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DUF a écrit:
Le plan Campus est pour remettre à niveau l'université toulousaine et rien d'autre.
Oui, au départ, c'est ce que je pensais. Car les fonds ne sont pas extraordinaires non plus.
Au lieu de se lancer dans des projets tels que le téléphériques ou une cité des sports à l'Arsenal, m'est avis que ce sont les locaux dégradés et le coup de pouce à des labos de pointe manquant de financement qui sont les plus prioritaires.
philippe@
tout à fait d'accord surtout pour le téléphérique, dont on peut même se demander, qui a eu une telle idée de dépense inutile.
per tolosa totjorn mai
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Je ne sais pas mais en matière marketing, c'est un comble, car le trajet en question n'aurait pas traité beaucoup de monde... c'est le comble du gaspillage. On aurait pu faire des amphis avec les sommes dégagées.
Philippe a écrit:
Je ne sais pas mais en matière marketing, c'est un comble, car le trajet en question n'aurait pas traité beaucoup de monde... c'est le comble du gaspillage. On aurait pu faire des amphis avec les sommes dégagées.
Je ne pense pas que ce téléphérique soit aussi inutile que vous le proclamez, c'est simplement beaucoup trop tôt.
Ce n'est pas une nouveauté, lorsque le tracé de la ligne B avait abandonné le passage par le CHU, pour faire avaler la pilule, la promesse avait été faite de réaliser un transport hectométrique performant pour relier l'Hôpital à la station de métro de l'université (un bus toute les 15' est une rupture de charge particulièrement négative) ...
Le téléphérique n'est qu'une nouveauté actuelle qui permettrait de relier aussi le Canceropole...
Il faut attendre les résultats d'une expérimentation en Ile de France pour voir si les coûts d'exploitation sont réellement inférieurs à une ligne de bus.
DUF @
sauf que de toute façon y'a pas d'argent, donc arrêtons, de tirer des plans sur la comètes des gadgets
per tolosa totjorn mai
DUF a écrit:
Philippe a écrit:
Je ne sais pas mais en matière marketing, c'est un comble, car le trajet en question n'aurait pas traité beaucoup de monde... c'est le comble du gaspillage. On aurait pu faire des amphis avec les sommes dégagées.
Je ne pense pas que ce téléphérique soit aussi inutile que vous le proclamez, c'est simplement beaucoup trop tôt.
Une explication de texte s'impose : ce n'est pas d'inutilité dont il s'agit, mais de moindre utilité. Relativité n'est-ce pas :
- par rapport à d'autres priorités,
- par rapport à d'autres propositions possibles de même nature que vous évoquez vous-même... (ex : entre Rangueil et le métro).
@ Philippe
Oui, c'est cela, la difficulté c'est de hierarchiser les priorités.
http://www.ladepeche.fr/article/2008/11 … rails.html
Plan Campus : le projet Montaudran toujours sur les rails
Et de lever donc une inquiétude majeure. Comme nous l'avions écrit dans nos éditions de dimanche et lundi, c'est bien « la programmation du projet immobilier », qui est à repenser. Et à réécrire. Dans un délai très court puisque le nouveau dossier doit être remis pour examen au ministère début février. Entre-temps, le cabinet de Valérie Pécresse souhaite que soit bien précisée « la destination des bâtiments universitaires qui seront éventuellement libérés à la faveur des constructions nouvelles ». Bref, contrairement à une première interprétation, ces fameuses constructions nouvelles entreraient bien dans le champ du financement d'État (elles ont d'ailleurs été acceptées pour les autres dossiers). A condition, toutefois de savoir ce que deviennent les anciennes… Afin qu'elles ne tombent pas en déshérence. A cette précision près (et ce sera tout le challenge de la « réécriture »), l'opération phare de Montaudran demeure dans le domaine du possible. « Et de l'éminemment souhaitable », insistent les décideurs qui ne cachent pas leur soulagement. En rappelant l'enjeu capital du projet : « là, en prolongement du campus de Rangueil, devraient se rassembler les laboratoires de recherche et les industriels impliqués dans la technologie de pointe, celles qui ont porté l'excellence toulousaine et doivent la booster au plan international ».
