PSS

Réforme territoriale : Montpellier, Métropole/Grande Région

Sujet fermé
#51
27-10-2015 10:37
Cyr34
The Link
Lieu: Montpellier
Date d'inscription: 02-07-2007
Hors ligne

"Protonthérapie : Montpellier dénonce l'amateurisme toulousain"  A2

"Le projet de protonthérapie devrait rester entre les mains des spécialistes", proclame David Azria. Ce cancérologue reconnu internationalement est le porteur du projet montpelliérain pour l'implantation d'un centre de protonthérapie doté de 40 à 50 millions d'euros. Il dénonce "la lettre au Père Noël" envoyé par le Ceser Midi-Pyrénées la semaine dernière à Manuel Valls pour soutenir le projet toulousain et propose "des arrangements homogènes" entre les deux métropoles pour porter la nouvelle grande région de la santé.

Source : La Tribune (Réservé aux abonnés)


https://www.citysmiley.com/smiley/bonjour/coucoucache.gif Urbanisme, Transport, Territoire, … Forum : https://mission.visimontpellier.com  « Bientôt en ligne »

#52
27-10-2015 11:28
Cyr34
The Link
Lieu: Montpellier
Date d'inscription: 02-07-2007
Hors ligne

Cyr34 a écrit:

"Protonthérapie : Montpellier dénonce l'amateurisme toulousain"  A2

"Le projet de protonthérapie devrait rester entre les mains des spécialistes", proclame David Azria. Ce cancérologue reconnu internationalement est le porteur du projet montpelliérain pour l'implantation d'un centre de protonthérapie doté de 40 à 50 millions d'euros. Il dénonce "la lettre au Père Noël" envoyé par le Ceser Midi-Pyrénées la semaine dernière à Manuel Valls pour soutenir le projet toulousain et propose "des arrangements homogènes" entre les deux métropoles pour porter la nouvelle grande région de la santé.

Source : La Tribune (Réservé aux abonnés)

"Montpellier : opération protonthérapie pour l’Institut du cancer"

L'ICM veut s'équiper de cette technique radiothérapeutique qui détruit les cellules cancéreuses et épargne les tissus sains. Un projet à 51 M€.

L'opération protonthérapie déclenchée à l'Institut du cancer régional de Montpellier (ICM) est entrée dans une phase active, le 24 juin dernier. Ce jour-là, à l'unanimité, le conseil de l'administration de l'établissement a donné son feu vert pour que l'ICM candidate auprès de l'Agence régionale de santé (ARS) afin d'autoriser l'installation d'un équipement de protonthérapie à Val d'Aurelle. Un projet majeur, qu'on le considère sous l'angle médical, technologique ou financier. Car la protonthérapie incarne une évolution de la radiothérapie classique, autorisant un ciblage plus précis des tumeurs, permettant de mieux traiter certains cancers jusqu'alors non accessibles mais aussi, et surtout, de préserver les tissus sains. Dit autrement : la protonthérapie détruit les cellules cancéreuses, et seulement elles.

Pour l'instant, deux centres seulement en France (Orsay / Nice)

Or, les pouvoirs publics ont la volonté de doter la France de plusieurs équipements de ce type. Où l'on en compte pour l'instant seulement deux, à l'institut Curie d'Orsay, et au centre Antoine-Lacassagne de Nice. Contre environ soixante-dix aux États-Unis, ou quatre en Angleterre par exemple. "Or, Montpellier a toujours été à la pointe de l'innovation en matière de radiothérapie, avance Jacques Domergue, directeur général d'ICM. On devait donc se positionner sur la radiothérapie du futur. La direction générale de l'organisation des soins, qui dépend du ministère, effectue un état des lieux sur les besoins en protonthérapie en France. Nous estimons que pour couvrir ses besoins, il faudrait dix à douze machines en France."Dont une à Montpellier, obligatoirement, selon le directeur : "Nous sommes prêts, projet ficelé, financement bouclé. Et nous couvrirons une zone qui va de Clermont-Ferrand, à Barcelone et Marseille, qui n'envisagent pas d'acquérir un tel équipement. Et, à part Caen, nul n'est plus avancé que nous. Ni Nancy, Nantes, Lyon, Toulouse ou Paris, les autres sites susceptibles d'accueillir bientôt une de ces installations."Reste dès lors à connaître la décision de l'ARS, qui devrait survenir avant la fin de cette année. Puis, si le ministère acquiesce à son tour, l'appel d'offres pourra être lancé (trois fournisseurs principaux sont en lice, deux Américains et un Belge) début 2016.

