Hambourg
© Piéton
Architecture – Urbanisme – Aménagement du territoire
Publicité
La derniere fête du vin a attiré 350 000 personnes sur le week-end et pour avoir un oncle guide a l'office de tourisme de Bordeaux, les étrangers etaient nombreux, ce qui ne veut pas dire qu'ils s'etaient rendu sur Bordeaux pour l'evenement.
Et pour la fete du fleuve je crois que la frequentation est comparable. Je trouve ces chiffres plutot encourageant.
Avec un effort sur la publicité, ces manifestations pourraientt pretendre a mieux, j'en suis sur.
Je pensais comme tom 33 pour le festival du laser
Publicité
Festival Novart Bordeaux : des pépites d'art
Du 1er au 31 novembre, tous les arts sont permis dans la région bordelaise. Pièces de théâtre, concerts, expositions, chaque art est dignement représenté à l'occasion de ce festival ouvert, insolite, imaginatif, dense et éclectique.
Les amateurs d'art attendaient le mois de novembre avec impatience. Pour sa 5ème édition, le festival voit les choses en grand : 104 représentations dans 23 lieux de spectacle de la CUB, parmi lesquels le Carré des Jalles de Saint-Médard en Jalles, le Rock School Barbey ou encore la salle Bellegrave de Pessac.
Pour cette édition, le TnBA accueille la chanteuse Susheela Raman, le 9 novembre. Ne manquez pas le concert de cette artiste indienne qui revendique ses doubles origines et son métissage musical.
Le BTT (Ballet Tout-Terrain) vous invite à essayer les vêtements de la garde-robe à danser du 6 au 11 novembre. Cette performance chorégraphiée intitulée Prêt-à-porter, qui a lieu dans la boutique de chaussures Michard Ardillier réconciliera fashion victims et passionnés d'art et de danse.
Le jeune public n'a pas été oublié. 2 spectacles lui sont dédiés : Le banquet de la mandibule et Je cacherai mes peurs sous le tapis à l'Opéra.
Un bus très contemporain
Tous les premiers dimanches du mois, le bus de l'art contemporain propose un circuit de musée en galerie pour le plus grand plaisir des amateurs d'art. Intéressons-nous à cette initiative originale.
Départ à 14h30 au Kiosque Culture. Le parcours dure 4 heures et concerne 7 lieux de la ville acteurs de l'art contemporain. A bord du bus, un médiateur culturel - souvent un graphiste ou un peintre - commente les musées et galeries visités avec son oeil d'expert et sa sensibilité.
Autre particularité : le ticket remis aux passagers est dessiné par un artiste différent chaque mois. Il devient ainsi une oeuvre d'art à collectionner.
Pour un prix de 5 €, baladez-vous dans les lieux culturels à bord de ce bus pas comme les autres et soutenez par la même occasion de Dimanche à Bordeaux sans voitures, le premier dimanche de chaque mois. De plus, ce moyen de transport agréable est une mesure du programme "Culture en mouvement" visant à rendre l'art accessible aux Bordelais.
Est-ce que cette idée aussi ludique et inédite soit-elle, fera aimer l'art contemporain aux plus réfractaires ?
http://www.fra.cityvox.fr/actualite_bor … 2/PageNews
Vinitech 2006 à Bordeaux
Du mardi 28 au jeudi 30 novembre 2006, un monde d'échanges dans un monde qui change.
Un monde d'idées, de perspectives au service de chaque professionnel, chaque homme et femme de la vigne et du vin: tel est le mot d'ordre des organisateurs de Vinitech pour la prochaine édition du salon. A l'heure des changements mondiaux, ce grand rendez-vous de la filière vitivinicole internationale accentue sa vocation d'accompagnateur de tous les professionnels du secteur. Il ouvrira ses portes du 28 au 30 novembre prochain au Parc des expositions de Bordeaux-Lac.
