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Du nouveau pour la résidence étudiante de Quevilly Habitat sur le boulevard des Belges, 153 logements seront réalisés dans un immeuble en R+7 imaginé par le cabinet Christophe Bidaux Architectes:
(Photo de Quevilly Habitat)
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Montage en cours d'une grue afin d'élever de plusieurs dizaines de mètre l'échafaudage de la flèche de la Cathédrale qui dévoile ses nouvelles couleurs:
A suivre en direct ici !
Une grue de 400 tonnes déployée sur le chantier de la flèche de la cathédrale à Rouen
Le chantier de rénovation de la cathédrale de Rouen entre dans une nouvelle phase, introduite par une spectaculaire opération de grutage.
Les grandes manœuvres ont commencé, jeudi 10 septembre aux abords de la cathédrale de Rouen, par l’une des opérations les plus spectaculaires du chantier de rénovation de la flèche. Il faut s’imaginer une grue de 400 tonnes qui se déploie jusqu’à 120 mètres de hauteur pour préparer la deuxième tranche de travaux. La première, qui vient de s’achever, révèle ce que l’on peut percevoir à l’œil nu du dessein de cette réfection majeure : la teinte verte dont sera entièrement revêtue la flèche d’Alavoine à l’issue du chantier, à l’horizon 2024.
La hauteur et le vent, les ennemis du chantier
Le débâchage, entamé il y a quelques jours, laisse entrevoir cette peinture conforme à celle appliquée en 1914, encore masquée toutefois par l’échafaudage qui enserre la flèche sur une vingtaine de mètres, depuis sa naissance à 67 mètres jusqu’à 88 mètres de hauteur. L’étape suivante consiste à déplacer les installations de chantier, une strate au-dessus. « La grue sert à monter les poutres qui vont permettre d’assurer le plancher de travail sur lequel vont venir se développer les échafaudages, détaille Richard Duplat, architecte en chef des Monuments historiques. On ne pouvait pas échafauder la totalité de la flèche, car la prise au vent était telle que l’opération était irréalisable. Donc on a changé notre fusil d’épaule et on raisonne “par tambour”, palier par palier. » La création de la nouvelle plateforme, réalisée par la société AC2MI (Seine-Maritime), prendra une quinzaine de jours. « En plus, on va avoir du beau temps », se réjouit son directeur Yann Certain, sur place. Car, la contrainte majeure pour une intervention menée à une telle altitude, c’est le vent.
« Outre la hauteur, l’une des complexités du chantier réside dans la dépollution », souligne Richard Duplat. La face cachée de cette rénovation. Car à l’époque, en 1914, « du minium de plomb avait été appliqué pour protéger le métal — en l’occurrence la fonte — de la corrosion. » D’où la nécessité d’un chantier confiné, « dans des conditions typiques d’un chantier de désamiantage », complète Alexis Salaün, chef d’agence pour Lassarat, dont les équipes procèdent au décapage et à la peinture. « Le déplombage interviendra à partir de novembre, à l’issue du démontage et du remontage des échafaudages par l’entreprise Tubesca, cotraitant avec Lanfry pour le lot principal », précise Daniel Fournier, conducteur d’opération maîtrise d’ouvrage Drac (Direction générale des affaires culturelles).
« Un boulot de titan »
En janvier 2021, l’entreprise Technival Industrie (Charente) prendra le relais. Sa partie : le métal. Sur la première tranche, explique Damien Tricot, chargé d’affaires, « on a sorti 30 tonnes de fonte, dont 20 ont été refabriquées. Toutes les pièces vertes apparentes ont été démontées, refabriquées, ainsi que la boulonnerie. » De même, « l’escalier central a été entièrement refait. C’est un boulot de titan. »
Le chantier se poursuivra par étapes toujours : la partie haute, le lanterneau et, enfin, la partie centrale du tabouret de l’édifice qui culmine à 151 m de hauteur. Un siècle après la peinture d’Alavoine, les procédés utilisés permettront un entretien facilité : « On est là sur des process de peinture garantis de vingt à trente ans », estime Richard Duplat, des Monuments historiques. Sans matières polluantes à décaper, « les intervenants pourront repeindre au fur et à mesure. On sera sur un chantier tour Eiffel. »
(Source: Paris Normandie)
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[ROUEN : IMMOBILIER D'ENTREPRISES]ðŸ¢
— #ChooseRouen - Rouen Normandy Invest (@RouenNdyInvest) September 17, 2020
Bureaux : parc de 1 190 000 m², dispo : 50 300 m²
Entrepôts : 3 300 000 m², dispo : 162 450 m²
Source : OBAN
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Le chantier de Botanii est terminé, c'est propre mais il manque la végétation, on pourra dire après quelques travaux d'aménagements que le projet "Chartreux" est maintenant complété:
Fin de chantier aussi pour l'hôtel Ibis Combo:
Passons la Seine, direction la rue d'Amiens où le gros œuvre s'achève déjà pour la Résidence du Ruissel, les premiers tests pour le cladding sont en cours:
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Rouen 4e des villes idéales pour changer de vie en France: (Le Parisien – Aujourd’hui en France)
Palmarès : #Rouen figure dans le top 5 des villes idéales pour changer de vie https://t.co/H7rZ0bwhnt
— 76actu (@76actu) November 17, 2020
C’est pour cela qu’à la suite du déconfinement de mai, la demande de maisons avec jardin ou d’appartements avec terrasse, dans l’agglomération rouennaise est grandissante.