Source : Midi Libre (Réservé aux abonnés)

"Le projet Sud-Europe de protonthérapie à Montpellier"

Montpellier, capitale européenne de la santé ...

Source : (En savoir +) Manip info

Web : ICM


https://www.citysmiley.com/smiley/bonjour/coucoucache.gif Urbanisme, Transport, Territoire, … Forum : https://mission.visimontpellier.com  « Bientôt en ligne »

#53
27-10-2015 11:49
T
Taher
Grande Arche
T
Date d'inscription: 24-04-2015
Hors ligne

ZORGLUB a écrit:

Voilà une nouvelle un peu surprenante et qui devrait ravir nos amis toulousains :
SAUREL est contre les assemblée régionales plénières à Montpellier.
Peut-être par réalisme et calcul politique dénonce t'il le côté baroque et donc forcément éphémère de cette disposition  pour contrer DELGA sur cette mesure qu'il qualifie de dispendieuse...

http://cfmradio.fr/podcast/regionales-2 … pe-saurel/

Moi ca ne m'etonne pas..

Ce Monsieur Saurel ne defend que SA propre petite personne.. et en aucun cas sa ville ou sa region.

Je me demande si les Languedociens soucieux de defendre Montpellier et sa region n'auraient pas plutot interet a voter Delga!!!


Montpellier et Toulouse se doivent de partager les pouvoirs dans la nouvelle région. L'Hérault et le Gard représentent près de 2 millions d'habitants. Impossible de les ignorer...

#54
27-10-2015 13:28
B
bigorre
Tour Montparnasse
B
Date d'inscription: 03-10-2014
Hors ligne

Cyr34 a écrit:

"Protonthérapie : Montpellier dénonce l'amateurisme toulousain"  A2

"Le projet de protonthérapie devrait rester entre les mains des spécialistes", proclame David Azria. Ce cancérologue reconnu internationalement est le porteur du projet montpelliérain pour l'implantation d'un centre de protonthérapie doté de 40 à 50 millions d'euros. Il dénonce "la lettre au Père Noël" envoyé par le Ceser Midi-Pyrénées la semaine dernière à Manuel Valls pour soutenir le projet toulousain et propose "des arrangements homogènes" entre les deux métropoles pour porter la nouvelle grande région de la santé.

Source : La Tribune (Réservé aux abonnés)

C'est pas tout à fait ce qui a été écrit sur cette lettre....
Le CESER MP demande simplement  à l’État de lancer un appel d'offre.

C'est pourquoi, au moment où d'autres villes préparent leurs candidatures, nous demandons que le Gouvernement lance un appel à projets avant le 31 décembre 2015 et que l'examen des dossiers soit effectué, comme pour les investissements d'avenir, par un jury international délibérant au 1er semestre 2016.

On est loin de "la lettre au Père Noël"!
Je trouve au contraire que la démarche du CESER est claire. Logiquement,  tout le monde  devrait  adhérer à ce processus. Cela  permettrait d'enlever de ce projet  l'aspect "politique" !

#55
29-10-2015 10:55
Cyr34
The Link
Lieu: Montpellier
Date d'inscription: 02-07-2007
Hors ligne

"Le CHRU de Montpellier n’a rien à craindre de Toulouse"

L’ENTRETIEN : Philippe Domy 65 ans, directeur du CHRU de Montpellier de janvier 2011 à octobre 2015.

