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100% de ton avis Lambig. Mais cela pourrait/aurait dû s'accompagner d'une politique de développement du transport en commun plus ambitieuse et plus cohérente ! (Prolongement et développement de lignes notamment vers des axes sans transport en commun aujourd'hui, ligne radiale périphérique, autre moyen de transport...)
Mais bon on va se dire que c'est en cours de réflexion et d'organisation 🤞
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Le tramway est à nouveau développé. Le métro commence à devenir un sujet sérieux. Le vélo, également. On parle maintenant de service express métropolitain pour exploiter pleinement l'étoile ferroviaire... Je ne me fais aucun souci quant au développement des modes alternatifs à la voiture individuelle. Et ça va de paire avec la requalification urbaine. L'un ne va pas sans l'autre.
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Je te rejoins Lambig.
J'y ajouterai qu'en parallèle, d'autres parkings publics à l'orée de l'hypercentre voient le jour, notamment 501 places à venir sous l'Ecole de Design et 500 places à Viséo sur Euronantes. Rien qu'avec ces deux-là, on récupère les 1000 places perdues sur Petite Hollande.
De ces parkings au centre piétonnier il n'y a qu'un pas ou un saut en tram, et la voiture a davantage vocation à être stoppée dans ces zones limitrophes - bien que centrales - plutôt que de tout vouloir agglutiner dans le coeur de ville.
Dernière modification par johan (18-10-2020 20:35:52)
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Et vous proposer quelle solution pour les commerçants du marché??
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Comme tous les marchés (ou presque) en France non? Comme aujourd'hui ... Les véhicules à proximité des étales le temps du marché.
Par contre, ce qui serait le bienvenue, ce serait de profiter du réaménagement pour mettre le marché un peu plus près de Feydeau, de sorte a éviter/limiter tous ces déchets qui, chaque samedi, finissent dans la Loire à cause du vent ...
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matou44 a écrit:
Et vous proposer quelle solution pour les commerçants du marché??
Quel est le rapport ? Y a-t-il besoin d'un parking souterrain à 20 millions d'euros pour stationner des fourgons 1 matinée par semaine ?
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J'aurai bien vu un marché couvert, évidemment pas sur toute l'esplanade mais un petit pavillon (quitte à ce que celui ci soit ouvert tous les jours comme Talensac), et en effet plus proche de Feydeau !
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Indé.pdt a écrit:
J'aurai bien vu un marché couvert, évidemment pas sur toute l'esplanade mais un petit pavillon (quitte à ce que celui ci soit ouvert tous les jours comme Talensac), et en effet plus proche de Feydeau !
complètement d'accord, un pavillon reprenant la forme du square, en proue de l'île, avec un marché prolongé à l'extérieur chaque samedi.
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johan a écrit:
matou44 a écrit:
Et vous proposer quelle solution pour les commerçants du marché??
Quel est le rapport ? Y a-t-il besoin d'un parking souterrain à 20 millions d'euros pour stationner des fourgons 1 matinée par semaine ?
C'est une question d'ordre pratique pas une agression !! Comme dans le projet original il etait souhaité que visuellement il n'y est que les commerces (d'ailleurs comme Talensac) il faut bien une solution à moins de vouloir tuer le marché??
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Pas d'agression ni dans la question, ni dans la réponse, toutes deux "brut de décoffrage".
Puisque tu mentionnes Talensac comme point de comparaison, il faut savoir que celui-ci a une organisation double : les commerçants à demeure dans le marché couvert + les ambulants (surtout le WE) à l'extérieur. Et ces derniers ont bien leur camionnettes à proximité des étals.
Pour en revenir au marché de la Petite-Hollande, il a toujours été dit que son maintien faisait parti intégrante du projet de réaménagement. Donc, même sans parking souterrain, il y aura des emplacements aériens pour les étals et le stationnement des camionnettes. Comme dans 99% des marchés français, en somme.
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Concernant le sujet chaud bouillant du stationnement, il faut aussi considérer le CHU.