L'ambition de Vinitech 2006 est claire: permettre aux professionnels de trouver des solutions pour faire évoluer leur métier et leurs pratiques, voire pour les imaginer, quelle que soit leur vision du vin, artisanale ou industrielle ou leur type de vin ou de spiritueux, et mieux appréhender les attentes du consommateur. C'est ainsi que cette grande biennale qui réunit tous les constructeurs et fabricants d'équipements et techniques de la filière vitivinicole mondiale, avec le soutien des représentants de la profession, adopte un nouveau positionnement. Il s'appuiera sur une structuration inédite de l'offre représentant tous les modes de production et l'ensemble des univers (vinicole, viticole, embouteillage, conditionnement), sur la mise en avant spécifique de procédés ou d'innovations techniques et l'intégration de conférences et débats autour des enjeux, des perspectives et des problématiques intéressant la filière. L'offre du salon sera centrée sur l'activité dans l'élaboration du vin, depuis la terre, jusqu'au client final. Elle s'articulera autour de trois nouveaux pôles.
- Terre et culture de la vigne: matériel de traction, matériel de sol et entretien, pépinières, phytosanitaires, fertilisants, matériels de taille et de vendange.
- Savoir-faire et vins: matériels de transport et réception de vendange, matériel de traitement, cuves, applications et équipements de laboratoires, bâtiment, énergie, environnement, hygiène, logistique, maintenance.
- Orientations et marchés: embouteillage, emballage, marketing et communication, formation, informatique, prestataires de services, édition, finances et assurances. Mise en place au sein de ce pôle d'un univers «Vins, images et objets» et d'un espace marketing et communication ainsi que conseil aux entreprises.
Parallèlement aux conférences scientifiques et techniques organisées dans le cadre du salon et au colloque international Mondiaviti rassemblant les experts du monde entier, Vinitech proposera un programme de rencontres, véritable tribune d'expression, à l'heure où la filière a besoin d'échanger pour inventer son avenir.
Bordeaux : Vinexpo veut reconquérir les pays du Nouveau Monde
23/11/2006
Vinexpo se donne tous les moyens pour faire revenir les pavillons nationaux d’Australie, Nouvelle-Zélande et Afrique du Sud, lors de la prochaine édition qui se tient en juin prochain à Bordeaux. En juin 2003, un camion avait endommagé les installations de climatisation d’un des bâtiments, où durant une journée la température avait dépassé les 40°C. Suite à cet incident, les organisations professionnelles de ces trois pays, qui étaient abritées dans ce fameux hall, avaient décidé de ne pas participer à l’édition 2005. « Nous avions des représentants de ces pays », précise le directeur général Robert Beynat, l’Etat australien occupait par exemple 90 m2, l’équivalent de la surface retenue en 2003 par l’AWBC (Australian Wine and Brandy Corporation). Mais au total, la surface occupée par l’Australie, tous exposants confondus, était tombée de 500 à 350 m2. » Pour faire revenir ces pavillons nationaux, Vinexpo a prolongé l’offre qui avait été faite à tous les exposants concernés par le problème de climatisation, à savoir une réduction de 20% sur la location de surface. Robert Beynat, qui a rencontré Sam Tolley, le président de l’AWBC, la semaine dernière à Adelaïde, dit avoir bon espoir d’obtenir gain de cause. La décision australienne devrait être connue cette semaine. Des contacts sont également en cours avec des représentants des pavillons nationaux de Nouvelle-Zélande et d’Afrique du Sud.
Avec une surface totale de 90 000 m2 dont 41 000 m2 d’exposition, Vinexpo est de loin le premier salon international du vin. « Contrairement à Londres où les exposants sont surtout des importateurs, à Bordeaux nous avons les maisons-mères et leurs patrons sont là », affirme Robert Beynat.
