New York City

elle a quelquechose cette villle. Une ambiance unique. C'est New York quoi.

Ca bouillone en permanence, y a une energie terrible 24h sur 24h, c'est l'effervescence tous les matins et tous les soirs. Et puis les gens sont vraiment sympas et accueillants, contrairement a une bonne partie des parigos (desolé pour les parisiens, mais c'est la vérité). NY, c'est tres different de Tokyo, mais j'adore les deux styles de vie. 

C'est éxactement ça. La ville déborde de vie c'est ça que j'apprécie, et il y a une chose qui me fera toujours craquer (dans le bon sens) c'est les sonneries de police et des pompiers, tellement typiques ...Par contre il y a un gros inconvénient dans cette ville c'est les quais du "subway" il doit y faire au moins 50 degrés, heuresement que les trains sont climatisés.

Exact, moi aussi j'ai été choqué par la moiteur des quais de métro, également par la fraicheur des clim dans les bus ou dans les musées (limite à en chopper un rhume). C'est vrais que les sirènes de pompiers et de police sont super funs (je les soupçonne d'ailleurs d'en abuser après avoir rencontré un flic sympa qui avouait s'amuser avec  ). On a l'impression d'être constamment dans un film. Il y a aussi pas mal de bruit tout le temps, mais on ne s'en rend même plus compte tellement ça bouge et tellement il y a de choses a voir n'importe où dans Manhattan.

BatiActu 07-09-2006

En plein boom immobilier, New York craint pour sa classe moyenne

Dans ce vaste ensemble d'immeubles des bords de l'East River, les résidents expriment tous la même prophétie: la vente annoncée de leur quartier sonne le glas de la classe moyenne dans un Manhattan désormais réservé aux plus riches.

« New York est maintenant la ville des très riches, ou des très pauvres. Tous ceux au milieu sont chassés », soupire Charles Lyman, septuagénaire installé depuis 55 ans dans ce complexe de brique rouge où les loyers contrôlés ont permis à des générations de fonctionnaires, policiers, infirmières de rester au coeur de la ville.

L'assureur Metropolitan Life vient d'annoncer son intention de vendre ces ensembles de Stuyvesant Town et Cooper Village, soit 110 immeubles (11.200 appartements) répartis de la 14e à la 23e Rue. MetLife n'a pas confirmé le prix souhaité, mais des experts avancent le chiffre de 5 Mds de dollars, ce qui en ferait la transaction immobilière record aux Etats-Unis. « Nous estimons les conditions du marché très favorables », dit Robert Merck, responsable des investissements de MetLife.

Au niveau national, un ralentissement immobilier s'annonce, mais l'effet se fait peu sentir à New York. Des appartements s'y vendent jusqu'à 45 M$, tandis que les résidents de Harlem manifestent contre les expulsions et que, hors de Manhattan même, Brooklyn voit les projets de standing proliférer.

Construit après la Guerre par MetLife aidé des pouvoirs publics, «Stuy Town» était à l'époque destiné aux anciens combattants et familles du baby-boom. Non sans polémique (noirs et célibataires étaient au début refusés), il est devenu un quartier recherché, avec ses bâtiments à taille humaine, ses parcs et surtout ses loyers.
[...]


Catherine Hours (AFP)

http://www.batiactu.com/data/07092006/0 … 92607.html

Stickyesman a écrit:

BatiActu 07-09-2006

En plein boom immobilier, New York craint pour sa classe moyenne

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la vente annoncée de leur quartier sonne le glas de la classe moyenne dans un Manhattan désormais réservé aux plus riches.

« New York est maintenant la ville des très riches, ou des très pauvres. Tous ceux au milieu sont chassés »

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Des appartements s'y vendent jusqu'à 45 M$, tandis que les résidents de Harlem manifestent contre les expulsions et que, hors de Manhattan même, Brooklyn voit les projets de standing proliférer.