En conséquence les prix ont augmenté de 15 à 20% en moyenne, une maison se vend entre 250 000 et 500 000 €. Cela est dû à la grande demande des Parisiens qui souhaitent quitter les logements exigus de la capitale qui est également l’épicentre français des contaminations de la Covid 19.
Les appartements dans le centre sont très recherchés, par exemple un 80 m2 avec une terrasse de 35m2
est aujourd’hui affiché 320 000€ il était 15% moins cher avant le confinement.
Selon Seloger, cette augmentation des prix s’explique par la rentabilité locative à la hausse !
En effet le nombre de locataires serait en constante augmentation, de plus la perspective d’augmentation des loyers est très forte à Rouen. La rentabilité locative nette avoisine les 5,9 %, l’un des taux les plus forts de tout le territoire français.
(Source: Pierre de Seine)
Il y a quelques jours Seloger (avec Opinion Way) plaçaient Rouen en tête des villes où il faut investir:
Êtes-vous prêts à investir dans l'une de ses villes ? 🤑 https://t.co/izgFqBLNMr #Investissement #Immobilier
— paris_normandie (@paris_normandie) November 13, 2020
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C'est officiel depuis le 28 octobre, 4 bâtiments de l'Hôtel du département de Seine-Maritime sont classés au titre des Monuments historiques, il s'agit du 229e édifice inscrit de Rouen qui est, rappelons-le, la 6e ville avec le plus de bâtiments historiques !
Bon après n'oublions pas que la Halle Agrivin, le 104 rue Jeanne d'Arc, le Musée des Beaux-Arts et beaucoup de beaux immeubles de la rue Jeanne d'Arc ne sont toujours pas inscrit...
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Chantier de reconstruction des berges de la Seine et des ponts à Rouen (Seine-Maritime). Document Drac Normandie, 1955. L’industrialisation du bâtiment Parallèlement à la reconstruction des grandes infrastructures de transport et d’énergie, la contribution des ingénieurs pic.twitter.com/K5dNZAVeXy
— ðŸ˜ï¸ ðŸ—ï¸ ðŸ‡«ðŸ‡· Mémoire2Ville 🌆 🚧stop war 🇵🇸🇮🇱 (@Memoire2cite) December 12, 2020
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2021 sera une année ambitieuse pour la Métropole et la Ville de Rouen
Comme à son habitude, Nicolas Mayer-Rossignol est clair, net et précis. Il expose et ensuite il répond aux questions. Mardi 5 janvier au matin, c’est en présentiel mais à bonne distance, dans une grande salle du siège de la Métropole, qu’il a convié la presse pour dresser le bilan de six mois de mandat et exposer sa feuille de route pour 2021. Le nouveau patron de la Ville de Rouen et de la Métropole Rouen Normandie a démarré son mandat pied au plancher. Il débute l’année sans libérer la pédale. Plus que jamais motivé par sa vision d’une capitale de la transition sociale-écologiste, NMR entend piloter une année où l’ambition sera au rendez-vous.
À la Ville, le montant total des investissements sera porté entre 35 et 36 M€ par an, contre 20 à 22 M€ par an précédemment. À la Métropole, l’investissement atteindra 300 M€, contre un peu plus de 240 M€ en 2020. Cela se traduira notamment par une accélération des chantiers.
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Réinventer la Seine : à Rouen, l'ancien Chai à vin ne deviendra finalement pas un casino https://t.co/TW98VJESCB pic.twitter.com/Elv6kp7WSa
— France Bleu Normandie (Seine-Maritime, Eure) (@fbleuhnormandie) January 11, 2021
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À Rouen, le Palais des Consuls poursuit sa transformation et dévoile son projet
Grands travaux. Lancé l’été dernier, le chantier de transformation du Palais des Consuls se poursuit, ce mois-ci, avec la démolition programmée de la partie nord. L’occasion d’en apprendre un peu plus sur le détail du projet.
