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Lambig a écrit:
houlouk a écrit:
Après chaque pays est différent mais il me semble qu'en allemagne il y a beaucoup plus de commerces en centre ville et dans les quartiers (en part de marché) qu'en france. On pourrait s'inspirer de ce qu'ils ont fait.
Ou plutôt de ce qu'ils n'ont pas fait : les grandes surfaces en périphérie. Les magasins que l'on retrouve en périphérie sont des petites surfaces de proximité, comparables aux Lidl tels qu'on les connaît en France. Pas d'immenses zones commerciales, pas de galerie commerçante.
Ca m'avait frappé la dernière fois que j'étais en Suisse : pas d'hypermarché, que des supérettes (Migros), avec des prix astronomiques et une qualité de service faible.
C'était en 1994. Ca a peut-être changé depuis... Qui en sait plus ?
@OlivierRazemon a écrit:
Et voici la carte de France des villes qui se dévitalisent, selon Procos, fédération des enseignes.
https://twitter.com/OlivierRazemon/stat … 8633897986
*** Skyscraper Spirit Wonder Llama ***
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Dans cet article reprenant la carte, on parle de 14 villes sous les 5% dont Biarritz, Nantes, Bordeaux, Strasbourg, etc.
Pourquoi il y en a bien plus sur la carte ?
Vouloir plus pour Rennes, une ville sans rayonnement & renfermée sur elle-même.
Floch PC 11 a écrit:
Dans cet article reprenant la carte, on parle de 14 villes sous les 5% dont Biarritz, Nantes, Bordeaux, Strasbourg, etc.
Pourquoi il y en a bien plus sur la carte ?
hypothèse : l'article fait un distinguo entre "centre ville" et "ville"?
Sinon que les maires se bougent en cas de fin d'activité d'un commerce en préemptant, et en tâchant de maintenir voire d'étendre les commerces alimentaires et généralistes, comme les boulangeries, boucheries et supérettes, activités fort génératrices d'urbanité, de lien social et de mobilité active (marche et vélo) : il me semble que des dispositifs existent déjà ; une idéologie trop libérale, méfiante relativement au "socialisme municipal" du début du XXe siècle, constitue peut être le plus gros obstacle pour que continue à prospérer le commerce en ville, en dehors des gros centres périphériques, principalement visités par des automobilistes.
le renard a écrit:
@OlivierRazemon a écrit:
Et voici la carte de France des villes qui se dévitalisent, selon Procos, fédération des enseignes.
cette carte confirme en partie ce qu'on disait : le déclin des centre-villes concerne surtout les ville moyennes, et pas les métropoles.
Avec quand des exceptions, comme Marseille. Quelle explication pour cette dernière ?
Oui géogaga tu as peut-être raison, 14 villes (et non centre-ville) à moins de 5%. Ca fait pas beaucoup !
@ yb : les marseillais, nombreux sur le forum, le diront mieux que moi, le centre marseillais subit :
-la concurrence de gros centre commerciaux en marge du coeur de ville
-l'incompétence de la mairie/métropole pour ce qui concerne la propreté, la mise en valeur et la gestion commerciale et urbaine de l'hypercentre (ex : la rue de la République, juste magnifique mais gérée comme pour se foutre, on voit le résultat aujourd'hui..)
Ajoutons à celà des aménagements laissant parfois à désirer, une mauvaise image (parfois à tord) sécuritaire, des voitures/scooters qui sont garés n'importe comment et des transports en commun qui gagneraient à être améliorés, et on a le cocktail pour finir avec 10 ou 15% de vacance.
Pour les "grandes villes" (+100 000 hbts voire + 300 000 hbts avec AU), c'est pas la joie non plus (+10%) à Toulon, Nîmes, Perpignan, St-Etienne, Le Havre, Valenciennes et plus étonnamment à Clermont. Ce sont quand même toutes des villes qui sont loin de connaître le dynamisme global de villes comme Strasbourg, Nantes, Bordeaux, Lyon, Toulouse...
