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Bonjour ,
Voici un petit article vu dans VDN de ce jour : Il faut désormais bâtir plus haut et plus dense , j'espère que la MEL et tous les élus ainsi que tous les acteurs de l'immobilier en prendront acte.
A+
https://www.lavoixdunord.fr/1177057/art … obilier-au
oui, 60.000 logement sont attendus dans la MEL au cours des 10 prochaines années.
Je n'ai pas accès à l'article, si tu peux nous en faire un résumé?
Mais il y a différents moyens de "faire" de la densité, ça peut malheureusement être de vilains cubes en R+6...
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Ci joint le résumé , pour YODA59 et les personnes qui ne peuvent pas lire l'article. de la voix du Nord.
Logement dans la métropole de Lille : les professionnels de l’immobilier au diapason de la MEL
Du côté des acteurs de l’immobilier, c’est le même constat : il faut bâtir des logements pour répondre à la demande. D’autant plus que l’étalement urbain n’est plus possible, en raison des contraintes écologiques.
Image auteur par défa[img][/img]ut
Bernard Virel
Publié: 9 Mai 2022 à 18h10
Temps de lecture: 3 min
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Pour les acteurs de l’immobilier, le besoin de logements est aussi criant. Avec une problématique qui a complètement changé. « Avec l’arrêt de l’extension urbaine qui est une nécessité pour des raisons écologiques, souligne Jean-Michel Sede, directeur général de Loger habitat et président de la Fédération des promoteurs immobiliers, il faut donc construire un habitat plus haut et sur un territoire plus dense, ce qui est plus compliqué. » Mais pour lui, rien n’est rédhibitoire : il faut juste « une concertation avec les maires et les habitants pour que la densité soit acceptée ». Avec la volonté de privilégier les constructions « au droit des axes de transport », actuels ou à venir, comme pour le tramway. « La densité et la qualité, plaide-t-il encore, sont parfaitement compatibles. »
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« Une demande plus forte que l’offre »
Un avis partagé par Émmanuel Chambat, président de la FNAIM du Nord : « C’est une certitude qu’il est nécessaire de construire de nouveaux logements, que ce soit au niveau du locatif ou des ventes, la demande est plus forte que l’offre. » Un phénomène qui pour lui ne date pas d’hier. « L’attractivité de la métropole lilloise, assure-t-il, n’a fait que croître au fil du temps. À l’évidence, elle est devenue une locomotive économique et sociale, occasionnant des mouvements migratoires extrêmement importants. » Mais pour lui, construire des logements, même au cœur de la métropole, n’est pas trop problématique, même en renonçant « à l’étalement urbain ».
Ainsi, il met en avant la reconversion possible de sites industriels ou de terrains d’entrepôt. Mais là encore, « implanter 300 logements, donc 600 personnes en moyenne » nécessite du dialogue avec les résidents qui s’interrogent sur le fait que « ça ne dénature pas leur environnement ». « Il y a un vrai travail de pédagogie, poursuit-il, il faut expliquer aux habitants quels sont les enjeux. » Globalement, il plaide d’ailleurs pour que « les gens résident au sein de la métropole dans des lieux attractifs ». Sachant que les habitants devraient privilégier à l’avenir « un lieu de résidence plus près de leur travail ». Et bonne nouvelle, aussi, pour lui, la métropole possède plusieurs types d’habitat – de la campagne à la ville – qui permettent d’évoluer au fur et à mesure de son avancée dans la vie.
Prise de conscience ?
Du côté des maires et des habitants, d’ailleurs, Pascal Boulanger, président de la Fédération des promoteurs immobiliers, a le sentiment que les choses évoluent : « Contrairement à il y a quelques mois encore, j’ai l’impression qu’il y a une prise de conscience de la population. Celle-ci se dit qu’elle ne peut pas toujours agir de manière égoïste, en hypothéquant l’avenir de ses enfants. » Ce qui pourrait d’ailleurs amener certains maires à revoir leur position. Car pour autant, actuellement, « la difficulté à obtenir des permis de construire » pose toujours des problèmes pour les professionnels de l’immobilier. Et pour autant, comme dit Pascal Boulanger, « l’économie ne peut pas s’arrêter ». Surtout quand « il manque autant de logements », dans la métropole notamment.