Ca a du secouer dur en coulisse pour assister à un tel revirement de situation, les explications sont emberlificotés, ça me rappelle quand Curien avait voulu déménager des services du CNES de Lespinet à Marseille, le lobbying efficace de toulousains et de pontes du milieu aérospatial avait retourné la situation, ici ça y ressemble les services de Pecresse qui voulaient sans doute refiler le bébé du financement d’Aerospace Campus à un autre ministère avaient bottés en touche et ont l’air d’avoir été obligé de changer d’attitude, d'où l'interprétation, à suivre …
Il était effectivement étrange que les nouveaux batiments notamment d'Aérospace Campus ne fassent pas partie des financements de l'Etat (entre pôle de compétitivité et centres de recherches) alors que pour les autres campus les batiments nouveaux en font partie.
Apparemment, l'Etat demande des précisions sur les futurs anciens batiments laissés vides par le transfert vers les nouveaux.
Exple de l'emprise du CEAT de Jolimont ou l'école sera transférée vers AC dans le cadre de l'ISAE.
Voici ce que je viens de lire dans la DEPECHE :
Toulouse-Campus : le dossier retoqué par le ministère
Universités. Le ministère rejette le financement des constructions neuves. Réunion de crise ce soir à Rangueil.
L'annonce, hier, de la décision du ministère de l'Enseignement supérieur d'« ajourner » le dossier de Toulouse Campus au motif qu'une bonne partie était « hors sujet », (lire « La Dépêche » d'hier) a jeté la consternation dans les milieux toulousains de l'université et de la recherche. Ce projet avait, en effet, été élaboré avec « tant d'enthousiasme et réuni autant de partenaires unanimes qu'ils soient élus locaux et régionaux, universitaires ou industriels », a rappelé Jacques Erschler, président de l'université de Toulouse (la structure qui fédère désormais les facs toulousaines), que « la déception est à la hauteur des espoirs qui avaient été nourris », confiait hier un prof de Rangueil. Certes, le dossier n'est pas rejeté en bloc : l'excellence scientifique du pôle toulousain est bel et bien reconnue par les experts parisiens. Tout comme « la nécessité de réhabiliter bon nombre de bâtiments dont la plupart datent, pour les plus récents, du début des années 1970 ».
Et Aero-Campus ?
Mais en déclarant « non recevable », tout le volet portant sur les constructions nouvelles (le plan Campus du ministère ne veut retenir que des rénovations ou des réhabilitations), c'est « toute la cohérence d'ensemble du projet », si chère à ses concepteurs qui est purement et simplement remise en cause.
Car, si la nouvelle mouture, que les équipes toulousaines sont invitées à représenter en février au ministère, pourra encore reprendre les projets concernant, par exemple, les bâtiments des allées Jules-Guesde et de la rue des 36-Ponts (accueil général des étudiants et Cité universitaire internationale), elle ne comportera plus rien des nouveautés espérées, notamment la construction de l'Aéro-campus prévue sur la zone de Montaudran.
« C'était pourtant là une opération phare, capitale pour Toulouse », insiste un responsable de la recherche. En expliquant : « Adossée aux pôles de compétitivité, cette installation, en connexion directe avec le campus de Rangueil, est de nature à booster la recherche de pointe et à hisser le site toulousain au plus haut niveau international ».
On comprend dès lors que les partenaires fortement impliqués dans le projet (les collectivités locales sont déjà engagées pour 220 millions), ne veulent pas passer à côté de cette opportunité. Mais au lendemain du rejet ministériel, une évidence s'impose : il va falloir trouver de l'argent ailleurs. Et la question subsidiaire demeure : où, auprès de qui ?