Vouloir plus pour Rennes, une ville sans rayonnement & renfermée sur elle-même.
A noter que Rennes dont le manque de dynamisme commercial du centre-ville est si souvent pointé sur ce forum, ferait, selon la carte, mieux que Marseille, Nice, Montpellier, Toulon, Grenoble, Tours, Angers, Le Mans, Caen, Metz, Nancy, Lille, Annecy, La Baule ou Vannes.
Oui c'est bien Même si au vu des chiffres même de la ville de Rennes (10% de vacance pour l'ensemble de la ville et surement plus de 5 pour le centre-ville), je suis un peu perdu..
Et même si les chiffres n'ont pas été pris à la même date, pas sûr que ça se soit amélioré
Vouloir plus pour Rennes, une ville sans rayonnement & renfermée sur elle-même.
Globalement, la France traverse une crise, consomme beaucoup (trop) mais moins en centre-ville.
La logique est implacable en matière commerciale. La consommation globale des ménages stagne depuis de nombreuses années. La croissance démographique est très faible dans notre Pays, avec des variations régionales ou locales qui font que certaines villes s'en sortent mieux. Mais globalement, la question de société qui se pose est de savoir quel type de commerce on privilégie. Les centres commerciaux de périphérie, d'entrée de ville, qui répondent à une logique de consommation sur les flux de véhicules (et donc fonctionnant à travers une mobilité routière), quoi qu'on en dise, continuent à se développer, avec peut-être un peu moins de gigantisme qu'avant, avec beaucoup de tarte à la crème (sur les services, sur l'architecture rue, sur la végétalisation...). Et le fait est que la poursuite de ce développement commercial dévitalise les centres villes, que ce soit par transferts de commerces ou simples fermetures.
Ajoutons à cela les évolutions de pratiques commerciales (drive, vente par internet) et effectivement la situation est assez sombre pour le commerce de centre ville.
Il y a quelques raisons d'espérer, notamment par rapport aux nouveaux modes de consommation, avec par exemple les marchés de plein vent qui se portent de mieux en mieux, mais ce n'est pas encore suffisant pour inverser la tendance.
Ptiloulou a écrit:
Il y a quelques raisons d'espérer, notamment par rapport aux nouveaux modes de consommation, avec par exemple les marchés de plein vent qui se portent de mieux en mieux, mais ce n'est pas encore suffisant pour inverser la tendance.
Oui, bon exemple de résistance, les marchés.
Il y a deux ans, je suis passé à Gap. Comme les autres villes de taille similaire : immenses zones commerciales en entrée de ville, centre assoupi....
...sauf les jours où les rues du centre historique sont investies par un très grand et sympathique marché. Et là, la ville renaît.
"Les pires centre-villes de France" = ceux avec le plus de franchisés sur leur rue principale : http://www.mercialfred.com/infographies … res-villes
Le cas de Saint-Étienne est intéressant !
driving down your freeways …
C'est une vue assez spéciale de la qualité d'un centre-ville. Connaissant les français, ils seront plus attirés par des Fnac, McDo, Foot Locker, Zara, H&M, etc. que par des artisans et des magasins-concepts. La différence se fera juste dans leur localisation donc. Soit dans le centre avec potentiellement des TC pour y aller et une concentration importante permettant le déplacement à pieds, ou dans des centre commerciaux avec parking desservis au mieux par une ligne de bus à basse fréquence (en gros, prends ta voiture).
Au delà du concept des franchises, je pense que la qualité d'un quartier commerçant (central ou non) tient plus dans la variété de ce qu'il propose. On sera d'accord sur le fait qu'une zone commerciale sans magasin de chaussures ça ne peut pas exister. Du moment qu'il y en a un (ou deux pour les chaussures de sport), que ce soit une franchise ou un indépendant ne fait que peu de différence. Pareil pour la restauration rapide, un vendeur de burger indé ou un McDo, au final ça reste la même chose (à gamme de prix équivalente bien sûr).
