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Nom | Fonction(s) | Hauteur | Niveaux | Année |
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Industrie | 35.00 m | 2011 | |
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Industrie | 10.00 m | R+1 | 2010 |
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Bureaux | 17.50 m | R+4 | 2006 |
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Commerces et activités | 20.00 m | R+3 | 2006 |
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Bureaux | 24.50 m | R+6 | 2005 |
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Bureaux | 10.50 m | R+2 | 2005 |
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Industrie, Bureaux | 10.50 m | R+2 | 2005 |
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Industrie | 45.00 m | 2004 | |
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Bureaux | 31.50 m | R+8 | 2002 |
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Bureaux, Industrie | 7.00 m | R+1 | 2000 |
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Bureaux | 21.00 m | R+5 | 1999 |
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Bureaux | 17.50 m | R+4 | 1992 |
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Bureaux | 24.50 m | R+6 | 1989 |
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Industrie | 47.00 m | 1989 | |
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Bureaux | 10.50 m | R+2 | 1986 |
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Bureaux | 17.50 m | R+4 | 1985 |
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Industrie, Bureaux | 30.00 m | R+7 | 1980 |
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Industrie | 28.00 m | R+7 | 1935 |
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Industrie | 22.00 m | R+5 | 1935 |
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Bureaux | 10.50 m | R+2 | 1930 |
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Industrie | 1921 |
Le fabricant italien de climatisation Clivet s'installe à Toulouse
Clivet veut étendre sa présence en France, et la démarche passe par Toulouse. Le spécialiste italien de la climatisation et du chauffage, qui compte aujourd'hui 15 collaborateurs français, a notamment installé un hangar logistique dans l'agglomération.
La marque italienne a été fondée en 1989, et était déjà présente à l'international aux Émirats arabes unis, au Royaume-Uni, en Allemagne, en Chine, en Inde et en Russie. Elle s'est installée en France en 2023.
Objectif : retrouver la croissance en termes d’emploi d’il y a dix ans
« On fait en sorte avec l’investissement et le partenariat avec le Cnes de pouvoir retrouver d’ici à la fin du mandat une croissance en termes d’emplois équivalente à celle connue il y a dix ans. Actuellement, on est sur une période plutôt basse, mais dans deux ou trois ans, on va retrouver de bonnes dynamiques », déclare Carole Delga, confiante.
Bonne touche déjà pour Toulouse : l’arrivée de l’entreprise japonaise Astroscale, spécialisée dans le désencombrement des débris spatiaux des satellites. D’autres projets d’entreprises étrangères pourraient suivre le pas.
Un salon du spatial
Notamment grâce à la création d’un salon international du spatial à Toulouse, à l’horizon 2026, qui fonctionnerait en alternance avec celui du Bourget. À la clé, le Cnes et la Région espèrent développer les partenariats et continuer à attirer les talents et leaders du spatial dans la capitale française de l’aéronautique et du spatial.
« On a une force spéciale à Toulouse. » Ici, pas moins de deux tiers des emplois français sont regroupés dans la Ville rose. « On a tout. On a à la fois le monde académique, les laboratoires, le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), les PME, les opérateurs… », énumère Philippe Baptiste. La base est là. Et le potentiel peut encore monter, en soutenant les cerveaux dès l’université.
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https://toulouse.latribune.fr/entrepris … 06535.html
Nouvelle usine de la start-up Lilium en France : Toulouse revient dans le jeu
La start-up allemande Lilium, qui développe un VTOL électrique, pourrait finalement s'installer à Toulouse, plutôt que la région bordelaise, selon des informations de La Tribune. À la clé ? Près de 400 millions d'euros d'investissement et 850 nouveaux emplois directs dans la filière aéronautique.
Cela pourrait être une vraie prise de guerre économique pour la région toulousaine. Selon nos informations, confirmées par des sources concordantes, le projet de VTOL allemand Lilium viserait une implantation à Toulouse plutôt qu'à Bordeaux. A la clé, la création de 850 emplois directs.