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il est devenu un quartier recherché, avec ses bâtiments à taille humaine, ses parcs et surtout ses loyers.

[...]

« Mon fils aimerait revenir mais il y a une liste d'attente »

[...]

Et loyer «modéré» ne signifie pas abordable, souligne Andrew Beveridge, professeur de sociologie au Queens College. La vente de Stuy Town « symbolise la fin de la classe moyenne à Manhattan », dit-il, blâmant les choix politiques des années 80-90.

[...]

Dalton Conley, sociologue à l'Université de New York, déplore la ségrégation sociale, source de difficultés accrues pour les démunis, perte d'authenticité pour les plus favorisés.

[...]

Catherine Hours (AFP)

http://www.batiactu.com/data/07092006/0 … 92607.html

Bizarre, cette impression de déjà-vu... Mais où était-ce, déjà ?

On se le demande bien... Mais je n'ai pas envie de parler métaphysique ce soir, trop usant... 

BatiActu 20-09-2006

Hochtief remporte la construction du nouveau stade de baseball des Yankees

Le numéro un allemand du BTP Hochtief a remporté un contrat pour construire le nouveau stade de baseball de l'équipe des Yankees à New York. Le montant total du projet s’élève à 486 millions d'euros.

The Turner Corporation, la filiale américaine de Hochtief, a été chargée de la construction du stade de baseball de l’équipe des Yankees. La société avait déjà fourni, plus de deux auparavant, les estimations nécessaires aux travaux.

D'une capacité de quelque 50.800 sièges, ce nouvel équipement sportif sera situé dans le quartier du Bronx sur une surface totale d’environ 14.000 m2. Si sa conception reflète le stade original construit en 1923, des spécificités plus modernes ont été apportées, comme un terrain construit au-dessous du niveau de la rue pour faciliter l’accès ou encore la création de 67 loges VIP.
Le stade, dont les travaux ont déjà commencé, devrait être terminé à temps pour la saison de baseball en 2009.

http://www.batiactu.com/data/20092006/2 … 22843.html

Le Monde, 20/09/2006

L'horizon incertain du "skyline" de Manhattan
LE MONDE | 20.09.06 | 16h58
   
Propagande, coup de pub, ou, ne l'excluons pas, angélisme des responsables de l'Etat et de la ville de New York dont la pensée ne ferait plus qu'une, enfin, avec celle du promoteur Larry Silverstein ? Cinq ans après les attentats contre le World Trade Center, et à l'occasion de ce triste anniversaire, les projets supposés définitifs qui viendront remplacer l'ancien coeur financier de New York ont été dévoilés le 7 septembre par le gouverneur de l'Etat de George Pataki. A une tour près, la tour 5, qui ferait encore débat, tandis que la tour 7, reconstruite dès 2004, ne fait mystère ni de sa discrétion raffinée (une peau de verre saisissante) ni de son incapacité à trouver preneur.

Depuis plusieurs mois, on connaît désormais le profil hautement disgracieux que doit prendre la tour de la Liberté (Freedom Tower), 541 mètres. Malgré les titres d'excellence que lui donne le Musée juif de Berlin, Daniel Libeskind, lauréat du premier concours international, dont les idées ont pratiquement toutes été enterrées, s'est vu préférer David Childs. Président de la puissante firme SOM, il avait proposé une tour-flamme réduite à un lourd exercice géométrique à la demande des services de sécurité.

L'"OEIL" VERS LE MÉMORIAL

Après des mois de controverse, le projet de mémorial de Michael Arad, dont le budget avait explosé pour revenir à 500 millions de dollars, a également commencé au fond du trou. Les noms des 2 979 victimes, celles du 11-Septembre et celles de l'attentat de 1993, seront finalement visibles au niveau de la rue.

