Toulouse Métropole - Économie et développement économique

invente...ra peut-être

Ah les joies des titres racoleurs de la dépêche du Midi !

La commission indépendante sur l'avenir de l'économie de Toulouse lancée

Frappée de plein fouet la crise sanitaire en raison de sa mono-culture économique autour de l'aéronautique, l'économie toulousaine doit se réinventer et trouver de nouveaux relais de croissance. C'est en ce sens que Toulouse Métropole et la Région Occitanie ont lancé, mercredi 8 juillet, la mission "Toulouse, territoire d'avenir". Une commission indépendante, d'une douzaine d'experts dans leurs domaines respectifs, qui doit identifier des pistes pour l'économie toulousaine de demain. Son premier rapport sera publié dans trois mois.
"C'est un défi" voire "une feuille blanche qui donne le vertige", mais "il faut réagir", lâche l'économiste toulousain Jean Tirole, prix Nobel d'économie. Le message a été bien reçu par Toulouse Métropole et le Conseil régional d'Occitanie. Sur proposition de Jean-Luc Moudenc, les deux collectivités ont lancé, mercredi 8 juillet, la "Mission Toulouse, territoire d'avenir".

"L'objectif est d'avoir une réflexion sur la stratégie économique de la Métropole, en se plaçant dans une perspective d'avenir, par le biais d'une commission indépendante. Celle-ci a été conçue en lien avec le Conseil régional qui est chef de file, par la loi, sur le plan économique au niveau local. Il était donc inconcevable d'engager une telle démarche sans que la Région ne soit partie prenante", explique Jean-Luc Moudenc.

Dans les faits, la création de cette instance indépendante n'est pas nouvelle. Le maire de Toulouse réélu avait annoncé son intention à ce sujet quelques semaines auparavant, alors qu'il était en pleine campagne électorale face à Antoine Maurice pour sa réélection. Une étape désormais franchie qui permet au Conseil régional de s'engager...

https://toulouse.latribune.fr/economie/ … 52352.html


Une bonne initiative du couple région métropole.

Promesse de  Moudenc ça bouge 
L’élection du nouveau premier ministre aussi peut être un plus pour notre territoire.

LGV  : Carole Delga voit en Jean Castex « un allié de poids » pour le projet

https://actu.fr/occitanie/toulouse_3155 … 43654.html

Ce groupe de travail est composé de 16 « experts », âgés de 21 à 72 ans, qui sont des personnalités issues du monde académique, économique et politique

l est parrainé par Jean Tirole, Prix Nobel 2014 d’Economie, président honoraire de l’Ecole d’Economie de Toulouse (TSE) et du comité exécutif de l’Institute For Advanced Study (IAST, institut d’étude avancée de Toulouse), et présidé par Marion Guillou, une spécialiste de l’alimentation, présidente de l’Institut agronomique vétérinaire et forestier de France (Agreenium) et qui est membre du Haut Conseil pour le climat (HCC).

Ces experts sont chargés de poser un diagnostic et d’amener des préconisations, des pistes concrètes, afin d’installer une réflexion stratégique concernant l’avenir économique du territoire. « C’est un vrai défi de se pencher sur un territoire aussi attractif que Toulouse Métropole », indique la présidente de cette commission, Marion Guillou.

https://actu.fr/occitanie/toulouse_3155 … 27010.html

"Où est-ce que je vais trouver du boulot ?" : à Toulouse, le décrochage d'Airbus menace toute l'économie locale

La filière aéronautique et spatiale représente 110 000 emplois directs en Occitanie, soit 40% de l'emploi industriel. "A partir du moment où Airbus déclenche ce genre de plan, c'est tout le tissu économique de fournisseurs et de sous-traitants qui va être touché. Vers quelle activité vont pouvoir se tourner les salariés en redéploiement ? C'est le marasme complet", s'alarme Françoise Vallin, déléguée centrale CFE-CGC Airbus. "Au total, on va approcher les 20 000 emplois qui peuvent être menacés sur la région. C'est un choc très très fort" pour l'aéronautique, avance aussi la présidente de la région Occitanie, Carole Delga, au micro de RTL.

