Paris 13e - Paris Rive Gauche (T1-75)

L'extension à 4 voies de l'avenue de France sur le côté de la station "Quai de la gare" va reprendre. Elle avait été interrompue par la construction d'un immeuble de bueau en face de la Gare d'austerlitz avec les cabnes des ouvriers. Celles-ci étant parties, les travaux peuvent reprendre et d'ailleurs, les premières barrières ont été mises en place.

760 logements supplémentaires à Masséna

Le quartier Masséna, imaginé par l'architecte Christian de Portzamparc, se développe rapidement. Aujourd'hui on compte plus de 560 logements déjà construits, accueillant près de 1600 personnes.
2006-2007 verra l'édification de 500 habitations supplémentaires. Enfin, à l'horizon 2009 et sur Masséna Sud (entre l'avenue de France et la rue du Chevaleret) seront bâtis plus de 260 logements, dont la moitié destinée aux étudiants. Bruno Fortier et Yves Lion assurent l'organisation urbaine de ce secteur. Parmi les 500 logements en cours de construction, 237 représenteront du logement social (PLUS et PLS) et 195 de l'accession à la propriété privée. Sur le quartier de Masséna Sud, on comptera 55 logements en accession à la propriété privée, 131 en logement social et enfin 80 destinés aux étudiants.


http://www.parisrivegauche.com/images/im_shim.gif

légendes: en vert: 563 logements réalisés; en rose: 263 logements à engager;
en jaune: 500 logements en travaux ou permis de construire en cours

http://www.parisrivegauche.com/

Image plus détaillée :


Et un rappel du plan des secteurs ("nord" signifie en fait "nord-est" et "sud" correspond à "sud-ouest") :

J'aime l'image "I" où l'on voit que les tourettes sont coupées au cadrage sur la hauteur pour éviter de faire peur au client éventuel... 

20 minutes, 9/06/2006

Délires éphémères en bord de Seine

20 Minutes | édition du 09.06.06

La jeune génération se lâche. Une vingtaine d'architectes, lassés du conservatisme ambiant, investissent ce week-end le bâtiment encore en friche des magasins généraux (13e). Les travaux de ce qui est amené à devenir un institut de la mode ne commenceront que dans quelques mois, et en attendant, un espace de 300 mètres de long sur 40 de large a été « piraté ». Ces jeunes passionnés ont même vaincu le pointillisme des administrations en charge du site (Ville, préfecture, port). Reste à convaincre le public de descendre jusqu'à ce quai, difficile d'accès.

« Comme dans un vrai projet, chaque équipe a été dotée d'une parcelle, d'un budget (6 000 e) et d'un programme (« pop-up city ») », explique Alix Heaume, une des organisatrices. Cette jeune professionnelle revendique un espace de création « pour une fois hors des contraintes et des querelles de chapelle ». Sans rien construire, il s'agit de montrer que « l'architecture, ce n'est pas que des murs, un sol et un plafond » et que d'autres disciplines comme la musique et la vidéo peuvent aussi y être intégrées.

Le public pourra s'affaler dans des coussins roses en écoutant les sons recueillis dans le milieu homosexuel habitué des magasins généraux ; regarder des comédiens et danseurs s'ébrouer sur 27 tonnes de sel. Ou encore jouer sur un terrain de basket dessiné jusque sur le plafond.

Hier, allongé sur une petite barque, Gilles Delalex mettait la dernière main à son « fish eye ». Des demi-sphères en miroir affleurent à la surface de l'eau. « Pour une fois, c'est la Seine qui nous regarde », s'amuse-t-il.

S. C.

Le Festival des Architectures vives se déroule d'aujourd'hui à dimanche, de 10 h à 22 h (20 h dimanche) au 22 bis-36, quai de la Gare (13e).

Visites guidées à 16 h. Entrée gratuite.