Depuis quelques mois, on savait que les agences initialement pressenties pour occuper la place et garnir les formes du plan directeur de Libeskind avaient été modifiées. Le Français Jean Nouvel était écarté, remplacé par le Britannique Richard Rogers, tandis que le Japonais Fumihiko Maki et le Britannique Norman Foster se trouvaient confirmés dans leur prestigieuse mission de dessiner le nouveau quartier. Ce sont essentiellement ces trois dessins que George Pataki a dévoilés, trois tours de 287 mètres, 381 mètres et 411 mètres. Aussi peu jumelles qu'il se peut.

La tour conçue par Lord Foster, la plus haute, sera constituée de quatre éléments distincts surmontés de facettes biseautées et orientées de façon à diriger "l'oeil" de l'édifice vers le mémorial. Drôle d'animal, symbole infantile qui tend à prouver qu'à la charge émotive recherchée par Libeskind a été préférée une image simpliste. Foster étant connu pour son perfectionnisme, le résultat pourrait être moins niais que les vues distribuées au public potentiel des acheteurs. Il faudra en effet trouver des acquéreurs pour 800 000 m2 de bureaux répartis entre les quatre tours alors qu'un sondage du New York Times et de la chaîne CBS indique que six New-Yorkais sur dix refuseraient de travailler dans les étages supérieurs des nouveaux gratte-ciel. Il n'en reste que quatre pour supporter ce florilège d'architecture dépourvu de signification.

Lord Rogers, second dans l'ordre des préséances, plus imaginatif que son compatriote Foster, a dessiné une tour qui rappellera peut-être, en plus symétrique, ses immeubles pour la banque Lloyds de Londres.

Pour la tour 4 enfin, Fumihiko Maki, l'un des crayons plus élégants parmi les architectes japonais, a donné un dessin convenu mais assez mystérieux pour laisser ouverts tous les avenirs possibles à ce chantier sans fin.
Frédéric Edelmann
Article paru dans l'édition du 21.09.06

Le Moniteur 11-10-2006

Un petit avion s'écrase contre un immeuble à New York
Un petit avion s'est écrasé mercredi contre un immeuble résidentiel de 50 étages dans un quartier chic situé à l'est de Manhattan, à New York.

Le porte-parole des pompiers a expliqué qu'un avion s'était écrasé contre la tour "Belaire", un immeuble résidentiel de 50 étages de la 72e rue est à New York, au niveau du 20e étage. Selon des témoins, le crash a provoqué un bruit sourd, et on pouvait voir des flammes et de la fumée noire s'élever vers le ciel.
Cette tour a été construite à la fin des années 1980 et est située près de la Maison d'enchères Sotheby's. Elle accueille 183 appartements, dont beaucoup ont été vendus plus d'un million de dollars (800.000 euros).

"Nous ne pouvons pas confirmer pour l'instant combien de gens sont morts", a déclaré à l'AFP une porte-parole de la police
Le FBI (police fédérale) n'a pas d'indication pour le moment sur un lien entre cet accident et un acte terroriste, a indiqué un porte-parole du FBI.
La Maison-Blanche a indiqué ne pouvoir retenir ni écarter aucune hypothèse quant à la cause du crash, mais le niveau d'alerte nationale n'a pas été relevé.

http://www.lemoniteur-expert.com/depech … mp;acces=1

c'est cette tour-ci la Belaire

Merci stpeh35 pour l'image, il y a égallement un article dans Le Monde:

Un petit aéronef s'est écrasé contre un immeuble au centre de New York
LEMONDE.FR avec AFP, AP et Reuters | 11.10.06 |
   

REUTERS/KEITH BEDFORD
Un petit avion s'est écrasé mercredi 11 octobre contre un immeuble de Manhattan, situé au centre de New York.


AP
Un petit aéronef s'est écrasé contre un immeuble d'habitation de Manhattan, dans le centre de New York, mercredi 11 octobre 2006.