C'est quoi ces drôles de cabanes en bois qui ont fleuri dans Lille ?
Vous tomberez nez-à-nez avec elles, au détour d’une promenade dans les parcs, jardins, et même sur les places au sud et à l’est de Lille (Nord), ou encore en plein cœur de la ville, comme à JB Lebas et au Bazaar Saint-So. D’imposantes et originales cabanes en bois ont fleuri sur le territoire à partir du mois de mai, et forment le parcours « Cabanes sur l’île », imaginé par le centre d’architecture et d’urbanisme WAAO. En tout, sept ont été installées, et chacune a été élaborée par un jeune architecte, avec un concept bien précis en tête. Il s’agit de structures éphémères, qui seront en place jusqu’au 3 octobre.
« Chaque cabane, dans sa singularité propre, porte en elle une utopie, une idée, une ambition pour habiter autrement nos villes », indique le WAAO. Les passants sont ainsi invités à « s’y installer, s’y abriter, déambuler, rêver, jouer, se l’approprier, imaginer de nouveaux horizons possibles, repenser son environnement proche ».
https://actu.fr/hauts-de-france/lille_5 … 95805.html
Je n'ai pas compris si ce projet s'inscrivait dans le cadre de Lille3000, mais ce serait logique vu le thème de l'utopie développé ici.
À Lille, bienvenue sur la promenade haut perchée de la porte de Roubaix
Entre le boulevard Carnot, d’un côté, et l’avenue Le Corbusier, de l’autre, c’est une belle petite balade sur une partie du sommet des anciens remparts que la ville a magnifiquement réaménagés. On y découvre une vue imprenable sur le parc Matisse. [...]
Source: la Voix du Nord du 25/08/2022
je mets ça là parce qu'il n'y a pas de sujet dédié aux architectes lillois, mais petite fierté locale quand même:
Le Français Thomas Coldefy chargé de la rénovation d'un bâtiment du Parlement européen
L'architecte a remporté le concours international pour la reconstruction du bâtiment Paul-Henri Spaak, qui abrite l'hémicycle du Parlement européen à Bruxelles. Le professionnel n'en est pas à son premier grand projet international.
C'est un Lillois qui aura la responsabilité de rénover un bâtiment emblématique de la politique européenne. L'architecte Thomas Coldefy a gagné le concours international d'architecture et d'urbanisme du Parlement européen pour la rénovation du site Paul-Henri Spaak. C'est dans cet édifice de 84.000 mètres carrés que se situe l'hémicycle, surnommé "le Caprice des Dieux". Le budget prévu pour ce projet est estimé à près de 500 millions d'euros. Au total, 132 architectes avaient déposé leur candidature à ce concours, notamment Renzo Piano, Shigeru Ban et Snøhetta.
la VDN a fait estimer l'impact CO2 de la Braderie de Lille par le bureau d'études spécialisé WeLoop, il semblerait que les 2,5 millions de Bradeux amènent à un bilan CO2 comparable à ... 17.000 allers retours Paris-NY en avion, avec 29.800 tonnes d'équivalent CO2.
J'ai eu beau lire l'article, où on apprend que les transports nécessaires pour venir et la nourriture consommée sur place comptent pour respectivement 40% et 47% de cette empreinte carbone, j'ai du mal à le croire, même si je ne remets pas en doute l'estimation.
On peut se dire aussi que les gens auraient aussi mangé et bu et se seraient déplacés, peut-être pas aussi loin certes, je ne sait pas si ce calcul a été retranché ou pas.