Autour de l'existant, les parkings me semblent vraiment limités : 583 places sur les 5 parkings disponibles (CHU, CHU2, Gloriette 1 et 2, Hôtel Dieu). Je pense (dites-moi si je me trompe) que pas mal de visiteurs du CHU utilisent les parkings publics environnants, dont Petite Hollande et peut-être Commerce.
Tout ce trafic sera à soustraire de l'équation si compliquée du stationnement à la Petite Hollande lors de la mise en service du nouveau CHU, et cela justifie (peut-être !) à lui seul la non-construction de ce souterrain de la discorde.
Si j'en crois ce que j'ai glané sur le net, verrait apparaître "3500 places en proximité du CHU". C'est un chiffre conséquent, qui de plus me semble exclure les parkings propres au CHU (personnel, véhicules de service...).
Dernière modification par johan (19-10-2020 23:26:46)
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Ha oui ! Très juste ! Une fois la place libéré cette espace (au-delà de servir de parc urbain si j'ai bien suivi) offrira de nombreuses places à l'entrée de l'hyper centre !
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Vu la politique* actuelle, vous pouvez être sûr que ces "nombreuses places libérées à l’entrée de l'hyper-centre" feront l'objet de diverses programmations (bâties et non-bâties) à moyen terme. Donc, en 2026 la tension du stationnement local sera détendue par le transfert du CHU, mais cela se réduira comme peau-de-chagrin les années suivantes.
*Politique qui consiste à limiter la place accordée à l'automobile sur la voirie (voies de circulation + stationnement aérien) au profit d'un "rééquilibrage" pour les autres modes (tram, bus, vélo, piéton...).
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Rajiv a écrit:
Vu la politique* actuelle, vous pouvez être sûr que ces "nombreuses places libérées à l’entrée de l'hyper-centre" feront l'objet de diverses programmations (bâties et non-bâties) à moyen terme. Donc, en 2026 la tension du stationnement local sera détendue par le transfert du CHU, mais cela se réduira comme peau-de-chagrin les années suivantes.
*Politique qui consiste à limiter la place accordée à l'automobile sur la voirie (voies de circulation + stationnement aérien) au profit d'un "rééquilibrage" pour les autres modes (tram, bus, vélo, piéton...).
Je pense que ton raisonnement est juste, il faut ajouter à cette problématique la réticence à l'usage des parkings en ouvrages qui sont sous-utilisés.
Construire un ouvrage supplémentaire alors qu'il reste de la place dans les parkings voisins (le parking Deurbrouck pourrait se libérer aussi) et que l'on prévoit qu'il sera sous-utilisé, c'est loin d'être optimal.
Il ne faut pas surestimer la politique de diminution de l'espace automobile, elle est visible dans certains espaces centraux et fort symboliques mais à l'échelle de l'agglomération, c'est beaucoup plus léger. Et elle n'est pas assumée si fortement (ici c'est la concession électorale aux verts qui est assumée).
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Nantes : un parc arboré en bord de Loire à la place des parkings… mais sans souterrain
(...) Johanna Rolland indique que le square Daviais sera maintenu en l’état, car "un dialogue citoyen n’a pas permis de dégager un consensus".
Repères
- Jusqu’à fin décembre 2020 : concertation rallongée de trois mois par la délibération du 16 octobre 2020 liée à l’abandon du parking souterrain.
- De 2021 à 2023 : études de conception, évaluation environnementale et procédures réglementaires.
- 2024 : début des travaux et phasage sur plusieurs années défini lors des études à venir.
Presse Océan, par Frédéric Testu (extrait)
Dernière modification par Rajiv (21-10-2020 14:16:57)
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Lambig a écrit:
antoine75020 a écrit:
Les habitants de la peripherie risque de délaisser le centre ville...
