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Construit
42,50 m
Ce pont franchit le très large estuaire de l'Elorn, encore navigable à l'époque, qui débouche sur la rade de Brest.
Il se compose de deux tabliers avec sur l'un une route et sur l'autre une voie ferrée (qu'on ne réalisera jamais par manque de moyen).
Freyssinet y teste une formule novatrice : le béton des piles est coulé en atmosphère aqueuse.
Les arches creuses (courbes en chainette) possèdent une des plus grandes portées du monde en béton armé à l'époque.
Depuis l'ouverture de son immédiat voisin (le pont de l'Iroise), l'accès aux voitures y est interdit et seuls les piétons peuvent désormais y accéder.
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