Biennale Estuaire (Le Voyage à Nantes)

Jean Blaise : le tourisme est nécessaire à la santé !
Written by Redaction Nantes on 12 janvier 2021
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Ce qui nous intéresse ce sont les territoires, les pays en quelque sorte. Quand on s’est aperçu de ça, on a décidé au grand international de proposer la Bretagne. D’entrer par Nantes puisque c’est l’aéroport, et de remonter jusqu’au Mont-Saint-Michel par divers moyens, en voyant des choses absolument superbes en passant par Rennes, Saint-Malo, Dinan… Et là encore, je pense qu’on a eu un peu de flair.

Comme le tourisme international ne va pas venir d’ici trois ans (deux ans ?), on a décidé aussi avec ce parcours de nous adresser au tourisme national et européen proche de nousl et on est en train de construire un itinéraire à vélo. De Nantes au Mont-Saint-Michel il y a la possibilité de raccorder des voies cyclables. Il faut créer quelques séquences qui nous manquent. Là, nous travaillons avec les communautés de communes, avec les départements pour qu’on réussisse peut-être d’ici deux ans, je l’espère, à avoir cette traversée de la Bretagne entièrement par voie cyclable.
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Euradio.fr

De jour comme de nuit, le Voyage à Nantes n’emballe pas : « Ça ne fait pas Noël ni fête »
Réservé aux abonnés (extrait)
Alors que l’édition d’été du Voyage à Nantes (Loire-Atlantique) est devenue un rendez-vous incontournable, sa déclinaison pour Noël ne semble pas suivre le même chemin. Une première qui n’a pas encore marqué les esprits.
Place Graslin, le « beau » sapin situe Nantes dans un semblant d’esprit de Noël.

Ouest-France Stéphane BAUZA et Marie DESEVEDAVY. Modifié le 23/12/2022 à 20h06 Publié le 23/12/2022 à 19h32

Mercredi de pluie. Gris. Sale temps de vacances de Noël. Il est 11 h ce 21 décembre. Sylvie, que l’on croise place Graslin, à Nantes (Loire-Atlantique) avoue, un brin décontenancée : « Je ne savais pas qu’il y avait des œuvres à découvrir, pendant la période des fêtes. » Elle passe plusieurs jours à Nantes, dans sa famille, comme chaque fin d’année. Où elle prend plaisir à se balader dans les rues illuminées du centre-ville. Du moins d’habitude : « J’ai bien vu quelques décorations, ici et là. On sent vraiment la différence par rapport aux autres années. C’est tristoune ! »

Des œuvres qui passent inaperçues

En cet après-midi, à l’image des traditionnelles guirlandes qui, évidemment, ne brillent que la nuit venue et n’ont désormais plus cours dans la cité des Ducs, les sculptures aux airs de lanternes japonaises, choisies par le Voyage à Nantes, ne sont pas plus éclairées. « Heureusement que vous nous les avez montrées. On ne les avait même pas remarquées », lance, en levant les yeux aux balcons, un couple de Nantais, David et Myriam. Et pourtant, du quartier Bouffay à la place Graslin, elles habillent plus de 600 balcons du centre-ville.

Ces « jardinières à géranium multicolores », comme les surnomment ces passants, sont, en fait, œuvres d’art. Et sont signées de l’artiste Vincent Olinet. Les voir c’est bien, les comprendre, c’est encore mieux. C’est...

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