Charleroi - Rive Gauche

RTBF :

Des démolitions en vue pour Rive Gauche à Charleroi

REGIONS | jeudi 13 juin 2013 à 11h23

La pose de la première pierre du projet de centre commercial « Rive Gauche » n’est pas prévue pour tout de suite à Charleroi. Mais, en attendant, les bâtiments qui ont été vidés de leurs occupants sont à l’abandon. Ils sont la cible des vandales et des squatteurs. La Ville a donc demandé aux promoteurs de démolir les bâtiments dont ils sont propriétaires.

Des permis de démolition viennent donc d'être introduits. A l'abandon depuis des années, la plupart des bâtiments situés dans le périmètre du futur projet Rive Gauche deviennent en effet insalubres. C’est la faute au temps qui passe, au manque d'entretien, au vandalisme ou encore aux squatters qui occupent les lieux. La situation est telle que les promoteurs de Rive Gauche n'arrivent plus à en assurer la sécurité.

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RTBF :

Rive Gauche à Charleroi : les travaux de désamiantage vont pouvoir reprendre

REGIONS | jeudi 22 août 2013 à 12h45

Avec la rentrée qui approche, les Carolos vont évidemment se re-pencher sur les quelques grands dossiers importants pour la Ville. Parmi eux (et peut-être le premier d'entre eux...), l'attente des travaux pour le futur grand centre commercial de la ville-basse, le fameux projet Rive Gauche. De nouveaux permis ont été introduits, qui nécessiteront de nouveaux délais, mais la préparation du chantier va malgré tout se poursuivre.

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La Libre Belgique :

Rive Gauche : deux demandes de permis à l’étude

D. A.   Publié le  jeudi 05 décembre 2013 à 05h39  - Mis à jour le  jeudi 05 décembre 2013 à 07h52   

Hainaut L’une d’environnement, l’autre d’urbanisme.

Un boulevard Tirou remis à double sens jusqu’à l’ouverture du chantier Rive Gauche : ce sera une réalité dès ce vendredi soir à Charleroi ville basse, et pour une durée estimée à un an.

Du moins, si le début des travaux n’est pas de nouveau différé à la suite d’un revers en justice. A ce stade, deux demandes de permis sont à l’étude, l’une d’environnement auprès du fonctionnaire technique de la Région wallonne, l’autre d’urbanisme chez le fonctionnaire délégué, Raphaël Stokis.

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RTBF :

La démolition des anciens bâtiments de la RTBF Charleroi a commencé

REGIONS | jeudi 26 juin 2014 à 12h24

Le chantier en vue de l’édification future du nouveau complexe commercial "Rive Gauche" se poursuit à Charleroi Ville Basse. Après la Place Buisset, la rue Léopold et la Place Albert 1er, c’est cette fois le bâtiment que la RTBF a occupé au Passage de la Bourse qui est maintenant livré aux engins de démolition.

L'immeuble a été occupé par le personnel de la télévision et de la radio de 1974 à 2011. De nombreuses émissions de télé y ont été réalisées comme " Double 7 ", " Au nom de la loi ", " Zygomaticorama " ou " Forts en tête ". En radio, on retiendra l’épopée de " Canal 13 " dans les années 1980 puis, plus récemment à partir de 2004, de l’implantation d’un studio carolo de " VivaCité ".

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Bonne nouvelle...

Ben oui, mais ils n'avaient qu'à y penser avant. Je maintiens que les collonnades devaient faire partie du projet et que l'attitude de la ville envers ce patrimoine est une faute... Jugement cohérent.

La Libre Belgique :

Rive gauche est enfin à quai

Frédérique Masquelier, Envoyée spéciale à Cannes   Publié le  jeudi 20 novembre 2014 à 20h29  - Mis à jour le  vendredi 21 novembre 2014 à 07h41   

Actualité 

Le hasard du calendrier fait parfois bien les choses. Présents au Mapic, le marché international des professionnels de l’immobilier commercial (19-21/11), qui fête cette année son 20e anniversaire en ses quartiers cannois, les responsables du projet carolorégien Rive gauche se sont réjouis, jeudi, du dénouement heureux de la saga judiciaire dans laquelle s’était trouvé embarqué leur centre commercial. "Nous étions en attente d’un jugement du tribunal civil de Charleroi concernant l’expropriation de sept immeubles, dont cinq inscrits dans les colonnades bordant le boulevard Tirou", explique Raphaël Pollet, directeur du projet au sein d’Iret Development (Eric de Vocht, ex-Robelco). Leurs irréductibles propriétaires refusaient tout accord de rachat à l’amiable, bloquant, ce faisant, l’avancement du colossal chantier.

