Musique

C'est que manu chao, mine de rien, il approche des 45 ans, faudrait pas qu'il parte en retraite anticipée.
je l'ai vu en concert gratuit à Saint Denis, çà décappe les oreilles, rien à voir avec ses albums solos, c'est du rock puissant façon Mano negra album King of Bongo avec tout une approche reggae et musique latine derrière, que du bon !!!





Madjid, son guitariste : un psycho de la guitare :



Gambeat, le bassiste :



BIDJI alias L'ACTUEL LYRICSON (sur la tournée radio bemba 2002/2003)



le saut façon manu chao

Ohhh tonio !! tu m'as rapellé que j'avais un excellent album de Ennio Morricone chez moi !! hm je vais tout de suite l'écouter ! c'est uniquement des musiques de grand western, mais j'adore  !!

sinon en général j'écoute pas mal de choses !! en ce moment le dernier album des red hot, du stéréophonics, dream theater, mad caddies, bumblefoot, the who, iron maiden, satrinani, steve vai, wriggles, metallica, pantera, racer x, malmsteen,...
enfin bref un peu tout  !!

un seul nom :

JEHRO !!! Prononcé jéro de son vrai prénom : jérome

son album éponyme  : jehro, déchire porté par son dernier titre : Everything

L'avis de la Fnac :

Jehro est un auteur-compositeur-interprète marseillais. Son univers flirte à la fois avec Bob Marley pour les effluves reggae et Ben Harper pour la voix, la science de la composition et le parti pris acoustique. Les chansons se font également parfois latines et caraïbes. L'album, porté par un très beau single, "Everything", en rotation sur les radios, se clôt sur une très belle reprise de Stevie Wonder. Un 1er disque impressionnant de fraîcheur, qui invite à la douceur et au farniente !...

Sinon rien à voir mais Marvin Gaye est toujours aussi de la partie, je suis toujours sur son albul what's going now, et je n'en peus plus de l'écouter, j'ai pris à la médiathèque du coin, lthe very best-of marvin gaye où on voit toutes les chansons connues que Marvin a fait, entre autre : Sexual Healing, que du bon, mais que tu lis sa biographie, que de tristesse !!

Fin de sa vie, début des années 80 :

"

Hélas, comme la plupart des artistes la drogue le rattrape et le chanteur sombre dans des problèmes d’argent et d’impôts. Il est obligé de s’installer en Belgique, à Ostende, en 1981. Mais rien n’y fait : la paranoïa s’empare de lui et il est sûr que quelqu’un s’apprête à le tuer ! Il s’entoure de gardes du corps, porte un gilet pare-balle et se retrouve finalement (comme dans toute paranoïa) devant lui-même, miroir intérieur d’avoir raté sa vie. Il essaye maintes fois de se tuer mais sans grande conviction. La suite on la connaît…

À la suite d'une violente dispute, son père (le révérend Marvin Gay Sénior) le tua de deux coups de revolver, le 1er avril 1984. Il aurait eu 45 ans le lendemain". La dispute aurait porté sur le fait que son père ne supportait pas ce qu'il était devenu :  drogue, succés, sexe, alcool et ses prises de position militante.

Tiens ça pourrait peut-être t'interesser tonio del barrio :
Obrint pas ( rock/ska/reggae espagnol... même catalan ) :
Originaire de Valences, le groupe est formé en 1993. Les musiciens réclament l'indépendance de leur région dans leurs paroles et soutiennent leur culture catalane. Ils ont sortis plusieurs albums dont le plus connu La Flama (2004)
Voila ! Je les ai connus parce qu'ils ont joués tout près de chez moi (place arnaud bernard précisément à toulouse) et apparement je n'étais pas le seul à apprécier leur musique !

en ce moment IBRAHIM FERRER (a mon grand regret décédé) live a juan les pins 2003 ou 2004 -Oye El Consejo- absolument génial 

Hop, là tout de suite Down in the park repris par les Foo fighters.

J'adore cette chanson très... étrange. La version originale chantée par Gary Numan et Tubeway Army était très bien aussi.