Infos : www.fav2006.org

©2006 20 minutes

Le festival des architectures vives se déroule d'aujourd'hui à dimanche, de 10 h à 22 h au 22 bis- 36, quai de la Gare (13e). Visite guidée à 16 h. Entrée gratuite. www.fav2006.org

Le Parisien , mercredi 14 juin 2006

Ils sont prêts à se battre pour le Buffet de la Gare 


ICI, on trouve des clients en bermuda qui lisent le magazine people « Hola ! », d'autres qui traînent un air mélancolique, d'autres encore qui boivent vite fait un café en gardant un oeil stressé sur leur montre. Né au XIX e siècle, le Buffet de la Gare d'Austerlitz vit sans doute ses derniers jours. Avant-hier, la majorité du Conseil de Paris a repoussé le voeu émis par le conseil de quartier Austerlitz qui demandait la conservation du Buffet.
Motif : « Ce bâtiment est situé à l'intersection étroite et dangereuse de trois voies : l'avenue de France, du quai d'Austerlitz et du pont Charles-de-Gaulle, explique Jérome Coumet, adjoint au maire du XIII e arrondissement. C'est un carrefour engorgé. La construction d'une voie supplémentaire devient indispensable car les bus n'ont pas la place de passer et les cyclistes circulent sur une piste d'un mètre à peine. On n'a pas le choix : il faut raser en partie ce bâtiment. » Les travaux auraient lieu d'ici un an. [...]



Géraldine Doutriaux

http://www.leparisien.com/home/maville/ … =261002909

C'est vrai que le buffet est un peu plus sympathique que d'autres établissements du même genre, mais de là à le comparer au Train Bleu  ...

Il suffit de passer à côté pour voir qu'il empêche tout réaménagement du quartier, en particulier pour ce qui concerne l'articulation du quartier Paris Rive Gauche et la gare d'Austerlitz. On ne peut pas tout garder, dans une ville...

cf Google Maps (c'est le long bâtiment au toit gris foncé, dans l'axe du pont) : http://maps.google.com/maps?f=q&hl= … 6,0.004152

Au pire ils ne peuvent pas le deplacer un peu vers le nord ouest, là ou il y'a des parkings?

L'affaire du buffet de la Gare d'Austerlitz est symptomatique d'une société qui a perdu le sens commun. Moi aussi j'adore les vieux quartiers, voire même carrément certains coins d'aspect minables. Mais j'ai quand même une réflexion sur l'évolution de la Ville. Bientôt des gens feront la grève de la faim pour sauver une bouche d'égout ou un tag. Evidemment il y a de quoi se marrer mais bon.....il y a peut-être des choses plus importantes à accomplir dans la vie que d'empêcher la démolition de ce buffet, surtout si c'est pour permettre une meilleure mixité de la circulation, dont peut se vanter jusqu'ici cette nouvelle Avenue de France. Allez, je n'ai vraiment rien contre ce buffet, mais j'irai quand même manger un petit sandwich ailleurs sans piquer une crise.

C'est chaud c'est AFP :

L'Etat a maintenu le choix du site de Tolbiac (XIIIe) pour construire le futur Tribunal de grande instance (TGI) de Paris, malgré l'opposition du maire de la capitale, et un "concours d'idées international" va être lancé sous peu, a annoncé jeudi l'établissement public chargé du projet.

Réuni mercredi, le conseil d'administration de l'Etablissement public du palais de justice de Paris (EPPJP) a "pris acte de la détermination de l'Etat, qui (...) a exprimé à nouveau sa position en faveur du site de Tolbiac-Halle Freyssinet, et de sa volonté de trouver un accord au plus vite", écrit dans un communiqué cet organisme créé en février 2004 pour gérer le déménagement du palais de justice, trop à l'étroit dans ses murs multi-centenaires de l'île de la Cité.[...]

Et hop dans l'express :

'opposition du maire socialiste de Paris Bertrand Delanoë n'y aura rien fait. L'Etat a décidé de maintenir sa décision d'implanter le nouveau tribunal de grande instance (TGI) de Paris sur le site de Tolbiac, dans le XIIIe arrondissement, a fait savoir jeudi l'Etablissement public du palais de justice de Paris (EPPJP).

Lors de son conseil d'administration mercredi, l'EPPJP - créé en février 2004 pour gérer le déménagement du palais de justice - n'a pu que "constater avec regret" l'absence d'accord, et a "pris acte de la détermination de l'Etat" pour le site de Tolbiac, selon un communiqué. Le maître d'œuvre a donc décidé "le lancement immédiat d'un concours d'idées internationales (pour) solliciter de façon très large" architectes et urbanistes.[...]

