Pont des Indes

Ce nouveau pont urbain, long de 260 mètres, a coûté 10,23 millions d'euros HT.


Élément-clé du Triskell (le Bus à Haut Niveau de Service lorientais), le pont des Indes en est également le symbole.

En effet, il matérialise le principe d'une nouvelle liaison entre les deux principales villes de l'agglomération rendue nécessaire par la saturation du pont Saint-Christophe.

De plus, il offre un bon complément au futur hôpital, tant du point de vue esthétique (affirmation du caractère maritime de la ville par la forme et le mobilier urbain employé), urbain (reconquête des rives du Scorff) ou fonctionnel (nouvel accès).


Malheureusement, il marque aussi la (relative) frilosité des élus et responsables (communautaires) lorientais sur la manière de développer les transports en communs et de limiter la circulation automobile.

Certaines voix (jusque dans le service 'Transports et Déplacements' de Cap l'Orient) critiquent ainsi l'ouverture de ce pont aux voitures.* Elles auraient préféré que la vocation première du pont - à savoir la circulation des véhicules de transport en commun et celle des modes "doux" - soit privilégiée. Cette hypothèse avait d'ailleurs été étudiée dans le cadre du Triskell sans pour autant être retenue. Il s'agit toutefois d'un choix réversible ; la situation n'est donc pas figée ad vitam eternam.






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* Voir notamment cet article de Ouest-France.

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