A venir :
Quietly de Guano Apes

en ce moment un petit classique "frédéric chopin balade n°1 en g mineur, op.23" version film "le pianiste" de la bombe  (lorsqu'il joue devant l'allemand vers la fin du film)

Tu es un sage, toi, avec Chopin !  C'est clair que c'est quelqu'un ! Si tu aimes, tu peux aller voir du côté des Préludes genre op. 28  Bon c'est pas ma tasse de thé mais ça reste très très grand quand même 

j'aime bien varier les genres et là dans le film cette musique à un sens très fort et une sonorité a toute épreuve, sinon chopin ou un autre je connais pas plus que ça, j'ai bien quelques airs en tête mais bon... j'aime bien la musique rythmée, cas pour ce morceau (au moins dans le film), donc sage non pas trop la plupart du temps    , mais j'irai quand même voir les préludes...merci pour l'info  

SERGENT GARCIA EST DE RETOUR AVEC UN NOUVEL ALBUM : MASCARAS DISPONIBLE DEPUIS AOUT (AH BON ????? RIEN A DIRE, SANS PROMOS, TU ES AU COURANT DE RIEN, SURTOUT QU'IL Y A PAS LA RADIO LATINA (99, 00 à Paris) à TOULOUSE     )

A LA FNAC, LE DISQUE M'A COUTE 12, 50 EUROS, SOIT RIEN DU TOUT, POUR 12 CHANSONS QUI DECHIRE, ENREGISTREE AU MEXIQUE AVEC LES PLUS GRANDS MAITRES DE LA MUSIQUE LATINE TEL Toy Hernandez, l’un des producteurs contemporains les plus en vue dans le monde de la musique latine..

L'ALBUM SE LLAMA : MASCARAS

S’il fut l’instigateur de la salsa muffin, évident et pourtant novateur cocktail des deux musiques majeures issues de la Caraïbe –le reggae et la salsa, et si ce faisant il annonçait d’autres mélanges de ce type (reggaeton en tête) qui enflamment ces jours-ci l’Amérique latine du Nord au Sud, force est de reconnaître que l’œuvre de Bruno « Sergent » Garcia dépasse largement les limites d’une recette, aussi savoureuse et originale soit elle.

De ses années punk, comme guitariste des cultissimes Ludwig Von 88, Bruno a gardé une propension certaine au dynamitage de tout ce qui s’apparente aux conventions, habitudes et autres enclumes à la création. Après quatre albums, couronnés d’un succès international, qui l’ont vu passer d’une musique imaginée et produite chez lui avec des machines (« Viva el Sargento ») à l’enregistrement avec une formation complète de musiciens rappelant les grandes heures de la Fania (« Un Poquito Quemao », l’album de la consécration  et surtout le raffiné « Sin Fronteras ») en passant par une plongée aux sources et aux fondamentaux (Jamaïque et Cuba) avec « La Semilla Escondida », le Sergent Garcia nous revient - après trois ans d’absence et la sortie d’un Best of - avec « Mascaras », le disque le plus abouti et le plus libre de sa carrière.

A PROPOS DE MASCARAS

« J’avais envie de jeter une passerelle entre toutes les expériences tentées lors des albums précédents » nous explique-t-il. « Le fait d’avoir tourné pendant ces deux dernières années, aussi bien en grande formation qu’en soundsystem, m’a permis de jouer et voyager sur tous les continents. Et constater à quel point il existait une musique urbaine, un son des grandes villes qui, même s’il s’appuie sur des traditions locales différentes, contribue à une onde globale et universelle. Je voulais avec ce disque revenir à quelque chose de plus moderne, plus urbain. Utiliser de nouveau les machines tout en gardant cette saveur organique qu’apportent les instruments traditionnels ».
C’est dans cette optique ouverte et internationale que furent conçus, en collaboration avec le percussionniste Ivan Montoya, en deux mois, entre Valencia et Paris, les douze titres de ce nouvel opus.