À l'occasion de la dernière édition du sommet « Choose France », la start-up qui développe depuis plusieurs années en Allemagne un projet de VTOL électrique - ces petits aéronefs à décollage et atterrissage verticaux - avait officialisé son intention d'investir en France pas moins de 400 millions d'euros pour y construire sa future ligne d'assemblage.
Je pense que le site de Francazal correspond bien à ce type d'entreprise.
https://www.actu-transport-logistique.f … 952922.php
Fabricant de pneumatiques, de plans de travail pour les cuisines, embouteilleur d’eau minérale ou importateur de panneaux photovoltaïques… Des chargeurs français, engagés dans la réduction de leur empreinte carbone, ont découvert, le 3 septembre dernier à Barcelone, les nouvelles solutions ferroviaires reliant la capitale catalane à Toulouse et à Lyon.
Une soixantaine de chargeurs et transitaires français étaient du voyage en Espagne pour participer à la journée France, organisée le 3 septembre par le port de Barcelone, véritable locomotive des nouveaux services directs de fret ferroviaire transfrontaliers lancés en novembre 2023 entre Barcelone et Toulouse (trois par semaine) et entre Barcelone et Lyon (un train par semaine).
Bientôt une nouvelle usine à Toulouse-Francazal pour l'avionneur AURA AERO
Le constructeur aéronautique pourrait alors enclencher la production du 1er prototype de son avion hybride-électrique baptisé ERA. Pour l’instant, le concept industriel est figé et son entrée en service est prévue d’ici 2030. En attendant, Toulouse Métropole a déjà donné son accord pour la construction de l’usine et le permis de construire devrait être déposé à l’automne.
A Toulouse, tous unis contre les faillites !
844 procédures collectives ouvertes en Haute-Garonne depuis le début de l’année : un chiffre en augmentation de 14 % par rapport à la même période l’an dernier
La Haute-Garonne, « atypique » par son dynamisme
La Haute-Garonne apparaît cependant mieux lotie que d’autres territoires : la hausse des faillites atteint 21 % sur l’ensemble de l’Hexagone. À la fin du premier semestre, la plupart des indicateurs macro-économiques dans le département sont au vert. « Vert pâle », nuance Jean Dokhelar, directeur régional de l’Urssaf. L’emploi privé a grimpé de 1,5 % sur un an et, avec lui, la masse salariale (+5,1 %), entraînant une progression des encaissements de cotisations sociales (+10 %). Les taux de « restes à recouvrer », déjà bons, s’améliorent légèrement. En revanche, l’intérim est en recul.
Même constat en demi-teinte du côté des Direction régionale des finances publiques (DRFiP) : l’activité des entreprises haut-garonnaises est en croissance sur un an (+7,8 %), à rebours de la tendance nationale (-0,3 %).
https://www.touleco.fr/Tous-unis-contre … ites,43547
Zephalto prépare une usine de ballons stratosphériques réutilisables à Toulouse
La start-up toulousaine, qui prépare son offre de tourisme stratosphérique, va installer une usine à Muret pour produire des ballons stratosphériques réutilisables, pour répondre à ses besoins mais aussi pour les vendre. En parallèle, Zephalto vient de réussir un vol historique à 6.000 mètres d'altitude avec une cabine pressurisée, avant un premier vol commercial en 2025.
Spatial : U-Space lance la première usine française de nanosatellites
En moins d'un an, U-Space a mis sur pied une usine de 1.000 m2 à Toulouse pour fabriquer un satellite par semaine dès 2025. De quoi propulser la startup dans la course mondiale aux nanosatellites.
C'est un endroit assez inattendu pour fabriquer des satellites. En moins d'un an, U-Space a mis sur pied une usine nichée au coeur du B612 à Toulouse. Dans ce bâtiment totem de l'innovation aérospatiale, se côtoient les recherches sur l'électrification des avions de l'IRT Saint-Exupéry, le siège du pôle de compétitivité Aerospace Valley ou encore l'Espagnol ESSP qui fournit le service satellitaire européen EGNOS.
Six ans après sa création, U-Space a investi plusieurs millions d'euros pour transformer la zone inutilisée de 1.000 m2 en véritable usine, la première en France dédiée à l'assemblage de nanosatellites.
