m2 de bureaux avec un taux de remplissage
de 95 %, un réseau de transport performant qui, malgré certaines critiques, est utilisé
par 85 % des 150 000 collaborateurs qui viennent chaque jour à La Défense, 2 500
entreprises et 1 500 sièges sociaux dont 15 des 50 premières entreprises mondiales,
230 000 m2 de commerces…
[...]
Les immeubles de grande hauteur
du point de vue d’un Quantity Surveyor
Les immeubles de grande hauteur, dans le contexte mondial, sont susceptibles
d’atteindre des hauteurs de plus en plus élevées dans des lieux adaptés. Tout
récemment, le Burj Khalifa, ainsi que la tour Trump, ont été achevés. De nombreuses
autres tours sont à l’état de projet de par le monde.
[...]"
Dossier de 13 pages en PDF, in Economie & Construction (E&C) n°152 - Mai 2010.
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La folie des méga-tours n’a pas été stoppée
Guy Duplat
Mis en ligne le 06/09/2011
Suite de notre série sur l’impact des attentats du 11 septembre sur la culture. Architecture: les attaques sonnaient-elles la fin des tours orgueilleuses ?
[...]
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Politique du skyline. Shard et le débat sur les tours à Londres
"Alors que les métropoles se livrent à une course à la hauteur et que l’implantation des tours en France fait débat en mobilisant principalement des critères écologiques et sociaux, on voit émerger dans les « vieilles » métropoles européennes de nouvelles problématiques liées à l’impact paysager des tours. Des villes telles que Londres ont ainsi dû revoir leur politique de régulation du skyline pour tenter de répondre aux controverses.
[...]"
Manuel Appert, le 12/09/2011, in metropolitiques.eu
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Je ne sais pas trop où poster cet article. Ce thread me semble être le plus approprié...
Les tours du pouvoir
Après Manuel Appert, Jean-Marie Huriot discute les enjeux de la course à la hauteur. Selon lui, les arguments avancés en faveur de l’édification de tours toujours plus hautes sont biaisés, voire faux, et masquent la véritable motivation, connue mais inavouable : celle du symbole de la richesse, du pouvoir économique et financier, dans la logique concurrentielle d’un néo-capitalisme mondial essoufflé.
(...)
Jean-Marie Huriot, « Les tours du pouvoir », Métropolitiques, 24 octobre 2011. URL : http://www.metropolitiques.eu/Les-tours-du-pouvoir.html
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Gratte-ciel et crise : gare à la Chine et à l’Inde !
mercredi 11 janvier 2012 à 15h35
Les gratte-ciel sont souvent le symptôme d'une bulle immobilière plus large et «reflètent une mauvaise affectation du capital et l'imminence d'une correction économique», selon les experts de Barclays Capital. Leur conclusion ? Attention à la Chine et à l’Inde !
La construction de gratte-ciel a souvent précédé des crises financières, si bien que les investisseurs devraient se méfier de la Chine et de l'Inde où les chantiers se multiplient, conclut une étude publiée mercredi par la banque britannique Barclays.
[...]
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Le monde asiatique monte dans les tours
GUY DUPLAT Publié le mardi 06 août 2013 à 05h39 - Mis à jour le mardi 06 août 2013 à 07h57
ACTUALITÉ La plus haute tour d'Asie sera chinoise. Sa structure s'est achevée il y a quelques jours. Elle sera la 2e plus haute tour du monde. mais pour quelques années à peine, car la course est vive. La mixité des fonctions est devenue la règle: bureaux, hôtels, logements.
Les ouvriers, nous apprend l’AFP, ont posé ce samedi la dernière poutre de la structure principale de la "Shanghai Tower" qui devient ainsi la deuxième plus haute tour du monde. Elle est située près du World Financial center de Shanghai dont la forme fuselée lui a donné le surnom de "décapsuleur". La Shanghai Tower dépasse ainsi la "Taipei 101" qui, avec 508 m, était jusqu’ici le plus haut gratte-ciel d’Asie et le deuxième au monde. Une fois complètement terminée en 2015, la Shanghai Tower, dont la construction aura coûté 1,8 milliard d’euros, atteindra 632 m, encore loin du record mondial, les 828 m de la Burj Khalifa à Dubaï. La construction de la Shanghai Tower avait commencé en 2008, et l’an dernier de longues fissures avaient commencé à apparaître dans le sol autour du bâtiment, faisant craindre un affaissement du terrain. L’un des architectes du projet, Ding Jiemin, a toutefois assuré samedi, à l’occasion de la cérémonie de pose de la dernière poutre, que ces problèmes étaient dus à la construction elle-même, mais disparaîtraient une fois la tour achevée.