Ces questions seront certainement au cœur de la réunion d'urgence (de crise ?) que tiennent les décideurs de Toulouse-Campus, aujourd'hui à 16 h 30, à l'université Paul-Sabatier.
@ Amaury
L'on a discuté de ce sujet là :
https://www.pss-archi.eu/forum/viewtopic … 52#p217352
On parle souvent de classement, de compétitivité, etc.
Voici les chiffres des PIB des départements en 2005.
La Haute-Garonne est le 10e département générateur de richesse en France et surperforme en comparaison avec sa taille. En revanche, des départements, notamment ceux de l'arc méditerranéen sous-performent malgré leur accroissement démographique (Hérault et Var) et représentent moins de poids économiques que ce à quoi leur démographie aurait pu les destiner.
Source : INSEE novembre 2008
PIB 2005
en millions d'euros
Paris 164 539
Hauts-de-Seine 111 780
Nord 60 466
Rhône 56 972
Bouches-du-Rhône 53 694
Yvelines 42 485
Seine-Saint-Denis 40 636
Gironde 38 055
Val-de-Marne 37 812
Haute-Garonne 35 122
Loire-Atlantique 33 499
Seine-Maritime 33 068
Essonne 31 879
Isère 30 669
Seine-et-Marne 29 756
Val-d'Oise 29 698
Alpes-Maritimes 29 597
Bas-Rhin 28 832
Pas-de-Calais 27 375
Ille-et-Vilaine 26 132
Moselle 23 465
Hérault 22 849
Var 22 422
Finistère 21 217
Haute-Savoie 18 618
Loiret 18 457
Oise 17 919
Haut-Rhin 17 572
Maine-et-Loire 17 370
Meurthe-et-Moselle 17 052
Marne 16 627
Loire 16 409
Pyrénées-Atlantiques 16 170
NB : comment faire pour "justifier" les données ? Cette présentation est inconfortable. Désolé.
Philippe @
ce sont des chiffres qui concernent quelle période?
per tolosa totjorn mai
Ce sont des chiffres concernant 2005. La comptabilité nationale publie les chiffres "locaux" avec plus de délai que pour les chiffres nationaux.
Commentaire
Les Produits Intérieurs Bruts départementaux sont établis pour permettre des analyses structurelles. Leur précision ne permet pas de déterminer des évolutions. En conséquence, ils ne sont calculés que tous les cinq ans. Ils sont élaborés en une seule version définitive et disponibles à l'été N+3. Ainsi, les prochains PIB départementaux qui seront calculés seront ceux de 2010, ils seront publiés dans le courant de l'été 2013.
Juste une remarque pour prolonger la non proportionnalité exacte entre démographie/richesse globale : regardez le croisement assez surréaliste (en termes statistiques) entre le département du Nord et les Hauts-de-Seine.
Ces chiffres traduisent aussi très bien les inégalités au sein de l'agglomération parisienne, notamment entre ouest et est. Les chiffres des Hauts-de-Seine parlent d'eux-même.
De la même manière le cumul des 8 départements d'Ile-de-France conduit à un décalage monstrueux de création de richesse entre cette région et le reste de la France. Cela coincide bien entendu beaucoup avec la présence de tertiaire supérieur, d'industries et services à forte valeur ajoutée. Le déséquilibre français n'est pas juste du passé.
Autre enseignement, les résultats par Région indiquent que les Régions du Sud s'en sortent désormais plutôt bien en termes de PIB par habitant ou par emploi (sauf LR un peu en dessous), contrairement à ce qui était constaté ces dernières décennies. Le décalage nord-sud (hors IDF) se fait au profit du sud.
Désolé ... j'ai raté mon coup, je voulais transféré un graphique comparatif ... plus tard.
Une petite remarque : il me semble que l'élément le plus intéressant est la comparaison PIB/emploi, notamment parce que les profils démographiques et économiques des régions ne sont pas les mêmes (part des retraites et des aides sociales notamment)
Philippe a écrit:
La Haute-Garonne est le 1e département générateur de richesse en France et surperforme en comparaison avec sa taille.