Chez Derichebourg Aeronautics Services, l'ancienne entreprise d'Abder, le syndicat majoritaire Force ouvrière et la direction ont signé un accord de performance collective, afin de sauvegarder les 700 emplois menacés par un plan social. "En échange de la perte de notre indemnité transports, soit 140 euros par mois et par salarié, on a obtenu qu'il n'y ait pas de licenciement économique avant juin 2022", détaille Jean-Marc Moreau, délégué syndical FO de l'entreprise.

"Ici, on a un dicton : 'Quand Airbus tousse, Toulouse s'enrhume'. Sauf que là, ça n'est pas la toux, c'est le coronavirus !"

Le temps béni de l'aéronautique est-il terminé à Toulouse ? La métropole vient en tout cas de lancer la mission "Toulouse, territoire d'avenir", constituée d'une douzaine d'experts qui doivent identifier de nouveaux débouchés pour l'économie locale. Pourtant, personne ici n'enterre l'aéronautique. "Je ne crois pas du tout au fait que Toulouse soit devenu le Detroit de l'Europe", glisse Jean-François Knepper, délégué FO, en référence à la ville américaine surnommée "Motor City", déchue après la crise de l'automobile. "Le transport aérien redeviendra le média de la mondialisation, et à ce moment-là, Airbus sera seul au monde. L'aéronautique à Toulouse a encore de beaux jours devant elle."

https://www.francetvinfo.fr/economie/em … 41299.html

D'ici deux ou trois ans, il y aura un rebond des embauches. Peut-être plus ici qu'ailleurs en France.

TP Group s’installe à Toulouse

La société britannique TP Group – Sapienza (600 salariés, 65 M€ de chiffre d’affaires) vient de décider de s’implanter à Toulouse. Cette société d’ingénierie et de services spécialisée dans le conseil et les solutions logicielles et matérielles de pointe opère pour la défense, l’espace, la sécurité l’énergie…

15 recrutements à venir

Homa Games ouvre un studio à Toulouse

C’est en plein confinement que le studio parisien de jeux vidéo Homa Games a décidé de s’installer à Toulouse. C

Dix recrutements

Homa Games emploie aujourd’hui 55 salariés auxquels s’ajoutent les trois nouveaux Toulousains. D’ici dix-huit mois dix recrutements viendront faire grandir le studio toulousain qui est à la recherche de nouveaux locaux.

https://www.ladepeche.fr/2020/07/14/hom … 978515.php

https://www.ladepeche.fr/2020/07/14/tp- … 978513.php

Un nouvel article concernant Ascendance Flight la startup qui développe un avion hybride avec décollage vertical.

Implantée depuis peu à Toulouse, la startup Ascendance Flight Technologies développe un petit aéronef hybride dans un premier temps, tout électrique, capable de décoller à la verticale. Porté par quatre anciens ingénieurs d'Airbus qui ont travaillé sur le projet E-Fan, l'avion ATEA devrait faire une démonstration grandeur nature à l'occasion des JO de Paris, en 2024. Pour atteindre cet objectif, plusieurs dizaines de recrutements sont prévus dans la Ville rose.