Une supply chain principalement française
La jeune société a constitué un réseau d'une trentaine de fournisseurs chargés de livrer les différents composants ensuite intégrés sur le satellite : Anywaves (antennes), Syrlinks (équipements radiofréquences), Connektica (automatisation des tests).... « Nous avons une supply chain à 80% française, le reste des sous-équipements provenant de l'Europe et un faible pourcentage hors Europe », précise Fabien Apper. Tous ces composants arrivent dans l'usine où ils sont stockés à la verticale dans une immense armoire de 35 m3 capable d'emmagasiner les pièces de 100 satellites en même temps.
La société compte passer de 74 à 100 salariés l'année prochaine, avec l'arrivée d'ingénieurs mais aussi, à terme, d'opérateurs de production.
A la rentrée, U-Space a été sélectionné par l'Agence de l'innovation de défense (AID) pour la mission de démonstration Toutatis au profit du Commandement de l'espace. La société va produire deux satellites : un guetteur à des fins de surveillance de l'espace et un satellite doté de capacités de manoeuvre pour protéger les satellites français sensibles contre des ingérences étrangères. Après avoir réalisé une levée de 7 millions d'euros en 2022, U-Space entend boucler un nouveau tour de table d'au moins quinze millions d'euros en début d'année prochaine.
Kuehne+Nagel ouvre à Saint-Jory sa plus grande agence de France
Avec plus de 11.000 mètres carrés [1], la nouvelle agence de Saint-Jory, près de Toulouse, est désormais la plus grande agence route française du transporteur et logisticien Kuehne+Nagel, qui agit aussi dans les secteurs du maritime, du ferroviaire et de l’aérien
L'Agence spatiale européenne (ESA) a signé mercredi avec la société toulousaine Hemeria un contrat d'une valeur de 9,8 millions d'euros pour la conception, la construction et l'exploitation de Swing, la première mission de nanosatellite de météorologie spatiale de l'ESA.
https://toulouse.latribune.fr/entrepris … 11893.html
Le toulousain Hemeria produira le premier nanosatellite européen de météo spatiale
Le fabricant français vient de décrocher un contrat de l'Agence spatiale européenne pour produire le premier nanosatellite européen de météo spatiale. Il permettra de mieux comprendre la haute atmosphère terrestre et d'améliorer le fonctionnement des services de localisation.
L’aire d’attraction de Toulouse continue de créer de l’emploi, mais moins que l’an passé
L’aire d’attraction Toulouse a créé 9 480 postes en 2023. Lyon suit de près, avec 8 130 postes, devant Marseille-Aix en Provence, Rennes et Nantes (entre +3 650 et +5 690 chacune), puis Strasbourg et Angers (+2 000 chacune).
Source : Unedic 2000-2006 et Urssaf Caisse nationale 2022-2023, traitement AUAT.
https://www.aua-toulouse.org/laire-datt … lan-passe/
Apparemment Toulouse a retrouvé post covid, une continuité de dynamique d'emploi et reste en région la première avec un solde d'emplois positif le plus important devant Lyon et déjà quasiment le double d'aix Marseille qui est en 3ème position.
En 2023, effondrement de Bordeaux qui n'a même pas 1000 emplois supplémentaires. Montpellier semble aussi à la peine en 2023 avec a peine 1000 en solde positif.
C'est une belle performance, néanmoins il y a des chances que 2024 soit une année moins dynamique malheureusement. Comme au plan national, le ralentissement économique va forcément se ressentir sur le marché de l'emploi local, même si traditionnellement le bassin d'emploi toulousain a une tendance un peu spécifique (fortement dépendant de la situation de la construction aéronautique civile).
https://actu.fr/occitanie/toulouse_3155 … 43557.html
Selon cette étude qui s’appuie notamment sur les données de l’Ursaaf, ce sont surtout les activités productives – et plus particulièrement dans l’industrie – qui génèrent le plus de créations d’emplois : en 2023, 78 emplois sur 100 créés dans l’aire d’attraction de Toulouse étaient dans ce domaine, soit 7 360 emplois sur un total de 9480 créations dans l’année.