Bon étude limitée car basé sur une seule rue. Logique que la principale soit à majorité de franchisés. Il faudrait faire l'étude sur l'ensemble des commerce d'un centre.
Moi le cas que je retiens c'est Strasbourg, qui a un taux de vacance quasi nul, énormément de commerces indépendants et dans le même temps, elle a Apple, Starbucks, Primark, Printemps, Nespresso, Uniqlo, les Galeries L., Hema, Gap etc. Chapeau bas
Vouloir plus pour Rennes, une ville sans rayonnement & renfermée sur elle-même.
Surtout que la grande rue à Strasbourg (utilisé dans l"étude") n'est pas l'axe le plus commerçant le plus important de la ville.
Les résultats aurait été différent si il avait été basé sur les rues de la Haute Montée, des Francs Bourgeois, des Grandes Arcades et la Place Kleber.
La méthodologie de cette "étude" est plus que douteuse.
Et comme le dit Floch PC 11, un centre ville c'est un ensemble et non juste une seule rue.
Il est logique que les rues principales soit l'endroit où il y ait les locomotives. Finalement un centre sans les grandes locomotives est en centre qui risque justement de ne pas attirer un nombre suffisant de chaland à la faveur des zones commerciales en périphéries.
Bref ce que l’étude présente comme un point positif (ce qui, en plus, est faux dans le cas de Strasbourg qui doit être l'une des villes avec le plus de franchises internationales dans son centre hors de Paris) est en réalité un point négatif.
Le centre-ville est hyper protégé et les franchises se sont vu refuser l'entrée : on les a installées dans des centres commerciaux, pas dans les rues.
すみません
J’aime Paris et je veux des tours !
ziegfried a écrit:
Connaissant les français, ils seront plus attirés par des Fnac, McDo, Foot Locker, Zara, H&M, etc. que par des artisans et des magasins-concepts.
Lol, c'est vrai. Toutefois, il y a gros à parier que ces habitudes ne nous soient pas spécifiques. On est des être humains comme les autres, hein. Les modes de consommation sont grosso modo les mêmes partout dans le monde.
Disons que se hasarder chez un commerçant indépendant pour une première fois, c'est un peu une petite aventure. Souvent, on hésite à s'y risquer, à rompre avec son train-train convenu et rassurant. Mais on y parvient quand même assez fréquemment par simple curiosité, car il arrive que la routine soit trop ennuyeuse. Surtout pour les autochtones d'un quartier commerçant particulier.
C'est comme ça que l'implantation de grandes enseignes peut aussi facilement jouer le rôle de catalyseur pour le commerce indépendant. C'est tout simple. Les grosses franchises sont installées sur les grandes artères ; les indépendants profitent du monde de curieux que cela rameute dans les petites rues adjacentes. Il faut pour cela que la taille d'un ensemble de commerces urbain atteigne un certain seuil. Le commerce en ville n'est vraiment menacé que lorsqu'il n'y a que 3 boutiques pour se battre en duel. Il en faut au minimum des douzaines sur zone pour se soutenir les unes les autres, et alors ça continue de marcher assez bien, me semble-t-il.
Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin.
Même si ce classement ne veut rien dire, je suis quand même assez d'accord sur le principe.
Je m'explique :
Quand je me balade dans les centres des villes, il y a toujours une rue où se regroupe toutes les enseignes bien connues (majoritairement des fringues)
Cette rue, entièrement piétonne, pavée, demeure complètement déserte le dimanche. Triste et envahie par les enseignes; j'ai l'impression de marcher dans une galerie commerciale désaffectée. Généralement, j'évite cette rue dès que je la repère.
Mais bon, on va pas se plaindre, si ces enseignes s'en vont, ça sera le début de la fin. (vous voyez ce que je veux dire je pense cf centre ville abandonné)
Je vois ce que tu veux dire, mais les magasins fermés le dimanche ça concerne aussi bien les enseignes internationales que le cordonnier du coin (en général). À la limite, le problème vient plutôt du manque d'activités ne reposant pas sur des magasins, type cinéma.