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20 minutes, 16/06/2006

L'Etat impose le tribunal de Paris dans le 13e

20 Minutes | édition du 16.06.06

Ce sera donc Tolbiac... Sauf énième revirement. Comme le souhaitait l'Etat, le conseil d'administration de l'établissement du Palais de Justice de Paris a annoncé hier qu'il lançait « un concours d'idées international » pour architectes en vue de l'implantation du tribunal de grande instance (TGI) à Tolbiac-Sud (13e). Mais la Mairie de Paris proteste et estime qu' « une telle installation ne peut être envisagée sans l'accord de la Ville ». Serge Blisko, maire du 13e, y voit « une farce ridicule, un passage en force qui ne servira à rien. On lance un grand concours qui coûtera une fortune pour faire plaisir aux magistrats mais le projet ne pourra voir le jour dans ces conditions. »

Pour l'Etat, la décision semble pourtant prise. L'exiguïté des locaux du Palais de Justice, sur l'île de la Cité (1er), rendait inéluctable un déménagement. Le choix du lieu aura pris plus de deux ans. L'Hôtel-Dieu (4e), l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul (14e) et surtout Masséna (13e), qui avait les faveurs de la Mairie, avaient été envisagés. Mais l'Etat a privilégié Tolbiac, pour construire sur 115 000 m2 un TGI qui pourrait coûter entre 600 et 900 millions d'euros.

Au conseil de l'ordre des avocats, on « prend acte » de la décision mais on n'exclut pas de « poursuivre le combat » et on regrette que toutes les solutions n'aient pas été « examinées dans l'île de la Cité, notamment l'Hôtel-Dieu ». Beaucoup d'avocats, qui avaient manifesté contre le démantèlement du TGI en juillet 2004, considèrent que « la proposition de la déchetterie de Masséna n'était destinée qu'à faire mieux avaler Tolbiac. »

Autre inquiétude : « Personne ne s'est demandé comment insérer un aussi gros bloc dans le maillage urbain, regrette Judith Herpe, qui travaille sur le sujet au sein du conseil de quartier. Nos préconisations ont été méprisées alors qu'un bâtiment monobloc risque de couper l'ancien 13e et le nouveau comme un mur de Berlin. » Le nouveau TGI était initialement prévu pour 2012. L'échéance paraît plus que jamais illusoire.

Michaël Hajdenberg


©2006 20 minutes

Le TGI traite les contentieux civils (divorce, successions, etc.) et pénaux (crimes et délits). Les cours d'appel et de cassation resteront, elles, sur l'île de la Cité

Le Parisien , vendredi 16 juin 2006

Déménagement du tribunal : l'Etat impose Tolbiac 


MASSÉNA ou Tolbiac ? Après plus d'un an de valses-hésitations et de bras de fer politique sur l'implantation du futur tribunal de grande instance (TGI) de Paris, l'Etat a décidé de passer en force. Le TGI sera bien construit sur le site Tolbiac (XIII e ), dans la grande halle Sernam face à la bibliothèque François-Mitterrand. L'Etablissement public du palais de justice de Paris (EPPJP) - l'organisme chargé d'orchestrer le tentaculaire déménagement du tribunal à l'étroit dans ses murs de l'île de la Cité - l'a confirmé hier en annonçant le lancement d'un concours d'architecture sur le site.
Un revers pour Bertrand Delanoë ? Depuis le lancement de la procédure, le maire de Paris (de même que Serge Blisko, maire du XIII e ) plaide pour l'implantation des 100 000 m 2 du futur TGI sur un autre terrain : le site Masséna-Bruneseau, quelques centaines de mètres plus loin. Ce vaste terrain, bordé par la Seine... et le périphérique, présenterait selon la mairie de Paris de meilleures opportunités d'aménagements. C'est loin d'être l'avis de l'Etat qui dès février 2005 avait fait son choix pour Tolbiac par la voix de Jean-Pierre Raffarin. Depuis, les propositions foncières de la mairie de Paris ont été rejetées. Echange de courriers, tractations en sous-main sur des dossiers d'urbanisme (en mars Dominique de Villepin s'était engagé à accélérer la vente de terrains de l'Etat aux Batignolles... à condition que Paris accepte un TGI à Tolbiac), pression de magistrats (Jean-Claude Magendie, le président du TGI, avait qualifié la proposition municipale de « scandaleuse »), mobilisation des habitants invité0101010101s via les conseils de quartier à soutenir les plans municipaux... L'hypothèse « Masséna » s'est trouvée au centre d'une guerre politique entre la mairie de Paris et le gouvernement. [...]


