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Gerami a écrit:
math1907 a écrit:
ANDRE a écrit:
Montpellier devient une ville de bord de mer !
http://espace-pao.journaux-du-midi.com/ … Rescue.pdfVoilà typiquement, ce que peut apporter l'aura et certaines infrastructures (piscine olympique!) de Montpellier, à des villes telles que La Grande Motte.
Montpellier, seule n'aurait pas pu obtenir cette organisation, de même que La Grande Motte!!!!
Montpellier à clairement autant besoin du littoral comme les stations balnéaires ont besoin de Montpellier pour pouvoir le valoriser!!!!!Exactement, il y a un besoin mutuel entre Montpellier et les stations du littoral pour attirer, avoir une meilleure visibilité et développer des évenements d'envergure.
Cela serai beaucoup plus facile au sein de la même agglomération/métrôpole mais bon, un jour peut être...
D'ailleurs, en matière de "grand événement", je pense qu'il serai interessant dans le cadre du développement du FISE (qui est devenu un événement majeur) que certaines disciplines aquatiques nouvelles ou actuelles puissent se dérouler sur le littoral (à la grande motte par exemple) et ainsi continuer à le developper.
Quand je pense que le triathlon de Montpellier, il y a quelques années, n'a pas su se décentraliser à Palavas ou La Grande Motte et a fait nager les triathlètes dans le Lez !
Le FISE est né à Palavas.
Pour le Kite surf, il y a des coins sur le littoral plus appropriés (Le mondial du vent à Leucate)
"Pérols : l'offensive contre la cabanisation s'accélère"
La Ville de Pérols veut exercer son droit de préemption renforcée sur les cabanes du territoire, suite aux inondations des 29-30 septembre. Le nouveau Plan Local d’urbanisme, qui sera voté le 6 novembre en conseil municipal, prévoit un durcissement des règles d’urbanisation sur ces zones inondables, confrontées à une forte densification...
Pour l'ensemble du secteur des cabanes de Pérols, la nouvelle municipalité veut exercer son droit de préemption renforcé afin d'éviter toute spéculation immobilière sur les zones à risques. « Plus aucun permis de construire ne sera accordé sur ces zones », prévient le maire, qui pointe du doigt les aberrations urbanistiques sorties de terre sous l'ancien PLU : comme par exemple la Résidence Port Lagune, un complexe de 11 maisons groupées construit en 2012 en première ligne face à l'étang de L'Or.
« L'ancien PLU et la loi ALUR permettaient à n'importe qui de faire n'importe quoi sur la commune. Il faut endiguer les phénomènes de mitage urbain », martèle le maire, qui dit avoir la loi de son côté : « Suite aux inondations, les prochaines prescriptions du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) vont s'imposer au PLU de façon imminente. On va dans le sens d'un durcissement des textes renforcé sur les secteurs en zone rouge. »...
Idelette Fritsch
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Carnon : donner un futur à la plage
A quelques KM du centre de Montpellier
Cette nuit-là, ce fragile espace, dépositaire d'un patrimoine naturel riche, rare, partagé entre système dunaire, boisements et prairies halophiles, subissait de plein fouet la puissance de la houle. Les casiers et les ganivelles étaient arrachés laissant échapper le sable qu'ils retenaient. Certains platelages et les rampes d'accès au rivage étaient disloqués, le bord de mer jonché de débris et de végétaux rejetés par la Méditerranée.
Les édiles de la baie comptent sur les fonds européens Feder et l'inscription d'un programme à fixer dans le contrat de plan État-Région 2015-2020 ; Damien Alary se serait, jeudi, montré "sensible" au problème. "On verra quand l'État et la Région auront négocié toutes les enveloppes", envisage David Bank.
Les paillotes du littoral est-héraultais pèsent 19 M€
Selon l'étude, réalisée sur une bande littorale allant de La Grande Motte (34) à Villeneuve-lès-Maguelone (34), les 26 paillottes concernées réalisent un chiffre d'affaires global de 19 M€, réparti entre la restauration (11,4 M€), le bar (5,5 M€) et la location de matelas (2,4 M€). La moyenne s'établit à 750 000 € par établissent.