Les limites d'un principe, par Ruwen Ogien
LE MONDE | 24.11.06 | 13h08
L'actuel directeur de l'Ecole nationale des beaux-arts de Paris, Henry-Claude Cousseau, vient d'être mis en examen sous les chefs de diffusion de message violent, pornographique ou contraire à la dignité, accessible à un mineur et diffusion de l'image d'un mineur présentant un caractère pornographique, pour avoir organisé, en tant que directeur du Musée d'art contemporain de Bordeaux, l'exposition "Présumés innocents : l'art contemporain et l'enfance", en 2000 (Le Monde du jeudi 23 novembre).
En réalité, cette mise en examen au nom de la protection de la jeunesse réhabilite une catégorie de crime dont on espérait s'être débarrassé : le crime sans victime. Pourquoi ?
Etant donné que ni le responsable de l'exposition ni les commissaires n'avaient l'intention de causer de torts directs à qui que ce soit (surtout pas à des enfants), étant donné aussi que la réalité d'un préjudice direct psychologique ou autre causé à des personnes particulières n'est nullement avérée, la seule chose qu'on peut leur reprocher, c'est d'avoir porté indirectement atteinte non pas à des êtres de chair et d'os mais à une image abstraite. L'image d'une "enfance innocente".[...].
La grande mosquée prête d'ici à 2011
Pour raisons financières, la livraison ne se fera pas en 2009
Metro le 06-11-2006
La mairie négocie depuis plusieurs semaines avec Réseau ferré de France (RFF) pour acquérir un terrain de 11 000 m2 à La Bastide, qui devra par la suite être déclassé du patrimoine ferroviaire par arrêté ministériel. Plusieurs propositions de prix ayant été rejetées par la ville, le préfet d’Aquitaine, Francis Idrac, a été mandaté pour négocier la vente.
“On espère aboutir bientôt à un prix commun”, a indiqué le directeur adjoint de RFF à Bordeaux, Bruno de Monvallier. L’Association des musulmans de Gironde (AMG) indique ne pas souhaiter un minaret et envisage un bâtiment collant à la tradition architecturale locale, mais la troisième proposition déposée par les deux architectes travaillant sur le projet depuis 2002, le Belge Joël Privôt et le Bordelais Nawfal Dridi, a été une nouvelle fois jugée trop chère. Charafeddine Mouslim, directeur de l’AMG et pilote du projet, espère obtenir des financements publics français, voire européens, pour la partie culturelle de la mosquée (amphithéâtre, salle d’exposition et cafétéria ouverts à tous), “car ce sera le premier lieu de culte à Bordeaux construit selon les normes HQE (haute qualité environnementale)”. Les porteurs du projet espèrent déposer le permis de construire en 2008.
Par Laure ESPIEU, Libération : vendredi 1 décembre 2006
Bordeaux se cherche un festival
Le maire Juppé rêve d'un événement de plus grande notoriété que Novart.
Le festival bordelais de la création contemporaine, Novart, s'achève aujourd'hui avec des tensions de moins en moins discrètes quant à son avenir. Alain Juppé, le maire de Bordeaux, a allumé la mèche en septembre, avec sa proposition de «hisser un grand événement culturel bordelais au niveau de notoriété nationale et internationale qu'ont atteint d'autres grandes villes». Enthousiasme des Bordelais. Reste que ce projet pointe en filigrane l'échec de Novart, lancé il y a cinq ans et qui n'a jamais vraiment trouvé sa place.[...]
une entité méditerranéenne au sens large
Ah oui vaut mieux l'entendre au sens large parce que Bordeaux ville méditéranéenne, je dois dire que ça m'avait un peu échappé ! 
C'est la mode de se dire méditérannéen ou c'est l'idée de quelqu'un qui n'a pas vu de cartes de France depuis la primaire ??? Sérieux, j'ai un peu de mal !
Sud ibérique
Ca me parait plus réaliste sans l'être totalement... Il n'y a pas réellement de paradoxe bordelais. Bordeaux n'a jamais vraiment vécu à l'heure espagnole ! Je voudrais seulement voir un élément de culture ibérique à Bordeaux... Je n'en trouve pas de suite et dans 5 min. j'en aurais pas trouvé plus !