Qu’en est-il du rapprochement avec le CHU de Nîmes, vieux serpent de mer dont on parle depuis longtemps?

Philippe Domy : Avec le CHU de Nîmes, nous sommes proches. Nous avons en commun la même faculté de médecine, c’est le seul cas en France. Mais, pour qu’il y ait fusion, il faut que les gens le veuillent, aujourd’hui les Nîmois ne le veulent pas. Toutes les raisons médicales, institutionnelles, topographiques militent en ce sens, la volonté des hommes n’y est pas. On peut le regretter. Ça ne nous empêche pas de coopérer, on a plus de 250 conventions de partenariat. Ça finira par se faire, inévitablement. D’autant que le positionnement de Montpellier va bouger dans la future région.

Justement, dans cette future grande région, est-ce que Montpellier doit redouter Toulouse?

Philippe D.: Qu’au moment où on annonce une fusion, chacun s’observe, fasse l’inventaire de ses forces et ses faiblesses, c’est tout à fait normal. On va tous se retrouver dans une région nouvelle avec une réalité physique, économique, sociale, nouvelle. Les choses vont prendre une autre dimension. Mais les trois CHU ont leur place. J’ai pris l’initiative, avec les directeurs généraux des groupes privés de Montpellier, de constituer un collectif pour défendre l’idée d’un pôle santé de la future grande région à Montpellier. L’idée a fini par prospérer et le siège de l’Agence régionale de santé, que l’on réclamait comme emblème, est désormais situé à Montpellier. Ça montre la pertinence de la prémonition. Toulouse a aussi ses points forts, et si on veut gérer une région équilibrée, il faut prendre en compte les réalités. Nous n’avons rien à craindre de Toulouse.

Les deux villes sont candidates pour accueillir un centre de protonthérapie, un équipement prometteur dans la lutte contre le cancer. L’État doit désigner la ville qui accueillera ce centre qui nécessite 40 millions d’euros d’investissement. Pensez-vous que Montpellier a ses chances?

Philippe D.: Objectivement, Montpellier est mieux placée que Toulouse. Montpellier a été la première à déposer un projet, en partenariat avec Barcelone. Montpellier a ouvert les bras, Toulouse n’a pas voulu venir. Maintenant, chacun fait sa route. On sait qu’à l’arrivée il n’y aura qu’une installation, pas deux. Toutes les conditions sont remplies pour que la protonthérapie vienne à Montpellier : par la synergie de ses équipes, par le rapprochement des deux établissements (le CHRU et l’Institut contre le cancer, ICM) et par le fait que Montpellier est un site intégré de recherche clinique sur le cancer (SIRIC). Il n’y en a que huit en France, Toulouse ne l’est pas. On met en avant l’oncopôle toulousain : mais ce n’est qu’une circonstance liée au contexte malheureux de la construction de la friche d’AZF. S’il n’y avait pas eu AZF, ils n’auraient pas eu l’oncopôle. La synergie entre le CHU de Toulouse et l’oncopôle n’est pas de la même force que celle entre le CHU de Montpellier et l’ICM.

On parle de coopération, mais on a le sentiment que les deux métropoles sont plutôt concurrentes…

Philippe D.: La recherche, c’est une compétition. Il n’y a pas de recherche forte s’il n’y a pas de compétition et d’émulation.

Source : La Gazette de Montpellier


https://www.citysmiley.com/smiley/bonjour/coucoucache.gif Urbanisme, Transport, Territoire, … Forum : https://mission.visimontpellier.com  « Bientôt en ligne »

Dernière modification par Cyr34: 29-10-2015 10:58
#56
29-10-2015 18:44
B
bigorre
Tour Montparnasse
B
Date d'inscription: 03-10-2014
Hors ligne

Cyr34 a écrit:

"Le CHRU de Montpellier n’a rien à craindre de Toulouse"

L’ENTRETIEN : Philippe Domy 65 ans, directeur du CHRU de Montpellier de janvier 2011 à octobre 2015.

Qu’en est-il du rapprochement avec le CHU de Nîmes, vieux serpent de mer dont on parle depuis longtemps?