Pour la production, le Sergent est allé chercher du renfort auprès de Toy Hernandez, l’un des producteurs contemporains les plus en vue dans le monde de la musique latine.
« Je connaissais son travail au sein de Control Machete (NDR : feu groupe de rap mexicano le plus populaire dans son pays et à l’international, les Beastie Boys en étaient fans), sa maîtrise du son hip-hop » continue Bruno. « Mais j’avais repéré aussi, sur d’autres productions ou lors de ses sets de DJ, qu’il avait une réelle sensibilité pour traiter les instruments acoustiques. Il connaît bien les styles traditionnels, notamment la Cumbia (1) qui est une composante importante des chansons que j’avais en tête. Toy sait comment intégrer le son de l’accordéon d’un gars qui joue dans des orchestres de rue à des riddims purement électroniques. De surcroît je trouvais intéressant l’idée d’aller enregistrer au Mexique, c’est le pays qui me semble le plus en pointe dans la mixité : une charnière, culturelle et géographique, entre tradition et modernité, Nord et Sud. »

Si sur certains titres el Sargento nous rappelle sa maîtrise de styles purs, qu’il s’agisse du reggae roots (le très lover « Non Words » ou « Les 5 sens du guerrier »), du rocksteady (« Guantanamo City » et son texte concerné), de la salsa la plus incandescente (« Eres tu » ou « En este mundo de locos », une reprise du groupe cubain Sur Caribe) ou même de la ballade (« Tantas Cosas » en duo avec la chanteuse Yaité Ramos), c’est plutôt du côté des mélanges les plus détonants et inattendus qu’il faut chercher la couleur générale de « Mascaras ». Cumbia et hip-hop (« Dulce con chile », « Si solo fuera yo un pajaro »), reggae et rap (« Toi tu es là bas »), mambo et reggaeton (« Pintame »)… Le Sergent Garcia s’amuse à secouer tous les ingrédients hautement explosifs à sa portée pour un carnaval de rythmes culminant avec un instrumental haute–énergie (« El camion no para ») : fusion de funk, afro-beat, et salsa dont l’embrasement devrait être un des grands moments sur les scènes de la tournée de plus de quarante dates débutant l’été 2006. En un tour d’horizon festif et éclaté de quelques-uns des sons qui font bouger la planète, cette nouvel album du Sergent prolonge jusqu’à faire se rejoindre les rues de Mexico, Barranquilla, Los Angeles, Kingston, Lagos, Paris et Valence.

Le premier single « Dulce con Chile » (Une douceur au piment) résume à merveille les riches composantes du disque dont il est extrait. L’histoire d’une dispute et d’une réconciliation entre amants où les rythmiques hip hop et ragga de la jungle urbaine s’envolent au contact de l’accordéon et des percussions de la Cumbia la plus enivrante.

Quant au titre de l’album « Mascaras » (Masques), Bruno l’explique :
« C’est un hommage à la lucha libre (sorte de catch très populaire au Mexique). Les plus grands dans ce sport portent des masques spécifiques. Ils ne sortent jamais en public sans leur masque, certains vont même jusqu’à se faire enterrer avec. J’aime l’esthétique, le graphisme de ces masques. Et puis c’est un moyen de rappeler qu’au fond, tout le monde avance masqué. Que rien n’est vraiment exactement ce qu’il a l’air d’être. À moins que ce ne soit un clin d’œil à Zorro, le nécessaire alter ego au Sergent Garcia… ».

http://www.myspace.com/sgtogarcia
www.labels.tm.fr/sergentgarcia


(1) La Cumbia est née à l’origine en Colombie. Musique de danse et de fête où prédominent les percussions et l’accordéon, campagnarde mais ayant rapidement conquis les villes, elle est comme le Son à Cuba, le Blues aux USA ou la Samba au Brésil : le fruit d’une sensuelle rencontre entre l’Afrique et l’Europe. Plus facile à danser, plus universelle que - par exemple- la salsa ou le tango, la Cumbia, avec ses mélodies simples mais accrocheuses, a largement dépassé ses frontières d’origine pour devenir l’idiome musical commun à toute l’Amérique Latine de l’Argentine au Mexique en passant par le Pérou et le Venezuela. Depuis une dizaine d’années une jeune génération de musiciens se l’est réappropriée, affirmant ainsi son identité latine tout en faisant subir à la Cumbia une cure de jouvence en la croisant avec l’électronique, le hip hop ou le rock.

Voilà le commentaire que j'ai laissé sur le site de la Fnac et qui qualifie bien l'album du Sergent !!