Peu lisible
Ah oui, c'est le moins que l'on puisse dire ! Déjà, je comprends mal comment on peut prétendre à plus de lisibilité lorsqu'un événement s'étale sur tout le territoire d'une communauté urbaine sans un lieu pour centre névralgique. Et puis quelle communication : des étendards mauve et dans un coin en bas : festival novart et la date pour seule inscription ! Ca c'est de la com ou je m'y connais pas !
Référence implicite au succès de la première édition du festival ÁMira
Quelqu'un connaît les chiffres ?
Ou à une version linguistique latino, voire au Sud politique par opposition aux pays développés»
Alors déjà que la référence à l'Espagne me parait artificielle mais là on franchit un cap en faisant maintenant référence au monde latino ! En quoi un tel festival serait légitime à Bordeaux ??? 
Le Sud politique... Ca pourquoi pas mais ça fait un peu naïf : le gentil nord au chevet du pauvre Sud... Mais pourquoi pas. Ce que je trouverai peut-être plus sympa c'est un festival sur l'Outre-Mer. Récemment, j'ai entendu qu'un projet de centre culturel sur l'Outre-Mer était en panne à Marseille. Pourquoi ne pas sauter sur l'occasion ? Et puis Bordeaux a des liens, sombres, très sombres, il est vrai, avec l'Outre-Mer. Mais après tout, l'Outre-Mer a fait la notoriété de Bordeaux. La logique voudrait que Bordeaux fasse la notoriété de l'Outre-Mer en métropole, qu'elle s'en fasse le relai. Ca serait également un moyen d'expier ses fautes sans pour autant se flageller à jamais : on a fait des erreurs mais, d'abord nous en avons conscience et ensuite nous essayons de les corriger pour l'avenir.
Festival de l'Outre-Mer, Festival du laser... Des pistes plus -comment dire- légitime pour Bordeaux, de véritables festivals bordelais.
le maire a aussi évoqué les rendez-vous existants de la Fête du vin et de la Fête du fleuve, en juin-juillet
Je pense que c'est une bonne chose également... Bordeaux, c'est son vin et la Garonne... Et puis on adéjà vu que ça avait un assez fort retentissement pour pouvoir être exploité.
Je ne vois pas bien l'intérêt de surligner un événement lié aux vacances et au tourisme.
Il veut me fâcher lui ! 
L'intérêt c'est peut-être justement de le surligner...
Je préfère un travail inscrit dans la saison culturelle normale
Qu'est ce qu'on appelle saison culturelle normale ? L'été, tout le monde devient abruti, désolé : pas de culture pendant l'été... C'est ce qu'il faut comprendre ? Je pense qu'au contraire, Bordeaux avec son vignoble, ses plages a vocation à devenir une destination estivale et que donc l'été est une bonne période pour attirer plus de monde. On va pas attirer des Lillois en plein hiver ! Le froid ils l'ont et c'est pas en hiver qu'il vont aller se baigner sur la côte atlantique... Autant aller à Dunkerque, c'est moins loin. Enfin voilà, un festival à lui tout seul ne va pas avoir le retentissement escompté !
Ouf, j'ai fini !
Métro, Publié le 06-12-2006
Nuits magiques à Bègles
Le festival d’animation envahit la ville jusqu’à dimanche
Le Festival, ce petit cinéma situé sur les boulevards, ne paie pas de mine, mais c’est pourtant une vraie mine : chaque année, le festival international du film d’animation Les Nuits magiques (seizième du nom) s’y pose une petite semaine pour faire partager à tous les amoureux du genre une vraie belle programmation fouillée, d’où seront tirés des lauréats dans la cinquantaine de courts métrages en compétition : prix du public, jeunes et moins jeunes, prix du jury, prix Beaumarchais, etc.