Un article (et un livre) d'Olivier Razemon concernant la situation préoccupante du commerce, notamment dans les petites et moyennes villes de France :
https://reporterre.net/Grande-distribut … ses-villes
je me demande si on a pris la mesure du bouleversement engendré dans beaucoup de villes, alors que le commerce de centre ville est central dans l'animation urbaine et le lien social. Certainement une des causes les plus importantes des maux dont souffrent ces villes à l'heure actuelle, avec une population bien souvent déboussolée par les effets de la métropolisation et de la mondialisation.
On parle du sujet aussi ici : https://www.pss-archi.eu/forum/viewtopic … 32#p594732
mousquet a écrit:
ziegfried a écrit:
Connaissant les français, ils seront plus attirés par des Fnac, McDo, Foot Locker, Zara, H&M, etc. que par des artisans et des magasins-concepts.
Lol, c'est vrai. Toutefois, il y a gros à parier que ces habitudes ne nous soient pas spécifiques. On est des être humains comme les autres, hein. Les modes de consommation sont grosso modo les mêmes partout dans le monde.
Disons que se hasarder chez un commerçant indépendant pour une première fois, c'est un peu une petite aventure. Souvent, on hésite à s'y risquer, à rompre avec son train-train convenu et rassurant. Mais on y parvient quand même assez fréquemment par simple curiosité, car il arrive que la routine soit trop ennuyeuse. Surtout pour les autochtones d'un quartier commerçant particulier.
C'est comme ça que l'implantation de grandes enseignes peut aussi facilement jouer le rôle de catalyseur pour le commerce indépendant. C'est tout simple. Les grosses franchises sont installées sur les grandes artères ; les indépendants profitent du monde de curieux que cela rameute dans les petites rues adjacentes. Il faut pour cela que la taille d'un ensemble de commerces urbain atteigne un certain seuil. Le commerce en ville n'est vraiment menacé que lorsqu'il n'y a que 3 boutiques pour se battre en duel. Il en faut au minimum des douzaines sur zone pour se soutenir les unes les autres, et alors ça continue de marcher assez bien, me semble-t-il.
Moyennement d'accord.
Je pense qu'il y a des villes qui sont apte à accueillir ou non des nouveaux concepts.
Concrétement tu vas à New York, San Francisco ou Berlin, il y a beaucoup plus de petit commerces que dans nos villes en France. Là bas, les quartiers sont de véritable village dans la mégalopole. Les habitants ont beaucoup plus d'engouements pour un commerce artisanal que pour une grande chaine. Quand t'as un italien qui te fait du vrai café italien en bas de chez toi, tu t'en fous complétement du Starbucks et cie... Je sais que c'est compliqué de comparer mais j'ai du mal à identifier quelle grande ville de France (à l'exception de Paris, et encore ça dépend des arrondissements) a encore un commerce de proximité, hors centre-ville, de qualité.
Plus de petit commerçants artisanaux à New York, San Francisco ou Berlin qu'en France ?
Je ne trouve pas, bien au contraire les magasins sont justement beaucoup plus franchisés la bas.
Le seul point où je peux être d'accord c'est que les petits commerçants sont plus modernes et plus apte au changements que chez nous.
La grande différence ce n'est pas qu'il y ait plus ou moins de petits commerçants, c'est tout simplement l’absence de vrais axes ou quartiers commerçants d'importance hors des centre-villes dans les quartiers urbains en France (hors Paris).
Le commerce en France c'est le centre et les zones commerciale de périphérie mais il n'y a quasiment rien entre.
Dès que je sors du centre ville en France, il n'y a plus de commerces (hors boulangeries, supermarchés et autres commerces ultra locaux).
Ça se voit dans les chiffres.