Je n'ai pas compris ou alors il y a des chiffres que tu n'as pas indiqué.
Romuald a écrit:
Philippe a écrit:
La Haute-Garonne est le 1e département générateur de richesse en France et surperforme en comparaison avec sa taille.
Je n'ai pas compris ou alors il y a des chiffres que tu n'as pas indiqué.
Je ne comprends pas non plus ce message de Philippe, car si on enlève les départements d'Ile de France, le Rhône est le département le plus riche en PIB par tête d'habitant en 2005 (PIB de 34166/habitant) , la Haute-Garonne arrive en 2ème position (PIB de 30032/habitant) et les bouches du Rhône en 3ème position (PIB de 28017/habitant).
urbatoulousain31 a écrit:
Romuald a écrit:
Philippe a écrit:
La Haute-Garonne est le 1e département générateur de richesse en France et surperforme en comparaison avec sa taille.
Je n'ai pas compris ou alors il y a des chiffres que tu n'as pas indiqué.
Je ne comprends pas non plus ce message de Philippe, car si on enlève les départements d'Ile de France, le Rhône est le département le plus riche en PIB par tête d'habitant en 2005 (PIB de 34166/habitant) , la Haute-Garonne arrive en 2ème position (PIB de 30032/habitant) et les bouches du Rhône en 3ème position (PIB de 28017/habitant).
Mille excuses, je voulais dire 10e générateur de richesses ! J'ai corrigé plus haut. Jamais je n'aurais cette prétention pour mon département. Peut-être en 2100 avec les mêmes croissances économiques relatives départementales ?
Pour alimenter le tableau de bord de la compétitivté, volet démographique.
Quelques illustrations valent mieux que de trop longs discours.
http://www.lexpress.fr/region/recenseme … 29608.html
Recensement: le nouveau visage de la France
Par Falga Pierre, publié le 05/01/2009 16:46 - mis à jour le 05/01/2009 17:33
Les chiffres de 2006 montrent un réel regain démographique. Qui profite d'abord aux grandes villes, mais pas partout. Premières leçons.
Vous êtes, nous sommes, 63 185 925. Il ne s'agit pas -hélas !- du nombre de lecteurs de L'Express, mais de celui des personnes vivant sur le territoire français ("l'Hexagone" et les quatre DOM) au 1er janvier 2006. Des chiffres que l'Insee a discrètement officialisés le 31 décembre. Les précédents dataient de 1999.
Première leçon: la France connaît un véritable regain démographique. La population s'est accrue de 3 millions d'habitants en sept ans, soit davantage qu'entre les deux précédents recensements de 1990 et 1999 (+2,1 millions en neuf ans). Le regain de la natalité, une mortalité sous contrôle et l'immigration qui se poursuit expliquent cette bonne santé -amplifiée, peut-être, par une méthode de recensement améliorée.
[...]
Toulouse enregistre la plus forte croissance
A un niveau plus fin, on observe que "la plupart des grandes villes, et notamment les villes centres, regagnent de la population", note Olivier Lefebvre, de l'Insee. Ainsi, Paris affiche 56 000 nouveaux habitants en sept ans, et son agglomération, près de 500 000! Lyon intra-muros enregistre 27 000 personnes supplémentaires et près de 70 000 dans l'agglomération. Autant qu'à Marseille-Aix, dont 40 000 pour la seule cité phocéenne.
Parmi les 30 agglomérations françaises de plus de 200 000 habitants, Toulouse est, en pourcentage, celle qui voit sa population augmenter le plus vite (près de 12%), devant Montpellier, Avignon, Bordeaux et Nice. A l'inverse, Le Havre,
(...)
Seulement trois régions françaises dans le classement de tête européen
http://www.lemonde.fr/europe/infographi … _3214.html
Pour la lecture de la carte :
Attention aux comparaisons trop rapides avec l'Allemagne qui n'est pas divisée ici en Länder, mais en sous-régions. Les Länder ont donc un poids encore plus important. Ex : Bade-Wuttemberg et Bavière en 4 ou 5 sous-régions.