Note positive, les produits de seconde main achetés pendant la Braderie évitent d'en acheter des neufs, ce qui amène une économie potentielle de 5600 tonnes d'équivalent CO2 (mais rien ne dit que les gens auraient acheté du neuf s'ils n'avaient pas acheté de ma seconde main)
https://www.lavoixdunord.fr/1223503/art … k-en-avion
J'ai effectivement vu, et je trouve ça un peu gros quand même le bilan carbone de la Braderie
Avatar : Rame CAF Urbos 3 sur le pont Battant à Besançon du réseau Ginko
Lien du site internet sur la chronologie des TCSP en France sauf Paris :
https://chronologie-tcsp-france.fr/
Le stationnement va devenir payant dans 8 quartiers sur 10
A terme, ce sont huit des dix quartiers de la capitale des Flandres qui passeront au stationnement. Soit la quasi-totalité hormis Lille-Sud et le faubourg de Béthune. De quoi révolutionner le quotidien de certains, même si « 42 % des Lillois n’ont pas de voiture », rappelle Jacques Richir.
Trois zones seront définies avec des tarifs différents, les zones résidentielles étant aux tarifs les plus bas. Des cartes de résident seront proposées à 25, 15 et 10 euros avec des critères de revenus. Notons par ailleurs que le stationnement sera payant de 9h à 19h en semaine, pas le samedi.
seuls Lille-Sud et le faubourg de Béthune seront épargnés.
https://actu.fr/hauts-de-france/lille_5 … 05392.html
Mouais, pas forcément convaincu.
Ce n'est pas tout à fait la même chose de vouloir bannir la voiture dans l'hypercentre et de faire casquer les riverains en grande partie très modestes dans des quartiers principalement résidentiels et qui ont sûrement besoin de leur voiture pour travailler à l'extérieur, ou même tout simplement l'utiliser un peu pour partir en vacances.
Le pire c'est les mesures de contrepartie envisagées:
Mais pour que les habitants adhèrent, il faudra aussi de nouvelles mesures pour qu’il soit « facile » de se passer de sa voiture. Et pour cela, la Ville de Lille milite auprès de la Métropole européenne de Lille pour certaines mesures. Parmi elles, la multiplication des parking-relais, un transport par câbles entre Fives-Cail et Saint-Sauveur ou encore tous les aménagements facilitant l’accès à la ville en vélo.
ça n'a rien à voir. On peut habiter Lille, posséder une voiture et prendre les transports en commun au quotidien.
l'extension du stationnement payant a été votée lors du dernier conseil municipal ce vendredi. A priori pas sans remous, y compris dans la majorité.
Personnellement, je ne comprends pas la logique d'un stationnement payant dans des quartiers tels que Fives.
Et puis si le but est de limiter l'usage de la voiture, pourquoi ne pas attendre la mise en place des nouvelles lignes votées dans le SDIT?
J'ai regardé le conseil municipal hier soir, toute la majorité était d'accord avec la délibération. Je crois même me souvenir que certaines oppositions politiques ont également voté en faveur de la délibération.
je n'ai pas regardé le conseil municipal, mais je me faisais l'écho de propos tenus dans la VDN du 1er octobre
L'extension du stationnement payant à presque tous les quartiers lillois (...) a été votée hier soir au conseil municipal de Lille, provoquant des désaccords jusque dans les rangs de la majorité
De fait les communistes ont voté contre, non?
les enjeux d'un réseau intégré REGL-REM-SDIT pour Lille - nouvelle étude - avril 2020 - mon projet de RER Lillois réactualisé avril 2019
Je ne sais pas. Ce n'était pas visible dans la retransmission vidéo du conseil municipal. Il faudra vérifier le compte rendu du conseil. Pour l'instant il n'est pas publié.
Yoda59 a écrit:
l'extension du stationnement payant a été votée lors du dernier conseil municipal ce vendredi. A priori pas sans remous, y compris dans la majorité.
Personnellement, je ne comprends pas la logique d'un stationnement payant dans des quartiers tels que Fives.
Et puis si le but est de limiter l'usage de la voiture, pourquoi ne pas attendre la mise en place des nouvelles lignes votées dans le SDIT?
le problème st là, on mène la vie dure aux voitures avant de proposer des solutions.
- Arduinna - Rijsel - Estocolmo -
Après avoir vérifié sur la vidéo du conseil municipal :
Les élus - EELV ont voté en majorité pour la délibération. 2 ou 3 élus - EELV se sont abstenus.
Les élus - Ensemble ont voté en majorité contre. 3 ou 4 élus - Ensemble se sont abstenus.