Ce chiffrage situe les paillotes héraultaises à un niveau assez comparable aux plages privées de PACA, où Cannes (06), Antibes (06) et Cagnes-sur-Mer (06) réalisent respectivement 1 M€, 788 000 € et 533 000 € de CA par établissement.
L'État met la pression
"Les retombées pour La Grande Motte en terme de redevances s'élèvent à 674 000 €, soit six points de fiscalité locale, renchérit Stéphan Rossignol, maire UMP de la ville
La plage des Aresquiers est le théâtre d'un chantier titanesque
Quelques nouveautés sur les plages montpellieraines
:
A Palavas :
Le Saint Exupéry
(Terre d'habitat , 20 logements)
immobilier neuf Palavas
Terrasses en Mer
(Catella residential , 120 logements)
Terrasses en Mer
A Carnon Ouest:
La Marina
(Les nouveaux constructeurs, 40 logements)
La Marina
La Dune (foncia) - T2 2015 - Palavas
trouver un logement neuf
L'Odyssée grecque (K&B) - T1 2016 - Palavas
trouver un logement neuf
Le flamingo (cdi) - Palavas
CDI NEUF
Le Palmaiso (K&B) - T1 2017 - Carnon plage
trouver un logement neuf
Sympa toutes ces constructions à venir, Montpellier n'est pas encore morte !
Seules celles du littoral me peinent : quand je pense que l'urbanisme de Palavas ne se règle pas au niveau métropolitain...
Que c'est le lieu le plus stratégique pour la métropole, que tout doit être repensé dans un aménagement global et qu'on construit un peu n'importe comment sur cette bande de terre...
A croire que l'investisseur public pense que le littoral sera bientôt submergé...
Bref aujourd'hui on a un front de mer digne des banlieues de Beyrouth alors qu'il y aurait tant à faire pour l'image de la ville...et son dynamisme économique...
Littoral : le parking du Petit-Travers sera payant cet été
Les estivants devront débourser 3€ pour stationner sur le parking du Petit-Travers. Une décision prise par la municipalité de Carnon qui a présenté son dispositif estival.
L'exercice s'apparente à la marche sur un fil. Une quête de "compromis, dans un environnement naturel et humain fragile", pour accueillir 35 000 personnes quand la population sédentaire n'atteint pas 4 000 individus, le reste de l'année. Un modus vivendi à inventer pour gérer l'espace public, concilier "besoin d'animation et souci de modération à l'égard des résidants à l'année, explique Yvon Bourrel. Sans que des mesures trop protectrices découragent les touristes de venir." Le maire de Mauguio a présenté, mardi, le...
L'exercice s'apparente à la marche sur un fil. Une quête de "compromis, dans un environnement naturel et humain fragile", pour accueillir 35 000 personnes quand la population sédentaire n'atteint pas 4 000 individus, le reste de l'année. Un modus vivendi à inventer pour gérer l'espace public, concilier "besoin d'animation et souci de modération à l'égard des résidants à l'année, explique Yvon Bourrel. Sans que des mesures trop protectrices découragent les touristes de venir."
Le maire de Mauguio a présenté, mardi, le dispositif estival qui va accompagner l'arrivée des touristes à Carnon. En mettant l'accent sur "la sécurité", en engageant "plus de moyens", notamment financiers, en mettant l'usager à contribution, la Ville se montrant aussi plus coercitive. Au total, plus de 458 800 € de facture.
Le Palm Ray est parti, la paillote Lire à la mer s'en va à Carnon-ouest, face au recul d'un lido dont l'entretien coûtera 200 000 € à la Ville, chaque année. La décision va faire polémique : pour affronter la dépense, le parking du Petit- Travers devient payant, 3 € l'entrée. "Il n'est pas possible de faire supporter la totalité des coûts d'entretien au contribuable melgorien, sans que l'usager ne prenne sa quote-part." Recette envisagée des 500 places : 100 000 €.
Ce vendredi 15 mai, la police municipale, à Carnon, accueille neuf agents de surveillance de la voie publique (ASVP). La PM est renforcée par une patrouille de trois agents issue du poste melgorien, en attendant la venue de gendarmes (dix-huit seront logés sur la commune) en haute saison.
Un sixième poste de secours s'installe au Grand-Travers et sera armé par cinq sauveteurs, sur les trente et un employés à Carnon, pour veiller à la sécurité des baigneurs. "Il s'agit de répondre à l'accroissement de la fréquentation sur la zone, que dessert un bus toutes les douze minutes."
