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Résidence Fluvia :
Les immondices autour du site ont été dégagés . La déconstruction devrait bientôt commencer.
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La biodiversité préservée aux Prairies Saint-Martin
1 250 nouveaux arbres plantés
Les travaux, qui toucheront environ 50% du site, seront réalisés en trois phases successives. Ils seront menés sur la base d’un calendrier adapté pour éviter les périodes de reproduction, nidification et migration des différentes espèces. Aucun travaux n’aura ainsi lieu entre mars et août. Les modifications impactant des zones abritant des amphibiens ou des reptiles devront, elles, être réalisées après capture et déplacement des individus, premier secteur d'intervention excepté.
« Pour ce secteur, des filets anti-retours seront installés dès le mois de mai afin de les orienter en dehors de la zone de travaux », précise Laurence Roux, chargée du projet à la Direction jardin et biodiversité.
Au cours des aménagements, 500 arbres seront abattus, essentiellement les anciennes haies séparatives des jardins partagés, de jeunes saules et des lauriers palme. « Ce qui est abattu, c’est les espèces d’arbres qui ne conviennent pas au site », souligne Daniel Guillotin. La trame végétale ancienne sera préservée et 1 250 nouveaux arbres seront replantés. Dernières mesures de compensation écologique, la restauration du cours d'eau central et la création d'habitats sur 7 hectares de prairies et 2 hectares de dépressions humides. « Sur les 29 hectares du parc, 8 hectares seront également protégés de la fréquentation du public, afin de préserver la tranquillité des espèces », termine Laurence Roux.
La démolition des anciennes Tanneries de Saint-Martin a démarré : Dommage , je trouve qu'on aurait pu effectuer une reconversion intéressante comme un lieu culturel en bordure de fleuve.
et on continue la densification le long du canal
a l'angle de la rue Legraverend et bd Delattre de Tassigny
Résidence Connexité
Les permis de construire et les futurs démolitions n'en finissent plus de pousser la rive Ouest (Boulevard De Lattre de Tassigny) du canal :
A noter également la réaménagement du Square Antoine Jagu ainsi que la poursuite de la promenade piétonne le long du canal (rive est) entre ce square et les rives de l'Ille (berge opposée à l'Ecole d'Archi).
Le quartier bouge! A quoi cela est dû!? J'ai du mal à localiser l'opération à l'angle de la rue Legraverend et du blvd de Lattre de Tassigny ! C'est pas plutôt boulevard de Chézy ?
C'est surtout que c'est à l'angle du boulevard L. de Tassigny et de l'avenue du 41ème régiment d'infanterie. A l'ouest.
Vouloir plus pour Rennes, une ville sans rayonnement & renfermée sur elle-même.
Adept2Rock a écrit:
Le quartier bouge! A quoi cela est dû!?
Plusieurs raisons, la principale est sûrement un changement de génération tout simplement.
Certains propriétaires de ces maisons sont "âgés" aujourd'hui, décident de vendre car l'entretien d'une maison devient difficile avec l'âge... du pain bénit pour les promoteurs avec la situation des lieux, à deux pas du centre-nord, de la station Anatole France de la ligne A... et bien sûr ajouté à l'équation, la forte demande de logements à Rennes, un cocktail "constructif"
Piéton a écrit:
Adept2Rock a écrit:
Le quartier bouge! A quoi cela est dû!?
Plusieurs raisons, la principale est sûrement un changement de génération tout simplement.
Certains propriétaires de ces maisons sont "âgés" aujourd'hui, décident de vendre car l'entretien d'une maison devient difficile avec l'âge... du pain bénit pour les promoteurs avec la situation des lieux, à deux pas du centre-nord, de la station Anatole France de la ligne A... et bien sûr ajouté à l'équation, la forte demande de logements à Rennes, un cocktail "constructif"
Effectivement ça explique pas mal de choses! Je pense que c'est un quartier qui a beaucoup de potentiel, en attendant peut être une mise en valeur des espaces naturels...
Bonjour à tous.
Nouveau sur le forum.
- L'actu de Plaisance :
le dernier propriétaire vient de se faire exproprier la semaine dernière - pour mémoire, la ville rabâche qu'elle n'a jamais exproprié qui que ce soit depuis 2008.
L'un de ces propriétaires s'est vu indemniser pour moins de 100.000 euros sa maisonnette (en ville donc) pour cause de "terrain non constructible".
Le projet fera un ICU supplémentaire jamais compensé par les prairies St M - pareil pour Armorique - bravo Rennes pour cette clairvoyance !
- L'actu des prairies St Martin :
L'enquête préalable à utilité publique est terminée depuis le 29 avril. Un tissu d'inexactitudes, de copiés-collés inopportuns, de mensonges et j'en passe.
Slts.
zichiqou35200 a écrit:
La biodiversité préservée aux Prairies Saint-Martin
1 250 nouveaux arbres plantés
Les travaux, qui toucheront environ 50% du site, seront réalisés en trois phases successives. Ils seront menés sur la base d’un calendrier adapté pour éviter les périodes de reproduction, nidification et migration des différentes espèces. Aucun travaux n’aura ainsi lieu entre mars et août. Les modifications impactant des zones abritant des amphibiens ou des reptiles devront, elles, être réalisées après capture et déplacement des individus, premier secteur d'intervention excepté.