Les élus de la majorité municipale ont voté en majorité pour. Deux élus communistes (qui font partie de la majorité municipale) se sont abstenus. Ils n'ont pas voté contre. Sans aucun prise de parole de la part des élus communistes. Les "remous" étaient pas vraiment visibles.
OK merci pour ces infos, signe que la presse monte en épingle certaines choses
Les déchets, 15 ans d’histoire pour le CVO de Sequedin
Situé au bord de la Deûle, face à l’ancienne abbaye-prison de Loos, le Centre de valorisation organique portait à sa création la promesse inouïe de créer du carburant à partir de nos déchets. Tout ne s’est pas passé comme prévu mais la production de biogaz a enfin fini par décoller. Grandes dates, chiffres, couacs... On vous retrace son histoire en version grand format. [...]
Source: la Voix du Nord du 1/11/2022
Voilà un exemple qui aurait dû être multiplié en France.
plus de toilettes publiques à Lille ... et ce n'est pas du luxe!
Pour l’instant, la Capitale des Flandres ne compte que 8 toilettes publiques. Elles sont situées dans les lieux suivants : Citadelle, place Rihour, parc JB Lebas, rue Masséna, place du Concert, place de la Nouvelle Aventure, place Richebé, plaine des Vachers.
L’objectif est d’en installer 15 de plus pour atteindre 23 toilettes publiques en 2025. Voici où elles seront implantées.
D’ici fin 2023 :
Parc des Buissonnets (lombricompostage)
Place Sébastopol
Place du métro Saint Maurice (lombricompostage)
Square Armentières (lombricompostage)
Citadelle, allée Arlette Gruss (lombricompostage)
A proximité de la Cathédrale de la Treille
En 2024-2025 :
Place Vanhoenacker
Place Degeyter
Rue du marché/métro Gambetta
Place Genevières
Square Foch-Dutilleul
Rue Pierre Mauroy
dans un bâtiment existant de la Ville à l’entrée du jardin des plantes.
Place du Maréchal Leclerc
Place Caulier
https://actu.fr/hauts-de-france/lille_5 … 25292.html
Il était temps, la ville accuse un retard considérable par rapport à d'autres villes. Pour rappel:
La ville de Lille a un besoin urgent en toilettes publiques
À population presque égale, avec ses neuf équipements, la capitale des Flandres compte dix fois moins de pissotières que Rennes. Le site toilettespubliques.net a placé la préfecture de Bretagne « sur le trône » d’un classement où Lille est dans les derniers.
Des milliers de logements interdits à la location d’ici 2034
Un quart des DPE à Lille sont E, F ou G
A Lille, on semble moins mal lotis, avec un quart des logements concernés, si l’on se réfère aux données de l’Ademe. Sur les 49.661 logements ayant passé un DPE entre 2012 et 2021, 1.114 sont G, 3.793 sont F et 7.735 sont E. Le spécialiste en convient, les mauvais élèves sont une minorité à Lille. « Sur les 11 studios du Vieux-Lille que je viens de diagnostiquer, un seul est en G et 5 en F. Mais il s’agit d’un bâtiment qui n’a pas été rénové », affirme-t-il. S’il regarde plus globalement, les diagnostics F et G ne représentent que 15 % du total de ses prestations.
Il reste donc deux ans aux propriétaires des pires passoires thermiques pour effectuer des travaux afin que leurs biens ne soient pus considérés comme « indécents au regard de la loi ». C’est long et court à la fois pour Jean-François Liem qui déplore des coûts de rénovation souvent très élevés. « Entre les aides, primes, subventions et prêts à taux zéro, le coût des travaux peut être allégé de 40 % pour les copropriétés », assure la ville. Pour les particuliers, sous condition de ressource, les subventions publiques à la réhabilitation de logements insalubres peuvent même aller bien au-delà.
https://www.20minutes.fr/lille/4016128- … ation-2034
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Lien du site internet sur la chronologie des TCSP en France sauf Paris :
https://chronologie-tcsp-france.fr/
Bonne année à tous les visiteurs ou contributeurs du forum lillois ... et aux autres !