Ça fait trente ans qu'on entend cette petite phrase. Ça fait trente ans qu'elle est démentie. Par hasard, j'étais tombé sur cette archive de 1989 :
https://fresques.ina.fr/auran/fiche-med … antes.html
« Les plateaux piétonniers dans les centre-villes avaient déclenché un énorme tollé parmi les commerçants, consternés par cette révolution urbaine. Aujourd'hui, ce sont les commerçants qui demandent la création de nouvelles zones piétonnes. »
Et pour information, les parkings en ouvrage sont très loin d'être remplis. Ils peuvent très facilement accueillir les voitures garées sur la petite Hollande. Je trouve donc très bien la décision de la mairie, qui :
- fait une économie sur le coup de la réhabilitation de la place ;
- diminue fortement le temps de chantier ;
- envoie un signal fort de réduction de la place de la voiture.
Ce sont les commerçants qui bénéficieront en premier de cet espace réinventé.
A 30 000€ la place de parking il est plus sage de ne pas le réaliser... Cependant, le parking actuel de la petite hollande était un vrai atout pour le centre ville car le dernier parking peu cher (prix du stationnement sur voirie).
Les autres parkings sont peu utilisés car couteux. Et ne conserver que ce type de stationnement revient à mettre en place un péage urbain (=prix du stationnement).
L'avantage de cette solution est la sélection de la CSP dans le centre-ville (ca tombe bien j'en avais marre de ne pas être qu'entre bobos). Les commerçants, après une période d'adaptation, seront donc heureux car moins de clients mais un meilleur panier moyen. Ils pourront réduire leur personnel, réduire leur frais fixe et augmenter leur marge. Sauf pour le mass market...
Bref, cette politique tend à favoriser les CSP+ et à reléguer au périph' et aux centres commerciaux - que la même politique souhaite voir fermer - les autres classes.
Les P+R sont une bonne compensation mais aujourd'hui largement sous dimensionnés et peu nombreux du fait du manque de TC (voir l'exemple des Pays-bas qui sont de très bons élèves sur ce sujet). Les TC aussi mais pas sûr que les gens vont attendre l'ouverture d'une ligne de métro pour aller faire leurs courses... A mon sens, on met la charrue avant les bœufs.
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Tu pars du postulat que la voiture est le moyen de transport des classes modestes et populaires, tandis que les classes les plus aisées n'auraient aucune voiture. Or, c'est totalement faux. Ici, on peut connaître le taux de motorisation des ménages par IRIS. En toute logique, le centre-ville a des taux bas, mais avec de fortes disparités. Le taux de l'hypercentre le plus bas revient à Decré-Cathédrale : 48,08%. Mais ce n'est pas le record à Nantes. Les quartiers populaires sont aussi très peu motorisés. Par exemple, j'ai noté :
- 40,93% au Pin Sec ;
- 53,73% à Dervaillières-Chézine ;
- 57,99% à Malakoff.
Et pourtant, ces quartiers disposent d'importants parkings où l'on peut garer sa voiture gratuitement. Leurs revenus médians respectifs sont tous inférieurs à 8 500€... Ce n'est donc pas la suppression d'un parking qui va faire fuir les classes populaires du centre-ville. Ces taux de motorisation sont bien plus bas que les quartiers aisés de l'hypercentre (83,86% à Canclaux). D'ailleurs le révenu médian de ce quartier est l'un des plus hauts de Nantes : 29 158€.
Comme on peut s'y attendre, plus on s'éloigne de Nantes, plus le taux de motorisation devient important. Et c'est justement là que ça devient intéressant : à quoi est dû le fort taux de motorisation de la périphérie ? Est-ce parce qu'ils n'ont pas le choix de prendre la voiture ? Ou alors est-ce parce qu'ils sont aisés ? Les plus forts revenus médians de la métropole sont situés dans les communes suivantes :
- Sautron, 27 869€ ;
- La Chapelle sur Erdre, 24 666€ ;
- Carquefou, 24 537€ ;
- Basse-Goulaine, 24 884€.
Et devine quoi ? Hormis Carquefou, toutes ces communes ont des taux de motorisation supérieurs (ou quasiment supérieurs) à 95%. En comparaison, la plupart des taux de la métropole (hormis Nantes) oscillent plutôt entre 85 et 92%. Au sein d'une commune périurbaine, la corrélation revenu/motorisation est encore plus flagrante. Par exemple, à La Chapelle sur Erdre :
- Centre-Ville : motorisation de 87,49%, revenu médian à 22 637€ ;
- Bords de l'Erdre : motorisation de 97,82%, revenu médian à 29 878€.
