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Nouveau sujet pour ce qui concerne la métropole :
Brest Métropole a franchi le cap des 210 000 habitants
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Pour le pont Albert-Louppe, près de Brest, trois options sur la table
https://www.letelegramme.fr/finistere/b … 682511.php
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Quelles sont ces options? (article non lisible si non abonné)merci!
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l'article
L’ancien pont de Plougastel continue de se dégrader. L’État tarde à lancer les grands travaux. La Métropole ne souhaite surtout pas récupérer le « bébé » avant que les travaux de sécurisation ne soient effectués. L’option éventuelle de la démolition du pont Albert-Louppe pose un autre problème de taille.
Réservé aux piétons et aux usagers de deux-roues, le vieux pont de Plougastel (1926) est la seule possibilité de traverser l’Élorn puisqu’aucun cheminement spécifique n’a été prévu sur le pont de l’Ir
Réservé aux piétons et aux usagers de deux-roues, le vieux pont de Plougastel (1926) est la seule possibilité de traverser l’Élorn puisqu’aucun cheminement spécifique n’a été prévu sur le pont de l’Iroise construit en 1994. (Le Télégramme/Stéphane Jézéquel)
Qu’est-ce qu’on attend au juste pour faire avancer le dossier ? L’État freine des quatre fers pour lancer une sécurisation et au moins l’installation de filets empêchant les fragments de tomber sur les usagers terrestres et maritimes. La collectivité ne semble pas mécontente que la responsabilité en incombe à l’État et ne se voit pas récupérer, dans le contexte, un pont de 90 ans qui part « en distribil » comme on a coutume de le dire de part et d’autre de l’Élorn. L’État aimerait pourtant bien le « refourguer » à la collectivité.
À lire sur le sujet
Un pont « dans un état préoccupant »
Jusqu’à 30 millions d’euros de travaux
Un groupe de travail a été constitué autour des services préfectoraux et dispose de trois options sur la table. A minima, la première consiste à installer des filets de protection, demandés depuis des années par les différents techniciens qui se penchent sur son état, étude après étude. La deuxième tourne autour de travaux de consolidation à l’image des différentes missions confiées par le passé à des entreprises spécialisées. Sauf qu’aujourd’hui, les premières réparations finissent par lâcher. Une nouvelle sécurisation de l’ouvrage est estimée entre 10 et 30 millions d’euros, en fonction du niveau d’intervention et de son état structurel.
Piétons et cyclistes à ne pas négliger
Reste la troisième option, celle de la démolition, qui n’a clairement pas l’aval des élus et des amoureux du patrimoine. Le pont est un élément architectural et historique intégré de la rade de la Brest. Il a surtout une utilité fondamentale pour les marcheurs, joggeurs et utilisateurs de deux-roues, face au pont de l’Iroise (inauguré en 1994) qui, aussi étonnant soit-il, n’a pas intégré de passages piétons/deux-roues sur son tablier. Le coût, le poids et l’incidence aérienne de cette extension de tablier, sans parler des conséquences pendant la durée des travaux, peuvent refroidir. Finalement, le vieux pont de Plougastel est plus indispensable qu’il en a l’air.
L’idée d’un bac ou d’une navette maritime pour assurer la traversée de l’Élorn, comme le proposait dans son programme de campagne le maire du Relecq-Kerhuon, fait également son chemin.
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La solution 1 n'est pas durable...
Pas de réflexion globale sur le sujet d'après l'article ! C'est bien dommage...
@modération : serait il possible de déplacer les derniers messages dans le sujet franchissement de l'Elorn s'il vous plaît ?
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C'est un truc de fou. L'Etat a un plan de relance de 100 milliards d'euros en cours d'écriture, dont ils sont fiers d'avancer qu'un tiers va à la transition écolo.
Alors comment ne pas imaginer que la rénovation de ce pont n'entre pas dans un projet "mobilité active" transrade ?
Sa rénovation pourrait accélérer la construction d'un itinéraire cyclable sécurisé entre Plougastel et Brest-centre (11km) / Guipavas-Froutven (9km) en contribuant à la relance de l'économie...avec un partage des engagements (la PC à la charge de BM (avec potentiellement une aide ADEME) et la rénovation du pont pour l'Etat.
Si 11km à vélo peut paraître beaucoup (environ 40 à 45 minutes), l'essor des vélos à assistance électrique réduit considérablement l'effort à fournir ainsi que le temps (environ 30 minutes).
Dernière modification par Musikal (03-01-2021 14:38:42)
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Et 2 kilomètres de ligne de TCSP inclus dans le prix... Pratique pour traverser l'Elorn en heure de pointe non ?
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Brest, les deux casernes de pompiers devraient être rénovées sur place plus une en projet à Plougastel
https://www.letelegramme.fr/finistere/b … 764300.php
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La métropole continue d'attirer tout comme la ville centre. Plus que 74 habitants pour repasser la barre des 140 000 habitants.
https://www.letelegramme.fr/finistere/b … 897522.php
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2022 cela devrait démarrer ilot Chapdelaine.
La déconstruction de l'immeuble d'angle au profit d'une placette aussi, mais il ne semble pas encore vide d'habitants.
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Dans les années à venir l'endroit sera bouleversé par les travaux du tram, mais en attendant l'endroit mériterait un minimum d'entretien. La sortie du hall de la gare premiers regards sur la ville pour un visiteur.
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Quand l’usine du Spernot fait vibrer les maisons à Brest
https://www.letelegramme.fr/finistere/b … 036688.php
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HLZ317 a écrit:
L'usine du Spernot était là avant non.
Clairement.
Ancienne décharge au-delà de la ville, puis usine d'incinération collée à ses portes et aujourd'hui elle fait partie intégrante de l'urbanisation...
Même problème à Toulouse (et dans d'autres villes) où l'usine est maintenant au milieu des HLM et des lotissements : https://goo.gl/maps/qCddKwAoJ6xUhUuF9
Ces usines d'incinération ont fait beaucoup d'efforts depuis leur création mais elles continuent à rejeter des poussières, de l'acide chlorhydrique, des oxydes d'azote, du monoxyde de carbone, des dioxines, des métaux lourds, etc.
Certes, cela se fait dans le "respect des normes" et Brest est une ville plutôt venteuse qui disperse rapidement toute cette soupe chimique, mais honnêtement je n'irais pas habiter ou faire construire à proximité d'une telle installation...
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Quelle idée d'habiter à côté d'un incinérateur ou d'une décharge Le promoteur de la ZAC s'en est mis plein les poches et laisse des clients mécontents de leur environnement
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