Philippe Domy : Avec le CHU de Nîmes, nous sommes proches. Nous avons en commun la même faculté de médecine, c’est le seul cas en France. Mais, pour qu’il y ait fusion, il faut que les gens le veuillent, aujourd’hui les Nîmois ne le veulent pas. Toutes les raisons médicales, institutionnelles, topographiques militent en ce sens, la volonté des hommes n’y est pas. On peut le regretter. Ça ne nous empêche pas de coopérer, on a plus de 250 conventions de partenariat. Ça finira par se faire, inévitablement. D’autant que le positionnement de Montpellier va bouger dans la future région.

Justement, dans cette future grande région, est-ce que Montpellier doit redouter Toulouse?

Philippe D.: Qu’au moment où on annonce une fusion, chacun s’observe, fasse l’inventaire de ses forces et ses faiblesses, c’est tout à fait normal. On va tous se retrouver dans une région nouvelle avec une réalité physique, économique, sociale, nouvelle. Les choses vont prendre une autre dimension. Mais les trois CHU ont leur place. J’ai pris l’initiative, avec les directeurs généraux des groupes privés de Montpellier, de constituer un collectif pour défendre l’idée d’un pôle santé de la future grande région à Montpellier. L’idée a fini par prospérer et le siège de l’Agence régionale de santé, que l’on réclamait comme emblème, est désormais situé à Montpellier. Ça montre la pertinence de la prémonition. Toulouse a aussi ses points forts, et si on veut gérer une région équilibrée, il faut prendre en compte les réalités. Nous n’avons rien à craindre de Toulouse.

Les deux villes sont candidates pour accueillir un centre de protonthérapie, un équipement prometteur dans la lutte contre le cancer. L’État doit désigner la ville qui accueillera ce centre qui nécessite 40 millions d’euros d’investissement. Pensez-vous que Montpellier a ses chances?

Philippe D.: Objectivement, Montpellier est mieux placée que Toulouse. Montpellier a été la première à déposer un projet, en partenariat avec Barcelone. Montpellier a ouvert les bras, Toulouse n’a pas voulu venir. Maintenant, chacun fait sa route. On sait qu’à l’arrivée il n’y aura qu’une installation, pas deux. Toutes les conditions sont remplies pour que la protonthérapie vienne à Montpellier : par la synergie de ses équipes, par le rapprochement des deux établissements (le CHRU et l’Institut contre le cancer, ICM) et par le fait que Montpellier est un site intégré de recherche clinique sur le cancer (SIRIC). Il n’y en a que huit en France, Toulouse ne l’est pas. On met en avant l’oncopôle toulousain : mais ce n’est qu’une circonstance liée au contexte malheureux de la construction de la friche d’AZF. S’il n’y avait pas eu AZF, ils n’auraient pas eu l’oncopôle. La synergie entre le CHU de Toulouse et l’oncopôle n’est pas de la même force que celle entre le CHU de Montpellier et l’ICM.

On parle de coopération, mais on a le sentiment que les deux métropoles sont plutôt concurrentes…

Philippe D.: La recherche, c’est une compétition. Il n’y a pas de recherche forte s’il n’y a pas de compétition et d’émulation.

Source : La Gazette de Montpellier

Je trouve malsain ce genre d'interview car il ne fait que entretenir une rivalité entre les 2 villes. Ce Monsieur Domy devrait être plus prudent dans ces propos, il ne fait que jeter de l'huile sur le feu.
La protonthérapie est avant tout  une technique de soin donc il s'agit  d'abord de  choisir le meilleur site pour augmenter les chances de  guérison des futurs malades.  Montpellier,  Toulouse et les autres villes candidates devront être départagés sur des critères scientifiques et par pitié évitons sur ce sujet les querelles politiques.
Enfin, je terminerais par dire que ce Monsieur oublie une chose. Dans sa dernière phrase, il nous dit que "La recherche, c’est une compétition. Il n’y a pas de recherche forte s’il n’y a pas de compétition et d’émulation. ". Il a peut être oublié mais le  combat il est d'abord contre le cancer par contre des labos de  Toulouse ou d'ailleurs.... B10

#57
30-10-2015 02:14
Pingouin Toulousain
Notre-Dame de Paris
Lieu: Toulouse et Castelsarrasin
Date d'inscription: 31-05-2015
Hors ligne

Cyr34 a écrit:

Philippe D.: [...] S’il n’y avait pas eu AZF, ils n’auraient pas eu l’oncopôle.