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RTBF :

Charleroi : un pas de plus voire définitif vers la démolition des colonnades

REGIONS | mercredi 3 décembre 2014 à 13h42

Le tribunal civil de Charleroi a rendu mercredi son jugement dans le dernier des trois volets en appel des expropriations rendues nécessaires par le projet immobilier "Rive gauche" dans le quartier de la Ville-Basse. La ville de Charleroi se voit autorisée à procéder à ces ultimes expropriations.

Les deux précédents volets de ce dossier avaient évoqué l'urgence de ces expropriations, notamment en raison de l'état de déliquescence commerciale et immobilière où se trouve ce quartier de Charleroi, et la nécessité d'un projet d'ensemble, avec notamment pour conséquence la disparition des "Colonnades" qui bordent la place Albert Ier et le boulevard Tirou.

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RTBF :

Charleroi perd ses Colonnades : les grues sont entrées en action

REGIONS | mardi 10 février 2015 à 8h07

C'est le dernier symbole dans la démolition du centre de Charleroi. Les Colonnades du boulevard Tirou vont disparaitre à partir de ce mardi. Un chantier qui devrait durer un mois, et c'est surtout la fin d'une longue saga judiciaire.

La disparition des Colonnades a été évoquée très tôt dans le projet Rive gauche, mais elle est véritablement venue au-devant de l'actualité voici deux ans. Les pour et les contre se battant à coups d'arguments et de pétitions.

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Et bien maintenant, vivement que la construction de Rive Gauche commence !

La Libre Belgique :

Charleroi : spéculation autour du permis de Rive gauche

Didier Albin   Publié le  mercredi 11 mars 2015 à 22h39  - Mis à jour le  jeudi 12 mars 2015 à 09h35   

Hainaut  Les noms d’enseignes mentionnés dans le permis sont purement indicatifs.

Quelles seront les locomotives du futur centre commercial Rive gauche à Charleroi ville basse ? Si les noms de Primark et de Zara Home circulent, l’affichage sur le chantier du permis socio-économique récemment délivré par la ville ne manque pas d’alimenter la rumeur.

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RTBF :

Charleroi: Rive Gauche n'est pas (encore) à vendre

REGIONS | vendredi 27 mars 2015 à 12h14

A la Ville-Basse de Charleroi, le futur centre commercial Rive Gauche est loin d'être sorti de terre. La phase de démolition des anciens batiments du quartier est toujours en cours. L'ouverture n'est pas attendue, au mieux, avant fin 2016. Pourtant, Rive Gauche suscite déjà pas mal de convoitise.

Un intérêt très marqué qui a d'ailleurs pu se mesurer il y a une quinzaine de jours au dernier MIPIM, le marché international des professionnels de l'immobilier, à Cannes. Rive Gauche intéresse les plus grands groupes. Et ce n'est pas une surprise. Le potentiel du centre commercial carolo est important. Avec 35 000 m² de surfaces commerciales, il va rapporter gros à son futur propriétaire.

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Le Soir :

Charleroi : léger contretemps pour Rive Gauche

M.C.
Mis en ligne il y a 21 minutes
 
Les terres évacuées étaient conduites sur un site pollué d’Anderlues en dehors de toute autorisation. La société Wanty chargée du terrassement dit avoir été trompée par le propriétaire.
 
Le propriétaire des anciennes cokeries d’Anderlues nous a présenté une autorisation. C’est sur la base de celle-ci que nous avons envoyé les terres issues du terrassement de la place Albert Ier vers son site. Ce n’étaient pas des terres polluées. Il s’agissait essentiellement de matériaux pierreux. » Le porte-parole de la société Wanty n’a pas chômé hier après-midi. A charge pour lui de tenter d’éteindre l’incendie après la mise sous scellés par la justice carolo d’une partie du chantier Rive Gauche à Charleroi, où œuvrait son employeur en tant que sous-traitant.

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RTBF :

La chute libre des commerces carolos sera-t-elle compensée par Rive Gauche?

Charlotte Legrand, Daniel Barbieux
Publié à 12h52

Comme chaque année, l'AMCV, l'Association du Management de Centre-Ville, tire un bilan qui, cette fois, n’est pas très bon pour la région wallonne.

Le nombre de commerce y est en effet passé sous la barre des 10 000. Et, à l’image de cette situation globale, celle de la ville de Charleroi n’est pas meilleure.

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