https://toulouse.latribune.fr/innovatio … 52834.html

la Haute-Garonne dévoile un plan de 1,3 million d'euros pour relancer l'activité

Après le confinement et un arrêt total de l'activité, le secteur du tourisme a besoin de se relancer au plus vite pour éviter une crise économique sans précédent. Haute-Garonne Tourisme, le bras armé du Conseil départemental en la matière, a dévoilé un plan de relance d'1,3 million d'euros, censé booster le tourisme local. Décryptage.
Pendant que quatre hélicoptères de l'émission "La carte au trésor" survolait le département, Didier Cujives, le président de Haute-Garonne Tourisme a dévoilé un plan de relance de 1,3 million d'euros, financé par le Conseil départemental, pour soutenir la filière touristique et ses acteurs suite à la crise sanitaire de la COVID-19.
"Le tourisme est au point mort. C'est le seul secteur d'activité qui est à l'arrêt total. Restaurants, hôtels, campings, musées, parc à thèmes, parcours d'aventures... C'est une catastrophe, tous ont été contraints de fermer leurs portes pendant de longs mois. Pour affronter cette crise à bras le corps et relancer l'économie locale, la Haute-Garonne lance un plan pour doper le tourisme local", explique le président de Haute-Garonne

https://toulouse.latribune.fr/economie/ … 52426.html

Une enquête sur l'ouragan actuel.

Crise du secteur aéronautique : Toulouse en zone de turbulences

Carte intéressante sur l'emplacement géographique des éco-systèmes aéronautique, espace, électronique et numérique et recherche associée à Toulouse



La carte est complète et met en évidence la domination du secteur aéronautique, et met aussi en évidence le développement d'autres secteurs économiques comme le spatial, le numérique et l'électronique.

On notera que c'est surtout un croissant Nord-Ouest, Sud, Sud-Est qui concentre ces activités économiques.
Le Centre, l'Est et le Nord de l'agglomération toulousaine sont très peu concernés par ces secteurs économiques.

La carte est intéressante, on voit surtout à quel point les activités par secteur sont très concentrées spatialement : le sud-est est vraiment axé sur l'enseignement, la RetD et le spatial, le secteur de Basso cambo concentre les activités électroniques, informatique et des systèmes embarqués et bien entendu le nord ouest les activités aéronautiques, d'ailleurs à ce sujet le nord aurait pu être ajouté au nord ouest.

C'est également l'illustration de la concentration de toutes ces activités à la périphérie de la ville, à proximité immédiate des VRU, participant à la congestion quotidienne de celles-ci. Le centre ville, à part l'usine Airbus Saint-Eloi ne comporte que des établissements d'enseignement.

Un petit regret sur la carte (mais c'est forcément difficile à matérialiser en plus du reste) c'est que l'on n'a pas d'ordre de grandeur de l'importance de chaque entreprise ou site repéré.

Ce sont aussi des secteurs économiques difficilement développables en cœur de ville, d'ou leur développement en périphérie.
C'est donc le découpage géographique périphérique qui est flagrant par secteur industriel. Le nord et l'est font figure de parents pauvres pour les industries cartographiées ici.  Le nord est plutôt logistique et commercial, transports.
L'est , est très peu économique et beaucoup plus résidentiel.

Le centre de la métropole reste administratif, commercial, médical, touristique, hôtelier, bars, restauration et étudiant.

Ce n'est pas complètement impossible non plus que d'avoir une partie de ces activités en ville, l'usine St-Eloi est même un site industriel en coeur de ville. Mais si c'est vrai que les activités industrielles sont difficiles à "caser" dans le tissu urbain (problèmes de voisinage, besoins fonciers) une bonne partie des activités de bureaux aurait pu avoir une localisation plus centrale.

On peut constater que le regroupement de type "cluster" territorial est probablement recherché par les entreprises en premier lieu (Airbus avait d'ailleurs invité la plupart de ses sous-traitants à s'installer à proximité de ses usines) et que l'accessibilité est un critère important mais avant tout pensé au regard de la voiture.

Les usines industrielles présentes en cœur de ville ont été construites quand elles étaient encore à la périphérie de la ville il y a un siècle (st Eloi, cartoucherie, Latécoère).
Depuis les années 60, il aurait déjà été difficile d'implanter ce type de nouvelles unités de production dans la ville.
C'est très consommateur d'espaces vierges pour se développer.