Le quartier des villas est victime d'un stationnement anarchique. "Les gens en viennent parfois aux mains", observe Laurence Gély, adjointe au maire déléguée à Carnon. Le secteur sera interdit entre 10 h et 18 h à tout véhicule ne détenant pas un badge, remis en trois exemplaires aux résidants. "On sera déjà à la limite de la saturation", note François Borel, directeur technique de la Ville. Les contrevenants seront verbalisés, il y "aura davantage de sévérité dans les contrôles", promet Yvon Bourrel. Chose certaine, la station étant saturée, les autos ne trouveront pas refuge ailleurs. "On veut encourager les transports en commun", insiste Laurence Gély.
Déménagement d'un des manèges, suppression d'un autre, réputé bruyant. Le lunaparc n'est pas remis en cause, mais il baissera le rideau à 23 h 30, chaque soir. Le même horaire vaudra pour les animations dans les bars du port, les karaokés devant cesser à 22 h 30. "Pour ne pas revivre la cacophonie de l'été dernier, ajoute Laurence Gély, les animations seront limitées à une par bar par semaine", plus celles de la mairie.
Les possibilités restent le bus 132, pour le Grand- Travers (gratuit pour le voyageur arrivé par le tram, sur présentation d'un ticket validé), ou le 131, en direction des Roquilles : payant en plus du tramway.
Un seul mot:Dégouté
Et dire que ces mêmes politiques avaient promis de ne pas rendre le stationnement payant!
De plus cette pratique est illégale (commission européenne): le prix du stationnement ne peut être forfaitaire et doit être proportionnel au temps passé.
Bref, une bonne raison pour voir les touristes continuer leur chemin vers l'Espagne.
Pas grave on y mettra plus les pieds
C'était évident qu'ils allaient faire payer. Première année gratuite pour faire croire que c'est pour des raisons écologiques, l'année suivante 3 euros, l'année prochaine 5 euros. Tout ca pour faire du fric. Le seul loisir gratuit de la région devient payant. C'est honteux.
"Villeneuve-lès-Maguelone : l’élite du foil donne des ailes au Festikite"
Élégant, rapide, le foil semble flotter au-dessus de la mer turquoise à des vitesses vertigineuses, tracté par des voiles multicolores. Le kitesurf, on connaît bien ! Inventé par chez nous dans les années 80. La discipline aux 13.000 licenciés (quatre fois plus pratiquent) évolue avec les nouvelles technologies et nouveaux matériaux. Dérivé du kitesurf, le kitefoil véritable Formule 1 de la pratique est à découvrir jusqu'au 25 mai. Une centaine de compétiteurs de toutes nations s'affrontera autour de plusieurs épreuves : régate, course de vitesse, acrobaties libres ou concours de hauteurs, lors du championnat de France de speed crossing et du Kite foil silver cup tour...
Le Top ten des champions mondiaux et Top 30 des meilleurs Français seront là avec les riders locaux, espoirs de la Fédération française de vol libre et l'association villeneuvoise Kite and winsurf Maguelone qui organise la manifestation depuis 4 ans sur la plage de Villeneuve...
Des stars de la discipline seront présentes comme Alexandre Caizergues, champion du monde et recordman de vitesse sur 500m ; Julien Kerneur, champion du monde de kite cross et slalom ; Maxime Noche, champion du monde de race ; Sébastien Garat, 2 fois champion du monde et 4 fois champion de France en freestyle ; Nicolas Parlier, champion de France de foil, ou Sophie Caillet championne France Ika kitefoil gold...
Deux sites seront proposés au public. L'un sur la plage, face au parking dédié aux compétiteurs, entouré du village d'exposants de matériel et un podium animation au rythme de la sono. L'autre accessible par la navette du petit train se situe au pied de la cathédrale. Là, des activités plus ludiques...
"Plages du littoral montpelliérain : note salée au parking"
Le stationnement au Petit-Travers devient payant le 1er juillet. Cette décision relance le débat du libre accès aux quarante kilomètres de plage du littoral montpelliérain.