Donc non, ce n'est pas la réduction du stationnement automobile qui est la cause de la gentrification. Ce phénomène est beaucoup plus complexe et mériterait d'être traité à part entière, sur un sujet dédié. Et pour information, un abonnement résidentiel à Commerce coûte 900€ par an, soit 75€ par mois. C'est le prix plancher pour la location d'une place dans le centre-ville... Les prix pouvant atteindre facilement 120€ pour un box fermé. On pourrait également parler du surcoût lié au stationnement automobile dans les programmes neufs, qui se répercute sur le montant du loyer. Si tu n'as pas de voiture, tu paies pour les autres. C'est la double peine pour les classes populaires.
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Lambig,
Tu as raison de dire que la voiture n’est pas le moyen de transport des classes modestes et populaires.
Cependant ce n’est pas le postulat du quel je pars.
Mon postulat est le suivant : qui PEUT fréquenter le centre-ville ? Cela revient à se demander comment y accéder.
Étant récent nantais, j’ai sûrement une analyse incomplète mais il me semble que :
- soit on habite dans le CV (population étudiante, jeune et plutôt aisée et du bureaux, du bureaux et du bureaux) et la question de l’accès ne se pose pas;
- soit on habite autour du CV dont la population est plutôt mixte comme tu l’indiques, l’accès se fait en TC, en vélo, à cheval ou à pied -> pas de sujet pour eux ;
- soit on habite dans les quartiers plus éloignés mais toujours intramuros, la ca devient plus compliqué pour accéder au CV : soit on a la chance d’être motorisé, soit on a la chance d’habiter près du tram ou d’un chronobus (pas très fiable d’après ma courte expérience), soit on a la forme pour faire du vélo. Pour ces quartiers, il faut donc mieux être jeune en bonne forme et habiter près du tram pour profiter du CV (c’est réducteur mais ça marque mon point ;-)) ;
- soit on habite en périphérie ou,pire, en peri-urbain, et la il faut être assez riche pour être motorisé comme tu le démontres et encore plus riche pour payer le péage urbain pour aller en CV.
Donc selon mon postulat, le CV tel que le politique le dessine n’attirera donc plus que les classes aisées à l’échelle de la métropole où les chanceux de la classe modestes et/ou populaires habitants proche d’un centre ville ou d’un rare TC.
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Lesteski a écrit:
Lambig,
Donc selon mon postulat, le CV tel que le politique le dessine n’attirera donc plus que les classes aisées à l’échelle de la métropole où les chanceux de la classe modestes et/ou populaires habitants proche d’un centre ville ou d’un rare TC.
Certes au delà d'une certaine périphérie proche et plutôt riche les couronnes suivantes sont moins aisées, mais le parking en centre-ville n'est pas non plus la solution à l'étalement urbain. Il y a des parkings relais et bientôt une gratuité le week-end.
Il est important de ne pas oublier les réalités socio-économiques dans les problématiques de mobilité, mais il y aussi des mentalités complètement aliénées à la voiture (et au stationnement au plus près).
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Appel d'offres:
Marché de conception-réalisation pour la transformation du pont Anne de Bretagne
Client: Nantes Métropole
II.1.4) Description succincte:
La présente consultation a pour objectif la désignation d'un groupement de conception-réalisation qui sera en charge des études et de la réalisation de la transformation du pont Anne de Bretagne à Nantes en un espace public majeur de la centralité métropolitaine (principaux champs de compétences : l'aménagement urbain et paysager). Ce futur franchissement emblématique sera la pièce maîtresse d'un ensemble de projets urbains, qui se caractérisera par une unicité, une lecture spatiale simplifiée et une parfaite insertion dans les nouveaux paysages des bords de Loire. Il sera également un espace apaisé et partagé, d'accessibilité universelle, avec des mobilités repensées. Plus qu'un franchissement et un espace public, l'ambition est de créer un Pont Place et un Pont Jardin belvédère sur la Loire. Le pont existant mesure 160m de longueur pour environ 20m de largeur. L'intégration des différentes ambitions devrait concourir à élargir notablement la largeur de l'ouvrage (40 à 50m).