Sergent Garcia revient en ce début d'automne avec un album qui change par rapport à ces deux derniers disques (aux influences plus "world"), celui ci est plus urbain, enregisté au Mexique, avec les grands noms locales de la musique latine. Sergent Garcia a volontairement voulu mixé sa musique caribéenne (salsa et raggamuffin) avec la cumbia, et le hip-hop. En d'autres mots, cet album est vraiment trés variés et nous offre de belles chansons aux mélange musicaux toujours trés bien orchestrée. Celà va des rythmes mexicain, au reggae en passant par la musique latine ou encore le rock'n'roll, mais moins à la salsa pure et simple, comme sur les anciens disques. On retrouve aussi plus de chansons en Français comme "les 5 sens du guerrier" ou "Toi, tu es là bas", des chansons douce et vraiment ettonante comme "Tantas Cosas" chanté en duo avec la cubaine Yaité Ramos, de la cumbia modernisé sause Sergent Garcia sur "Yo me voy pa'la cumbia" et des chansons détonnante tel Dulce con Chile ou Pintame ... En gros, ce disque montre que Sergent Garcia sait avançé et évolué disque aprés disque, tandis que d'autres stagnent ou n'innovent pas, de plus le pari est réussi plus que brillament. Enfin, cet album est vraiment accésible à tous les budgets, c'est vraiment incroyable qu'un album de cette qualité soit à ce prix là (il faut le dire).

TIENS, C'est trippant, impossible de dire avec en espagnol, quand j'écris "C-O-N"(enlever les tirets), voilà le résultat : con      ahhhh incroyable .... ... 

Oui il y a une "censure" pour les gros mots, enfin certains, on peut dire "merde" par exemple. 

D'ailleurs je dois en être l'une des principales victime 

A part ça, là j'écoute..... Nelly Furtado , Maneater 

Curieux d'ailleurs, je n'aime ni la chanson dans sa globalité, ni la chanteuse, mais le refrain j'aime bien.

Pareil pour moi pour Maneater je kiffe le refrain alors je l'écoute, et les passages que j'aime pas je les passe

mais c'est koi, Maneater ???

ben Mangeuse d'homme ... c'est le titre de sa chanson.

EUH, ahhhhhhh ok, bah je le savais ... j'avais compris    , comme si j'avais cru que Maneater était un(e) artiste que tu kiffais ... et que j'avais pas compris que c'était le titre d'une chanson, n'importe quoi   

En ce moment je m'écoute pas mal de Saez. Yen a qui aiment ici ? 

Saez c'est con qu'il sait pas chanter. 




muahahaha, ok je provoque 
Saez c'est bien parfois, mais je trouve que trop d'engagement tue l'engagement, j'ai l'impression qu'à chaque fois que je l'ecoute il dénonce un truc. Faut chanter pour se détendre aussi.

Moi je réécoute mes vieilles chansons de Matmatah et Louise Attaque, ça me rappelle ma jeunesse 

le dernier album de louise attaque est terrible !!!

Héhé Matmatah c'est ma jeunesse aussi (la ouache) a l'époque je ne comprenais pas les paroles ... ce n'est que plus tard que ...

Enfin en ce moment je laisse tourner "les wriggles" ou encore "les beautées vulgaires".

Là, "Sixun Live", très haute voltige pour les férus de jazz fusion, à se procurer le plus vite possible ! 

Phil a écrit:

Saez c'est con qu'il sait pas chanter. 




muahahaha, ok je provoque 
Saez c'est bien parfois, mais je trouve que trop d'engagement tue l'engagement, j'ai l'impression qu'à chaque fois que je l'ecoute il dénonce un truc. Faut chanter pour se détendre aussi.

Ah j'avais exactement les mêmes préjugés sur Saez avant de m'intéresser à lui.
Désormais je trouve même que sa façon de chanter et sa voix sont ce que j'aime le plus chez lui !
En ce qui concerne son "engagement" il est très minime, mais c'est l'image qu'on retient de lui le plus souvent... La quasi-totalité de ses musiques, c'est plutôt de la poésie que de l'engagement 
Ma préférée c'est "J'veux qu'on baise sur ma tombe", vraiment superbe, très poétique    dommage pour le titre par contre 
Je vous la conseil 

le rock progressif c'est bon, mangez en   

Moi je dis un bon petit Groundation "young tree" et hop la!