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Le nouveau refus d'attribution de subventions Etatiques a été la goutte d'eau qui a fait débordé le vase ...
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Nouvelle entrée du Campus de l'ESC
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94.2% bac gé', 94.6% bac techno, 85.8% bac pro en Ille et Vilaine. Champions ! (Euh non, c'est le Finistère les champions en fait... mais de peu).
Les mauvais esprits noteront qu'à Rennes, la BAC cartonne aussi... ;p ;p
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joli joli Walden joli joli
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Six établissements unis vers une seule grande université rennaise
Pas de fusion à l’ordre du jour mais un rapprochement ! Les universités de Rennes 1 et Rennes 2 et quatre grandes écoles (ENSCR, ENS, Sciences po et l’Insa) vont déposer ce jeudi 13 juillet au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche un dossier en vue de la création, d’ici à début 2020, d’une "grande université de recherche et de formation reconnue internationalement".
Manque d’unité
La qualité scientifique du projet déposé (axé sur le numérique et le développement durable) n’était pas en cause. En revanche, le jury avait pointé l’absence de cap « crédible » et « d’objectifs clairs » avec, en plus, un problème de gouvernance. En clair, un manque d’unité et de volonté de jouer collectif.
Si le dossier était validé par le ministère, ces écoles universitaires pourraient être financées à hauteur de 49 millions d’euros sur dix ans.
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Les universités rennaises me font de plus en plus penser à ce vieux gag des gamins montés sur les épaules les uns des autres et dissimulés par un vieil imperméable pour tenter d'aller voir un film interdit aux enfants. "Ho, ho, regardez, nous avons fusionné !" "Euh, non, vous avez juste un logo commun." "Mais c'est pareil, ho, ho, ho ! Maintenant, on veut des sous. Enfin, je veux dire, je veux des sous."
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à ceci près que ceux-là montent d'années en années dans les classements mondiaux
Dernière modification par zichiqou35200 (13-07-2017 10:44:09)
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Avec 65000 étudiants cette année , Rennes passe 6 ème ville Universitaire de Province derrière Lyon , Lille, Toulouse, Bordeaux et Montpellier
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En réalité, Rennes est 6ème depuis plusieurs années et le restera encore un bon moment. En effet Marseille, Nantes, Strasbourg et Grenoble sont autour de 55 000 étudiants.
Précision : pour Marseille, il s'agit de la ville seule car avec Aix, il y en a autour de 85 000.
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En images. Trois nouveaux collèges publics pour l'Ille-et-Vilaine, en 2020
Le conseil départemental a dévoilé les premières images des trois nouveaux collèges publics qui verront le jour à Laillé, Guipry-Messac et Bréal-sous-Monfort en 2020, au sud-ouest de Rennes. Un investissement de près de 15 millions d’euros par établissement, pour une capacité de 800 élèves chacun.
Le conseil départemental a dévoilé les premières images des nouveaux collèges publics prévus en Ille-et-Vilaine pour 2020, à l’occasion de sa conférence de presse de rentrée, ce mardi 29 août.
Les établissements, d’une capacité maximale de 800 élèves chacun, seront implantés dans le quart sud-ouest du département, à Laillé, Guipry-Messac et Bréal-sous-Monfort. Un choix fait « au regard de l’évolution des effectifs et des projections démographiques dans ces secteurs scolaires » justifie le département.
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Enseignement supérieur. Vers une grande université de Rennes
Un total de 60 000 étudiants
Cette entité, établissement public à caractère scientifique culturel et professionnel (EPCSCP), pèsera près de 60 000 étudiants. Objectif : mettre en commun la formation et une stratégie scientifique de recherche pour peser au niveau international.
À quelle échéance ? « D’ici janvier 2019 », estime Olivier David, président de Rennes 2 et pilote de ce processus qu’il a présenté jeudi, avec ses cinq partenaires, à Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.
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Rennes: La plus grande crèche bilingue français-breton ouvre bientôt ses portes
L’enseignement du breton se développe en Bretagne, et notamment à Rennes. Début 2018, ce sont les tout-petits qui pourront en profiter dans la capitale bretonne avec l’ouverture de la crèche bilingue breton-français Neizhig (« petit nid » en breton). En projet depuis deux ans, l’établissement sera la plus grande crèche bilingue de la région. Elle pourra accueillir dès le mois janvier 16 enfants dans le quartier de Bréquigny.