Benoît Hasse

http://www.leparisien.com/home/maville/ … =261004618

LE MONITEUR 16-6-2006

Cent vingt-quatre logements juchés sur un tunnel  (portfolio)>> http://www.lemoniteur-expert.com/diapor … .asp?id=31



Les bâtiments tout récemment livrés par Brenac & Gonzalez, Rue du Chevaleret à Paris (13e), démontrent que le logement social n'est pas l'ennemi de l'inventivité architecturale. Une réalisation qui tire pleinement parti d'une parcelle fortement escarpée et étirée en longueur.

Quinze années de gestation depuis les premières esquisses, c'est le temps qu'il aura fallu aux architectes Olivier Brenac et Xavier Gonzalez pour faire sortir de terre, rue du Chevaleret à Paris (13e), trois immeubles de 124 logements sociaux et 4 commerces. Les contraintes du site, une emprise ferroviaire, expliquent cette durée inhabituellement longue : les bâtiments reposent en effet en partie sur un tunnel SNCF... qu'il a fallu construire au préalable. [...]


(portfolio)>> http://www.lemoniteur-expert.com/diapor … .asp?id=31

http://www.lemoniteur-expert.com/depech … mp;acces=1

Le Monde, 26/06/2006

Grandes manoeuvres entre la Mairie et Matignon autour du foncier parisien
LE MONDE | 26.06.06 | 15h10  •  Mis à jour le 26.06.06 | 15h10 

Dominique de Villepin et Bertrand Delanoë se livrent à de grandes - et petites - manoeuvres pour la maîtrise des derniers espaces constructibles à Paris. Et ce, au grand dam de deux maires d'arrondissement, Françoise de Panafieu (UMP, 17e) et Serge Blisko (PS, 13e). Jeudi 23 juin, le premier ministre a donné son accord au maire (PS) de la capitale pour la construction de 3 500 logements, dont 50 % dédiés à l'habitat social, sur les terrains des Batignolles, dans le 17e arrondissement.[...]

Béatrice Jérôme
Article paru dans l'édition du 27.06.06

20 minutes, 28/06/2006

Delanoë nie tout accord sur des terrains avec l'Etat

20 Minutes | édition du 28.06.06

La Mairie de Paris et l'Etat ont-ils conclu un accord dans le dos de Françoise de Panafieu, maire du 17e et candidate UMP aux municipales de 2008, et de Serge Blisko, maire PS du 13e ?

La Mairie de Paris s'est offusquée hier de cette hypothèse née il y a quelques jours, après l'annonce par le Premier ministre, Dominique de Villepin, de l'accord de l'Etat pour la construction de 3 500 logements (dont (50 % dédiés à l'habitat social) sur le site des Batignolles (17e), propriété de la SNCF et de Réseau ferré de France, et donc contrôlé par l'Etat.

Françoise de Panafieu, opposée de longue date à ce projet, en a conclu que la décision du Premier ministre constituait une contrepartie à l'acceptation par la Mairie d'une implantation du tribunal de grande instance (TGI) sur le site de Tolbiac (13e), à laquelle la mairie du 13e s'oppose.

Mais Bertrand Delanoë a nié hier tout marché de ce type et rappelé qu'il soutenait toujours une implantation du TGI sur le site de Masséna (13e), en bord de Seine. Le maire a d'ailleurs invité0101010101 à ce que les discussions se poursuivent à ce sujet, indépendamment de sa demande faite à l'Etat en 2005 de céder à la Ville quinze terrains qu'il contrôle à Paris.

M. H.

©2006 20 minutes

20 minutes, 5/07/2006

Un bassin flottant refait surface quai François-Mauriac

20 Minutes | édition du 05.07.06

Comme la piscine Deligny, elle espère bien devenir un haut lieu de la vie parisienne. Treize ans, presque jour pour jour, après la disparition de la seule piscine sur Seine de Paris, qui avait coulé à pic quai Anataole-France (7e), la capitale retrouve enfin à partir d'aujourd'hui un bassin flottant. La piscine Joséphine-Baker est une barque de bois et de métal, amarrée quai François-Mauriac, au pied de la bibliothèque François-Mitterrand (13e).