Idem bonne année, bonne santé, et meilleurs voeux pour 2023 à tous !
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Lien du site internet sur la chronologie des TCSP en France sauf Paris :
https://chronologie-tcsp-france.fr/
le Bonbon liste une série de changements devant intervenir à Lille en 2023 sur la voirie, tous déjà connus ici, mais il y peut-être de nouveaux lecteurs:
Rue Pierre Mauroy
"Les travaux de 2023 amplifieront la transformation de la rue Pierre Mauroy mais aussi aux abords de la Porte de Paris et du boulevard Denis Papin, avec notamment la création d’un grand parc et d’espaces dédiés aux mobilités actives."
La rue Solférino
"Les 2,1 km de la plus longue rue de Lille vont bénéficier de nouveaux aménagements. Dessinée autrefois pour la pratique de la voiture, elle va notamment faire une place plus belle aux piétons et aux cyclistes, mais également à la nature avec plus d'une centaine d'arbres plantés."
Le boulevard Carnot
"L'objectif : réduire la place de la voiture, élargir et embellir les trottoirs, créer une piste cyclable bidirectionnelle continue et sécurisée, mais aussi donner un caractère végétal et paysager fort pour lutter contre le phénomène des îlots de chaleur."
La Place Maréchal Leclerc
"En janvier et février 2023, des temps de consultation seront organisés pour préciser le projet de végétalisation de la place, la création de nouveaux usages (kiosques, jeux et aménagements sportifs...), la création de pistes cyclables et la réduction de la place de la voiture."
La rue du Molinel
Les travaux d’aménagement de la rue seront lancés en janvier 2023 pour une livraison estimée à l’été 2024.
https://www.lebonbon.fr/lille/news/nouv … ille-2023/
Ces infos sont reprises du site de la ville de Lille, qui donne en plus des visuels:
https://www.lille.fr/Actualites/Ce-qui- … nd-en-2023
les enjeux d'un réseau intégré REGL-REM-SDIT pour Lille - nouvelle étude - avril 2020 - mon projet de RER Lillois réactualisé avril 2019
Entre tout cela et ton post du côté des espaces verts, on sent bien que plusieurs endroits auront vraiment été modifiés d'ici à 2026 et les prochaines élections. Je pense que tout cela était largement dans les cartons, mais la justesse de la victoire de la dernière élection + l'absence très probable de la personnalité de M. Aubry (et ça sera dur pour la successeur) invite certainement à tout déclencher pour être prêt en 2026.
site web : lille-en-grand.jimdo.com
twitter : @lille_en_grand
je tombe là-dessus dans la VDN, je ne connaissais pas du tout.
François Verly, ce grand architecte qui voulait faire de Lille une ville lumière
La capitale des Flandres aurait pu fêter en 2022 le 200e anniversaire de la mort de ce Lillois méconnu qui avait vu le jour en 1760. Architecte du roi, de la Révolution puis de Napoléon, cet homme érudit avait aussi voulu faire de Lille une cité du peuple qui aurait éclairé le monde et fait l’unanimité dans l’éloge.
Allez voir au moins son esquisse ici: https://www.lavoixdunord.fr/region/lill … s-environs
ça ressemble à un projet de vile nouvelle
source: https://www.lavoixdunord.fr/1274834/art … le-lumiere
Je poste ici la conclusion de l'essai "Structure de l'agglomération lilloise" paru en 1955. On y comprend pourquoi Lille n'était pas, pendant longtemps, considéré comme une grande ville, bien que son agglomération fut bien plus peuplée que d'autres villes françaises comme Bordeaux, Toulouse, Nantes,... Aujourd'hui, bien que des progrès aient été réalisés sur le plan de "l'éclatement des structures administratives" (je cite), il semble que le problème perdure: Lille est toujours un "trop petit centre dans une trop grande agglomération", ce qui ne manque d'étonner les visiteurs. La grande évolution par rapport aux années 1950, toutefois, a certainement été la dispersion des fonctions commerciales en périphérie grâce à la diffusion du mode de vie automobile.
https://www.persee.fr/doc/rnord_0035-26 … 7_147_2180
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