Les inscriptions gérées par le centre L’Etoile
« Cette ouverture répond à une forte demande sociale. A Rennes, nous observons ainsi à chaque rentrée un accroissement singulier de parents qui choisissent de scolariser leurs enfants au sein des filières bilingues breton-français et cela dès la maternelle », souligne l’association Neizhig, qui porte le projet.
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Rennes classé première des Villes françaises pour l'offre de formation de ces établissements par l'Etudiant
L'Etudiant
Une note de 10 pour la densité de l'offre de formation, une deuxième note de 10 pour les prépas et grandes écoles et un 7 pour le taux de réussite en Licence.
Ce qui place Rennes 5 ème des meilleures villes étudiantes françaises selon le site à égalité avec Montpellier , 1 point derrière Toulouse et Grenoble et 2 points derrière Lyon .
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A Rennes, une préparation à l’ENM pour les juristes de l’Ouest
Pour Hugo, étudiant en 5e année à l’institut politique de Rennes, « c’est une bonne nouvelle ! C’est un vrai confort de travailler à Rennes. »
Trente étudiants ont fait leur rentrée dans le premier Master 2 préparant au concours d’entrée à l’école nationale de la magistrature (ENM), créé à Rennes.
C’est un projet unique en France, qui a l’ambition d’attirer des étudiants des facultés de droit de Brest, Nantes et Rennes. Les trois universités de la Bretagne historique ont lancé le premier Master 2 préparant au concours d’entrée à l’école nationale de la magistrature (ENM) de Bordeaux, la seule école française de recrutement et de formation des magistrats.
Un projet né sous l’impulsion de Xavier Ronsin, premier président de la cour d’appel de Rennes et ancien directeur de l’ENM. Ce nouveau centre de préparation universitaire régional a accueilli ses trente premiers étudiants, qui effectuaient leur rentrée ce lundi, en même temps qu’une convention était signée entre les partenaires de la création de ce « pôle d’excellence publique ».Chaque année, entre 3 000 et 3 200 étudiants se présentent au concours de l’ENM, pour 215 places en 2017 et autant en 2018.
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La fusion des universités Rennaises serait envisagée pour 2019 avec un nom déjà trouvé , l'UNIR .
L'UNIR regrouperait les universités de Rennes 1 et Rennes 2 ainsi que 4 écoles supérieures que sont l'ENSC, L'ENS , l'Institut national des sciences appliquées et Science Po Rennes.
Fusion qui a pour ambition de rapprocher l'enseignement à Rennes de la Cour des grands .
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C'est pas un regroupement plutôt qu'une fusion ? Le but étant de créer un sur-ensemble rapprochant les instituts et mutualisant certains fonds et l'image en ce qui concerne la recherche. Si la fusion Rennes 1 - Rennes 2 a avorté, j'en vois difficilement une se faire avec quatre écoles en plus.
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Si on veut jouer sur les mots oui c'est plutôt une union , un projet commun basé tout de même sur la structure entière des administrations . Le mot fusion est devenu tabou à Rennes après les échecs du passé alors qu'ailleurs, on préfère appeler un chat un chat en ce qui concerne des projets similaires.
Dernière modification par zichiqou35200 (30-09-2017 16:51:44)
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Pour moi, ce n'est pas une fusion s'il y a des conseils d'administration séparés à R1 et R2.
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Le lycée de Liffré se nommera Simone Veil
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Rennes. Le groupe Media School propose deux nouvelles formations
Une autre tournée vers le numérique
L’autre nouveauté, c’est une formation supérieure tournée vers le numérique, baptisée #Supdeweb. « Elle vise à accompagner la transformation digitale de la société, des entreprises, des organisations. » Là encore, les cours théoriques alternent avec des stages ou des périodes d’immersion en alternance, pour être au plus près des préoccupations des professionnels, futurs employeurs. Deux cycles sont proposés : un Bachelor web (en trois ans), puis un Master 1 ou 2 en digital pour se spécialiser.
Un « campus » en centre-ville
Le groupe Media School a prévu de lancer ses premières promotions rennaises dès la rentrée 2018, dans des locaux en centre-ville. « Nous sommes attachés à cet ancrage régional, souligne Christophe Lechat, le directeur, car l’objectif de Media School est de permettre aux jeunes diplômés d’être reconnus dans leur région comme de hauts potentiels, recherchés par les recruteurs. » Par ailleurs, la nouvelle école promet un campus à taille humaine, en cœur de ville.
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