Avec son bassin de 25 mètres par 10, sa pataugeoire (50 m2), son solarium (590 m2), ses plages (447 m2), la piscine s'adressera à tous les Parisiens. Qui se baigneront dans l'eau de la Seine, puisque celle-ci sera filtrée et rendue potable.

Afin de devancer le succès auquel la piscine du quai François-Mauriac est promise, surtout durant Paris-plage, dont elle devrait être la vedette incontestée cette année, la Ville a fixé sa capacité d'accueil à 508 personnes, et surtout mis en place une tarification visant à assurer un roulement des baigneurs : 5 euros pour les deux premières heures, puis 5 euros l'heure supplémentaire.

Piscine Joséphine-Baker, ouverte les lundis, mercredis et jeudis de 10 h à 20 h, les mardis et vendredis de 10 h à minuit, les samedis et dimanches de 10 h à 20 h. Matinées sportives organisées les lundis, mercredis et vendredis de 7 h à 9 h.

Mickaël Bosredon

©2006 20 minutes

Sur france2.fr :

Paris: une nouvelle piscine sur la Seine

Josephine Baker, la nouvelle piscine flottante sur Seine, dans le XIIIème arrondissement à Paris. - AFP - J. Demarthon
Le maire de Paris a inauguré mercredi la première piscine municipale flottante sur la Seine, dans le XIIIe arrdt

Amarrée au pied de la Bibliothèque François Mitterrand, cette piscine dotée d'un bassin de 25 mètres sur 10 au toit amovible, est baptisée Joséphine Baker.

Treize ans après le naufrage de la légendaire piscine Deligny, Bertrand Delanoë a annoncé le lancement d'un second projet semblable dans le XVe près du parc André Citroën, "livrable en 2010". L'établissement, accessible dès jeudi au public, sera ouvert tous les jours (nocturne jusqu'à minuit  mardi et vendredi), hiver comme été grâce à un toit coulissant.

Ce bâtiment de verre et d'acier est équipé d'un système de traitement d'eau par l'ozone qui permet de rendre l'eau de la  Seine potable avant qu'elle ne soit restituée au fleuve après épuration. L'eau ainsi traitée n'irrite plus les yeux des nageurs.

Les deux bassins peuvent accueillir 375 personnes, invité0101010101es à profiter des deux solariums, dont l'un en terrasse avec vue sur le parc de Bercy.

Mais on pourra aussi se rendre à la piscine Joséphine Baker pour son "espace forme", qui dispose d'une salle de fitness et musculation, d'un hammam, de deux saunas et d'un jacuzzi.

L'espace restauration, accessible sans s'acquitter du prix d'entrée de la piscine, propose à midi sandwiches, salades et soupes froides et le soir des repas autour de 15 euros.

http://cultureetloisirs.france2.fr/lois … 956-fr.php

Je ne voudrais pas avoir l'air de la ramener, mais je reviens de ma piscine à moi, c'était gratuit et j'avais une vue sur le stade Charléty (plein de gens, je me demande bien pourquoi...) 

20 minutes, 6/07/2006

La Seine aura deux piscines flottantes en 2010

20Minutes.fr | 06.07.06 | 00h53

Bertrand Delanoë a inauguré, hier, la piscine flottante Joséphine-Baker, située quai François-Mauriac (13e). Equipé d’un toit de verre coulissant, l’établissement pourra ainsi être ouvert tous les jours de l’année.Le coût total de sa construction s’élève à 17 millions d’euros. Le maire de Paris a également annoncé qu’un projet similaire verrait le jour «au plus tard en 2010», en aval du fleuve, au bas du parc André-Citroën (15e).

Je suis à 100% pour l'implantation du TGI à TOLBIAC SUD et j'habite le quartier.

Un journaliste va-t-il un jour poser la bonne question à Monsieur DELANOE et à Monsieur BLISKO : pourquoi s'entêtent-ils à vouloir placer le TGI à MASSENA si ce n'est pour ENQUIQUINER l'Etat en période pré-électorale ?

Aucun des arguments qu'ils développent ne tient la route et c'est Monsieur DELANOE lui-même qui a proposé ce terrain à l'EPPJP.