L’aéronautique en « fer de lance »
La reprise amorcée en 2022 sert l’industrie et les services aux entreprises dans la filière aéronautique à Toulouse.
En 2023, la filière retrouve et dépasse ses effectifs d'avant crise. Cette reprise classe Toulouse comme la grande aire la plus dynamique dans l'industrie, devant Montpellier et Bordeaux.
AUAT
Etude "Emploi, l'aéronautique en fer de lance
Le géant Tata renforce sa présence à Toulouse pour mieux servir Airbus
Deux ans après la création d'un centre d'ingénierie, le groupe indien a ouvert un nouveau centre d'excellence à Toulouse dédié à la transformation numérique pour se rapprocher de ses clients dans l'aéronautique, notamment Airbus.
Airbus New Training and Flight Operations Campus - Toulouse Blagnac
Futur centre de formation européen
Dans un bâtiment à l'architecture innovante, le campus pourra accueillir environ 10 000 stagiaires par an, pilotes, mais aussi des mécaniciens et des spécialistes structures, et offrira plus d'espace pour 12 simulateurs de vol (FFS) et 12 salles de procédures Airbus (APT).
Il s'agira du plus grand centre de formation de ce type en Europe.
De nouveaux espaces de bureaux seront également créés pour environ 600 employés d'Airbus. Ce projet sera certifié Breeam Very Good.
https://www.kardham.com/fr/References/A … gnac-00627
Deux nouvelles usines à Toulouse : la ville d'Airbus devient-elle aussi la vallée du médicament ?
Avec l'arrivée de nouvelles entreprises dans le secteur pharmaceutique, Toulouse semble s'implanter de plus en plus dans le domaine. Sera-t-elle une future vallée du médicament ?
Evotec en 2024, Ipsophène en 2025, quelle sera la prochaine usine ? Toulouse semble devenir une véritable vallée du médicament avec l’arrivée de plusieurs entreprises spécialisée dans la recherche et la production pharmaceutique.
Airbus choisit Toulouse comme deuxième site d’assemblage de l’A321 XLR
Fabriquée, jusque-là, exclusivement en Allemagne, la version à très long rayon d’action de l’A321neo dispose désormais d’une deuxième ligne d’assemblage. L’usine Lagardère à Blagnac dédiée à la production de l’A321 produit maintenant aussi le XLR.
Cette arrivée des A321 XLR à Toulouse est le symptôme de la montée en régime de l'avionneur européen.
Face à la demande des compagnies mondiales et au besoin d'avions plus économes en carburant**, le XLR (acronyme de "extra long range", "très grand rayon d'action") est la réponse d'Airbus, plébiscitée par ses clients. Car les A321 XLR peuvent couvrir des distances transatlantiques. C'est le cas justement du premier livré à Iberia en fin d'année 2024, et immédiatement fléché sur un vol Madrid-Boston.
Bientôt, deux lignes d'assemblage
Cette ligne d'assemblage, un hangar de 120.000 mètres carrés, est en cours de duplication, pour pouvoir produire d'ici 2026 des A321 et des A321 XLR avec une cadence élevée sur deux lignes, qui s'appelleront "JLL1" et "JLL2". Cette extension de l'activité toulousaine était prévue depuis longtemps, comme l'expliquait Marion Smeyers, directrice du site, en décembre 2023.
Aujourd'hui, environ 750 personnes travaillent sur cette première ligne. Il faudra "presque doubler" ces effectifs pour faire tourner les deux, explique Marion Smeyers. Presque, car certains postes n'ont pas forcément vocation à être doublés. "On sera autour de 1.300 personnes".
Sommet sur l'IA : les Émirats arabes unis vont construire un data center géant en France
Ce data center d'une capacité de calcul pouvant aller jusqu'à un gigawatt fera partie d'un "campus" axé sur l'IA, le plus grand en Europe, selon l'Élysée. Cela représente "de 30 à 50 milliards d'euros" d'investissements, dans le cadre d'un accord de partenariat signé en présence du président français Emmanuel Macron et de son homologue émirati Mohammed ben Zayed al-Nahyane.