Les langues de sable du littoral montpelliérain seront-elles éternellement offertes au plaisir des citadins ? Rien n'est moins sûr. Tant la fréquentation, en constante augmentation, incite les collectivités à la valoriser en recettes municipales. Pour assurer, expliquent les élus, l'entretien des plages, une charge de plus en plus lourde pour les mairies. Afin de financer, aussi, la protection du fragile cordon littoral et dunaire.
Les communes sont divisées sur la recette entre bénéfice et usage. Celles plaidant pour une Mare nostrum accessible à tous assumant la charge financière d'un patrimoine commun par leurs seuls contribuables. Et celles ayant déjà basculé dans la logique de la tarification de l'accès à la nature...
Tout gratuit : "Pour l'instant". Palavas-les-Flots et Frontignan-La-Peyrade sont les deux dernières communes du littoral proche de Montpellier à laisser l'accès gratuit à toutes leurs plages. "Pour l'instant", concèdent, chacun à sa manière, les deux maires. Pour Christian Jeanjean, à Palavas, il ne faut "jamais dire jamais. La mer est l'un des derniers espaces de liberté. La gratuité en favorise l'accès à tous. Et puis, la Méditerranée, c'est la Mare Nostrum, notre mer à tous. Tant que les finances communales le permettent, nous maintiendrons cette politique. Mais si l'État continue de se désengager du fonctionnement municipal, le financement de l'entretien pourrait devenir problématique." Car, pour les six kilomètres de plage de la station - nettoyage, sécurité, maintenance des services… - le budget annuel dépasse les 600 000 €. Les autres principales raisons de rendre les parkings payants seraient l'indiscipline des visiteurs - stationnement anarchique - et leur "invasion"...
Tout payant : pour l'entretien. Villeneuve-lès-Maguelone est la seule commune où le stationnement payant est obligatoire pour accéder à la plage. Elle a été la pionnière, au début des années 90. Elle est aussi la seule à ne pas avoir de littoral urbanisé et donc moins de rentrées fiscales. Les deux parkings génèrent 300 000 € de recettes chaque année, couvrant 60 % des frais d'entretien et de protection du cordon littoral (le reste de ce budget est abondé par les redevances de deux plages privées, dont celle du Carré Blanc, la plus chère de toute la côte, et la fiscalité locale)...
Mix payant-gratuit : le doigt dans l'engrenage. La Grande-Motte a instauré des parkings payants depuis une dizaine d'années. La Ville assure que les recettes sont utilisées pour des investissements de sécurité routière et des travaux d'amélioration de la voirie. Mauguio Carnon instaure, cette année, le parking payant au Petit-Travers. Une conséquence de l'aménagement du lido entre Petit et Grand-Travers. "200 000 € supplémentaires sur notre budget. Les seuls Melgoriens ne peuvent pas le prendre à leur charge, le maire a tranché, les usagers supporteront le coût"...
"Palavas, balnéaire et modeste"
L e village, deux fois centenaire, rendra une fois encore hommage à son histoire, démarrée là, tout près de son église, à ses pêcheurs qui l'ont faite grandir, à cette mer qui a fait d'elle une station familiale, au succès jamais démenti. Coup d'envoi de sa saison, dimanche 5....
la redoute sécurise la côte et les pêcheurs se sédentarisent à partir de 1811 en levant des cabanes modestes à proximité de ses murs. Il en a résulté un plan alambiqué, des ruelles étroites, qui dessinent toujours le centre ancien sur la rive gauche, à l'est de la très commerçante rue Saint-Roch.
En 1850, la flottille de pêcheurs recense vingt-neuf embarcations qui traquent le homard, le thon, le pageau, l'anchois, la sardine, etc. Elle ne cessera de grandir, jusqu'à la seconde moitié du XXe siècle, alors même que les touristes sont là depuis longtemps. En effet, les Montpelliérains ont tôt fait du grau de Palavas, devenu canal et bientôt bordé de maisons en maçonnerie, l'endroit où l'on vient à la pêche. En 1873, la Société anonyme des bains de mer de Palavas est portée sur les fonts baptismaux, qui va donner naissance au casino. Et les familles des notables du Clapas ont leur chalet en lisière de plage...
À la fin du XIXe, la dualité port de pêche et station balnéaire est acquise, dont Palavas ne s'est jamais départie, qu'elle ne cesse de défendre. Même devenue Palavas-les-Flots en 1930. Même modernisée et bétonnée. Sur les quais, la vente des poissons et coquillages du matin entretient le lien entre les deux univers, les filets sont ravaudés sous les arènes où la population estivale s'amuse ...