On voit plutôt aujourd'hui une relocalisation vers la périphérie des unités de production (Latécoère) tout en conservant le tertiaire dans la ville.

INES CRM s’implante à Toulouse

la société INES CRM qui accompagne les entreprises dans leur transition digitale souhaite poursuivre son expansion en France, et a récemment ouvert une agence à Toulouse, dédiée aux PME et aux ETI d’Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine. Entretien avec Pol Barrière, responsable commercial sud-ouest.

Nous sommes implantés en France à Lyon, Paris, Nantes, Besançon, et Toulouse, et à l’international, en Suisse, en Espagne et en Uruguay.

https://www.touleco.fr/Strategie-digita … ouse,29396

Microsoft s’implante à La Cité de Toulouse

Soit 300 m2 consacrés à la transformation numérique et à l’intelligence artificielle sur un site, « La Cité des startups », dédié à l’innovation et à la nouvelle économie, et qui abrite déjà une quarantaine de startups.

https://www.occitanie-tribune.com/artic … innovation

De bonnes nouvelles tout de même malgré le marasme économique et social en vue partout.
Toulouse commence à se positionner sur des sièges interrégionaux sud Ouest nouvelle aquitaine, Occitanie.
Toulouse est la métropole la plus centrale de cet ensemble inter-regional.

https://www.ladepeche.fr/2020/09/25/mic … 095405.php

Conçu pour créer une synergie dans la recherche et l’application dans le domaine de l’intelligence artificielle de la transformation numérique, il comprend à la fois une salle de formation et des espaces de conférence, de coworking et d’idéation. L’Experiences Lab se veut être, au-delà du lieu, une plateforme d’accélération des connexions entre tous les acteurs locaux.

La Cité est un équipement structurant au service du développement de l’écosystème d’innovation à Toulouse et en Occitanie. Lieu de travail, de collaborations et d’échanges, elle rassemble en un seul espace des services complémentaires et adaptés au développement et à la croissance des entreprises innovantes.

Aujourd'hui, ce sont déjà 40 start-up qui se sont installées en moins de 6 mois et notre première locomotive internationale vient de proposer son premier évènement : Microsoft.

Le choix de Microsoft est loin d'être anodin.

https://www.toulouseinfos.fr/actualites … louse.html

Un article intéressant sur la mutation du secteur spatial dont les acteurs économiques et institutionnels se positionnent à Toulouse et sa région.
https://toulouse.latribune.fr/evenement … 57758.html

Space Forum : la filière spatiale "migre vers une économie de la donnée"

La filière spatiale française, forte de ses 16 000 emplois, est en pleine mutation. Désormais la donnée, sa transmission, son stockage et son exploitation sont au coeur de toutes les stratégies de ses acteurs, notamment en matière de cybersécurité et climat. C'est en tout cas le grand enseignement de la troisième édition du Space Forum de La Tribune, qui s'est déroulée vendredi 18 septembre à la Cité de l'Espace à Toulouse. Retour sur cet événement et présentation de son palmarès.
"Nous entrons dans une nouvelle ère du spatial que je qualifierais de post new-space", analyse Jean-Yves Le Gall, le président du Centre national d'études spatiales. Invité en qualité de Grand Témoin à la troisième édition du Space Forum, organisée par La Tribune à La Cité de l'Espace de Toulouse vendredi 18 septembre, le dirigeant a exposé sa vision sur l'avenir d'un secteur pesant 4,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires pour 16 000 emplois.

"Le spatial migre d'une économie des infrastructures vers une économie de la donnée.

En lien avec la nouvelle stratégie militaire française, le gouvernement a implanté depuis peu un Commandement de l'Espace, à Toulouse, sur le site du Cnes, où 29 militaires composent déjà cette nouvelle unité. D'ici 2025, ils seront au nombre de 400 et auront un bâtiment dédié dès 2023. Mais cette montée en puissance de l'armée au sein de l'écosystème spatial se fera en partenariat avec les acteurs privés, comme Airbus Defence and Space ou encore Thales Alenia Space qui se sont déjà emparés du sujet.