« Pour ce secteur, des filets anti-retours seront installés dès le mois de mai afin de les orienter en dehors de la zone de travaux », précise Laurence Roux, chargée du projet à la Direction jardin et biodiversité.
Au cours des aménagements, 500 arbres seront abattus, essentiellement les anciennes haies séparatives des jardins partagés, de jeunes saules et des lauriers palme. « Ce qui est abattu, c’est les espèces d’arbres qui ne conviennent pas au site », souligne Daniel Guillotin. La trame végétale ancienne sera préservée et 1 250 nouveaux arbres seront replantés. Dernières mesures de compensation écologique, la restauration du cours d'eau central et la création d'habitats sur 7 hectares de prairies et 2 hectares de dépressions humides. « Sur les 29 hectares du parc, 8 hectares seront également protégés de la fréquentation du public, afin de préserver la tranquillité des espèces », termine Laurence Roux.
La biodiversité de bureaucrate promise en ville par les élus fait bien rire les naturalistes.
Les arbres replantés : des Chênes à 1000 euros pièce.
Prix du futur parc naturel urbain (PNU) : 10, 18, 26.1 et aujourd'hui 30 millions d'euros soit un million d'euros l'hectare.
La comm' de la ville à propos de ce futur PNU est basée sur l'omission et la mauvaise foi : biodiversité, biodiversité et biodiversité... Nul part l'intention d'exproprier des habitants, le prix exorbitant du PNU ou l'utilisation prévisible de Glyphosate et autres fâcheries avérées.
La verrue n'est plus
Projet OSMOZ
Pierre promotion
vge a écrit:
zichiqou35200 a écrit:
La biodiversité préservée aux Prairies Saint-Martin
1 250 nouveaux arbres plantés
Les travaux, qui toucheront environ 50% du site, seront réalisés en trois phases successives. Ils seront menés sur la base d’un calendrier adapté pour éviter les périodes de reproduction, nidification et migration des différentes espèces. Aucun travaux n’aura ainsi lieu entre mars et août. Les modifications impactant des zones abritant des amphibiens ou des reptiles devront, elles, être réalisées après capture et déplacement des individus, premier secteur d'intervention excepté.
« Pour ce secteur, des filets anti-retours seront installés dès le mois de mai afin de les orienter en dehors de la zone de travaux », précise Laurence Roux, chargée du projet à la Direction jardin et biodiversité.
Au cours des aménagements, 500 arbres seront abattus, essentiellement les anciennes haies séparatives des jardins partagés, de jeunes saules et des lauriers palme. « Ce qui est abattu, c’est les espèces d’arbres qui ne conviennent pas au site », souligne Daniel Guillotin. La trame végétale ancienne sera préservée et 1 250 nouveaux arbres seront replantés. Dernières mesures de compensation écologique, la restauration du cours d'eau central et la création d'habitats sur 7 hectares de prairies et 2 hectares de dépressions humides. « Sur les 29 hectares du parc, 8 hectares seront également protégés de la fréquentation du public, afin de préserver la tranquillité des espèces », termine Laurence Roux.La biodiversité de bureaucrate promise en ville par les élus fait bien rire les naturalistes.
Les arbres replantés : des Chênes à 1000 euros pièce.
Prix du futur parc naturel urbain (PNU) : 10, 18, 26.1 et aujourd'hui 30 millions d'euros soit un million d'euros l'hectare.
La comm' de la ville à propos de ce futur PNU est basée sur l'omission et la mauvaise foi : biodiversité, biodiversité et biodiversité... Nul part l'intention d'exproprier des habitants, le prix exorbitant du PNU ou l'utilisation prévisible de Glyphosate et autres fâcheries avérées.
- L'expropriation est-elle un mal en soi ?
- L'utilisation du glyphosate n'est-elle pas bannie depuis plusieurs années à Rennes ?
- Un parc n'est-il pas une création humaine ?
- Quels arbres planter ?
En l'occurrence, il n'y a plus d'expropriations il me semble...
http://www.rennes.lemensuel.com/actuali … 16364.html
walden35 a écrit:
En l'occurrence, il n'y a plus d'expropriations il me semble...
http://www.rennes.lemensuel.com/actuali … 16364.html
Alors en fait oui et non. Les " Maisons du Canal " ne sont plus sujettes à expropriation en effet.
En revanche les quelques batisses internes du parc et les différents squatteurs seront eux plus ou moins explusés. ( si ce n'est pas déjà fait, ça fait longtemps que je n'y suis pas retourné )
C'est malheureux pour eux, mais assez logique que le lotissement à l'intérieur du parc dégage, ceci dit ça aurait été bien plus malin de ne jamais autoriser sa construction. Par contre, sage décision de ne pas exproprier les résidents des maisons du Canal, celles-ci ne gênaient pas pour le Parc. Il faudra tout de même que la ville rachète les maisons quand les habitants n'y seront plus.
Place nette , les tanneries sont détruites.
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