Un petit avion de tourisme s'est écrasé, mercredi 11 octobre, contre un immeuble d'habitations dans un quartier chic situé à l'est de Manhattan, à New York, a annoncé la police. La confusion règne pour l'instant quant au nombre de victimes. Une porte-parole de la police a indiqué qu'au moins deux personnes sont décédées. Une information confirmée par George Pataki, le gouverneur de l'Etat de New York. "Il y a eu des victimes, mais il faudra du temps pour avoir tous les chiffres précis et tous les détails", a déclaré le gouverneur. Le bilan pourrait être de quatre morts. Deux victimes, toujours attachées à leur siège d'avion, auraient été découvertes dans la rue longeant l'immeuble. Deux autres personnes auraient été retrouvées mortes dans l'immeuble mais ni la police, ni les pompiers de la ville ne souhaitaient donner de bilan dans l'immédiat.

La Maison Blanche a indiqué que tous les éléments disponibles convergent vers la thèse de l'accident, même si la cause n'est pas formellement établie. Auparavant, elle avait indiqué ne pouvoir retenir ni écarter aucune hypothèse. Un porte-parole de la Maison Blanche a précisé que le président George W. Bush avait été "informé peu de temps après que cela soit arrivé". Le FBI avait pour sa part précisé ne pas avoir d'indication sur un lien entre cet accident et un acte terroriste. "Les premières indications semblent montrer qu'il pourrait s'agir d'un terrible accident", a souligné le porte-parole du Secrétariat américain à la Sécurité intérieure Russ Knocke.


Le niveau d'alerte nationale n'a pas été relevé.

LE PILOTE SERAIT UN CÉLÈBRE JOUEUR DE BASE-BALL AMÉRICAIN

[...].

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 … 472,0.html

Voici un cliché que j'ai pris depuis la terrasse d'un penthouse privé sur la 5ème avenue. Là-haut, au calme, en plein milieu de Manhattan, Flatiron d'un côté, Empire State de l'autre, on se sent au centre du monde. Il paraît que des scènes de Spiderman 2 y ont été tournées, pour ceux qui auraient vu ce film.

J'adore celle-là, prise depuis l'entrée de Chrysler building, reflet dans le building d'en face:

^^ Joli 

Surprenante photo !

En ce qui concerne cet avion piloté par une vedette du Baseball Américain qui s'écrase sur un buiding de NY un 11 Octobre, il y a de quoi halluciner.
D'un côté j'ai entendu sur Europe 1 que le gars était apparu plutôt déprimé récemment à ses proches. De l'autre, j'ai également entendu qu'il aurait lancé un appel de détresse avant le crash.
Est-ce vrai, naturellement ? Et dans ce cas quelle interprétation donner à cet acte ? Suicide médiatique ? En essayant d'éviter des morts collatérales ? Il y avait quelqu'un avec lui dans l'avion pourtant...
Etrange affaire, et coup de projecteur "maladroit" sur une très belle tour d'habitations, ma foi.

Super cette photo du reflet du Chrysler 


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BatiActu 12-10-2006

Un hôtel new-yorkais racheté par un fonds émirati pour 285 M$

Istithmar, un fonds d'investissement de Dubaï, a annoncé mercredi le rachat du W Hotel Union Square, un luxueux hôtel de Manhattan. Le montant de la transaction s’élève à 285 millions de dollars.

Istithmar, un fonds d'investissement émirati de Dubaï, poursuit ses emplettes aux Etats-Unis. Et s’offre l’Hotel Union Square pour la modique somme… de 285 millions de dollars. Une opération qui s’inscrit dans le cadre d'une stratégie «d'investissements dans des propriétés symboliques à travers le monde», déclare le fonds dans un communiqué.