Chiffres d’affaires des commerces
France
Centres-ville: 20%
Quartiers: 10%
Périphérie: 70%
Allemagne
Centres-ville: 30%
Quartiers: 40%
Périphérie: 30%
Ceci ne traduit pas que le commerces est plus indépendant mais surtout l’absence de quartiers commerçants hors du centre ville dans les quartiers urbains en France.
すみません
J’aime Paris et je veux des tours !
Périphérie à 70%. Le problème est bien là. Il a siphonné tout ce qui pouvait se faire dans les quartiers...
Et je suis pas sûr que le commerce de périphérie soit ce qu'il y a de mieux en terme de commerce indépendant... C'est même tout l'inverse.
Bref je me souviens avoir un reportage sur NYC qui donnait une part de 30/40% d'artisans et petits patrons.
Déjà je trouve que c'est flagrant dès que tu quittes les artères touristiques. Mais sans compter tous les vendeurs ambulants, il y'a énormément de commerces ethniques dans les boroughs de la ville.
Bon après c'est vrai qu'il y'a énormément de Starbucks / Subway / Mc Do à Manhattan, mais vraiment à côté de ça il y a énormément de petits commerces qui font tout l'âme et la force de NYC.
Paris intramuros (et la première couronne aussi) c'est pareil c'est génial, mais par contre la banlieue c'est un autre monde malheureusement.
Après c'est difficile de comparer comme ça parce qu'à l'inverse je suis allé à Atlanta et Baltimore et j'ai pas trouvé ça une fois parti du centre-ville. D'ailleurs même le centre-ville d'Atlanta j'ai pas trouvé ça ouf d'un point de vue animation et variété commerciale vu la taille de l'agglomération.
Lambig a écrit:
Périphérie à 70%. Le problème est bien là. Il a siphonné tout ce qui pouvait se faire dans les quartiers...
Est ce que le probleme est bien la ? En France on aime bien taper sur ceux qui réussissent mais on oublie de voir les faiblesse de ceux qui ne vont pas. Ça a comme résultat ne rien arranger du tout.
C'est peut être parce que les commerces dans les quartiers urbain non centraux étaient trop faible (en quantité et attractivité) que le commerce dans les zones commercial en périphérie a pris tant d'importance.
Regardez par exemple hors Paris, il n'y a quasiment pas eu de grand magasins dans des quartiers urbains périphériques.
Ce qui montre que ce n'est pas un probleme récent et ce que l'on voit aujourd'hui n'est que dans la continuation de faiblesses anciennes.
Attention de ne pas prendre le probleme à l'envers ou de le réduire à quelques boucs émissaires.
Myrza a écrit:
Bref je me souviens avoir un reportage sur NYC qui donnait une part de 30/40% d'artisans et petits patrons.
Ce qui est faible comme pourcentage, en France on serait dans du 70% de commerces indépendants.
Y compris dans les quartiers urbain hors centre villes.
Toutes les boulangeries, boucheries, buralistes, pharmacies... ce sont des commerces indépendants (alors qu'a New York ou San Francisco ce serait des chaines pour la plupart).
Le probleme c'est que ce n'est pas du commerce dynamique et qu'il n'attire pas.
Finalement je pense que le probleme des "axes commerçants" des quartiers urbains hors centres ville c'est justement l’absence de moteur capable d'attirer du monde.
Myrza a écrit:
Après c'est difficile de comparer comme ça parce qu'à l'inverse je suis allé à Atlanta et Baltimore et j'ai pas trouvé ça une fois parti du centre-ville. D'ailleurs même le centre-ville d'Atlanta j'ai pas trouvé ça ouf d'un point de vue animation et variété commerciale vu la taille de l'agglomération.
Dans les villes des Etats Unis le commerce est quasi exclusivement dans les zones commerciales périphériques. Hors exception comme New York, San Francisco, Chicago, Boston... les centres-ville ne sont plus des quartiers commerçants majeurs et il n'y a pas ou peu quartiers urbains de périphérie.
Atlanta est la norme alors que New York est l’exception.
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