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Des bus entre les villes de Langres et de Dijon d'ici septembre.
Le PETR du Pays de Langres (Pôle d'équilibre territorial et rural) va créer une ligne de bus pour accompagner (ou remplacer ?) les trains entre Langres et Dijon.
Le PETR (Pôle d'équilibre territorial et rural) a annoncé le 24 janvier, avec l'accord de la région Grand-Est, la création d'une ligne de bus entre Langres et Dijon.
Le principal objectif est de compléter l'offre de transport entre les deux villes. Cette ligne va effectuer quatre rotations, soit deux trajets le matin et deux l'après-midi. La mise en place aura lieu en septembre 2023, avec six arrêts : Langres Gare, Langres Bel-Air, Longeau-Percey, Vaux-sous-Aubigny, Til-Châtel et Valmy.
Groupe scolaire de Neuilly l’Evêque
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Présentation du Groupe Scolaire
La Communauté de Communes du Grand-Langres a célébré avec enthousiasme l’inauguration de son tout nouveau groupe scolaire le vendredi 1er septembre 2023 à Neuilly.
Fruit d’un projet collaboratif initié en 2016 par la commune de Neuilly-L’Évêque et porté par la CCGL depuis janvier 2017 suite au transfert de la compétence «Scolaire», ce projet a été conçu afin de répondre aux défis actuels des politiques éducatives et environnementales :
Trois bâtiments détruits pour être reconstruits et un quatrième conservé.
Un bâtiment ancré dans les nouvelles normes environnementales : pompe à chaleur, construction en ossature bois, toit-terrasse végétalisé et plantation d’arbres.
Un aménagement flexible, un équipement numérique et une pédagogie de projets au service des apprentissages.
Des espaces récréatifs intérieurs et extérieurs pouvant accueillir des temps pédagogiques et des pratiques numériques.
Une couverture wifi ainsi que des points de rechargement des matériels portables, ce qui sous-entend du matériel numérique mobile et des espace modulables.
Description du Groupe Scolaire
Pour l’année scolaire 2023-2024, le Groupe Scolaire accueille 57 élèves en maternelle et 121 en élémentaire, encadrés par une équipe d’une dizaine d’enseignants. Avec quatre classes de maternelle, six classes d’élémentaire, une salle de motricité spacieuse et une cour de récréation de 1 513 m2, les enfants disposent d’un environnement stimulant et sécurisé pour apprendre et grandir.
L’installation comprend également deux salles de restauration, totalisant 161 m2, pour assurer un espace de repas confortable et convivial.
Coût total de l’opération
La construction et l’aménagement (mobilier et informatique) du Groupe Scolaire de Neuilly-L’Évêque représente un investissement total de 4 355 976 €, financé ainsi :
Subventionnée à hauteur de 64,4 %, pour un montant de 2 803 484 € (État, Conseil Départemental de Haute-Marne, EDF, CAF et GIP52).
Un reste à charge pour la CCGL à hauteur de 35,6 %, soit 1 552 492 €.
https://grand-langres.fr/grand-langres/ … scolaires/
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Lien du site internet sur la chronologie des TCSP en France sauf Paris :
https://chronologie-tcsp-france.fr/
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Le « plan remparts » se consolide…
La ville de Langres possède un ensemble de fortifications d’environ 8 kilomètres constituées, d’une part, par les remparts du centre historique d’environ 3,8 kilomètres classés au titre des monuments historiques, et d’autre part, l’une des dernières citadelles construites en France dans la partie sud de la ville. Nous ne pouvons qu’être fiers d’avoir les remparts les plus longs d’Europe et d’avoir été reconnue comme « plus belle ville fortifiée de France » !
Pour conserver ce patrimoine précieux et face à la dégradation rapide d’une partie de ces fortifications malgré des opérations d’entretien annuelles, la Ville, avec le soutien de l’État, de la Région Grand Est, du Département et du Groupement d’Intérêt Public (GIP) de la Haute-Marne, a lancé un ambitieux plan de restauration des remparts.
Nous avons interrogé Anne Cardinal, Maire de Langres pour mieux comprendre les enjeux de cette restauration titanesque.
En quoi consiste ce projet d’envergure ?
Anne Cardinal : « La restauration des remparts, conventionnée en décembre 2018 initialement sur 8 ans et prolongé de 2 ans, s’étend jusqu’à la fin de l’année 2028. 6 phases de travaux au rythme d’une phase par an à compter de 2022 ont été envisagées. Seront traités :
la face nord du faubourg de Sous-Murs ainsi que les brèches au droit de la Crémaillère,
la courtine entre la Tour Carrée et la Tour du Petit Sault,
la Porte Gallo-romaine,
la courtine entre la Tour Rouge et la Porte des Moulins,
la face est du faubourg Sous-Murs,
la Tour du Petit Sault,
la Tour de Navarre et d’Orval,
la face sud du faubourg de Sous-Murs.