En juin, le fonds avait acquis au fonds d'investissement immobilier Boston Properties un immeuble de 32 étages au coeur de Manhattan pour 1,2 milliard de dollars. Une semaine auparavant, le fonds émirati avait annoncé le rachat d’un immeuble des années 1920 de style «Beaux Arts» à Times Square, pour 300 millions de dollars.
Et un mois plus tôt, Istithmar avait annoncé le rachat, pour 300 millions de dollars, de la chaîne de magasins Loehmann de New York.

http://www.batiactu.com/data/12102006/1 … 94206.html

Oh surprise, dans la cour du MoMA, un petit "Calder", comme à la Défense.

Pas trop loin de là, le building "Bank of America" qui commence de grimper, et qui sera livré en 2008. Hauteur prévue: 366 mètres.

Batiactu, 13/10/2006

Norman Foster inaugure la première tour environnementale certifiée de New York

L’architecte britannique Norman Foster a inauguré le 9 octobre la première tour de bureaux certifiée haute qualité environnementale de New York (Etats-Unis). Le groupe de communication Hearst, qui l’occupe, espère servir de modèle.

La «Hearst Tower» (182 m de haut, 46 étages, 67.000 m2), inaugurée lundi sur la 8ème avenue de New York (Etats-Unis), est la première tour de bureaux de la ville à obtenir une certification environnementale. Baptisée LEED ( «Leadership in Energy and Environmental Design» ), cette certification a été décernée en septembre dernier par le «U.S. Green Building Council», reconnu comme l’autorité nationale suprême en matière de constructions sensibles aux questions d’environnement. Victor F. Ganzi, Pdg du groupe de communication Hearst (maître d’ouvrage), s’est dit «fier de cette certification, car elle valide notre détermination à construire le meilleur édifice pour nos employés, nos voisins et notre ville». Il espère qu’elle permettra de «rehausser la qualité environnementale des futures tours de bureaux à New York».

«Concevoir un gratte-ciel qui consomme significativement moins d’énergie qu’un gratte-ciel new-yorkais standard», telle a été l’obsession de l’architecte britannique Norman Foster. Une conscience environnementale qui a guidé l’ensemble du chantier. Lors de la démolition de l’intérieur du bâtiment d’origine (1928) - dont il ne reste aujourd’hui que les façades Arts Déco -, les matériaux recyclables ont été mis à part pour être réutilisés dans la nouvelle structure. L’ossature métallique est par exemple composée à 85% d’acier recyclé. A ce sujet, la «Hearst Tower» est la première tour de bureaux d’Amérique du Nord à ne pas positionner les poutres d’acier de sa façade à la verticale, mais à l’oblique. Outre sa qualité graphique - le bâtiment semble comme emmailloté dans un filet -, cette structure triangulée permet d’économiser environ 2.000 tonnes d’acier. Elle renforce également la stabilité de l’ouvrage.

Gestion économe de l’éclairage et de l’eau
Le vitrage faiblement émissif choisi pour l’enveloppe extérieure laisse pénétrer la lumière naturelle mais isole de la chaleur du soleil. A l’intérieur des bureaux, des capteurs contrôlent l’apport en lumière artificielle selon la quantité de lumière naturelle présente à chaque étage. L’objectif étant le confort visuel des employés. De plus, si ces derniers quittent leur bureau sans éteindre la lumière ou leur ordinateur, des capteurs détectent leur absence et le font à leur place. Ces dispositifs, et bien d’autres, devraient permettre de réduire la facture énergétique de 20% par rapport à un immeuble de bureaux standard. Afin d’éviter l’engorgement des égouts de la ville, le toit du gratte-ciel a été conçu pour collecter 25% des eaux pluviales. L’eau est dirigée vers une cuve de 53.000 litres située au sous-sol. Elle sert à la moitié des besoins en eau du bâtiment et des plantes. Son utilisation la plus spectaculaire se trouve dans l’atrium, où une cascade de 8 mètres de haut humidifie l’air en hiver et le rafraîchie en été.