"60 millions d’euros pour reconquérir l’étang de l’Or"
P orté par le Symbo, le contrat de bassin versant a pour objectif la lutte contre les pollutions diffuses, la pérennisation de la ressource et la gestion des cours d'eau et de la lagune.
Lagune d'exception, l'étang de l'Or et ses 2 960 hectares a été sévèrement dégradé ces dernières décennies. Aujourd'hui, ce joyau de la petite Camargue héraultaise souffre notamment d'eutrophisation avec la présence excessive de nitrate et de phosphate dans ses 32,6 millions de mètres cubes d'eau. Il n'est pas abandonné à son triste sort. Surtout pas. Du belvédère naturel du pic Saint-Loup et de l'Hortus aux rives de la...
Le lido des Petit et Grand-Travers inauguré
Jeudi 17 septembre, les présidents de Région, Département, Agglo, maires, préfet et Conservatoire du littoral étaient unis pour couper le ruban.
Ils étaient tous là, tournant le dos à la grande bleue, inondés de soleil, dominant sur l'estrade la vue imprenable sur le chantier enfin terminé de l'aménagement du lido des Petit et Grand-Travers. Trois ans de chantier mais dix ans de dossier arrivent à leur terme. Stéphan Rossignol s'étonnant même "pour une fois, les travaux se sont passés plus vite que prévu !"
Cette dernière tranche était "une nécessité, souligne Yvan Bourrel. L'expertise environnementale montrait que la RD 89 qui longeait le littoral était le point dur qui déstabilisait le pied des dunes. Il était nécessaire d'agir, c'est fait et sans toucher au nombre de plages privées."
Coût : 5 M€ pour les aménagements
Kléber Mesquida de se féliciter "de la convergence des moyens rendue à la nature, action territoriale forte." Stéphan Rossignol, concerné à double titre en tant que maire de La Grande-Motte et président de l'Agglo du Pays de l'or a rendu hommage au "défi du recul de l'urbanisation qui stimule l'économie locale, pour les 250 000 touristes et saisonniers ainsi que les habitants".
Tandis que le préfet de région, Pierre de Bousquet, ravi d'entendre ses voisins de tribune s'enorgueillir de l'intérêt général et de l'esprit de responsabilité relevé par Damien Alary sur ce dossier. Ce dernier rappelant que "Georges Frêche, en 1977, avait arraché aux promoteurs immobiliers le site"...
Palavas-les-Flots
...Alors que le risque de submersion marine a condamné le yacht-club-capitainerie, "enterré", a confirmé Christian Jeanjean, par les services de l'État (935 000 €), la commune va continuer à développer la vidéosurveillance, mobilisera 1,15 M€ sur la voirie, 335 000 € pour la médiathèque, projette un quatrième cimetière et un skatepark, lancera une étude urbaine sur les rives du Lez et les quais, notamment...
"Sports nautiques légers : la CCI de Montpellier veut booster la croissance des plages privées"
Tout est parti d'une idée : dupliquer la réussite régionale du kitesurf né en Languedoc-Roussillon (15 000 pratiquants sur notre littoral concentrant 50% des kiters français), pour l'étendre aux autres activités nautiques légères. La plage étant un espace commun entre vacanciers, adeptes des sports de glisse et concessionnaires de plages privées, pourquoi ne pas partager une clientèle commune en créant une offre couplée ?
Dans ce contexte, la CCI de Montpellier présentait, mercredi 17 février à l'occasion du Salon des plages de la Grande Motte, les résultats inédits de son étude sur les sports nautiques légers sur la grande baie d'Aigues-Mortes (Aigues-Mortes/Sète). Réalisée en juin dans le cadre de l'Observatoire du Nautisme mis en place par l'établissement consulaire, ce premier champ d'étude appliqué aux sports de glisse (kitesurf, planche à voile, wake-board, etc.) met en évidence le poids économique d'une filière qui avec 10 M€ de chiffre d'affaires, enregistre une progression globale de 24% sur les trois dernières années...