Article connexe :
http://www.lemonde.fr/politique/article … id=1137816
Oui mais on est tenté de faire des comparaisons rapides quand on voit
1 IDF 442
2 Lombardie 288
3 Londres 199
...
Francfort c'est le 115 ou le 150 ? Même pas dans le Top8 si c'est le 150.
L'andalousie est pas mal, j'exagère, mais elle est souvent présentée comme un des endroits les plus sinistrés d'Espagne.
En Angleterre, si les régions étaient de la taille des autrees pays ... il y aurait beaucoup de gros points.
Les pieds en plein dedans ! Tu es tombé dans le panneau...
Demande-toi pourquoi 133 dans la subrégion de Francfort et 139 en Andalousie n'ont aucun rapport.
Tu n'as pas suivi une formation scientifique poussée ?
Parce que le Deutchmark n'a pas la valeur de la Peseta ?
Je pensais quand même que Francfort à elle toute seule aurait eu un plus gros PIB. C'est quand même une des très grandes places financières d'Europe.
Et j'aurais pensé que l'Andalousie même s'il y a des villes comme Seville, Malaga ... n'aurait pas eu un PIB supérieur à la région PACA par exemple. Si on compare l'Andalousie à la Castille, au final il n'y a pas une si grande différence que ca au niveau du PIB. Je croyais cette grande région du Sud de l'Espagne, beaucoup plus en retrait.
Donc si je regarde plus en détail:
Francfort fait parti de la sous-région: Darmstadt qui fait 3,8 millions d'habitants.
L'Andalousie: 8 millions d'habitants.
Donc la Darmstadt est presque moitiée moins grande que l'Andalousie. Comme le PIB est quasiment équivalent en valeur absolue, par habitant, on doit avoir un PIB deux fois supérieur. Je ne pensais quand même pas l'Andalousie aussi performante.
Je n'ai pas fait le calcul, mais par habitant, l'Andalousie doit être presque équivalente à la notre (Midi-P). A vue de nez, si je ne me trompe pas.
Cependant, si on compare:
Darmstadt: 3,8 millions d'hab et 133 de PIB
IDF: 12 millions d'hab et 442 de PIB
On peut dire que par habitant, les PIB de la Darmstadt et l'IDF sont kifkif équivalants. D'où la performance de l'Andalousie. Par tête, le pib est juste 1/2 celui de l'IDF.
A titre de comparaison:
Rhones-Alpes: 6 millions d'hab et 155 de PIB
IDF: 12 millions d'hab et 442 de PIB
Donc par habitants, le PIB de Rhones-Alpes est 2/3 celui de l'IDF. A la louche
Edit: Ooops j'oubliais.
Midi-P fait 2,8 millions d'hab pour 61 de PIB (2003 cf document ci-dessous)
IDF: 12 millions d'hab pour 442 de PIB
Donc par habitants, le PIB de MP est 6/10ème soit pas loin des 2/3 de celui de l'IDF.
NB: http://www.leasecom.fr/media/files/obse … mmaire.pdf
L'observatoire économique régional donne une croissance moyenne du PIB en Midi-P depuis le début des années 90 de l'ordre de 3,9%/an. Ca fait de nous une région en voie de développement
Positionnement
Midi-Pyrénées est la 8
ème
région française par :
• Son PIB (3.85% du PIB français).
• Sa population active : 1 022 800 actifs (87% de salariés).
La région présente :
• Un PIB par emploi inférieur à la moyenne des provinces.
• Un PIB par habitant légèrement supérieur.
C'est curieux le PIB par emploi est inférieur à la moyenne des provinces ... pourtant nous sommes la 5ème région sur cet indice (cf tableau du même document). Ca veut dire que les 4 régions au dessus tirent la moyenne du PIB par emploi très haut.
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