"Thales Alenia Space et Telespazio ont investi, au sein de la Space Alliance, dans une jeune pousse du nom de Nord Star qui fait de la surveillance de l'espace à partir de l'espace, avec à terme une quarantaine de satellites d'observation en orbite. Les données orbitales et non orbitales récoltées arrivent dans une plateforme C2 (Command Control). C'est le cœur névralgique du système, qui devra traiter à l'avenir de grandes quantités de données, il y a donc un besoin d'automatisation du processus d'analyse. En ce sens, nous travaillons sur des clouds (nuage numérique pour y stocker de la donnée, ndlr) de défense, privés et hybrides pour partager de l'information de manière sécurisée", explique Riadh Cammoun, le vice-président Affaires Institutionnelles et Réglementaires chez Thales Alenia Space.

En plus de ces technologies développées par cette dernière, d'autres moyens sont étudiés et explorés pour sécuriser le transfert de données codées via la relation par satellites, à l'image de la technologie quantique.

Article précisant l'avancement du siège du commandement du spatial militaire à Toulouse
https://www.usinenouvelle.com/article/p … e.N1003214

Un an après sa création, ce commandement spatial forme ses premiers bataillons. "Nous étions environ 220 personnes en 2019 et nous serons 470 en 2025. Nous prévoyons un déménagement le plus rapide possible sur Toulouse" (Haute-Garonne), a précisé le général Michel Friedling à la tête de ce commandement spatial. Les effectifs sont aujourd’hui encore répartis entre Paris, Creil (Oise), Lyon (Rhône) et Toulouse. Déjà 30 recrues ont intégré le site toulousain. Chaque année, les effectifs devraient s’étoffer d’une quarantaine voire d’une cinquantaine d’experts supplémentaires jusqu’en 2025.

Hébergé temporairement dans les établissements du CNES, le commandement spatial disposera de son propre bâtiment opérationnel dès 2023 avec 5000 m2 de bureaux et de surface de travail. A terme, ce centre disposera des capacités pour contrôler et commander les satellites, missions qui sont en partie sous-traitées au CNES actuellement. Le centre de commandement sera aussi équipé de moyens de connexion haut débit en vue d’échanger avec ses grands homologues étrangers tout en disposant des capacités massives de traitement et de stockage des données spatiales.

DES NANOSATELLITES PATROUILLEURS EN ORBITE DÈS 2023

Coup de tonnerre à Toulouse

Latécoère va supprimer 475 postes, un tiers de ses effectifs.
source La Dépèche

Coup de massue, L'onde de choc est énorme dans la Ville rose selon La Tribune

trois nouveaux concepts d’avion à hydrogène dévoilés par Airbus

Airbus a dévoilé, lundi 21 septembre 2020, « trois concepts » d’avion à hydrogène. L’avionneur ambitionne de commercialiser d'ici à 2035 ce premier appareil zéro émission.

Toulouse - Eurécia poursuit ses recrutements en cette rentrée teintée d'incertitude

La PME toulousaine embauche 15 nouveaux collaborateurs

Avec une croissance de 44% sur le dernier exercice et 80 salariés, Eurécia, éditeur d’un logiciel RH 100% web de gestion administrative du personnel, gestion des talents et d’engagement collaborateur, maintient ses recrutements en dépit de la crise liée à la COVID-19.

D’ici la fin de l’année 2020, Eurécia renforcera son ancrage en local puisque l’ensemble des collaborateurs intégrera de nouveaux locaux, toujours situés à Castanet-Tolosan, à quelques kilomètres de Toulouse. Avec une superficie totale de 20 500 m2, ce «  Campus Eurécia »  sera un espace permettant d’allier performance et qualité de vie au travail.