L'ambition à présent est d'intégrer les sports nautiques légers dans un structure existante, à savoir les plages privées. Le développement de la filière nautisme profiterait dans l'Hérault à 26 concessions de plages (une centaine sur l'ensemble du littoral régional), générant un chiffre d'affaires de 19 M€...
"Aménagement du Triangle de l’Avranche (Carnon) : un projet touristique à valider par la Région"
Le projet d’aménagement du Triangle de l’Avranche en halte fluviale (pénichette, bateaux hôtels) (...)
"Palavas : les travaux du futur hôtel de luxe Costes sont suspendus"
La non-attribution de la concession de plage par la mairie de Mauguio est à l'origine de cette surprenante décision qui suspend la construction d'un hôtel et d'un centre de balnéothérapie haut de gamme à Palavas.
Le projet de construction d'un hôtel et d'un centre de balnéothérapie haut de gamme, lancé il y a quelques années par les frères Costes sur le littoral, à la lisière de Palavas et de Carnon, verra-t-il le jour ? Du moins dans sa forme originelle ? Alors que le complexe chic devait ouvrir à l'automne prochain, voilà que ses promoteurs viennent d'en suspendre la réalisation. À l'origine de cette décision inattendue, le choix de la municipalité de Mauguio de ne pas attribuer à la famille Costes la concession...
Midi Libre 03/03/2016
Le gros oeuvre est terminé... ça sent la bisbille financière entre Palavas et Mauguio pour récupérer les taxes diverses... pourtant ces deux communes sont dans la même interco ! En tout cas ça risque d'être chic cet été une carcasse de béton vide avec sa piscine en ciment brut au bord de la plage !
stoker a écrit:
"Palavas : les travaux du futur hôtel de luxe Costes sont suspendus"
La non-attribution de la concession de plage par la mairie de Mauguio est à l'origine de cette surprenante décision qui suspend la construction d'un hôtel et d'un centre de balnéothérapie haut de gamme à Palavas.
Le projet de construction d'un hôtel et d'un centre de balnéothérapie haut de gamme, lancé il y a quelques années par les frères Costes sur le littoral, à la lisière de Palavas et de Carnon, verra-t-il le jour ? Du moins dans sa forme originelle ? Alors que le complexe chic devait ouvrir à l'automne prochain, voilà que ses promoteurs viennent d'en suspendre la réalisation. À l'origine de cette décision inattendue, le choix de la municipalité de Mauguio de ne pas attribuer à la famille Costes la concession...Midi Libre 03/03/2016
Le gros oeuvre est terminé... ça sent la bisbille financière entre Palavas et Mauguio pour récupérer les taxes diverses... pourtant ces deux communes sont dans la même interco ! En tout cas ça risque d'être chic cet été une carcasse de béton vide avec sa piscine en ciment brut au bord de la plage !
Je ne crois absolument pas à des bisbilles entre communes au sujet des taxes. La vérité à mon avis est plus simple : l'attribution de concessions de plage est extrêmement régulée et c'est celui qui propose le plus en respectant certains critères qui rafle la mise. Il est probable que quelqu'un d'autre ait fait une proposition plus rentable. C'est le jeu et les frères Costes ont perdu. C'est le problème en France, tout ce qui touche aux collectivités est tellement régulé et complexe que l'on n'en arrive à des incohérences totales... tu ouvres un établissement touristique et on te colle un concurrent devant. Le problème c'est que si le maire de Mauguio intervient maintenant ça s'appelle du favoritisme... Les frères Coste ne sont vraiment pas malins d'en faire une affaire publique. Là maintenant il sont certains que les politiques ne pourront plus rien faire pour eux !
Oui, il y a aussi cette éventualité, chantage à la commune ou prétexte à se désengager du projet pour revendre les murs à un promoteur...
stoker a écrit:
Oui, il y a aussi cette éventualité, chantage à la commune ou prétexte à se désengager du projet pour revendre les murs à un promoteur...
Chantage est un peu fort... Mais il y a des règles d'attribution des concessions qui sont les mêmes pour tous... Après, on ne peut pas non plus reprocher aux politiques de respecter les règles. Je crois d'aileurs que ce sont des commissions indépendantes qui attribuent les concessions, pas directement la mairie.
"Palavas : le PLU attendu pour fin 2017"
Environ 600 nouveaux logements dans les 30 prochaines années : voilà l (...)
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