[...]
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Le pont Anne-de-Bretagne, hier, aujourd’hui et demain
Du pont transbordeur au pont Anne-de-Bretagne, la Loire se franchit ici depuis 117 ans. D’ici à 2026, il verra circuler le tramway.
1er novembre 1903 : le pont transbordeur est mis en service entre le quai de la Fosse et la Prairie-au-Duc. L’ouvrage métallique supportant une nacelle facilite la vie des ouvriers des chantiers navals. Ils l’empruntent quotidiennement, matin et soir, à pied ou à vélo. C’est Ferdinand Arnodin, architecte et ancien élève de Gustave Eiffel, qui conçoit cet édifice en inventant un modèle de « pont à transbordeur à contrepoids et articulations », une spécificité nantaise reprise quelques années plus tard à Marseille. Fragilisé par les bombardements de la Seconde Guerre mondiale, rongé par la rouille, il est finalement démantelé en 1958, les travaux nécessaires pour sa conservation s’avérant trop lourds.
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Site de la ville de Nantes
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Nantes : Des nouveaux bassins de nage, couverts et découverts, annoncés
Un nouveau bassin couvert sera créé aux Dervallières en 2025. Une piscine nordique verra également le jour quartier Euronantes en 2023
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De son côté, la piscine Léo-Lagrange (Gloriette), la seule à ce jour disposant d’un bassin de 50m, fera l’objet d’une modernisation à l’horizon 2025-2026. Dans ce cadre, une partie du toit sera démontée afin de découvrir l’un des deux bassins, comme à son origine.
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Frédéric Brenon
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https://www.20minutes.fr/nantes/2923239 … decouverts
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Projet Gloriette Petite-Hollande : réunion publique le 15 janvier
Lancée en janvier 2020, la concertation publique réglementaire sur ce projet phare s’achève le 3 février 2021. Pour en savoir plus, Nantes Métropole propose aux habitants une réunion publique en ligne, vendredi 15 janvier à 19 h.
Première étape du projet « Loire au cœur » qui vise, à terme, à redessiner 4 km de rives de la gare (canal Saint-Félix) jusqu’au Bas-Chantenay (Jardin extraordinaire), le réaménagement de l’esplanade Gloriette Petite-Hollande va profondément transformer le centre historique de Nantes dans les années à venir. Inscrit parmi les 30 engagements pris en 2015 par Nantes Métropole après le grand débat sur la Loire, ce projet emblématique a fait l’objet de nombreux débats et avancées depuis 2017. Choix de l’équipe de paysagistes, architectes et urbanistes - auquel a pris part un panel d’habitants -, enquêtes sur le marché, contributions numériques, atelier citoyen, réunions avec les commerçants et les acteurs associatifs, culturels ou économiques… Près de 800 personnes, habitants et professionnels, ont contribué à ce projet, avec des échanges sur la place de la nature, la question des déplacements, la vie du marché, les loisirs qui pourraient s’y développer, etc.
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Nantes. Pourquoi des sondages sont-ils effectués actuellement à 20 mètres sous la Loire?
Marc Fleury, le directeur régional ouest de Fondasol, bureau d’études en ingénierie géotechnique, fait le point sur l’avancée du chantier sur la Loire.
Depuis début novembre et jusqu’au milieu du mois de février, une curieuse barge se promène autour de la passerelle Victor-Schœlcher et du pont Anne-de-Bretagne. Plusieurs individus y font des sondages pour le compte de la société avignonnaise Fondasol, créée en 1958 par Charles Saint-Rémy Pellissier, qui s’est rapidement imposée comme une référence dans le domaine de l’expertise géotechnique. La direction ouest, située à Orvault, gère les deux chantiers avec du personnel local.
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Presse-Océan
https://www.ouest-france.fr/pays-de-la- … 5cac6478dc
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