Patrice de La Rosa, directeur et programmateur des Nuits magiques, veut aussi faire passer un message : “On veut démontrer que le cinéma d’animation existe aussi pour les adultes, qu’il n’est pas forcément réservé au jeune public.”
Le festival proposera également quelques longs métrages comme Azur et Asmar, des documentaires et plusieurs ateliers. “On utilise tous les arts plastiques pour raconter des histoires sérieuses, des histoires fantastiques ou encore d’autres qui mettent parfois mal à l’aise”, brosse le directeur. Ce mercredi, les projections s’enchaîneront toute la journée.
Selon l'édition du 6 décembre du journal en ligne de TV7 (la TV de Bordeaux) tout ne va pas si mal pour Novart
http://www.bordeaux7.com/article.php3?id_article=620
Métro le 14-12-2006
Recherche mécènes pour opération culturelle d’exception
Le grand événement souhaité par Alain Juppé recherche des partenaires
Le maire a exprimé le souhait de mettre en place “un événement culturel d’ampleur internationale”, tout en soulignant : “Novart, c’est une charge nette d’un peu plus de 100 000 euros quand, à Nantes, un million d’euros est consacré au rayonnement culturel de la ville.”
“Le groupe de travail va se mettre en place début 2007 avec des élus et des associations. Il peut y avoir aussi des personnes extérieures à Bordeaux”, a indiqué hier Dominique Ducassou, en marge d’un déjeuner à la chambre de commerce consacré au mécénat.
L’adjoint en charge de la culture à Bordeaux juge “utile” le travail d’inventaire présenté par les Verts pendant la campagne électorale, et il qualifie ses auteurs de “partenaires à ce sujet-là”. Cette grande fête pourrait être adossée à Bordeaux fête le vin. Mais rien n’est encore décidé, car la CUB et la Région sont sollicitées au titre de leurs compétences en matière de développement économique.
De plus, à la Direction régionale des affaires culturelles (Drac), “on ne soutient pas beaucoup les festivals. C’est plutôt le rôle des collectivités locales”, a déclaré son directeur, François Brouat, citant comme étant une exception la contribution apportée au festival Novart, également soutenu par la chambre de commerce.
A télécharger le magazine culturel trimestriel de la ville de Bordeaux sur le site municipal --> http://www.bordeaux.fr/ebx/portals/ebx. … mp;id=8910
Le numéro de novembre 2006 --> http://www.bordeaux.fr/ebx/ShowBinary/B … _nov06.pdf
Mira, 20000 visiteurs, un succès ? Ca reste quand même deux fois moins que Novart... Je ne suis vraiment pas convaincu par ce festival, en tout cas s'il devient LE festival de Bordeaux.
20 minutes, today
Château d'Yquem voit grand: son millésime 2005 sera vendu en Nabuchodonosor
Le Château d'Yquem, le plus prestigieux des vins liquoreux français, a décidé de voir grand pour célébrer son millésime 2005 en lançant des bouteilles géantes, de type Nabuchodonosor, vendues en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis.
Pour la première fois dans l'histoire multi-centenaire du cru, un nombre limité de bouteilles de 15 litres de ce vin blanc emblématique du Sauternais (sud-ouest), qui peut parfois être vendu jusqu'à 600 euros le litre, seront disponibles.
Le Château a travaillé en collaboration avec le marchand de vins londonien Bordeaux Wine Investments pour offrir à la vente 100 bouteilles Nabuchodonosor, à 8.625 livres pièce (16.900 dollars, 12.850 euros).
Bordeaux Wine Investments et sa compagnie affiliée aux Etats-Unis, Bordeaux Wine Locators, ont reçu chacun 50 de ces bouteilles, qui ne peuvent être manipulées par une seule personne. Le domaine en conservera 20 pour un usage futur.