[...]
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En effet : tous les sites d'information se sont contentés de reprendre la dépêche de l'Agence France-Presse, qui mentionne la Shanghai Tower comme "le plus haut édifice d'Asie, et le second du monde derrière la Burj Khalifa", sans chercher plus loin...
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Cri.Me a écrit:
Dossier complet sur les grattes ciels européen dans l'émission Le Blogueur d'Arte.
Lien de l'émission
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Bientôt des gratte-ciel sans ombre ?
Publié par Rédaction le 18.03.15
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Grâce à un algorithme, les architectes de l’agence NBBJ ont donc imaginé deux tours jumelles dotées de structures pensées pour vriller l’une autour de l’autre. Le jeu de miroir est tel que suivant l’heure de la journée et la position du soleil, la face qui qui recevra les rayons lumineux les projettera sur l’ombre projetée par l’autre et inversement. Plus d’ombre donc ! Mais une luminosité aveuglante à la place ? Les architectes de l’agence NBBJ assurent que la lumière qui sera projetée n’encombrera ni les passants, ni les voitures.
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In the shadows of booming cities, a tension between sunlight and prosperity
By Emily Badger May 4
NEW YORK—“Billionaires' Row” is rising over midtown, a collection of glassy new pinnacles that promise the kind of condo views you can only get in Manhattan by building taller than everything else around.
With its $95 million penthouse, 432 Park Avenue tops out just shy of 1,400 feet. It will remain the tallest residential building in the Western Hemisphere until the Nordstrom Tower — high-end shopping below, lavish apartments above — goes up four blocks away. Between them are a few more audacious developments, all part of a race for ever-taller towers to distinguish luxury living in an increasingly crowded city.
These new buildings — a product of developer ingenuity, architectural advance and international wealth — are changing more than the city’s famous skyline, though. They will also transform New York far below, further darkening city streets and casting long shadows that will sweep across Central Park.
Together, these towers, and new additions in neighborhoods undergoing a building boom from San Francisco to Toronto to even low-rise D.C., have revived a long-simmering urban tension: between light and growth, between the benefits of city living and its cost in shadows.
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Metropolitiques - 16/12/2015
Le retour des tours dans les villes européennes
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Après une période d’étiage durant laquelle très peu de tours ont été construites (1980‑2000), les villes européennes connaissent un regain d’intérêt pour cette forme architecturale et urbaine. Si le retour des tours est encore modeste en France, il atteint une ampleur sans précédent dans bon nombre de pays européens, témoignant tout autant d’un changement de contexte économique et politique que de la permanence de certaines représentations.
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Une demande pour Science et Vie Junior :
je suis journaliste pour Science et vie junior (le magazine de science pour les ados), je rédige un dossier sur l'histoire des gratte-ciels et sur la construction de la Kingdom Tower promise pour 2018 comme "la plus haute tour au monde". Dans le cadre de cet article, je cherche des architectes qui puissent me raconter les difficultés de la construction verticale et comment on résout les difficultés techniques. L'article s'organise autour d'une infographie qui montre comment ce type de bâtiment est construit. Est-ce que vous pensez qu'il y a des personnes qui puissent m'aider sur ce sujet ? Si vous avez des noms à me conseiller, je suis preneur !
Ce serait vraiment très sympa si vous aviez des infos à transmettre. Merci à vous !
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Pour ce qui est des explications pour les difficulté technique, je m’adresserait certainement pas à un architecte, puisque se sont les bureaux d'études qui s'occupent des parties techniques. Après un bureau d'étude français qui s'y connait dans la construction de Gratte ciel, j'avoue que je n'en connait pas, peut être qu'il doit y avoir certains services dans de grosses boites comme Bouygue, Eiffage ou Vinci.
Sinon il devrait peut être s'adresser à École nationale des ponts et chaussées qui s'occupe de gros ouvrage.
Dernière modification par Labty51 (30-12-2015 00:21:00)
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