La 1ère phase des travaux a été programmée en 2022 avec la réfection de plusieurs brèches au nord de Sous-Murs entre le faubourg et la Crémaillère ainsi que la restauration de la courtine formant la face nord du faubourg de Sous-Murs dont l’aménagement du réseau d’eaux pluviales. L’objectif est de réaliser la totalité de cette phase en 2022. »
Avec quels soutiens ?
A.C. : « Le coût total du projet est estimé à 6 000 000 € HT. L’État et la Région nous subventionnent chacun à hauteur de 25 % du projet, soit 1 500 000 €. Quant au GIP 52, nous bénéficions de 15 %, soit 900 000 €. Reste à la charge de la Ville de Langres 600 000 € HT. »
Quel impact pour la ville et le territoire ?
A.C. « Joyau fonctionnel d’architecture militaire, les remparts sont la matrice de la cité. Réels balcons ouverts sur le paysage, une fois restaurés et valorisés, les langrois et les touristes ne pourront que s’en émerveiller. Cela accroîtra également le développement de l’attractivité de Langres sur le territoire haut-marnais, aux portes du Parc National, tout en permettant à l’enceinte urbaine de perdurer encore pour de nombreuses décennies… »
Quel est le rôle de la brigade du patrimoine dans l’entretien des remparts ?
A.C. : « Tout au long de l’année, des travaux indispensables d’entretien sont effectués par des agents municipaux de la brigade du patrimoine, spécialement créée à cet effet. Mais au regard de l’importance de l’édifice, cela ne suffit pas, il nous faut un soutien plus important, d’où le lancement de ce plan rempart. Une réflexion est menée par ailleurs avec les services de la DRAC pour renforcer cette brigade qui dispose d’une réelle spécificité. »
https://langres.fr/langres/grands-proje … -remparts/
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La résidence habitat inclusif séniors
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Une étude de faisabilité est actuellement en cours sur l’opportunité de réaliser une résidence d’habitat inclusif séniors dans l’ancienne clinique de la rue Claude Gillot à Langres.
Ce projet répond à une forte demande des séniors de se loger en centre-ville dans le but de rester à proximité des commerces, des cabinets privés médicaux de l’hyper-centre et de l’hôpital public. Il permet aussi la revitalisation du centre-ville.
Pour mener à bien ce projet de réhabilitation aux enjeux majeurs, la municipalité a mis en relation l’Établissement Public Foncier du Grand-Est (EPFGE) et le bailleur social HAMARIS.
L’EPFGE est un établissement public foncier d’État. Ses modalités d’intervention sont inscrites dans son Programme Pluriannuel d’Intervention (PPI). Dans ce cadre contractuel, il conduit pour le compte des collectivités territoriales des études de stratégies foncières, des programmes d’acquisition foncière et des programmes de reconversion de friches (études, maîtrise d’œuvre et travaux compris).
Le conseil municipal du 27 janvier 2021 a approuvé une convention « pré-opérationnelle ». Le cabinet Sagacité a été recruté à la suite d’un appel d’offres.
Dernièrement, le cabinet a présenté les résultats de ses études en déroulant les possibilités de créer une résidence pour des personnes de plus de 65 ans dans un contexte d’habitat partagé avec des orientations d’aménagement intérieurs et extérieurs adaptées aux besoins de chacun.
Aujourd’hui, diverses actions doivent être mises en œuvre :
les pourparlers et les négociations doivent être engagés entre l’EPFGE et l’hôpital public de Langres (propriétaire du site) pour acquérir les bâtiments.
le plan de financement doit être élaboré.
le projet doit être intégré dans le budget municipal.
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La place Diderot entame sa métamorphose !
Le coeur de votre Ville va bientôt subir une transformation importante avec le lancement de travaux de réaménagement. Cette initiative vise à embellir le centre-ville, à améliorer la qualité de vie des habitants et à renforcer l’attractivité touristique et économique de Langres.
Issu d’une longue réflexion et d’une concertation poussée avec les habitants et les commerçants, le projet de réfection de la Place Diderot a pour principaux objectifs la remise en état de la chaussée tout en repensant la circulation au sein du quartier historique, qu’il s’agisse des automobilistes ou des piétons. En effet, plusieurs problèmes ne peuvent être ignorés : le pavage actuel est fortement endommagé suite à des défauts de mise en oeuvre dix ans plus tôt ; la distribution des espaces entre automobilistes, cyclistes et piétons n’est pas fonctionnelle et le stationnement des véhicules n’est pas optimal.
Consciente de cela, et souhaitant offrir un cadre de vie plus agréable pour les habitants et les touristes, la Municipalité a décidé de lancer dès le mardi 2 janvier 2024 les premiers travaux de réfection de la Place Diderot. Des rues pavées, une chaussée rénovée, des réseaux remis aux normes, des espaces verts, des aménagements publics et une esthétique soignée seront au coeur de cette transformation, faisant ainsi du centre-ville un lieu convivial et propice à la détente.
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