Les intervenants
Maîtrise d’ouvrage : Hearst Corporation.
Maîtrise d’oeuvre : Foster and Partners, architectes ; Adamson Associates, architectes associés; Gensler, architectes d’intérieur.
Bureaux d’études techniques : Cantor Seinuk Group, ingénieurs structure ; Flack & Kurtz, ingénieurs mécaniques.

Milena Chessa

13/10/2006

A noter que la ville a mis en place un petit état d'alerte dû à la neige qui s'abat sur la ville actuellement :

samedi 14 octobre 2006, 6h01 
Chutes de neige records dans l'Etat de New York

BUFFALO, New York (AP) - Une tempête de neige particulièrement précoce s'est abbatue sur la ville de Buffalo, faisant trois morts. La neige lourde et épaisse a également brisé les branches d'arbres dans tout l'ouest de l'état de New-York (nord-est des Etats-Unis) et laissé quelque 392.000 habitations et entreprises dans l'obscurité.

L'état d'urgence a pris effet dans la région, et les déplacements non essentiels ont été interdits. Des branches d'arbres et des lignes haute tension étaient étendus sur les véhicules et les maisons, et les rues de Buffalo couverte de neige.

Le comté d'Erie a annoncé que deux personnes sont mortes dans des accidents de la route, et qu'une troisième avait été tuée par une chute de branche.

La neige, tombée en rafales et accompagnée de tonnerre et d'éclairs, a recouvert Buffalo et les environs jeudi soir et tôt vendredi. Au total, 170 kilomètres de routes avaient été coupées, et l'eau et la nourriture étaient distribuées grâce à des véhicules équipés pour la neige.

Jeudi, 22 centimètres de neige est tombée sur Buffalo, ce qui constitue un record pour une journée d'octobre en 137 ans d'histoire du service météorologique. Le record précédent était de 15 centimètres, en 1917, et le record absolu de 30 centimètres en une journée, en février. AP

source yahoo.fr

BadGuYoM a écrit:

A noter que la ville a mis en place un petit état d'alerte dû à la neige qui s'abat sur la ville actuellement :

Tu veux rigoler? Grand ciel bleu ce soir.
Même bien plus au nord vers Albany (j'en reviens) ou Catskill pas un poil de neige.
L'Etat de New York est gigantesque et Buffalo est très loin.

ASCENCEUR DU ROCKEFELLER CENTER

Quand on va au top of the rock', on prend d'abord un ascenceur qui grimpe au 67ème étage.
Et alors là, c'est parti le son et lumières, avec plafond transparent!
Désolé, la vidéo n'est pas de bonne qualité:

http://grrroux.free.fr/ny/MVI_0643.avi

C'est rare de pouvoir examiner une cage d'ascenceur de l'intérieur.

Batiactu 18-10-2006

Etats-Unis : un complexe immobilier cédé pour 5,4 milliards de dollars

MetLife, compagnie d’assurances américaine, a vendu à l’un des plus gros promoteurs new-yorkais, un complexe immobilier composé de 110 immeubles pour un total de 5,4 milliards de dollars.

C’est officiel ! MetLife a cédé au promoteur immobilier new-yorkais Tishman Speyer, associé au fonds BlackRock, un complexe immobilier pour la somme de 5,4 milliards de dollars. Situés à l’est de Manhattan, les 110 immeubles composent les complexes Peter Cooper Village et Stuyvesant Town.

En juillet dernier, MetLife avait déclaré son intention de trouver « des options stratégiques » pour ces bâtiments. La transaction, qui doit rapporter à MetLife 3 milliards de dollars nets d'impôts, était depuis très attendue.
Alors que les prix de l'immobilier à Manhattan flambe année après année, des locataires s’étaient constitués en collectif pour acquérir l'un des derniers ensembles de logements à prix modérés de l’île new-yorkaise. Le prix d’achat est finalement supérieur au montant de 5 milliards qui avait été évoqué en août dernier dans la presse.
« Peter Cooper Village et Stuyvesant Town sont des actifs extraordinaires et nous sommes très heureux des réactions des investisseurs que nous avons reçues pour cette vente », a indiqué la compagnie d’assurances dans un communiqué.
Situé au bout de l'East Village, le complexe des années 1940 compte 11.200 appartements construits sur plus de 32 hectares.