Ah ouais ? Sans déconner  ... C3. Et New York n'aurait pas eu deux nouvelles et magnifiques tours si il n'y avait pas eu le 11/09.
Il n'a pas intérêt à se lancer en politique celui-là. Allez next !

#58
30-10-2015 20:02
Cyr34
The Link
Lieu: Montpellier
Date d'inscription: 02-07-2007
Hors ligne

"Toulouse et Montpellier, les 2 moteurs de la croissance démographique de la future Grande Région"

La dynamique démographique de Languedoc-Roussillon/Midi-Pyrénées a profondément changé depuis les années 60 avec une influence croissante des 2 grandes Métropoles

http://img15.hostingpics.net/pics/424946GMtropole.gif

Dans les années 60, la croissance démographique dans la région Languedoc-Roussillon/Midi-Pyrénées (LRMP) se concentre dans les agglomérations et le long de la côte méditerranéenne. Le contraste avec les zones rurales est important : la population chute aussi bien dans les communes proches des petites agglomérations et dans les communes isolées.

Développement  des banlieues et couronnes péri-urbaines

Dans les années 80, les villes-centres gagnent peu voire perdent des habitants. La croissance démographique des agglomérations est désormais portée par les banlieues notamment celles des grands pôles urbains (+  2,6  % par an) et les couronnes périurbaines se développent à un rythme rapide (+ 1,9 %).

Un étalement de la croissance démographique

Sur la période récente, les couronnes périurbaines continuent à se développer rapidement (+ 1,7 % par an entre 2007 et 2012), alors que la population des banlieues augmente moins vite.

Dans l’espace rural hors influence des agglomérations, la population est stable depuis les années 2000. Les zones continuant à perdre des habitants sont essentiellement des zones difficiles d’accès (les Pyrénées, les Causses, le Haut-Languedoc…).

L’excédent naturel concentré dans les grandes aires urbaines

Dans les années 60, la baisse démographique des communes rurales s'explique par un exode rural vers les villes.

Sur la période récente, la structuration du territoire se fait autour de grandes aires urbaines. L’excédent naturel est concentré dans ces grandes aires urbaines, plus jeunes que le reste du territoire. Les aires de Toulouse et Montpellier se démarquent avec un accroissement naturel supérieur à 0,6 %.
Sur le reste du territoire, les décès sont généralement plus nombreux que les naissances, du fait d’une population plus âgée.

La région la plus attractive

Il y a 50 ans, la région perdait plus d’habitants qu’elle n’en gagnait au jeu des migrations, notamment à cause des 18-39 ans qui partaient vers des régions plus attractives. Une tendance qui s'est inversée puisqu'ils sont désormais nombreux à s’y installer.

Les jeunes de 18 à 24 ans ont également fortement contribué à ce renversement : ils sont ceux qui s'y installent le plus. Ils migrent surtout en Haute-Garonne et dans l’Hérault, vers les métropoles de Toulouse et Montpellier concentrant l’offre d’enseignement supérieur dans la région.

Depuis 1999,  Languedoc-Roussillon/Midi-Pyrénées est la région la plus attractive de toutes les régions françaises (+5,9 ‰). Elle attire tous les âges.

Source : Ecomnews


https://www.citysmiley.com/smiley/bonjour/coucoucache.gif Urbanisme, Transport, Territoire, … Forum : https://mission.visimontpellier.com  « Bientôt en ligne »

Sujet fermé

Copyright © 2006-2025 PSS