© Garbougnat
Architecture – Urbanisme – Aménagement du territoire
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C'est malheureusement souvent comme ça dans la R&D, et je ne parle même pas de la recherche fondamentale dans les organismes publics. Déjà la part des projets qui reçoivent des fonds est très faible, mais la part de ces projets qui aboutissent l'est tout autant.
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Les essais d’une navette autonome commencent sur le grand campus universitaire de Beaulieu.
Digital Tech Conference. « Accélérer la transition numérique du territoire »
L’idée c’est d’aller un peu plus loin et de fédérer les énergies et les compétences au service d’une ambition commune : faire de la Digital Tech Conference un événement d’envergure internationale au service de l’attractivité du territoire.
Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État au numérique, en visite à Rennes
Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État chargé du numérique, est attendu à l’atelier de Google, à Rennes, le 15 novembre. Il vient assister à la remise des prix des Télécoms Innovations 2 018 qui récompense trois projets innovants sur le thème de l’inclusion numérique.
Rennes: Une grande ferme photovoltaïque viendra cacher l’ancienne décharge de la ville
20 Minutes
VIDÉO.Une IRM ultra-puissante pour faire avancer la recherche à Rennes
C’est un joli bijou de très haute technologie. La plateforme rennaise de recherche médicale Neurinfo vient de se doter d’une IRM ultra-puissante implantée au CHU de Rennes. Elle va aider à mieux comprendre le fonctionnement du cerveau, du cœur et d’autres organes.
Elle pèse près de 12 tonnes et a coûté la bagatelle de près de 2 millions d’euros. Depuis le mois de février dernier, le service d’imagerie du CHU de Rennes a été équipé d’une imagerie par résonance magnétique (IRM) dernier-ci. Un petit bijou de technologie fabriqué par Siemens et capable de développer un champ magnétique uniforme de près de 3 Tesla. Soit mille fois plus puissant que le champ magnétique terrestre. Mieux vaut éviter d’entrer dedans avec un objet métallique. Il serait instantanément transformé en projectile !
Une start-up lance les premières gambas 100% rennaises
L'ex-site de stockage des déchets produira de l'électricité verte
Fermé fin 2018, le site de stockage des déchets non-dangereux des Hautes Gayeulles, au nord de Rennes, produira de l'électricité verte dans quelques années. Rennes Métropole veut y installer une centrale photovoltaïque sur plus de 4 ha, capable d'alimenter l'équivalent de 700 à 800 foyers.
L'ex-site de stockage des Hautes Gayeulles, c'est quoi?
D'une superficie d'environ 15 ha, il est situé au nord de la rocade rennaise et servait depuis les années 1990 de site d'enfouissement des déchets non-dangereux: plâtre, gravats, balayures de voirie, etc.
Rennes Métropole, qui en est propriétaire, a mis fin à son exploitation en décembre 2018 après avoir trouvé d'autres solutions pour le type de déchets qui y étaient stockés, notamment grâce à l'ouverture d'une filière de valorisation du plâtre, d'initiative privée, à Bourgbarré.
Quelle superficie, quelle production?
L'ancien site de stockage des Hautes Gayeulles qui comprend des boisements, des zones de lagunage et des réserves foncières peut accueillir une centrale photovoltaïque sur environ un tiers de sa superficie. Les premières études envisagent d'y implanter quelque 20.000 m² de panneaux photovoltaïques, répartis sur plus de 4 ha.
Cette centrale sera en mesure de produire 3,5 gigawattheure par an, soit l'équivalent de la consommation de 700 à 800 foyers.
Santé. La réalité mixte s’invite dans les blocs opératoires, une première mondiale
C’est une première mondiale. Mardi 21 juillet, au centre hospitalier privé universitaire (CHPU) de Saint-Grégoire, près de Rennes, se joue « le futur ». Entre les mains du chirurgien orthopédiste Philippe Collin, spécialiste de l’épaule, et celles de son équipe, une patiente de 79 ans, nécessitant un remplacement de l’articulation par une prothèse.
La nouveauté, c’est le nouvel assistant du médecin, et pas des moindres : des lunettes à réalité mixte utilisant une méthode de projection holographique en 3D. Le docteur zoome avec ses mains dans l’espace, lance des « sélectionnez » en guise de commandes vocales. Dans son appareil, il visualise « l’os à sec, comme s’il n’y avait plus de peau, plus de muscles, pouvant le faire pivoter ».
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