Question à leur poser par exemple : pourquoi s'acharnent-ils à mettre les logements sociaux sur ce secteur alors que 50 mètres plus loin (de l'autre côté du boulevard Vincent Auriol) ils n'en programment strictement aucun ? Que des bureaux...

Est-ce bien raisonnable de rester sur le terrain de la politique politicienne lorsqu'il s'agit d'urbaniser durablement la Ville et de donner à un équipemnt majeur comme le TGI l'emplacement qui lui revient. Le TGI est au service de tous les Parisiens, il n'est ni de droite ni de gauche.

Le projet actuel prévu sur TOLBIAC SUD dit "GANGNET" du nom de son architecte n'a strictement aucun intérêt et des problèmes se posent déjà avec l'énormité de l'ilôt T8 prévu en face de l'autre énormité d'immeuble qui accueille un grand magasin de sport !

Contrairement à ce que la presse développe, les habitants ne sont pas opposés à l'arrivée du TGI dans leur quartier et en sont même plutôt fiers.

Dans le droit fil de cette réflexion : pourquoi Monsieur DELANOE s'acharne-t-il à détruire le Jardin LALANNE aux Halles, modèle de jardin d'aventure pour les enfants, de plus surveillé par des moniteurs et enfin oeuvre de création d’artiste.

Bonjour ZACA et bienvenue sur le forum. Je ne crois pas qu'on puisse tout interpréter en fonction des couleurs politiques des uns ou des autres. Il y a de vrais arguments des deux côtés.

Je suis un peu étonné par ta position car je croyais que les habitants, à Paris Rive Gauche, voulaient surtout des commerces, voire des espaces verts, et ce n'est pas le gros bloc du TGI (forcément fermé, contrairement à l'Université Denis-Diderot) qui va favoriser la vie du quartier.

Merci de poursuivre cette discussion dans le thread consacré spécifiquement au TGI : https://www.pss-archi.eu/forum/viewtopic … 869#p51869 .

La piscine
flottante
déjà fermée
C’ÉTAIT pour le maire de
Paris l’une des inaugurations
les plus importantes
de sa mandature. Pourtant,
quatre jours après son
ouverture, la piscine
Joséphine-Baker (XIIIe) a été
fermée au public.
Dimanche matin, alors que
les baigneurs
profitaient
du bassin en
plein air, les
maîtres
nageurs se
sont aperçus
que des carreaux
se
décollaient au fond du bassin.
“Rien de grave, indiquet-
on du côté de l’Hôtel de
Ville, mais il faut les recoller.”
La piscine a été vidangée
dimanche, après l’incident.
La date de réouverture
n’est pas encore
connue. “Sans doute la
semaine prochaine, dit-on à
la Ville. En tout cas, la piscine
sera prête pour Paris-
Plage, le 20 juillet.” METRO

Metro Paris, 12/07/06

20 minutes, 17/07/2006

Marathon des réparations à la piscine sur Seine

20 Minutes | édition du 17.07.06

La remise en eau aura lieu aujourd'hui, pour une réouverture jeudi, lors du lancement de Paris-plages. Une quinzaine d'ouvriers s'affaire depuis la semaine dernière pour réparer les défauts de construction de la piscine sur Seine Joséphine-Baker (13e), ouverte le 12 juillet. Quatre jours après son inauguration, trois carreaux du grand bassin s'étaient en effet détachés et la piscine avait été fermée au public. Un coup dur pour l'un des projets phares du maire de Paris.

Après des tests, les ingénieurs ont décelé « de nombreuses autres malfaçons » et ont décollé « trois faces du grand bassin » et « tout le fond de la pataugeoire ». Le recarrelage devait être terminé ce matin.

©2006 20 minutes

Incroyable, quand même, cette histoire... 

Oui, quand se decidera t'on a mettre les 10% qui manquent pour avoir un truc qui tient plus d'une semaine... c'est rageant ce gachis, quitte a payer, autant payer un peu plus cher et avoir un truc bien.

Je suis passé par là hier après-midi : elle a réouvert. Mais le bassin a l'air ridiculement petit, surtout par rapport à la taille du bâtiment. Ca ne doit pas être facile d'y entrer.

Une photo prise le week-end dernier, quand elle était fermée :