http://www.batiactu.com/data/18102006/1 … 11207.html

Cyberarchi 02-11-2006

The landmarks of New York : Patrimoine architectural de New York, à Strasbourg (67)

Le 40e anniversaire de la loi sur la protection du patrimoine architectural de New York fut l’occasion d’une exposition de photos d’abord présentée au Municipal Art Society de New York. Elle a voyagé jusqu’à Strasbourg pour le mois de novembre.



La ville de New York a célébré en 2005 le 40e anniversaire de la loi sur la protection de son patrimoine architectural. Cette législation fait date car elle permet d'inscrire et de protéger les bâtiments publics et privés ainsi que les objets ayant un caractère unique, une valeur historique ou esthétique reconnue pour le développement culturel de la ville, de l'état et de la nation. Il est à noter une attractivité croissante des quartiers concernés depuis que la loi est appliquée, comme le montre l'impact économique positif.

Cette loi, une des premières aux Etats-Unis d'Amérique, a servi de modèle à d'autres états et a permis de préserver de nombreux autres sites et monuments. La ville de New York compte à elle seule 1116 monuments classés, 104 intérieurs classés, 9 sites naturels et 84 quartiers historiques comprenant 22.100 propriétés, soit le plus grand nombre de monuments classés dans le pays. Divisés en trois catégories, ils comprennent les bâtiments ou objets, les espaces verts et les quartiers historiques.

«The landmarks of New York - Patrimoine architectural de New York», organisée à l'origine par le Centre de Protection des Monuments Historiques de la ville de New York, illustre certains des sites les plus caractéristiques et originaux de l'architecture new-yorkaise. L’exposition sera visible à Strasbourg dés le 6 et jusqu’au 27 novembre.

«The landmarks of New York - Patrimoine architectural de New York» est composée d'environ 80 photos en noir et blanc, encadrées et accompagnées d'une légende qui apporte un éclairage culturel, historique et architectural sur chacun des sites présentés. Les photos ont été prises par une cinquantaine de photographes différents, connus ou simples étudiants, qui ont su capter l'âme new-yorkaise.

The landmarks of New York - Patrimoine architectural de New York
Du 6 au 27 novembre
CAUE du Bas-Rhin
5 rue Hannong
Strasbourg
Tél. : 03.88.15.02.30
Email : caue67@wanadoo.fr

http://www.cyberarchi.com/actus&dos … icle=10337

Style in the city
The last major project of Philip Johnson's career is a mega hit

Is a modernist residence the latest luxury accessory of the rich and famous? Judging from the brisk sales of units at The Urban Glass House, a new, luxury condominium project located in Soho New York designed by Philip Johnson and Alan Ritchie, one would think so. The 11 storey 40-unit project, which is ready for occupancy in 2007, is 80% presold. And the penthouse unit set a record for the neighbourhood. No small feat given that real estate market has cooled and that the units here are pricey, ranging from 1.6 to 12.5 million dollars. Part of the project’s success is that it has been cleverly marketed as the urban version of an iconic building, Johnson’s Glass House in New Caanan, Connecticut, which the architect completed in 1949 and occupied until his death in 2005. Ritchie says in scale and context, the Urban Glass House echoes the Seagram building. But the details are drawn from the Glass House. The building’s palette is limited and restrained, with steel and glass as primary materials. Inside, Annabelle Seldorf has designed rich, warm yet spare interiors. White oak floors are laid in a chevron pattern like the brick floors in the original Glass House, and large expanses of glass are used throughout.

Sharon McHugh
WAN US Correspondent


lien:http://www.worldarchitecturenews.com/index.php?fuseaction=wanappln.projectview&upload_id=610