Ce campus sera développé par un "consortium de champions franco-émiratis", notamment par le fonds d'investissements MGX, adossé aux Émirats arabes unis. Sa localisation doit encore être décidée.
Annonce importante. Même si je pense que ce méga data center sera situé plutôt en région parisienne, la région toulousaine par le biais d'ANITI a le potentiel d'être au coeur du développement de l'IA.
L‘IA Cluster ANITI a été sélectionné par l’État pour participer au prestigieux AI Action Summit, qui se tiendra les 10 et 11 février prochains. Cet événement d’envergure internationale, organisé par l’État français, réunira une soixantaine de chefs d’État, 260 chercheurs de renommée mondiale, ainsi qu’un programme exceptionnel axé sur les dimensions scientifiques, économiques et politiques de l’intelligence artificielle.
ANITI prend part à la « Route vers le Sommet », qui regroupe une centaine de rencontres organisées partout dans le monde depuis plusieurs mois déjà. Cette mobilisation internationale atteindra son apogée en février, avec une véritable « semaine de l’action pour l’intelligence artificielle » à partir du 6 février sur Paris et culminera avec le Sommet les 10 et 11 février.
En marge du sommet et dans le cadre du week-end culturel avec des événements grand public liés à l’IA, ANITI organisera des événements afin de sensibiliser et d’informer sur les enjeux de l’IA, tout en valorisant l’expertise et les initiatives locales.
Par ailleurs, la ministre française chargée de l'IA, Clara Chappaz, a annoncé que 35 sites étaient "prêts à l'emploi" pour accueillir de nouveaux centres de données sur le territoire national. Ils occuperont quelque 1 200 hectares et leur localisation sera dévoilée en début de semaine prochaine.
A défaut du méga data center, la région toulousaine peut aussi accueillir l'un ou plusieurs des 35 sites de l'IA.
Je pense à :
-Montaudran Aerospace (siège d'ANITI immeuble B612).
-Grand Matabiau (projet campus numérique)
-Complexe Aéronautique Blagnac-Colomiers
-Aéroport Francazal
Faut pas rêver L’IDF sera choisi
L'IDF sera choisi pour le méga data center. Oui je n'ai aucun doute là dessus également.
Mais il y a le projet d'installation de 35 sites IA et là (surtout grâce à ANITI) :
-Montaudran Aerospace avec l'accueil d'un des 35 sites de l'IA en lien avec l'AESE (Aéronautique, Espace et Systèmes embarqués) proche du siège d'ANIOTI (B612).
-Le projet immobilier tertiaire Sernam1 à Grand Matabiau vise l'accueil d'un complexe du numérique avec de l'IA (ANITI envisage d'y installer 200 chercheurs)... Là aussi serait la possibilité d'y installer un des 35 sites IA.
-L'Aéroport de Francazal également avec l'accueil des entreprises aéronautiques et de mobilités électriques a aussi la capacité d'accueillir l'un des 35 sites IA.
oc31 a écrit:
L'IDF sera choisi pour le méga data center. Oui je n'ai aucun doute là dessus également.
Mais il y a le projet d'installation de 35 sites IA et là (surtout grâce à ANITI) :
-Montaudran Aerospace avec l'accueil d'un des 35 sites de l'IA en lien avec l'AESE (Aéronautique, Espace et Systèmes embarqués) proche du siège d'ANIOTI (B612).
-Le projet immobilier tertiaire Sernam1 à Grand Matabiau vise l'accueil d'un complexe du numérique avec de l'IA (ANITI envisage d'y installer 200 chercheurs)... Là aussi serait la possibilité d'y installer un des 35 sites IA.
-L'Aéroport de Francazal également avec l'accueil des entreprises aéronautiques et de mobilités électriques a aussi la capacité d'accueillir l'un des 35 sites IA.
Baissez pas les bras.
A proximité d'une centrale nucléaire je dirais, étant donnée la consommation attendue de l'infrastructure.
Y en a pas en IDF, de centrale.
Votre désavantage c'est l'eau, il va en falloir beaucoup.
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