"C'est un millésime incroyable et nous voulions faire quelque chose de spécial pour le célébrer", a expliqué Pierre Lurton, le président du Château d'Yquem. "Le vin est complexe mais pas trop puissant. Il est doux, mais aussi subtil, frais et élégant. C'est tout ce qu'on peut souhaiter pour un vin."
En dépit de son prix et du fait qu'il ne sera pas mis en bouteille avant 2009, le vin se vend comme du petit pain. "Nous avons déjà vendu 41 bouteilles", indique Robert Lench, le PDG de Bordeaux Wine Investments.
"Certaines ont été achetées par des gens installés au Royaume-Uni, d'autres en Asie", ajoute-t-il. "Nous savons qu'un ou deux clients les ont achetées comme un investissement, mais il y en a d'autres qui envisagent pour sûr de la boire à un moment ou un autre."
Considéré comme le meilleur Sauternes, le Château d'Yquem bénéficie de conditions climatiques optimales, caractérisées par une alternance de périodes humides et sèches permettant au Botrytis cinerea, un champignon miscroscopique normalement fléau pour la vigne, de se transformer en "pourriture noble".
Le Botrytis cinerea se confit, provoquant la montée de la teneur en sucre et en acidité et donnant au vin sa complexité aromatique. La technique de vendange en "tries" successives, sur plusieurs semaines, permet de ne récolter au moment opportun que les grains "rôtis", transformés par la "pourriture noble".
Le vin Château d'Yquem est aussi renommé pour sa longévité. Une bouteille peut ne révéler ses qualités qu'après une ou deux décennies dans une cave. Et quand les millésimes ne sont pas jugés suffisamment bons, les propriétaires n'hésitent pas à renoncer à commercialiser le vin sous son appellation.
Jusqu'à présent, ce vin n'avait été vendu qu'en bouteilles de 37,5 cl, 75 cl, 1,5 litres et 3 litres, et exceptionnellement en 1982 de 6 litres.
Les vins tendent à venir plus lentement à maturité dans de larges bouteilles, plus particulièrement les vins doux, le sucre agissant comme un conservateur, explique Serena Sutcliffe, responsable du secteur vins pour la maison de ventes aux enchères Sotheby's.
"Ces bouteilles feront un beau cadeau pour les petits-enfants ou les arrières-petits-enfants des acquéreurs", estime-t-elle, interrogée par l'AFP.
Château d'Yquem avait été racheté à la famille Lur-Saluces, qui le détenait depuis 219 ans, en 1999 par le groupe LVMH de Bernard Arnault. Le numéro un mondial du luxe entend établir Château d'Yquem comme une marque de luxe. Ce que Pierre Lurton comprend parfaitement.
"J'ai eu la chance de goûter plusieurs millésimes (d'Yquem) récemment", dit-il faisant notamment référence à une dégustation précédant la vente d'une collection de 135 bouteilles datant de 1860, cédée la semaine passée pour la somme record de 775.000 dollars (590.000 euros).
"Je peux honnêtement dire que dans ses grandes années, ce vin est jouissif", lance-t-il.
Bordeaux capitale europeenne de la culture 
au moins de l'yquem, là pas de doute!! 
Oui donc Bordeaux va se porter candidate pour être capitale européenne de la culture en 2013.
Non voici la déclaration de Juppé lors de la présentation des voeux aux médias : « Il nous faut développer l'offre culturelle pour développer le tourisme. Pour cela, il est important de gagner le dossier de l'Unesco en juillet prochain et de lancer un nouvel événement culturel pour 2008. Mais dès à présent, j'ai proposé aux présidents des autres collectivités de s'associer à Bordeaux pour présenter un dossier commun de candidature au titre de "Bordeaux capitale culturelle européenne" pour l'année 2013. »
Quant au grand évènement culturel de 2008, il a déclaré : « J'avais parlé d'un événement sur le thème du Sud. On me parle désormais de l'Atlantique. Tout cela est en cours. »
Publicité
Menu