Le chantier de reconversion du Palais des Consuls, à Rouen, entre dans une nouvelle phase. En ce mois de janvier, les équipes se préparent à entamer la démolition de la partie nord, l’ancien tribunal de commerce, qui sera remplacé par une construction neuve. La partie sud, qui accueillait jusqu’en 2018 la CCI, doit être réhabilitée. Et l’on en sait désormais davantage sur le détail du projet porté par le promoteur Cap Horn Promotion, filiale du groupe Altitude, holding familiale normande composée de plusieurs entités. Il se décompose en quatre volets.
Une résidence seniors
La résidence service seniors comptera 118 appartements, du T1 au T3. L’exploitant, Villas Ginkgos, une filiale du groupe Altitude, proposera des logements pour seniors autonomes, à proximité des commerces et des transports en commun pour leur permettre d’être entourés tout en continuant à vivre chez soi.
Un complexe hôtelier avec restauration
La partie hôtelière inclura bien un hôtel quatre étoiles comme annoncé, avec l’installation d’un Novotel de 85 chambres. Mais le Palais des Consuls accueillera également un Adagio access avec 72 chambres (trois étoiles) sur le principe de l’appart-hôtel. Un espace de restauration est prévu, avec une cuisine à la française « sans chichi », indique le groupe Altitude, où l’on pourra boire un verre, manger ou bien travailler.
20 appartements de standing à la vente
Une résidence de standing avec 20 appartements d’exception est également incluse, avec des appartements destinés à l’accession à la propriété. « Ils seront mis en vente en mars 2021 par Cap Horn Promotion », annonce le groupe Altitude.
Des logements en locatif social
Des hôtels, des appartements de standing mais aussi 42 logements en locatif social gérés par Logeo Seine sont programmés.
Enfin, en sous-sol, sur deux niveaux, 213 places de stationnement privées seront aménagées et réservées aux usagers du bâtiment. Une cour intérieure paysagée apportera de la verdure à l’édifice.
(Source: Paris Normandie / Photos: ©Cap Horn Promotion et Ataub architectes)
Dernière modification par Ted76340 (19-01-2021 01:12:03)
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FLASH CHANTIER | Le plafond du premier étage est achevé en phase gros œuvre pour notre résidence "La Renaissance" à Rouen (76).#GroupeEdouardDenis #FlashChantier pic.twitter.com/Vxn4WI5g0H
— Groupe Edouard Denis (@ED_immobilier) January 25, 2021
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8e plus haut bâtiment de Rouen et 2e plus haute tour de la ville, les Tours du Front de Seine rentrent actuellement dans une cure de jouvence bien méritée:
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Tu sais en quoi consiste la rénovation ? Ravalement ou quelque chose de plus poussé ?
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Q_DC a écrit:
Tu sais en quoi consiste la rénovation ? Ravalement ou quelque chose de plus poussé ?
Je pense à un simple ravalement...
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Le contournement autoroutier de Rouen sur la sellette
Le coûteux projet de construction d'une autoroute de 41,5 km pour contourner Rouen par l'est pourrait être abandonné après le retrait lundi 8 février par la métropole de sa participation au projet
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Une catastrophe pour le développement des modes doux qui se retrouveront toujours englués dans des pénétrantes saturées.
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J'ai cru comprendre que ce contournement ne résoudrait aucun problème d'encombrement routier des PL dans la Métropole de Rouen car l'essentiel de l'industrie se situe dans la métropole, et non sur le long de ce futur axe routier, et aussi que l'essentiel des PL va ou sort de Rouen et non le contourne
Après, j'ignore si ce projet répond à une réelle nécessité, et permettra de résoudre et donc de rendre la route dans la Métropole plus apaisée et plus de fluidité
Dernière modification par greg59 (09-02-2021 18:04:07)
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greg59 a écrit:
J'ai cru comprendre que ce contournement ne résoudrait aucun problème d'encombrement routier des PL dans la Métropole de Rouen car l'essentiel de l'industrie se situe dans la métropole, et non sur le long de ce futur axe routier, et aussi que l'essentiel des PL va ou sort de Rouen et non le contourne
Après, j'ignore si ce projet répond à une réelle nécessité, et permettra de résoudre et donc de rendre la route dans la Métropole plus apaisée et plus de fluidité
Ce projet est vieux de 50 ans qui n'a jamais fait consensus. Hier j'ai regardé les débats du conseil métropolitain. Et j'ai quand même remarqué que les élus les plus âgés étaient pour et les élus les plus jeunes étaient contre le contournement.
Au passage deux groupes dont le groupe proche d'en marche (tiens tiens) pour le contournement est ont quitté la séance juste après le vote alors qu'il restait 30 délibérations. Surtout qu'ils ont quand même voté la délibération précédente pour dire que Rouen déclarait l'état d'urgence climatique logique quand tu nous tiens.
Pour moi le contournement Est c'est juste l'aberration. Il y a plein d'autres solutions pour désengorger Rouen notamment utiliser la Seine et le ferroviaire.
Je note quand même que dans l'article on dit que Rouen est la seule métropole sans contournement mais si le contournement se fait ça sera aussi la seule avec un contournement payant
Dernière modification par Grandao (09-02-2021 20:50:37)
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greg59 a écrit:
J'ai cru comprendre que ce contournement ne résoudrait aucun problème d'encombrement routier des PL dans la Métropole de Rouen car l'essentiel de l'industrie se situe dans la métropole, et non sur le long de ce futur axe routier, et aussi que l'essentiel des PL va ou sort de Rouen et non le contourne
Après, j'ignore si ce projet répond à une réelle nécessité, et permettra de résoudre et donc de rendre la route dans la Métropole plus apaisée et plus de fluidité
Dans le fond tu as tout compris, aujourd'hui cette route ne servirait pas à grand chose. Pourquoi passer par Rouen alors que l'on passe plus facilement par l'IDF ou par le Havre ? Une grande partie des camions passant par Rouen y passeront toujours si cette nouvelle liaison est faite.
Au delà de ça c'est l'impact écologique qui y serait désastreux, aucune portion de ces futures autoroutes n'existent, tout serait à faire. Pour moi, une des solutions pourrait être la création, avec les tronçons de voies rapides existants , d'un vrai "presque périphérique" avec:
- La requalification des accès nord et sud du pont Flaubert.
- La requalification des accès sud du pont Mathilde.
- La requalification de la D18E aussi appelée Boulevard Industriel (suppression des feux).
- La requalification de la rocade Nord (suppression des ronds-points).
- La création d'une trémie, un passage souterrain sous le rond-point dit "aux Vaches".
Je vous résume toute ma proposition dans le shéma ci-dessous, avec le code couleur suivant:
En bleu les actuelles voies rapides, en vert les 5 propositions faites au dessus. J'ai également ajouté des ronds rouges qui permettent de voir où sont les points sensibles de la ville (les endroits où les embouteillages sont les plus importants/les endroits les plus accidentogènes).
Tout ceci accompagné d'un plan de relance du fret dans la région. Car si l'état est capable de mettre 245 millions d'euros, la région 157 millions et le département 22 millions, ça pourrait faire un paquet de millions (424M d'€) pour relancer le transport de marchandises par le ferroviaire (ou à investir dans les TEC), je rappelle qu'un train complet de fret représente 50 camions.
Cela ne règlerait pas tout les problèmes comme la traversée de Maromme compliquée mais au moins cela pourrait réduire l'impact écologique, on pourrait même créer des forêts urbaines autour de ces axes réaménagés pourquoi pas. Des élus proposent également la mise en place d'un péage pour les poids lourds au Pucheuil sur l'A28, l'interdiction des poids lourds au-dessus d'un certain gabarit dans l'intra-boulevard rive gauche et rive droite ou encore la mise en place de plateformes logistiques dernier kilomètre. Pour ce qui est de la déviation à mettre en place lors de la fermeture du tunnel de la Grand'Mare, n'est t'il pas préférable de diriger les camions vers l'A29 puis l'A151 pour qu'ils passent par le pont Flaubert ?
D'autre idée plus discutables sont proposées comme la mise en place d'un bus à haut niveau de service sur l'axe Rouen-Barentin sur l'A150.
Voilà j'ai presque l'impression d'avoir fait une petite dissertation...
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Contournement est de Rouen. La Région Normandie porte sa participation de 157 à 205 millions d’€ et le département de La Seine Maritime de 22 a 40 million d’€. pic.twitter.com/KlvngLy6mx
— Xavier Oriot (@XOriot) February 11, 2021
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Attention ce n'est qu'une proposition, ces dizaines de millions supplémentaires n'ont pas été voté...
On se demande bien d'où ils les sortent ces millions là...
Au passage les élections départementales et régionales auront lieux dans quelques mois.
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Ted76340 a écrit:
Q_DC a écrit:
Tu sais en quoi consiste la rénovation ? Ravalement ou quelque chose de plus poussé ?
Je pense à un simple ravalement...
Je suis passé devant l'immeuble en question, des échafaudages sont déjà montés sur l'immeuble rose jouxtant la tour. Il semblerait que ce ne sera plus rose, à moins que ce soit la sous-couche.
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La fin du chantier s'approche de plus en plus pour la Résidence du Ruissel:
36 logements de la Caserne Philippon:
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